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EAN : 9782361570880
327 pages
Editions Transboréal (06/02/2015)
3.81/5   24 notes
Résumé :

Un matin d’automne, Antoine Bertrandy s’est arraché à son confort francilien pour s’élancer dans le sillage des pèlerins aspirés vers le mystère de Saint-Jacques. Courbé sous le poids de son sac et de ses attentes, il a relié Compostelle depuis Saint-Jean-Pied-de-Port en empruntant le Camino real francés.

Dans le décor de cette comédie humaine itinérante – où vibrent de concert spiritualité et téléphones portables –, chacun peut épuiser ses f... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
♫ How many roads must a man walk down
Before you call him a man? ♫
-Bob Dylan- 1962 - (Sic liminaire étape 22 : p262)
(Traduct. :
Combien de chemins un homme doit-il parcourir
Avant qu'on ne l'appelle un homme?)
----♪---♫----🥾----⚓----🥾----♫---♪-----
Chacun sa route, chacun son chemin
Celui d'Antoine ne fut pas le mien.
How many ♪ Oh mamy ♪
Combien de blues au malheureux !?
Combien de pleurs à l'homme heureux !?
J'écoutais dans le vent, et depuis
Les nuages ont fait pluie-pluie
Je suis donc rentré mercredi
Je refais la scène
Pour la 13em fois
presque toujours la même
Petite fugue et m'épargner encore cette foi...😇
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Impressionnante cette envie de tout quitter et d'aller rejoindre ce flot de femmes et d'hommes qui marchent vers l'Apôtre, qui marchent pour rencontrer les autres ou qui marchent pour se retrouver eux-même. Les envies, les souhaits sont aussi variés que le nombre de rivières se jetant dans un fleuve.
Antoine Bertrandy, auteur de « Vers Compostelle – drôles de rencontres » est parti de Saint Jean Pied de Port pour St Jacques entouré de gens de toute nationalité.
Lui aussi, il avait besoin d'une rupture dans son quotidien ; il avait une blessure (peut-être plusieurs) qui n'avait pas cicatrisé.
Et ceux qui étaient devant lui ou bien dans son sillage avaient au fond d'eux-même une histoire qui ne pouvait que les conduire sur ce chemin devenu mythique.
Ce parcours, qu'on appelle ici le « camino frances », Antoine le suit d'un pas rapide, se demandant parfois, pourquoi aller si vite, sans prendre le temps de le vivre. Son besoin d'avaler du kilomètre lui permet, certainement, de calmer des rages intérieures ou des difficultés quotidiennes.
Des questions, que des questions que se posent ces pèlerins en manque de quelque chose. Mais, des questions qui parfois se transforment en réponses, ne serait ce que par les échanges fructueux entre marcheurs, ou par le recueillement pris dans une chapelle, une église ou encore sur le sentier. Des moments de joie, de bonheur qui arrivent soudainement et vous inondent l'âme et le corps.
Antoine Bertrandy a senti, pendant son trajet, ses pensées sombrer en même temps qu'il traversait la Meseta, contrée quasi désertique entre Burgos et Leon ; des moments de solitude pour lui qui semblaient ne pas finir.
Puis, une renaissance s'est opérée. Les jambes se sont faites plus légères. Antoine se sentait presque pouvoir gravir les montagnes. Lui, qui se trouvait égoïste de partir (loin de sa famille), au début, a perçu un nouveau vent se lever.
Du torrent tumultueux descendant des Pyrénées, le fleuve parcourant l'âme de l'auteur s'est assagi pour s'ouvrir tel un estuaire vers de nouveau horizons plus apaisés.

Bravo à Antoine Bertrandy pour son témoignage et ses rencontres très fortes avec des gens tellement divers et variés.
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« L'engagement total en avant ».
En flânant, on pêche parfois des livres sur les étalages des librairies, au jugé, pour l'attrait d'une couverture et on remonte dans son filet une nourriture inattendue qui phosphore et donne des ailettes aux chevilles ainsi du récit jacquaire d'Antoine Bertrandy, Vers Compostelle dont la rédaction a été achevée fin janvier 2014. Dans la littérature abondante, anecdotique et souvent dispensable suscitée par le pèlerinage multiséculaire et labellisé, le journal du pèlerin néophyte est une agréable surprise. Chapitré naturellement par étape mais titré en conséquence, les mises en exergue sont éclectiques et souvent superbes à l'exemple de l'ouverture d'Antonio Machado : « Voyageur, le chemin sont les traces de tes pas… ». L'auteur sait lire et rendre compte de son voyage. Avec un avant-propos puis un prologue et une « Mise en route », l'écrivain voyageant capture immédiatement l'attention du lecteur. Humain, accessible, ouvert aux rencontres, Antoine de Bertrandy se met à nu, sans fard mais avec pudeur. Les dialogues retranscrits sont vivants et sonnent juste. Azine, « élégante maîtresse femme » octogénaire, régente avec acrimonie son petit monde nomade dans sa maison d'accueil. Déjà, une galerie de pèlerins s'expose malgré eux, saisis et croqués. Il y a Brent, l'Américain de Chicago : « Son teint subtilement hâlé, ses sourcils épilés, sa très fine barbe et ses sapes ajustées trahissent sa coquetterie » puis un Australien patibulaire : « Ses yeux clairs et vitreux ne trahissent pas une préférence pour le sirop de grenadine ». Heureusement survient Samuel, « sportif, constant, déterminé » avec qui l'auteur décide de marcher quelques jours. Relatant une foultitude de rencontres en mouvement, se croisant, se distendant, disparaissant, ressurgissant, dans une oscillation aléatoire aimantée vers l'objectif de la célèbre ville galicienne où gît Jacques le Majeur, un des douze apôtres du Christ. le récit est passionnant de bout en bout, tour à tour enjoué, mélancolique, colérique et parfois drôle voire franchement hilarant à l'exemple de la « nuit de l'horreur ». le style est alerte. Les mots semblent couler naturellement, avec aisance, fluidifiant des phrases d'autant plus percutantes qu'elles évitent l'emphase et le pathos. Les quelques clichés ne sont pas rédhibitoires ; ils habillent le propos d'une fraîcheur et d'une naïveté bienvenues, entretenant un élan fraternel que des descriptions incisives ne brisent jamais. L'humanité de l'auteur et celle des convives errants rendent le camino vibrant et magnétique, insaisissable et accessible comme une longue portée musicale où s'enchevêtrent depuis des siècles les souffles des pèlerins dans des harmoniques inouïes.
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Antoine Bertrandy raconte son pélerinage vers Saint-Jacques-de-Compostelle avec une grande humilité ; on est loin du roman de Jean-Christophe Rufin, que j'ai lu il y a quelques années. Je pense que le récit d'Antoine Bertrandy est bien plus proche de la réalité du Chemin. L'auteur parle de son aventure avec pudeur mais sans l'enjoliver. Il ne cache pas les douleurs, les peines, les difficultés, les doutes et les peurs qui sont autant d'obstacles que d'enrichissements pour les marcheurs au long cours. C'est un livre qui se lit vite, l'écriture est agréable et vivante.

Avec beaucoup d'humour et d'auto-dérision, mais aussi une grande lucidité, l'auteur relate son voyage initiatique étape par étape, en mettant l'accent sur les nombreuses rencontres qu'il a faites en chemin, et ce qu'elles lui ont apporté.

Tout au long du livre, l'auteur s'interroge (et donne quelques réponses) sur les motivations des pèlerins : pourquoi partir ? Pourquoi s'infliger toutes ces difficultés, et parfois même cette souffrance ? Que viennent chercher les pèlerins sur le Chemin ? Autrefois, les raisons étaient évidentes : on y allait pour des raisons religieuses. Mais aujourd'hui, la plupart des pèlerins ont d'autres raisons, parfois inconscientes (c'est le cas de l'auteur, qui finira pas découvrir ses propres motivations en chemin), parfois complexes. Une belle réflexion sur ce qui anime les pèlerins, sur le sens de ce voyage initiatique.

À travers le récit d'Antoine Bertrandy, on découvre également la réalité de la vie quotidienne des pélerins, notamment en ce qui concerne les nuits difficiles, la promiscuité permanente avec des inconnus, les dortoirs parfois bruyants et bondés, l'impossibilté fréquente de marcher seul, etc. Et j'avoue que cela ne me donne guère envie de suivre le Chemin... ou alors avec ma toile de tente !

En lisant ce récit, on a tout de même envie de partir seul avec un sac à dos (et ça me tente vraiment depuis longtemps, surtout que je vis SUR le Chemin de Saint-Jacques : je fais donc un tout petit bout du Chemin chaque jour en emmenant mon fils à l'école et je vois les pèlerins défiler tous les jours...), mais personnellement (et cela n'engage évidemment que moi), je crois que finalement, j'irai marcher ailleurs que sur le Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, bien trop fréquenté à mon goût, et son aspect « tout tracé » me dérange un peu.

En bref, ce fut pour moi une lecture enrichissante et très agréable (merci à Antoine Bertrandy d'avoir si bien su partager son expérience !)
Lien : http://excalibri.blogspot.fr..
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Encore un récit de voyage à Compostelle? Comme je n'ai lu que celui de Rufin, je ne risquais pas l'overdose et de toute façon je fais totalement confiance à l'éditeur dans ses choix. Vous êtes prêts? Sacs bouclés? Bonnes chaussures? Bâton?

Antoine Bertrandy, à le lire, n'est pas un adepte de la randonnée et avant de partir parcourir le Camino Francés, de Saint-Jean-Pied-de Port à Compostelle, s'entraîne tout simplement à Paris. Un équipement correct, de bons conseils, et il quitte femme et enfant pour cinq semaines. Au fil des étapes il livre ses expériences, sans trop s'appesantir sur les paysages et les petits bobos, mais analysant honnêtement ses réactions et états d'esprit et surtout relatant les rencontres les plus frappantes, et il y en aura! Drôles de rencontres dixit l'intitulé, et c'est bien sous cet angle que le récit s'articule, vivant, agréable à lire, souvent amusant, parfois émouvant. Sur ce chemin il suffit de peu pour retrouver quelqu'un ou le perdre, en allant (volontairement ou non) plus ou moins vite, ou choisissant une autre auberge.


Je vous invite à cheminer vous aussi et comme j'ai reçu deux exemplaires du livre, je vous l'envoie si vous êtes intéressés, il en vaut la peine et pas question de le laisser dormir sur une étagère!

Épilogue : "Il y a autant de pèlerinages que de pèlerins. J'ai emprunté le même chemin que beaucoup d'autres et je me suis arrêté dans des refuges où, chaque année, des milliers de marcheurs s'arrêtent aussi. Si chaque voyageur qui atteint Saint-jacques se mettait à écrire le récit de son voyage, il y en aurait plus de 200 000 par année. Pourtant aucune relation ne serait semblable à une autre. Certains privilégieraient probablement l'aspect spirituel ou religieux du voyage. D'autres mettraient l'accent sur l'aspect culturel et historique et sur l'importance patrimoniale que nous découvrons tout au long de notre progression. Mon voyage a été plus que tout autre chose, une chemin de rencontres.. Je me suis peu à peu ouvert aux autres et tous ces autres en se confiant à moi en retour m'ont ouvert à moi-même. Surtout, ils m'ont ouvert les yeux sur mes peurs et mes frilosités, m'ont mis à nu et m'ont fait accepter, sans le savoir, ma part de sordide, de laid, de sale, de mort. Ma part de tristesse, de colère et de haine.(...) L'essentiel est d'être parvenu à surmonter mes obstacles intérieurs jusqu'à atteindre le but ultime de ma marche, Santiago. Après quoi je peux revenir chez moi. Ni neuf, ni nouveau, mais plus fort. "
Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
[...], sait-on jamais, si mon histoire est jamais éditée, si elle rencontre le bon lecteur, celui qui connaît quelqu'un,, qui connaît quelqu'un, qui connaît une femme née en 1971 ou 1972, qui a grandi dans une communauté beatnik à Hawaï et qui cherche son père, un Français disparu, ou qui se demande depuis toujours pourquoi elle ne porte pas le nom de celui qu'elle croit être son père, pourquoi elle ne lui ressemble pas du tout, etc.
Voilà, il y a dans ce monastère perdu au beau milieu de l'Espagne un homme qui pleure depuis trente-huit ans d'être séparé de son enfant, tellement triste que la compagnie des hommes lui est presque devenue insupportable.
Rien qu'une bouteille minuscule lancée dans l'océan des possibles : il n'est pas interdit de croire aux miracles.

12em étape
Baloo contre le Panzer
Hornillos del camino - Itero de la Véga
P171
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Voyageur, le chemin
Sont les traces de tes pas
C'est tout; voyageur
il n'y a pas de chemin,
le chemin se fait en marchant.
Le chemin se fait en marchant
et quand on tourne les yeux en arrière
on voit le sentier que jamais
on ne doit à nouveau fouler.
Voyageur, il n'est pas de chemin,
rien que sillages sur la mer.

Antonio Machado, Chant XXIX,
Champs de Castille (1912, trad. par S. Léger et B. Sesé)

Liminaire
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Maria est la seule personne que j'ai rencontrée qui a vraiment accepté de s'arrêter, de se poser au bord de la route, de laisser le monde avancer sans elle et le temps s'écouler sans chercher à le retenir. Pendant trois jours, elle a vu des centaines de pèlerins surgir de son passé -le chemin qu'elle avait déjà parcouru- et s'engouffrer dans son avenir -le chemin qui lui était encore inconnu-, impuissante à les y accompagner.

4e étape
Chercher Dieu ou le Wi-Fi ?
Puente la Reina -Estella
P86
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- Cruz de ferro - [...]
Il s'agit d'une humble croix qui repose sur un mât de 6 ou 7 mètres de haut, hissé au sommet d'un cairn séculaire. Selon la tradition, chaque pèlerin y dépose une pierre qu'il a apportée de chez lui et qui symbolise le superflu qu'il transporte. Je décide de m'y débarrasser du lourd fardeau de mes regrets.

19em étape
Une brume dense comme un nuage de marijuana
Foncebadòn - Cacabelos (p233)
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Je ne suis pas particulièrement ému de découvrir Compostelle mais je redoute d'interrompre ma marche. J'en suis désormais certain, l'essentiel de cette aventure ne réside pas dans son but ultime. Ce qui compte, c'est le voyage lui-même, l'engagement total en avant. Les péripéties, les imprévus, le changement de soi-même et, bien sûr, surtout, toutes les personnes rencontrées, ces gens qui sont chacun un message que la vie adresse, des questions que leur existence pose. Des mondes et des trajectoires qui se croisent, s'entrechoquent ou se frôlent sur ce chemin à nul autre pareil.
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Videos de Antoine Bertrandy (6) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Antoine Bertrandy
Rencontre avec Émeric Fisset, Géraldine Dunbar & Antoine Bertrandy (Transboréal) I Escales le mois du Voyage chez Gibert Joseph.
Transboréal
Transboréal est une maison d'édition française des grands voyageurs explorateurs. Organisateur de conférences liées au voyage. Transboréal réunit dans son sillage, outre ses 126 auteurs, 160 autres voyageurs francophones qui ont eu à coeur de découvrir une région du monde et d'en faire partager la découverte à travers des livres ou des films. Transboréal anime aussi une librairie de voyage dont les 5589 titres sont en ligne.
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/catalogsearch/result/?token=a0e0261958c12283435555666337ae2fb2dd1f81&q=+Transbor%C3%A9al&product_type=*
Émeric Fisset
Né à Paris en 1962, Émeric Fisset s'est fait une spécialité des voyages en solitaire, sans liaison radio ni soutien logistique. Ce Meudonnais a pris goût à l'itinérance dès l'âge de 17 ans au sein d'Hôpital sans frontière, que ce soit auprès des réfugiés cambodgiens de Thaïlande, des Karamojong affamés d'Ouganda, à l'hôpital français de N'Djamena, au Tchad, ou à la suite du séisme d'El-Asnam, en Algérie. Après deux années comme officier parachutiste dans l'infanterie de marine, avec notamment une mission d'entraînement en jungle au Gabon, il participe à des convois humanitaires pour la Bosnie et la Lettonie.
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/catalogsearch/result/?token=48f139c5ad702143ed2b1ff7f86599630a757a8d&q=%C3%89meric+Fisset&product_type=*
Géraldine Dunbar
Née à Londres en 1972, Géraldine Dunbar est de père sud-africain et de mère française. Elle a passé toute sa jeunesse en Grande-Bretagne, où elle grandit dans un univers artistique : son père est technicien de cinéma, sa mère artiste et enseignante, son beau-père, Painton Cowen, écrivain et musicien, et sa grand-mère, Pamela May, ballerine au Covent Garden Royal Ballet. Fascinée par les grands espaces, elle s'intéresse dès l'âge de 7 ans à l'Union soviétique, entreprend l'étude du russe à 12 ans et, depuis la France où elle réside à partir de 1990, effectue son premier voyage à Saint-Pétersbourg en 1992, à 19 ans : un séjour de deux mois dans une kommunalka, un appartement communautaire réunissant cinq familles.
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/catalogsearch/result/?token=48f139c5ad702143ed2b1ff7f86599630a757a8d&q=G%C3%A9raldine+Dunbar&product_type=*
Antoine Bertrandy
Un matin d'automne, Antoine Bertrandy s'est arraché à son confort francilien pour s'élancer dans le sillage des pèlerins aspirés vers le mystère de Saint-Jacques. Courbé sous le poids de son sac et de ses attentes, il a relié Compostelle depuis Saint-Jean-Pied-de-Port en empruntant le Camino real francés. Dans le décor de cette comédie humaine itinérante – où vibrent de concert spiritualité et téléphones portables –, chacun peut épuiser ses fantasmes et ses certitudes jusqu'à ressentir, en son for intérieur, le frémissement de la renaissance. de cette expérience jaillit un récit riche de rencontres truculentes, de séparations déchirantes et de moments drolatiques. Un texte prodigue en réflexions sur le sens du pèlerinage et, en somme, sur la vie.
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/vers-compostelle-droles-de-rencontres-6156934.html
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