D'accord avec Angelo. Traductions remarquables, soucieuses de la forme sans amocher le sens. Ce qui est tout de même rare dans les traductions de poésie étrangère, notamment du russe. Quant à l'anthologie des
poésies de Blok, qui recouvre toute sa vie et va de 1898 à 1921, elle est bilingue, ce qui permet justement aux lecteurs sachant le russe (dont je suis) de vérifier que les traductions de
Henri Abril, et quelques-unes aussi de
Cyrilla Falk qui était la petite-fille du grand metteur en scène de Tchekhov K.
Stanislavski, sont en accord merveilleux avec l'original.