Fahrenheit 451

“Fahrenheit 451” é um romance distópico clássico escrito por Ray Bradbury. A história se passa em uma sociedade totalitária onde os livros são proibidos e queimados por bombeiros, acusados ​​de censurar o pensamento crítico. O título refere-se à temperatura na qual o papel do livro inflama e queima.

O autor explora temas profundos como a censura, a liberdade de expressão, a manipulação dos meios de comunicação e os perigos de uma sociedade de consumo excessivo. Bradbury criou um mundo sombrio e opressivo que leva os leitores a pensar sobre as consequências da supressão do conhecimento e do pensamento independente.

O estilo de escrita de Bradbury é poético e evocativo, capturando a essência da luta entre a liberdade intelectual e a conformidade. “Fahrenheit 451” é um livro instigante que continua relevante em nosso mundo moderno, onde a desinformação e a manipulação da informação são preocupações crescentes.

Guy Montag est un pompier, vivant dans la 2ème moitié d'une XXe siècle. Sauf que la mission des pompiers n'est pas celle que nous connaissons. Dans l'univers dé Bradbury, les pompiers mettent le feu aux livres, car ils sont proscrits. On va suivre son parcours dans cet univers sans amour, stérile, où les écrans font loi. Un avant-goût de notre monde d'aujourd'hui, où chacun est individualiste, trop focalisé sur les écrans, notamment du téléphone.

J'ai bien aimé l'histoire en elle-même, même si j'ai eu du mal à accrocher au début car j'ai trouvé l'écriture difficile. J'ai plus accroché à la partie 2. Mais la fin me laisse… sur ma faim, avec certaines questions en suspens.
Il était sur ma liste, je l'ai lu avec des copains sur un serveur Discord en lecture commune. Mais je ne le relirai pas !

Une dystopie incroyable qui est parue il y a déjà plusieurs années mais pour qui pourtant critique et pointe encore très bien les problèmes de notre société actuelle. Nous avons de bons exemples de lavages de cerveaux, l'omniprésence de technologies ou encore comment sont utilisés les médias pour nous manipuler

Il y a un peu plus de 10 ans, je lisais le meilleur des mondes ainsi que 1984.
Deux dystopies qui figurent parmi mes livres préférés. J'ai donc mis un peu de temps à lire celui-ci qui est souvent cité parmi les meilleurs livres du genre.
Je comprends le succès de ce livre. On est rapidement pris dans l'histoire et on arrive assez bien à s'imaginer dans cette société avec les dérives qu'elle peut engendrer.
Je regrette néanmoins un point qui fait que j'ai du mal à le mettre au même niveau que les deux autres. Il s'agit d'un passage où le héros se met lui-même en danger sans vraiment avoir d'explication à son action.

Je ne suis pas un grand fan de livres classiques. On pourrait croire le contraire en regardant mon activité Goodreads récemment, mais je m'efforce de renforcer ma culture des livres qui sont qualifiés de chefs-d'oeuvre par d'autres. Par curiosité intellectuelle, mais aussi pour forger ma propre culture littéraire.

Ainsi, si ce n'était pas dans le cadre du Book Club du Discord « La Fabrique à plumes », j'aurais tout de même fini par lire « Fahrenheit 451 », il était d'ailleurs dans ma PAL depuis un moment.

Et fatalement, bien que le style soit très joli et inspirant, il m'a laissé tiède du début à la fin et je n'ai pas eu l'impression que vivre l'expérience de cette lecture m'a plus apporté que ce que je savais déjà : la censure pas bien, la télévision pas bien (et par extension, la téléréalité ?), les gouvernements qui cherchent à distraire le peuple des véritables enjeux doivent le faire pour une bonne raison, méchant gouvernement qui ne veut pas le bien de son peuple… Bref, je m'arrête là. Tout le monde a dû entendre parler de « Fahrenheit 451 » à un moment ou à un autre et je ne trouve pas qu'il s'agit là d'une lecture essentielle : vous connaissez déjà plus ou moins tout le contenu de ce livre.

Ce n'est néanmoins pas un mauvais livre loin de là, mais j'ai l'impression qu'à force d'encenser les classiques, on construit chez son prochain des attentes irréalisables et cela provoque inévitablement des déceptions.

Univers : 3/10
Personnage : 4/10
Ecriture : 5/10
Rythme : 5/10
Emotion : 3/10
Style : 6/10
Action : 5/10

C'est par le film de Truffaut que je suis entré dans l'histoire de Fahrenheit 451. Un film qui m'avait profondément marqué dans ma jeunesse. J'ignorais tout alors de Ray Bradbury et de son roman. La lecture du roman apporte pourtant une profondeur supplémentaire. Roman d'anticipation, dystopie, le coeur du roman pose la question du rapport de la société avec la lecture. Dans un futur indéterminé, le pouvoir interdit les livres qui nuisent au bonheur collectif. Des brigades de pompiers sont chargés de les brûler et de bruler les maisons de leurs lecteurs. Evidemment, cela finit par chatouiller la conscience d'un pompier...
Bradbury vise juste. La dénonciation d'une société du plaisir où l'individu n'est plus amené à penser résonne avec notre époque. Et la dénonciation de la censure reste d'actualité. Les siècles passent, les censeurs aussi, mais cette tentation de supprimer les livres qui peuvent faire du mal demeure. Car il n'est pas nécessaire d'avoir de mauvaises intentions pour chercher à brûler les écrits dérangeants. L'inquisition cherchait à sauver les âmes, puis on a voulu préserver l'ordre, bâtir des lendemains qui chantent, se préserver des idéologies néfastes. La tentation demeure, il suffit hélas de lire l'actualité américaine et les débats autours de la cancel culture ou des sensitivity readers dans l'édition pour s'en assurer.
Le livre est assez court, la tension palpable, mais Bradbury qui n'a jamais renoncé à l'exigence littéraire, prouve - avec biens d'autres auteurs - qu'on peut faire de la bonne littérature avec de la science-fiction.

Un classique ! Et qui peut se lire à n'importe quel époque, sauf peut-être le jour où l'on brûlera les livres... 😅

J'ai beaucoup aimé ce livre. J'avais pas mal de préjugés et finalement je suis allé de surprise en surprise avec ce livre.
En effet de la plume de l'auteur assez dense et remplie de métaphores, au scénario original et finalement pas si loin de ce qui pourrait se passer, il m'a fallu m'accrocher certains passages mais c'était tout de même une belle lecture.

Je ne met pas les 5 étoiles sur ce livre car j'ai quand même eu du mal avec le style de Ray Bradbury, on s'y habitue mais j'ai du parfois relire plusieurs fois certains passages (métaphores) pour comprendre et visualiser. Mais ce n'est que mon avis et mon ressenti !

Bien évidemment, ce livre reste et restera un classique que je ne peux que recommander (ne serait-ce que pour l'ouverture d'esprit et la réflexion) !
Bonne lecture !

Plus qu'un roman d'anticipation, c'est donc un livre presque visionnaire que celui de Ray Bradburry publié en 1953, car au-delà de l'aspect exacerbé de la société totalitaire, on retrouve tout de même pas mal de similitudes avec notre société actuelle.

J'ai adoré redécouvrir ce livre, 20 ans environ après l'avoir parcouru la première fois, car j'y ai retrouvé ce que j'avais aimé, mais j'y ai trouvé d'autres choses, l'âge plus avancé le permettant peut-être.

Au sortir de cette relecture, je pourrais résumer en disant, éteignez-vos téléviseurs, posez vos écouteurs, ouvrez vos bouquins, réfléchissez par vous même et rêvez!

Fahrenheit 451 était une lecture plutôt agréable, bien que complexe. J'ai senti la portée philosophique de l'oeuvre. Et sans mentir j'ai eu du mal à la comprendre. Il est évident que cette oeuvre écrite en 1953 est plus que jamais d'actualité en 2024. Lors de la lecture de cette oeuvre, on a envie de l'étudier, de la disséquer de comprendre toutes ses références, ses messages implicites. Mais sans le bagage philosophique nécessaire, c'est souvent difficile, bien que très touchant.
C'est un peu comme une châtaigne, c'est très bon mais pour l'apprécier à sa juste valeur, il faut avoir les outils nécessaires pour ouvrir la bogue pointue.

Fahrenheit est un roman dystopique du genre 1984 ou globalia dans lequel une société du futur (bien que maintenant dépassée en terme d'année car le livre commence à dater) brûle les livres! La population est lobotomisée par les écrans et ne réfléchie plus par elle même. Les pompiers ne protègent plus du feu mais brûle au contraire tout ce qui pourrait être subversif..
Le roman nous amène à suivre 2 personnages principaux au départ: un pompier et une jeune femme qui n'adhère pas à ce schéma, qui est plus libre dans ses pensées. Elle va le conduire à réfléchir et à se rebeller contre le système en place.
J'ai globalement était déçu. En effet l'idée de base m'avait intéressé, mais j'ai trouvé que le livre faisait son âge, et j'ai trouvé que ce scénario du pire n'était pas suffisamment crédible. L'histoire n'était pas non plus passionnante..
En somme, ce livre amène quelques réflexions intéressantes, mais manque de réalisme à mon goût et l'écriture de Ray Bradbury ne m'a pas transportée..