Une jeune femme participant à une enquête sur la sexualité des Françaises dévoile au fil d'entretiens réguliers, les étapes marquantes de sa vie dont elle recompose la chronologie affective morcelée et marquée par l'esprit libertaire des années 60...
Dieu, mais quelle ânerie ce roman ! Il se veut drôle et probablement spirituel, moi je l'ai juste trouvé affligeant.
Son humour outrancier jusqu'à l'absurde, ne m'a pas arraché le moindre sourire. Il ne présente aucun intérêt sauf, éventuellement, en cas d'électroencéphalogramme à plat en raison d'une trop forte chaleur (je me mets au diapason) ☺ Seule condition à mon avis pour supporter cette lecture hautement irritante que j'ai du abandonner à mi-chemin pour éviter la crise d'urticaire...
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L'auteure tourne en ridicule,souvent gentiment,doucement,les enquëtes des magazines féminins sur la libération sexuelle post 68.Elle en joue dans un style humoristique ,car après tout tout la réalité et les livres ne sont que des mots,comme dans les chansons.La vérité des vies amoureuses est inconnue ,même par ceux qui les vivent .Se souvenir mais de quoi ?des paroles ,des événements?Seul importe pour Nouk ce qu'elle est hic et nunc ,son gamin ,son mari ,son métier ses amis eussent-ils été différents si elle n'avait pas fait ,Mai 68 ,surement ,mais que dire de cela ,des phrases qui n'ont pas beaucoup de sens mais qui sont bizarres.Il n'y a pas d'universel à penser ou à écrire dans l'amour.
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Ce livre aurait pu être drôle, psychologique, historique... mais il n'est rien - ou pas vraiment - tout ça ! C'est l'histoire d'une femme interviewée par une enquête que la vie sexuelle des femmes... sauf que cette femme n'a pas (plus) de vie sexuelle, qu'elle n'en a jamais eue vraiment lorsqu'elle était jeune et que sa vie globalement tourne en rond à la limite de la bêtise ! Si en plus j'ajoute que j'ai trouvé le style d'écriture sans nuance et creux, avec parfois des erreurs flagrantes ou des phrases qui ne veulent rien dire...
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J'aime beaucoup le vendredi, depuis toujours. D'ailleurs, les gens ont tendance à rire le vendredi, sinon à quoi rimerait la menace du proverbe : "Tel qui rit vendredi, dimanche pleurera" ? Menace d'autant plus fallacieuse que tout le monde, à mon avis, pleure, pleurniche ou même sanglote vaguement le dimanche.
Les nouvelles. Lecture de « Une société », par Anne Alvaro, Geneviève Brisac, Agnès Desarthe.
« … non seulement les femmes se prêtent moins aisément à l'analyse que les hommes, mais ce qui fait leur vie échappe aux méthodes habituelles par lesquelles nous examinons et sondons l'existence. »