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EAN : 9782070363971
384 pages
Gallimard (08/06/1973)
4.25/5   102 notes
Résumé :

" Eh bien, mon enfant, c'est à vous que je confie le soin de recommencer cette difficile aventure. Vous ferez, il le faut, en Malicroix, ce que Cornélius n'a pas pu faire. C'est le 16 juillet de l'an qui doit venir après ma mort que, seul, embarqué sur le bac avec le batelier aveugle, vous irez au milieu du fleuve pour y trancher le câble : et vous descendrez droit sur le Ranc, au milieu des tourbillons... "

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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Qui peut lire encore Bosco de nos jours ? Qui peut se lancer dans la subtilité de ces histoires à la sobriété monacale, où une ombre peut constituer un évènement, une intuition une présence, et une maison compter comme un personnage ? Qui peut encore s'immerger dans la profondeur incroyable de ces ambiances, dans ces lieux si minutieusement décrits et aux caractères si marqués que peut-être ce sont eux les véritables héros ?

Le jeune Martial de Maigremut apprend le décès d'un grand-oncle qu'il n'a jamais rencontré, mais dont l'ombre a plané sur sa vie depuis sa naissance. C'est que, par son père, il est issu d'une famille paisible. Les Maigremuts, grande famille très unie, vivent sereinement et mettent leur sagesse domestique au service de la terre douce et généreuse où ils sont établis depuis des générations. Mais sa mère est Malicroix. Une famille dure, austère, au tempérament de feu, vivant solitaire au fin fond des marais de la Camargue.

Et voila que le dernier des Malicroix vient de mourir, laissant tous ses biens à ce lointain neveu qui porte la dernière goutte de sang Malicroix. Il ne lui laisse que de maigres possessions. Un troupeau de moutons. le berger qui les garde. Et surtout, une île. La retraite solitaire où il a passé l'essentiel de sa vie, en la seule compagnie du berger et d'un chien. Une île au milieu de nulle part, entourée par les eaux sauvages d'un fleuve en crue. Et ce qui l'entraine là-bas prendre possession d'un si maigre héritage malgré les dangers qu'il pressent c'est, il le sait bien, cette petite goutte de sang Malicroix qui court dans ses veines…

Les univers de Bosco sont étranges, mystérieux, déstabilisants. ‘'Malicroix'' est l'une de ses oeuvres ‘'dénudée'', où l'intrigue est réduite à sa plus simple expression, le nombre de personnages au strict minimum, et où les ombres et les silences font le reste. Il se laisse cependant nettement plus facilement apprivoiser que ‘'Le récif'' ou ‘'Une ombre'', et constitue donc une bonne étape pour ceux qui veulent explorer son oeuvre. Comme toujours, ses descriptions et les lieux sortis de son imagination sont sublimes – combien j'aimerais être un Maigremut, et pouvoir me promener dans leur verger centenaire où murmure une source !
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Un grand merci à quelques Babeliots et Babeliotes de m'avoir conseillé cette lecture (désolée je ne me souviens plus de vos noms, mais je sais que vous vous reconnaîtront...) . de Bosco, j'ai lu quelques livres, le tout premier, lu en 6ème, "L'enfant et la rivière" et que j'ai relu récemment. le thème de la nature et de l'eau y sont omniprésents. Un certain mystère également avec des personnages âpres et rudes mais pas forcément dénués de bonté et de générosité. le second livre fut "Le mas Théotime" qui a été un véritable coup de coeur, il a eu le prix Renaudot en 1945. Je l'ai même offert à des amis issus de cette Provence qu'ils aiment tant. Et mon troisième roman de Bosco est celui-ci "Malicroix". Un bien beau roman, dense, sombre, âpre, mystérieux et un brin fantastique. Un livre envoûtant et qui me paraît après cette lecture une parenthèse enchantée. Pas d'indication de date, juste une date de l'éditeur qui situe le récit "dans les trois premières décades du dernier siècle". Par contre l'indication des lieux est beaucoup plus claire, nous sommes en Camargue. Pas celles des touristes mais celles plus sombres et authentiques qui donnent un petit air suranné qui me plaît bien. Voilà pour mes premières impressions.
Le récit en lui-même est relativement simple mais rempli de mystère. Martial de Megremut hérite d'un Grand-Oncle, un Malicroix, une maison retirée dans la Camargue profonde près du Rhône sur un îlot sauvage. Toute sa famille, les Megremut le dissuade d'y aller mais Martial veut aller voir ce qu'il en est. Malgré sa vie entourés de ses oncles et tantes si chaleureux et aimants, il décide de s'y rendre. Là-bas, tout n'est que rudesse, sauvagerie et nature à l'état brut. Lorsqu'il voit le notaire Maître Dromiols, il lui annonce que son Grand-Oncle lui cède cette maison plus l'îlot entier avec une condition. Il doit rester trois mois sans quitter les lieux. Va t-il pouvoir le faire ? Je ne vous en dirait pas plus sur l'histoire.
J'espère vous avoir donné envie de lire ce roman que je vous conseille bien évidemment.
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On reconnait un bouquin de Bosco à quelques thèmes, quelques éléments. D'abord, le sud de la France, les paysages de Provence (en particulier le Luberon). Ensuite, ses protagonistes sans attaches, solitaires, qu'ils soient des enfants ou des hommes d'âge mur. Par la suite, une touche de mystère (de mysticisme?), à la frontière du fantastique. Avec Malicroix, l'on peut cocher toutes ces cases. En effet, on y retrouve le jeune Martial de Mégremut, seul héritier de son grand-oncle maternel Cornelius de Malicroix. Contre l'avis de ses proches, il s'enfonce dans la Camargue pour y réclamer son héritage : des terres dans les marécages, quelque bétail, une masure. Mais à condition qu'il demeure là-bas, sur une ile isolée, pendant une période de temps. Évidemment, il est disposé à relever le défi.

Sur l'ile son ile, une vie simple et rustique l'attend. Il peut compter sur la compagnie de Balandran, qui s'occupe du troupeau et qui lui sert en quelque sorte de serviteur. Un type besogneux mais farouchement indépendant et solitaire. Puis, de temps à autre, la visite du passeur et du notaire. C'est tout. La vie sur cette ile est étrange. À certains moments, la pluie tombe souvent avec violence, à d'autres, un brouillard opaque l'envahit. Et que dire des durs hivers. Puis, il s'y passe d'étranges événements, par exemple, des coups de feu que l'on entend au loin. Des braconniers? Des rôdeurs furtifs… Rêve ou réalité? Parfois, Mégremut se perd dans la contemplation des eaux troubles du Rhône. « Quelquefois la vie mystérieuse de ces fonds montait à la surface, qui s'agitait, et une ondulation soulevait les eaux hautes qui la propageait jusqu'aux bords en bourrelets puissants. » (p. 45)

Cette nature, toujours présente dans l'oeuvre de Bosco, prend ici des airs de chaos organique, sauvage et violent. de dangereux? Par exemple, un jour, Mégremut est témoin de la chute d'un mulet, qui glisse et se fait emporter par le courant vers le large du fleuve où il disparait dans un tourbillon. « C'est alors que j'eus vraiment peur. Et d'une peur mystérieuse. Hors de la crainte du danger, cette peur, qui m'envahissait, comme un corps glissé dans mon corps, portait le froid. » (p. 45). Ce paysage marécageux fait changement des plateaux arides, des jolis jardins bien entretenus, des villages pittoresques, de la civilisation. Au moins, la description est toujours aussi évocatrice, sublime. Plus on avance dans la lecture du roman, plus les délires de Mégremut se confondent, deviennent surréels. « Les arbres fantomalement formaient comme une forêt sous-marine, où les ondes, douces et longues, de cette clarté, glissaient entre les branches, telles des nappes d'eau faiblement colorées par de fugitives phosphorescences. » (p. 125)

Par moments, le lecteur se surprend à partager les délires de Mégremut, ses peurs, ses angoisses. Les mystères qui l'entourent sont si tenaces qu'il serait difficile d'en être autrement. On est dans quelque chose qui ressemble à un voyage initiatique. Ceci étant dit, à ces mystères s'ajoute des éléments bien réels : une vieille brouille entre voisins, datant de la jeunesse de Malicroix, dont l'ombre plane sur tout le roman. Rivalité, vengeance, histoire d'amour tragique… Je dois admettre ne pas avoir tout saisi de cette histoire aux ramifications multiples. Trop multiples? Il faut ajouter que l'intrigue est lente à se déployer. de plus, j'étais tellement absorbé par l'évocation de lieux, des sentiments de Mégremut, l'atmosphère qui se dégageait, que quelques pans de l'intrigue m'ont échappé. Entre autres, Anne-Madeleine, le Grelu, Oncle Rat… Il y a vraiment très peu de personnages, essentiellement, ceux mentionnés dans cette critique, mais le rôle de chacun n'est pas clair et demeure flou un bon moment.

Bref, Malicroix est une lecture qui me laisse un peu sur ma faim (par rapport aux autres romans de Bosco) mais j'ai tout de même apprécié ce voyage énigmatique dans les paysages magiques du sud de la France.
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Une Camargue loin des clichés touristiques . Une île déserte, un domaine encerclé par l 'impétueux Rhône , au coeur d'une Camargue rude, mystérieuse, un troupeau, c'est ce que laisse en héritage
feu Cornélius Malicroix , à son un petit-neveu, Martial de Mégremut, descendant Malicroix par sa mère . Mais ce patrimoine ne pourra être obtenu qu' à la condition que le légataire respecte strictement les règles spécifiées dans un étrange et insolite testament complété par un codicille secret. C'est le notaire maître Thomas Dromiols et son clerc Oncle Rat qui veilleront au respect des dernières volontés du donateur .
Ce qu'il impose à son parent éloigné qui ne porte pas son patronyme c'est de ne pas quitter l'île plongée dans les redoutables tourments de l'hiver pendant plusieurs semaines, resté isolé, esseulé.
Cette épreuve sera une révélation pour Martial et marquera son destin

Page après page, on partage les angoisses du jeune-homme, ses doutes, ses interrogations. Avec lui,
on subit l'hypnose, l'ensorcellement des nuits profondes dans cette contrée sauvage , l'envoûtement du royaume des ombres , la peur du danger qui rôde...


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Henri Bosco et Gaston Bachelard sont indissociables. le philosophe m'a fait découvrir le romancier. Et c'est dame Poésie qui me les a présentés.
Les éléments forment un ensemble merveilleux. La flamme est un feu, le feu... où dansent toutes nos pensées, nos pensées deviennent... des fleuves qui rejoignent le ciel...le ciel qui peuple la terre.. cette terre qui galope à l'horizon de l'enfance du monde.
Le fleuve c'est le Rhône, cette terre est de Camargue. Un voyage initiatique rendra à l'homme toutes ses lettres de noblesse. Les soirs sont immenses, les silences profonds, la stature des hommes extraordinairement grande . Bosco donne visage à toute vie , en toute chose il glorifie la vie. L'hiver, le fleuve, les terres, les gestes, les bêtes, les simples, une main, une soupe, un drap, une flamme, la nuit. Tout vit, palpite, sommeille, surgit.
Lire Bosco c'est comprendre comment on peut peintre la Poésie, écrire les couleurs, entendre les parfums, atteindre la vitesse, saisir la force , recevoir l'amour, connaître la peur, et trouver le refuge des tendresses. Tout est là. La roche, la peau, les rives. Si simplement. Comme un être patiemment sculpté dans les racines d'un vieux chêne, comme un animal dont la course écarte les roseaux. Il y a les hommes, le fleuve, l'air la terre, la flamme. On dirait que Bosco trempe sa plume dans l'univers. C'est une magie dont seul certains poètes sont les génies. Bosco est de ces âmes là. Profonds, et mystérieux, généreux, importants.
C'est beau comme une musique qui vous enveloppe sous les étoiles, c'est profondément humain .
Ça fait un bien fou, parce que c'est fantastiquement beau.
Si je tentais de dire plus , cela serait toujours insuffisant. Je ne peux que vous inviter à découvrir quelques extraits que je dépose sur ce site. Et puis si votre âme vous en dit, prenez Malicroix, Hyacinthe, ou son jardin entre vos mains et poussez la porte de ce sentier qu'Henri Bosco a dessiné.
Pour ma part je me promets de lire le Mas Théotime, de découvrir le roseau et la source, d'aller des sables à la mer, d'arpenter d'autres sites et les autres mirages de celui qui a su comme personne nous faire entendre l'enfant et la rivière.

Astrid Shriqui Garain


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Citations et extraits (128) Voir plus Ajouter une citation
Or ma nouvelle solitude ne me pesait pas ; elle m'allégeait.J'avais rompu. Je ne voyais point trop encore sur quoi portait cette rupture ; car j'étais obsédé par une sensation mal définie, mais d'une puissante présence, qui m'exaltait et m'emplissait de crainte ; et c’était d'être détaché, libre peut-être ( toutefois ceci est moins sûr).Détaché des miens, que j'aimais ; et déjà sur le fil du fleuve mystérieux, ce fleuve qui coulait en moi et dont j'avais toujours ignoré l'existence, tout à coup révélé par le bruit de ses flots et la vision, confuse encore, de ses rives. J'étais traversé par des grandes eaux sombres, et cette idée me hanta si tragiquement que, vers cinq heures, je sortis de la maison, malgré la neige, pour aller voir le fleuve.

Mais de la neige immatérielle qui maintenant tombait en moi, comme autour de moi tombait la vraie neige, un paysage commençait à naître de grands bois cristallisés aux ramures cassantes, buissons fragiles et halliers bleuâtres, sentiers de verre qui luisaient, dans une île de pure neige. Incompréhensible fantôme, je traversais des clairières givrées, d'où partaient des chemins qui n'aboutissaient nulle part et j'errais au milieu de cette île mentale autant que dans l'île réelle mais lentement comme il convient au pays de la neige et du silence. Car ces constructions délicates n'avaient pu se former et ne pouvaient se soutenir que par les vertus du silence. Elles étaient si merveilleuses, mais si frêles, qu'à chaque instant j'appréhendais qu'elles fussent détruites par un simple son. Je savais qu'en ce monde imaginaire ( mais l'était il?) j'errais en quête d'un refuge.Il y avait une maison, je ne savais plus où dans laquelle on m'attendait. Et on était inquiet de ne pas me revoir.
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D'habitude je dors comme les autres hommes. Mais souvent, je m'en vais dans ce sommeil après avoir pensé aux morts de ma famille que je n'ai pas connus. Car j'ai pour eux une prédilection. J'appelle ce sommeil le sommeil de mes pères, parce que je n'y prends rien dans ma mémoire humaine pour y créer mes songes. Ce qui sort de moi vient d'ailleurs. Et ce sont d'autres souvenirs que ceux de ma vie antérieure dont se forme ma vie nocturne. Ils m'appartiennent cependant comme une sorte d'héritage fabuleux sur lequel j'ai toujours dormi et d'où s'élève quelquefois ces présents incompréhensibles.
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Du fleuve, des limons, du sol, des bois, la matière énorme fondait en ce sentiment de grandeur pur de toute substance. Affranchi, je ne sais comment, des servitudes ordinaires, je venais de passer, à l'improviste, d'une situation humaine déjà trop lourde pour ma médiocrité, à la connaissance ineffable de la majesté elle-même. Je respirais dans la grandeur ; mon coeur y battait ; ma pensée immobile sur elle-même, n'était plus qu'un grand corps sonore à la mesure des hauteurs et des profondeurs solennelles de ce monde.

Tout se taisait autour de moi.Rien ne suggère comme le silence le sentiment des espaces illimités. J'entrai dans ces espaces. Les bruits colorent l'étendue et lui donnent un sorte de corps sonore. Leur absence la laisse toute pure et c'est la sensation du vaste, du profond, de l'illimité qui nous saisit dans le silence. Elle m'envahit et je fus, pendant quelques minutes, confondu à cette grandeur de la paix nocturne.
Elle s'imposait comme un être.
La paix avait un corps. Pris dans la nuit, fait avec la nuit. Un corps réel, un corps immobile. Cependant un corps animé. Les passions y demeurent closes, les pansées taciturnes. Mais il contenait des passions et des pensées. L'âme n'y était qu'un présage, conjecture de la tempête. Le corps ne bougeait pas, ni l'âme. Confondus dans cette substance compacte et vaine de la nuit, ils semblaient attendre. Ils étaient. Etre où mon être s'abimait. Corps dont j'étais une parcelle close, mais attentive et toute vivante, à la pointe de ce calme éphémère de la nuit, ainsi qu'il sied à l'homme, toujours tourmenté. Un évènement se formait au sein de e repos, si dense, et on en pressentait la grandeur imminente par la majesté du silence qui nous enveloppait.
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Il arrive que les grandes décisions ne se prennent pas, mais se forment d'elles-mêmes. Le débat du pour et du contre pèse peu en regard de cet obscur cheminement. L'acte de la volonté dure ne se détache pas de nos hésitations, pour les trancher. On ne s'aperçoit pas qu'on a pris un parti, mais on fait tous les gestes qu'il comporte insensiblement. On s'engage ainsi, par l'action la plus modeste, dans un mouvement d'actes simples et naturels qui se précisent peu à peu. Quand cette précision nous est devenue claire, tout est décidé.
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L’exercice, le froid, la compagnie de Balandran, toujours à l’ouvrage, m’aidaient à vivre sainement. Je n’étais pas seul. On fendait du bois à grands coups de hache, près des huttes. On l’empilait. J’ai de bons bras et le goût du mouvement. Rien de tel pour contenir l’âme dans les limites d’une vie précise, rassurante, celle où l’esprit s’ajuste au corps, où il se tient dans la pensée et dont la pensée bouge lentement autour d’une méditation utile. J’admirais Balandran de s’y renfermer sans effort, car je le jugeais peu enclin à se complaire dans les vaines songeries. Il emplissait ses interminables silences, non point d’images évasives, mais d’une seule et progressive réflexion. C’était sa façon de rêver : une pensée saisie à l’aube et conduite sans défaillance jusqu’à l’entrée dans le sommeil, la paix de la nuit, l’oubli de soi-même.
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