« D'un côté, le commerce du livre peut seul porter la constitution d'un marché des textes et des jugements. Il est une condition nécessaire pour que puissent se construire une sphère publique littéraire et un usage critique de la raison. D'un autre côté, du fait de ses lois propres, la librairie soumet la circulation des œuvres à des contraintes et à des fins qui ne sont en rien semblables à celles qui ont gouverné leur écriture. Entre ces deux exigences, la tension...
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