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Pierre Arnaud (Traducteur)
EAN : 9782265078680
222 pages
Fleuve Editions (27/01/2005)
3.68/5   77 notes
Résumé :
Moi, j'ai jamais fait brûler de chien. D'accord, c'est amusant, mais il y a quand même d'autres choses plus intéressantes !
Deux ans après avoir tué Blyth, j'ai assassiné Paul, mon petit frère, pour des raisons différentes et nettement plus fondamentales. Et puis, environ un an après, j'ai encore éliminé ma petite cousine Esmeralda, plus ou moins sur un coup de tête. C'est mon total pour le moment : trois. Maintenant, ça fait des années que je n'ai plus tué ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Le seigneur des guêpes : un titre qui évoque…qui évoque quoi d'ailleurs ? Des bestioles indisciplinées qui piquent, mais à part cela, je ne voyais pas trop….

Je dois reconnaitre que sans Gwen et son challenge BBC, je ne me serais surement jamais lancée dans la lecture de ce livre. J'ai certes deux livres de l'auteur, Iain Banks dans ma Pal, mais je n'avais même pas fait le lien étant donné qu'il s'agit de deux livres de science-fiction.
Le narrateur Franck, un jeune homme habitant avec son père sur une ile près de la cote, nous raconte sans concession son parcours de vie.
Il avoue sans fard et sans aucune émotion qu'il est un meurtrier. Bref, Franck est à placer sans hésitation dans la catégorie des psychopathes. En même temps, quand on découvre que son père adore mesurer, toiser, peser, tous les éléments qu'il croise on peut déjà lever un peu les sourcils. Quand de plus nous découvrons assez vite que le frère ainé de Franck s'est enfui de l'asile psychiatrique où il était enfermé car il adorait bruler vif des animaux… Finalement, au vu de son environnement familial, on lui trouverait presque des excuses, au jeune Franck.
Le style de l'auteur est à la fois fluide et percutant, et la description de certaines scènes est criante de réalisme…
J'ai été assez surprise de voir ce livre catégorie sur Babelio comme fantastique, car il n'y absolument aucun élément fantastique dans ce bouquin… Mystère….
Un livre qui se lit quasiment d'une traite, car il fait moins de 200 pages (en tout cas dans l'édition que je possède)

Challenge BBC
Challenge Mauvais Genres 2020
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« Le seigneur des guêpes » est un ouvrage que je cherchais depuis longtemps. Je me souviens d'un article dans « le cafard cosmique » le mentionnant. Quelle ne fut pas ma joie lorsque j'ai pu enfin acquérir le précieux parchemin. Comme je fais l'impasse sur le résumé de l'éditeur, j'aime découvrir par moi-même l'histoire, j'ignore totalement de quoi il en ait.

Dépaysement, puisque que l'histoire se déroule au pays de l'écrivain, soit en Écosse, un endroit magnifique par sa culture et son atmosphère. Une nation qui a vu naître un autre auteur talentueux.
L'histoire est narrée par un jeune psychopathe – donc narration à la première personne – issu d'une famille de taré. Chaque membre tient sa couche de débilité congénitale. Je n'énumérerai pas chaque délire psychotique, mais il faut juste savoir qu'ils sont exceptionnellement “amusants” dans leurs vices.

Parfois glauque, on baigne ici dans l'horreur et la folie. le personnage principal nous narre ses actes de démence avec une telle indifférence que cela en fait froid dans le dos. Il agit même avec une minutie et le tout est intelligemment calculé. Des actes de barbarie et de cruauté, on en a à la pelle. Même, à son bon souvenir, il nous relate ses exploits de façon détaillée. Les âmes sensibles seront donc écoeurées par tant de sadisme.

Si l'histoire est malsaine, l'ensemble est jubilatoire, sauvé par un humour omniprésent. Je me suis tapé des barres qui furent bénéfiques pour mes abdaux (si injustement délaissés, mais entretenus de temps à autre). J'ai par ailleurs eu un fou rire lors de la scène du bar.

Les vingt dernières pages sont très bonnes, et il m'a été impossible de lâcher le livre. J'ai même été agréablement surpris, une révélation que je n'avais pas vu venir. En y repensant, l'auteur nous avait pourtant laissé quelques indices. La seule fausse note, à mon sens, est due à quelques longueurs, mais rien de bien méchant.

C'est un excellent roman d'Horreur, qui met mal à l'aise le lecteur par l'extrême démence du narrateur. L'étiquette “Fantastique” du site Babelio est erronée. On n'y trouve aucun élément paranormal ou surnaturel. Je connais Iain Menzies Banks de nom, un auteur oeuvrant dans la Science-Fiction. Pour une unique incursion dans le monde de l'Horreur (en tout cas, seul titre traduit dans nos vertes contrées), c'est une réussite. Il est fort dommageable qu'il n'ait pas poursuivi dans ce domaine. Ce titre est machiavélique, sans réel temps mort et surtout très bien assaisonnée de scènes cocasses, de dialogues saugrenus.
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Une surprise du début à la fin pour tant de raisons...
Tout d'abord, une qualité d'écriture pour ce conte cruel et dérangeant à la première personne, au rythme fluide et incisif.
Des observations et dialogues hilarants, dont certains renvoient un accent écossais à couper au couteau (et quel plaisir). le tissage adroit et malin du passé et du présent du héros (Banks est le roi du cliffhanger à la fin du chapitre par un début de révélation et une reprise lente au début du chapitre suivant alors que l'on veut savoir, là, tout de suite!), Frank, qui est sur le point de dire bye bye à son enfance. Et quelle enfance?!
Parsemée de divers crimes et complots atroces, du développement d'un système de croyance et de morale personnels d'une être parfaitement conscient de son abomination et du fonctionnement du reste du monde, chamanisme violent et joyeusement cruel. le vision de lui-même de Frank est horriblement drôle et sans pitié.
Boudu. Un gros choc pour le système.
Reflet du monde réel, hypocrite qui se targue de préceptes bien-pensants mais qui n'en est pas moins insensé et cruel que le monde de Frank résumé par sa "Wasp Factory".
Et le dénouement! Des mensonges en poupées russes menant à une révélation pas forcément imprévisible mais savoureuse. Une fin du monde absurde.
Un frère complètement allumé, sadique et perdu, évadé d'hôpital psychiatrique jouant à cache cache avec la police. Et ce père illuminé qui a besoin de connaître les dimensions de tous les objets de son foyer? En mesures impériales, please.
J'avoue avoir hurlé de rire à certains passages terriblement monstrueux. Mais qui ne rirait pas d'un combat à mort entre un ado et un lapin?
Bref les gens, c'est avec un plaisir quelque peu coupable que j'applaudis violemment ce premier roman génial d'Iain Banks et que je lui met une note excellente.
À lire en anglais pour l'effet intégral!
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Frank Cauldhame vit avec son père sur un îlot en Ecosse, chacun avec sa citadelle imprenable dans la maison, le bureau du père toujours verrouillé et le refuge du fils au dernier étage de la maison. Il est le seigneur de cet îlot qu'il défend comme une forteresse.

Enfant meurtrier qui se croit confiné dans une adolescence éternelle, Frank revient sur sa vie au cours de ses virées dans l'île ou au pub du village le plus proche, sur les circonstances extraordinaires des trois meurtres qu'il a commis étant enfant, et sur sa relation avec son frère Éric qui vient de s'évader d'un asile psychiatrique. Frank est un fou très intelligent, et la folie semble être une pathologie familiale entre son père obsessionnel et menteur, qui a toujours dissimulé aux autorités l'existence de son fils Frank, et son frère Eric, tueur de chiens et persécuteur d'enfants.

A propos de l'éducation particulière qu'il a reçue et des mensonges de son père (et car il y a toujours de l'humour chez Iain Banks) : « Quand j'étais plus jeune, il avait coutume de répondre à mes questions naïves par d'énormes balivernes. C'est ainsi que, pendant des années, j'ai été convaincu que Pathos était un des trois mousquetaires, que Fellation était un personnage de Hamlet, Vitreux, une ville française, ou encore que les paysans irlandais devaient fouler la tourbe pour obtenir la Guinness. »

Frank a une logique interne très structurée, il est un grand créateur de symboles, un bâtisseur de barrages, de ponts et de villages, un concepteur infatigable de bombes pour, entre autres, ressentir la jouissance de la destruction quand il fait exploser ses constructions ; il est l'ordonnateur de cérémonies très codées, de rituels avec des animaux, en particulier des guêpes victimes offertes à son Sanctuaire, un lieu de sacrifices et de divination très sophistiqué dans son refuge, qu'il ne cesse de perfectionner. Asocial, son seul ami est Jamie, un nain qu'il promène sur ses épaules. Enfin, Frank hait les femmes pour des raisons qu'on découvrira au cours du récit.

« le Sanctuaire aux Guêpes est beau et d'une perfection redoutable. Il allait me dire ce qui se passerait. Comme ça, je saurai que faire, et je pourrai peut-être même, après l'avoir consulté, essayer de rentrer en contact avec Eric, par l'intermédiaire du crâne de Saül. Même si nous ne sommes que demi-frères, nous avons quand même un lien de sang […] Enfin, il y a un dernier facteur qui nous rapproche, auquel je n'ai pensé que récemment : on est, l'un comme l'autre, des meurtriers.
En fait, c'est pour ça que sont faits les hommes. Chaque sexe a sa spécialité : les femmes donnent la vie, les hommes la reprennent. »

Le seigneur des guêpes est un roman hors normes, loin de tout dans ce morceau de territoire isolé, dans la mythologie et les croyances de Frank, un être manipulé qui se croit tout puissant dans un monde qui suit sa propre logique. Dans un registre bien sûr très différent, c'est une révélation qui a la force d'un Enig Marcheur : deux récits fantastiques du début des années 1980.
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Je ne sais déjà pas trop dans quelle catégorie ranger ce livre. Peut-être dans le style « presque polar-thriller » ? Car c'est un roman de genre qui est construit sur un polar. Ou l'inverse. Un curieux style, bâtard de genre, mais curieusement assez efficace.

Soyons honnêtes : ce livre est génial. J'ai eu un mal fou à m'y plonger (bon, en ce moment j'ai du mal à lire de façon générale), mais je n'ai pas pu le lâcher une fois passé le cap de la première moitié. Car c'est une construction par étape, et pour accéder à tout ce qui fait la force de cette seconde partie, il faut tout le développement de la première, toute l'introspection du personnage principal, toute sa vie au jour le jour, toute sa psyché et sa conception des choses. Pour ensuite nous envoyer dans la face la suite.

Ce roman oscille entre diverses choses, mais ce qui ne bouge pas, c'est ce personnage central, à la fois énigmatique et incroyable, mélange entre un fou et un illuminé, isolé sur son île avec sa famille, handicapé à vie. La vie n'est pas rose pour lui, et pourtant il s'invente un monde, un univers dans lequel il contrôle les choses. Notamment en tuant. Enfin, ça c'était quand il était jeune.
C'est également un roman puissant sur nos croyances, sur ce qu'on admet pour vrai et qu'on veut bien accepter dans notre réalité, toute déformée qu'elle peut être. Jusqu'au rituel de magie. Ainsi que sur la famille et les liens que cela tisse.

Roman qui se déroule dans un microcosme, une île isolée de tout et un petit village, une seule maison qui cristallise tout, avec tout à l'intérieur. Une métaphore doit sans doute être dissimulée derrière tout ça, mais je ne l'ai pas encore trouvé.
C'est également un thriller, qui pose des éléments pour arriver progressivement à une conclusion déroutante et d'un genre que je n'avais encore lu. Je ne pensais pas que le polar s'orienterait dans cette direction ensuite. Mais c'est tout à son honneur.

Un roman étrange et dérangeant, très déroutant. J'ai eu du mal à m'y intéresser, mais une fois dedans le roman m'a surpris et m'a dérangé jusqu'au bout. Je crois que le maître mot c'est le malaise qu'on ressent au contact de ce personnage principal dérangé et pourtant tellement normal dans son univers, univers qui nous grignote progressivement pour nous laisser sur un dernier chapitre hallucinant. Une plongée qui m'a déroutée, et qui me fait encore réfléchir. Lisez-le si vous avez l'occasion, ça vaut le détour.
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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Souvent, j’ai l’impression d’être un État, un pays, ou tout du moins une cité. À l’instar des pays qui sont parcourus par les courrants idéologiques les plus divers, j’ai, sur mes idées et mes actions, des opinions complètement opposées. J’ai la conviction que les gens ne votent pas pour un nouveau gouvernement parce qu’ils apprécient son programme politique, mais simplement parce qu’ils veulent du changement. Ils ont l’impression confuse que tout ira mieux avec les nouveaux. Les gens sont stupides ; ils ne se rendent pas compte que ce qu’ils croient être dicté par une réflexion longuement mûrie n’est en fait que le fruit de leurs passions et de leurs caprices. Enfin, toujours est-il que j’ai le sentiment qu’il se passe la même chose dans ma tête. J’ai des idées qui s’opposent complètement, un peu comme si j’avais des tas de gens très différents dans mon crâne.
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En tout cas, c’était un signe. Cette aventure était chargée d’une lourde signification. Était-ce ma réaction quasi-instantanée que le Sanctuaire avait prédite en parlant de feu ? Si on voulait trouver un sens augural à cet épisode, ce n’était pas seulement dans la férocité exceptionnelle de la bête que j’avais tuée qu’il fallait chercher, mais également dans la brutalité inconsciente de ma riposte et le triste sort des lapins innocents qui avaient subi, impuissants, les ravages de mon ire.
D’autre part, si cet incident avait la valeur d’un présage, il semblait également se rattacher à mon passé. En effet, la première fois que j’avais assassiné quelqu’un, c’était parce que des lapins avaient connu une fin atroce, brûlés par un lance-flammes presque identique à celui dont je m’étais servi pour dévaster les terriers. La coïncidence était trop parfaite. Etais-je en train de perdre le contrôle de la situation ? Les événements s’enchaînaient plus vite et plus mal que je ne l’avais imaginé. Le massacre du Territoire aux Lapins en était la preuve.
Le moindre indice est toujours lourd de sens. Le Sanctuaire m’avait appris à guetter les indices les plus futiles pour en extraire leur vérité occulte.
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J’avais passé ma journée à faire la tournée des Mâts de sacrifices, quand j’ai appris que mon frère s’était échappé. En fait, je savais depuis longtemps que quelque chose allait arriver ; le Sanctuaire m’avait prévenu.
À l’extrémité septentrionale de l’île, près des ruines délabrées de la cale de halage dont le treuil rouillé grince encore quand le vent souffle à l’est, j’avais deux mâts, plantés sur le flanc de la dune la plus éloignée. À l’un d’eux étaient attachées une tête de rat et deux libellules, à l’autre, une mouette et deux souris. J’étais en train de rattacher une souris, quand des oiseaux s’élevèrent en cercle au-dessus du chemin qui serpentait entre les dunes, et longeait ainsi leurs nids. Je m’assurai que la bête tenait bien, puis me hissai au sommet de la dune pour observer ce qui se passait avec mes jumelles.
C’était Diggs, le policier du village, qui dévalait le sentier à vélo, le front baissé, pédalant avec vigueur tandis que ses roues traçaient un profond sillon dans le sable. Arrivé au pont, il descendit de sa bicyclette et la posa contre les tirants. Puis, il s’avança jusqu’au milieu de la frêle construction et s’arrêta devant la barrière. Je le vis appuyer sur le bouton de l’interphone. Il demeura un instant immobile, les yeux fixés sur les dunes où les oiseaux allaient se reposer. Il ne m’aperçut pas ; j’étais trop bien caché. Enfin, mon père dut répondre, car Diggs se pencha en avant pour parler vers la grille près du bouton d’appel. Ensuite, il poussa le portail, traversa le pont et pénétra dans l’île en empruntant le chemin qui menait à la maison. Je restai assis un long moment après qu’il eut disparu, à me gratter entre les jambes, laissant le vent jouer dans mes cheveux tandis que les oiseaux se reposaient sur leurs nids.
Je pris le lance-pierres passé dans ma ceinture, choisis une bille d’acier de belle taille, visai posément et envoyai le projectile sur l’autre rive, par-dessus les poteaux téléphoniques et le petit pont suspendu. Il frappa la pancarte « Propriété privée – défense d’entrer » avec un son mat que j’entendis de là où j’étais. Je souris : voilà qui était de bon augure. Le Sanctuaire avait été évasif (comme d’habitude), mais j’avais la certitude qu’il m’avait annoncé quelque chose d’important et de terrible. J’avais bien fait d’aller inspecter mes Mâts. Tout était en ordre, les choses étaient encore de mon côté.
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Ce n’est jamais la peine de se venger. Quand on exerce des représailles contre les proches d’un agresseur, c’est uniquement pour se faire plaisir ; la peine de mort n’a jamais eu d’effet dissuasif, mais elle a toujours donné de grande satisfactions à ceux qui l’appliquaient.
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La peine de mort n'a jamais eu d'effet dissuasif, mais elle a toujours donné de grandes satisfactions à ceux qui l'appliquaient.
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Video de Iain M. Banks (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Iain M. Banks
Hélène Collon, c'est LA traductrice de Philippe K.Dick, qui vient d'achever la nouvelle traduction d'Ubik paru aux Éditions J'ai Lu dans la collection « Nouveaux Millénaires ».
Hélène Collon est avant tout une grande lectrice qui porte haut les couleurs de la science-fiction avec l'imagination comme horizon.Embarquement immédiat pour un cours magistral de SF !
NB : Hélène Collon a reçu le grand prix de l'imaginaire de la meilleure traduction en 1994 pour L'Homme des jeux de Iain Banks.Elle a également été lectrice à de nombreuses reprises pour le Centre national du livre, qui se fie à son regard acéré.
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