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EAN : 9782368127216
224 pages
Charleston (12/01/2022)
3.69/5   100 notes
Résumé :
Quand Susie Pritt est embauchée par la famille Wagner pour peindre une fresque murale pour leur fils disparu, elle comprend vite qu’il ne s’agit pas d’une banale histoire de fugue ou d’un tragique accident. Niels a disparu dans sa chambre. Depuis un an, il ne sort plus, ne parle plus ni à ses parents ni à sa soeur, ne communique plus par aucun moyen. Il est là, juste à côté, mais il vit en dehors du monde.

Hantée par ses propres démons, Susie se donne... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (59) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 100 notes
Sophie Carquain n'est pas une inconnue pour moi. J'avais beaucoup aimé Trois filles et leurs mères revenant sur l'enfance de trois écrivaines : Simone de Beauvoir, Marguerite Duras et Colette et de la  relation entre chacune avec sa mère et je n'ai pas hésité à prendre son dernier roman dans la pile de livres qui m'étaient proposés lors de la réunion du dernier comité de lecture des bibliothèques. 

Avez-vous déjà entendu parlé des hikikomoris au Japon ? C'est sous ce nom que sont désignés les personnes (majoritairement des hommes jeunes) qui s'isolent et ne communiquent plus avec personne, même pas avec leurs familles, cloîtrées dans une pièce et ce pendant, parfois, des années, un phénomène apparut dans les années 1990, curieusement au moment où les communications se sont développées par l'arrivée des portables et d'internet. Ce syndrome j'en avais déjà entendu parler et avais vu d'ailleurs un documentaire sur ce sujet, un syndrome très présent au Japon, mais également dans d'autres pays, que l'on pourrait définir comme un refus de la société, une castration orale et physique avec l'extérieur.

Susie Pritt est peintre spécialisée dans les décors d'intérieur. Elle accepte de réaliser une fresque sur trois murs d'une pièce dans un appartement cossu, une fresque représentant une plage paradisiaque avec la présence d'un jeune homme, fresque commandée par les parents de Niels, 18 ans, disparu depuis 13 mois, espérant ainsi le voir réapparaître dans ce décor qui lui correspond et qu'il ne peut qu'aimer et l'attirer. Très vite elle va réaliser qu'elle n'est pas seule dans l'appartement et que Niels, le fils de la famille Wagner n'a pas pris la fuite loin d'eux comme elle le croyait mais qu'il est toujours présent dans les lieux. Il y a des absences qui ne sont pas marquées par la distance géographique mais par l'absence au monde et c'est à travers cette absence que l'autrice bâtit son récit mais également autour de Suzie qui s'est elle-même enfermée après le vide laissé par sa soeur, Esther, fauchée un 13 Novembre 2015 sous les balles au Bataclan. C'est une histoire de deuil, d'absences, et de reconstruction.

Deux absences qui vont rapprocher deux êtres qui n'auraient jamais dû se croiser, qui vont se comprendre dans le repli dans lequel chacun s'est retranché, s'est réfugié et trouver le chemin pour s'apaiser en se donnant une chance de surmonter leur isolement dans lequel ils se sont murés. Qui mieux qu'eux pouvaient comprendre l'isolement dans lequel l'autre s'est enfermé.

Alors disons-le tout de suite je ne suis pas une adepte de ce genre de littérature je veux parler des romans dans lesquels on comprend très vite que les bons sentiments sont légions, que dès le début le chemin qui sera emprunté (d'autant que le terme d'hikikomori est cité sur la couverture, j'aurai préféré le découvrir sans rien savoir à l'avance) mais je dois avouer que l'histoire m'a intéressée au début car elle aborde le thème de ces personnes qui se coupent du monde, un phénomène étrange et que l'on a bien du mal à expliquer et à soigner car le plus souvent les raisons de ce retranchement brutal restent inconnues. L'histoire de chacun des personnages se dévoile peu à peu en laissant une part de mystère qui pousse à continuer, Sophie Carquain nous faisant pénétrer dans deux mondes : celui des hikikomori mais également celui de la peinture avec de nombreux détails dans les deux domaines.

Le parallèle entre les deux absences est bien mené, l'histoire est touchante et je sais qu'elle pourra plaire en bibliothèques en abordant deux sujets qui peuvent intéresser les lecteurs avec une envie de pousser la porte grise de l'appartement, avec une intrigue, des événements traumatisants que nous avons tous en mémoire et qui ne peuvent qu'émouvoir, mais arrivée à la fin, pour ma part, j'ai trouvé une action inutile et équivoque, une fin un peu trop happy-end et rapide voire trop facile et prévisible, pas compris l'évocation de certains personnages comme Dick et Hélène qui n'apportent rien à l'histoire (et d'ailleurs je les avais oubliés quand ils sont cités à la fin), pas cru (et c'est toujours le problème avec ce type de roman) que de tels problèmes allaient se résoudre comme par magie mais c'est un roman et dans un roman on peut tout imaginé et le monde est plus beau. Donc dans le genre plutôt agréable.

PS : j'ai regretté quelques éléments comme la confusion entre psychiatre et psychologue et certaines coquilles qui n'auraient pas dû échapper à la relecture...
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Voilà un roman qui m'a interpellé d'abord par sa couverture, elle est très belle et très parlante, et confère de suite un certain aspect psychologique à ce que va proposer ce livre. La découverte du résumé m'a alors confirmé mon ressenti et les sujets abordés m'intéressaient. Je ne fus pas déçue de ma lecture.

La narration de ce roman se fait du point de vue du personnage féminin, Susie Pritt a vingt-sept ans, c'est une artiste, elle est peintre en décoration. Son métier, c'est de peindre des fresques dans des intérieurs, une activité qui lui permet de voyager à travers ses missions, mais aussi à travers les univers que l'on lui demande de créer. La place de l'art est importante dans le récit, et j'ai été particulièrement attirée par cet aspect de l'histoire, l'auteure a su rendre à merveille cet aspect de la création et de la concrétisation d'un projet à travers ses descriptions de ces moments où Susie pratique son art. La façon dont Susie travaille et ce que cela lui procure est très bien décrit, on a réellement l'impression d'y être, de toucher ses pinceaux, de créer des couleurs pour que la fresque prenne vie devant nos yeux. Cet art est pour elle une façon de vivre, de vaincre ses démons à travers l'identification à un personnage ou à un contexte qu'elle pourrait peindre.

Susie, c'est une rescapée, elle a vécu un événement dramatique qui l'a profondément traumatisée, et à travers son personnage, on aborde alors la portée d'un choc post-traumatique. Si l'on peut en effet continuer à vivre avec un traumatisme, les troubles psychologiques tout comme les traces physiques sont un rappel constant de ce que l'on a vécu. Avec elle, nous aborderons ce thème du combat mené contre ce passé, et cette renaissance à travers un projet, un avenir et un bonheur envisagé. J'ai été très touchée par son personnage, et de constater de quelle façon, elle a eu besoin de réagir après son traumatisme est très intéressant. Susie est une jeune femme amputée d'une partie d'elle-même et c'est ainsi qu'elle devra envisager sa vie différemment d'avant. Son métier et sa rencontre avec un homme qui partage plus que cette passion pour l'art avec elle, seront la base de cette reconstruction de ce qu'elle est.

C'est lors de ses missions que Susie va faire la connaissance de plusieurs personnages. On se rend compte qu'en pratiquant son art dans des espaces privés, elle entre alors en communion avec eux, et elle se doit alors d'avoir une certaine proximité avec ses « clients » et cela afin de mieux les comprendre et pouvoir ainsi bien réaliser ses créations pour eux. Ce nouveau projet sur lequel elle va travailler, est une réalisation ambitieuse. Elle va devoir créer un univers extérieur sur les murs d'une pièce, et ce dans la perspective du retour d'un fils disparu. Un projet qui éveille la curiosité de la jeune femme sur ce fils, dont le père lui conte l'histoire d'une disparition du jour au lendemain, alors qu'il n'était âgé que de 17 ans voilà plus d'un an et demi.

Niels a en effet disparu, mais pas comme l'entendait Susie, elle se rend vite compte d'un malaise dans ce lieu, et c'est suite à quelques indices qu'elle comprendra que Niels a disparu dans sa chambre. C'est alors l'intervention de la mère de Niels qui nous permettra de comprendre ce qui vit son fils. Niels est un hikikomori, il a ressenti le besoin du jour au lendemain de s'isoler du monde, s'enfermant ainsi dans sa chambre, n'adressant plus la parole à qui que se soit et ne se montrant plus du tout aux autres. Les hikikomoris sont nombreux au Japon, se sont des personnages qui vivent retranchés chez eux, en marge de la société, un phénomène qui n'est plus cloisonné au Japon et qui apparait maintenant en France notamment. Alors un « enfant » qui s'enferme dans sa chambre est une chose, mais ici c'est ce sentiment d'avoir perdu son fils qui ressort du témoignage de la mère. Un témoignage poignant qui nous montre à quel point ses parents ont pu se sentir complètement démunis face à ce qu'ils vivent et qui n'ont que l'espoir qu'un jour leur fils leur reviendra.

Susie tout comme le lecteur ne pourra pas rester insensible à cette situation, et sa nature enjouée bien qu'elle soit plus fragilisée depuis cet événement qui a changé sa vie, la porte tout naturellement à s'adresser à Niels, et ce de différentes manières. Par le biais de la création de cette fresque pour lui, elle va finir par instaurer un dialogue avec lui et c'est là un grand pas que personne n'avait réussi à faire jusque là. L'importance de sa présence change alors du tout au tout, et si elle se doit d'aller mieux pour elle-même, elle ne peut s'empêcher d'avoir envie de le sortir de là. Nous serons alors témoin de l'évolution de la situation, nous verrons de quelle façon tout va se dérouler pour l'un comme pour l'autre. Cet espoir de vie meilleure, cette possibilité d'être de nouveau heureux et de s'ouvrir aux autres seront alors traités tout du long de ce récit.

J'ai beaucoup aimé ma lecture, j'ai apprécié ces personnages qui nous sont présentés, que cela soit Susie, très solaire malgré la part d'elle qui s'est perdue dans la face obscure que la société engendre. Elle va répandre autour d'elle quelque chose de très beau en répondant à l'attente de ses clients qui recherchent un peu de bonheur à travers ses créations, c'est très beau et c'est aussi une belle façon de montrer l'importance de l'art dans la vie de tous les jours. L'émergence du street art est un phénomène important de nos jours, il octroie un peu de beauté dans un monde très industrialisé et ici c'est dans l'intimité des gens que Susie mettra son art en pratique. Ces gens qui nous seront présentés, avec leurs caractéristiques propres. Un compagnon de route très à l'écoute de ce que vit la jeune femme, et qui se tiendra à ses côtés à chaque instant, on l'apprécie même si on en apprend que peu sur lui. Ses clients nous sont présentés, certains excentriques, d'autres plus froids, d'autres entreprenants et il y a Niels. Niels, ce jeune homme qui vit caché, et qui reflète tant l'état de beaucoup de personnes face à cette société qui est la nôtre. J'ai trouvé son personnage très intéressant, et très touchant, allié à Susie et il nous est impossible de ne pas se sentir proches d'eux.

C'est un roman superbe où il m'a été difficile de trouver les mots pour en parler, d'abord pour ne pas tout vous dévoiler de ce que l'on y lit, mais aussi car je l'ai trouvé vraiment très beau et il est parfois difficile de trouver les bons mots pour l'évoquer. Il aborde avec beaucoup de respect des thèmes forts liés à la société d'aujourd'hui, évoquant des moments douloureux qui ont eu des conséquences terribles sur bon nombre de personnes et qui parle aussi de ce phénomène très répandu au Japon, les hikikomoris. L'auteure aborde alors des sujets fascinants à lire, qui sont aussi le reflet du mal être qu'éprouvent certaines personnes vis à vis de la société telle qu'elle est aujourd'hui. Cela a aussi un côté un peu effrayant car à travers ces sujets qu'elle aborde, elle met en lumière certaines de ces choses qui n'inaugurent rien de bon pour l'avenir. C'est un très beau texte que je suis ravie d'avoir pu découvrir.
Lien : http://www.livresavie.com/ju..
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Découverte de Sophie Carquain avec ce roman et vrai bon moment de lecture au rdv!
Un livre court 218 pages, nous plongeant dans le traumatisme de deux êtres que rien ne devait se faire rencontrer.
Elle s'appelle Susie. Peindre des fresques murales est sa bouée de sauvetage après un traumatisme qui hante ses jours et ses nuits.
Lui s'appelle Niels. Il n'est pas sorti de sa chambre depuis plus d'an an, n'a plus de contacte avec quiconque, ne parle plus à personne.
On nomme cela hikikomoris au Japon et l'on en compte quelques dizaines de milliers en France.
Quand Susie est embauchée par la famille Wagner pour peindre une fresque dans un appartement étrangement vide, ou presque, elle ne s'attend pas à découvrir que son seul occupant, à l'exception du personnel de maison venant ponctuellement, est un jeune garçon vivant en dehors du monde.
Peur des autres, résilience, choc post traumatisme, puissance de l'art sont autant de thèmes que l'auteur va aborder tout en sensibilité, sans voyeurisme ni pathos.
Assurément un roman qui donne envie d'aller plus loin dans la découvert de cet auteur.



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Beaucoup de choses à dire sur ce roman qui m'a laissée une impression globale assez mitigée.

Commençons par le positif : j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice que j'ai trouvé très poétique. J'ai adoré le fait que ce roman parle de peinture car c'est une thématique que j'adore retrouver dans les livres et ici j'ai trouvé que c'était abordé avec beaucoup de sensibilité ! Je me souviens avoir recherché sur Google "cours peinture Paris" tellement j'ai été séduite par les descriptions des fresques. Les parties où Susie parle de son travail ont été mes favorites et les références à des peintres célèbres pour décrire les techniques utilisées m'ont fascinée.

Mais. Mais... Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Pourtant c'est un livre qui parle de sujets poignants, nos protagonistes ont vécu des choses éprouvantes, leur histoire est fournie et pour le coup j'ai trouvé cela très intéressant de suivre des personnages avec un bagage émotionnel si lourd avant le début de notre histoire.

Cependant, comme je l'ai dit, je n'arrivais pas à m'attacher aux personnages. Je n'étais pas en phase avec leurs réactions et certaines interactions m'ont mise mal à l'aise. Je n'ai pas du tout compris ce choix de fin, c'est parti sur un trope que je déteste et j'ai trouvé cela vraiment dommage car ça m'a totalement empêchée de ressentir une quelconque émotion (si ce n'est de la colère !!)

Je ne peux néanmoins que vous encourager à lire ce livre si vous avez envie de le découvrir car je sais pertinemment que j'ai tendance à analyser mes lectures avec mon propre filtre construit à partir de mes expériences, valeurs et principes ! Tout ça pour dire que ma critique est très personnelle et que je comprends totalement que vous n'ayez pas le même ressenti en lisant ce livre.
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2 individus traumatisés :d'un côté, Susie, qui peint des fresques dans de beaux appartements et vit en couple avec un éducateur spécialisé et de l'autre, un fantôme, un jeune homme, qui vit sans vivre.
Lorsque Susie entreprend de prendre une fresque dans le très beau lieu de la famille Wagner, on lui fait comprendre qu'elle doit être partie à deux heures de l'après-midi, condition qu'elle respecte jusqu'au jour où elle croise une silhouette, celle du fils Niels, "disparu" au monde des Wagner. le jeune homme vit reclus dans sa chambre, ne semble plus exister, n'a plus d'interactions sociales : il refuse le monde extérieur et c'est sa décision. le phénomène est recensé au Japon : on les appelle les Hikikomori.
Un étrange dialogue par le biais de la fresque va débuter entre Susie et Niels. Chacun a leur façon sont terriblement blessés par la vie : Susie a vu mourir sa soeur, bien aimée au cours de l'attentat du Bataclan, Niels lui fuit une pression sociale insupportable, imposée par sa famille. L'un et l'autre comme le petit prince et le renard vont s'apprivoiser, se reconnaître et vivre malgré tout.
J'ai été très touchée par ce roman sensible peut être parce que j'ai un fils qui lui aussi pour d'autres raisons, ne supporte pas le monde extérieur et son agressivité. Il est sorti de son isolement depuis quelques années et ce fut une lente adaptation. Ce n'était pas la pression sociale qui l'insupportait, juste le monde tel qu'il est. L'auteur a su nous raconter une histoire avec délicatesse sans pathos. C'est un roman qui vibre de vie, de beauté et d'espoir, très attachant.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Depuis deux ans, elle ne se sentait bien qu'à l'intérieur-et encore fallait-il qu'elle l'ait domestiqué, cet intérieur, comme une hirondelle qui après avoir tapissé son nid de son bec, en connaît la moindre brindille.
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Les séquelles n'étaient pas apparues tout de suite, car la terreur grandissait, rancissait où se transformait. La peur restait tapie, sans rien dire, en eux, metabolisant les restes. Et c'est cela qui créaient les monstres ces fameux monstres nés des peurs. Certains se lavaient dix fois par jour, récuraient au Karcher les murs de leur maison. D'autres passaient leur nuit à fixer le plafond.
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Ils avançaient à petits pas sur le même câble tendu, comme deux funambules, chancelant parfois, se rééquililbrant in extremis, l'un rebroussant chemin quand l'autre marchait trop vite, fuyant le point de rencontre tant redouté, où le fil céderait inévitablement.
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Quand vous vous retrouvez éjectée de votre petit nid par le souffle d'une explosion, il vous vient tout naturellement envie de réaménager l'univers.
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Un regard humain pèse une tonne.
Un regard est un cyclone qui vous dégomme.
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