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EAN : 978B07BMFNJ9J
(20/03/2018)
4.38/5   16 notes
Résumé :
Maximilien Devot n'est plus, depuis bien des années.Ne reste que Max, dealer éduqué et moderne, craint et redouté à défaut d'être respectable et respecté. Sans scrupules ni regrets, épaulé par Fabio, son associé, il règne sur une partie de la ville d'une batte de fer et de la main des affaires, et entend conserver le haut du pavé.Entre camés et prostituées, habitants sans avenir ni projets, dans ces rues jonchées de seringues et de capotes usagées, souffle un hiver ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Après la neige
Cetro
279 pages
Sorti le 20/03/2018
Auto-édition

Cetro avait déjà fait exploser dans mon coeur, un feu d'artifice de sentiments avec son roman « je reviendrai… hier » !
Mais là avec « Après la neige », je peux vous affirmer que Cetro a atteint les sommets les plus hauts du monde !!! Ces sommets enneigés où rien ne pousse où tout est hostile, que peu d'alpinistes ont réussi à gravir !!!!
Dès le premier chapitre, le décor est planté, Alex est battu, roué de coups avec une violence extrême par le gang des « Pitts ». On ne rentre pas impunément dans leur secteur, ils règnent en maîtres, ils dealent et vendent aussi du plaisir physique avec leurs filles.
Fabio et Max, ont la main mise sur ce secteur, leur amitié est scellée à la vie à la mort depuis leurs 13 ans, où leurs destins les a fait se rencontrer, Fabio a suivi les traces de son père et Max a suivi Fabio pour fuir, se cacher les yeux sur la maladie de sa mère ! Peur d'affronter ce crabe qui la ronge, ne pas la voir dépérir, c'est le choix qu'il a fait, ignorer père et mère pour ne pas souffrir.
Avec Fabio, les jumeaux Hugo et Georges, « taillés » comme des bûcherons, Max et autres protagonistes forment ce fameux gang des « Pitts » qui fait régner la terreur, la violence… des cervelles explosent, des os se brisent… le gang du gros Fred est à l'affut du moindre moment de faiblesse des « Pitts » pour s'emparer de leur territoire. Jusqu'où iront-ils pour obtenir celui-ci ?
Puis un jour, Marijo, une grand-mère digne, qui a perdu son petit-fils qu'elle a élevé après le décès de sa mère, sous les coups de son père drogué, Marijo essaye, avec ses propres moyens, de faire changer les choses, en donnant de son temps, de son amour, pour changer son quartier. Et il y a Gustave, attardé mental qui livre des courses à domicile. Quand Marijo croise le chemin de Max, tout va basculer…
Cetro, tu as écrit un roman magistral, une très très bonne analyse sur la vie dans ces quartiers, où la drogue circule du matin au soir dans la rue, dans les veines des junkies. Ces actes infâmes commis sous l'emprise de cette merde, les violences conjugales, ces bébés consommateurs malgré eux, enfin toute la misère qui en découle.
Une descente en enfer dans les bas-fonds de ces quartiers pris dans cet engrenage infernal.
Un tsunami de sentiments divers et variés va vous engloutir sous des vagues de violence, d'espoir, d'amour, des moments de poésie parsemés ici et là, donne à ce roman émouvant, un réalisme à vous couper le souffle. Un savant mélange que Cetro a réussi à merveille !!
Vous ne sortirez pas indemne de ce livre. Il restera gravé en vous...
J'ai mis 2 jours pour écrire mon ressenti, et même là, il n'est pas à la hauteur de ce merveilleux roman.

Résumé :

Maximilien Devot n'est plus, depuis bien des années.
Ne reste que Max, dealer éduqué et moderne, craint et redouté à défaut d'être respectable et respecté.
Sans scrupules ni regrets, épaulé par Fabio, son associé, il règne sur une partie de la ville d'une batte de fer et de la main des affaires, et entend conserver le haut du pavé.
Entre camés et prostituées, habitants sans avenir ni projets, dans ces rues jonchées de seringues et de capotes usagées, souffle un hiver mordant de cruauté.
Dans cette crasse organisée ne poussent plus que malheur et inhumanité.
Seule une personne dans ce quartier, rescapée de ce naufrage généralisé, semble avoir toujours pied, ne pas sombrer dans cet océan de misère sociale et humaine, et ne pas se préoccuper des activités de Max et de Fabio le déjanté.
Une vieille personne. Droite en dépit du poids des années, droite malgré ce monde qui s'effondre et se dérobe sous ses pieds.
Une rencontre dont Max ne pouvait soupçonner l'importance.
Un simple regard échangé qui va dès lors le hanter et l'obséder.
Qu'est-ce qui anime cette vieille femme ?

Dorénavant, vous pouvez retrouver mes chroniques, et celles d'autres personnes, sur le blog : http : //lepharelitteraire-blog.e-monsite.com
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Me voici de retour avec le dernier Cetro « Après la neige » dont, comme vous le savez, j'apprécie particulièrement la plume, sa capacité à jouer avec les mots et les sentiments.
Dans celui-ci il aborde des thèmes, encore une fois, difficiles tels que la drogue et ses conséquences, le monde des dealers et leur propension à déverser la mort et en parallèle les répercussions que ces saletés ont non seulement sur les consommateurs mais aussi sur leurs familles, un quartier et par voie de conséquence les dangers qui en découlent pour tous.
Avec une facilité déconcertante il arrive, en s'appuyant sur des personnages viables, aboutis, à nous montrer les différents aspects et points de vue de chacun, le tout agrémenté d'humour, de poésie oui c'est le mot, de sensibilité mais toujours avec justesse, franchise, droiture et réalisme.
Je l'ai déjà indiqué lors de ses précédents romans, pas grave j'adore me répéter avec l'âge, avec une certaine légèreté et sans prise de tête, il exploite des sujets qui peuvent toucher tout un chacun sans être moralisateur et rébarbatif, bien au contraire. Il nous pousse à nous poser des questions sur tels ou tels agissements ou comportements qu'ils soient individuels ou collectifs. Il touche à nos convictions, nos certitudes pour nous retourner comme des crêpes.
Parlons un peu des personnages !
Au départ, pour être honnête, je dois dire que Max m'est apparu très antipathique du fait de sa profession notamment mais aussi à cause de sa façon d'être et de faire. Et au fil du récit mon avis à son encontre a beaucoup évolué, j'ai fini par avoir peur pour lui et l'apprécier.
Et la petite vieille Marijo, quel personnage !! Malgré toutes les épreuves que la vie lui a faits endurer, elle reste très humaine, respectueuse, pleine de sagesse et surtout connaît la valeur des gens et le don de soi.
J'ai adoré la relation qui s'établit au fil des pages entre ces deux protagonistes. Entre rires et larmes ils nous baladent, au gré des mots, pour nous toucher en plein coeur.
Sans parler des autres comme Fabio, les jumeaux, Gus,… Tout un tas de personnages qui enrichissent l'histoire et nous amènent des ressentis différents.
J'ai noté quelques phrases au cours de ma lecture qui m'ont énormément touchée, parlée.
Cédric a réussi à me tenir en haleine jusqu'à la fin en jouant en outre avec l'histoire mais aussi nos sentiments et en créant un épilogue surprenant.
Donc pour finir malgré les thèmes abordés qui restent difficiles, durs, Cédric arrive avec son habileté dans le maniement des mots, son phrasé mélodieux, à nous pousser dans nos retranchements et à sa façon nous enlever nos oeillères : partage, don de soi, empathie, amitié, valeurs morales pour être en harmonie avec soi-même et autrui,… La liste est longue !
Alors si vous aimez être touchés par vos lectures, même si par moments être à ramasser à la petite cuillère, cet auteur sera vous ensorceler et vous triturer le coeur et les méninges.
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Coup de coeur ! Un livre féroce et tendre, bluffant et complètement addictif !

Je remercie Cetro pour sa confiance et pour m'avoir envoyé « Après la neige » en avant-première. Et me voilà bien embêtée pour faire ma chronique tant ce livre m'a retourné le cerveau. Waouh ! c'est du grand CETRO ! Et j'ai bien peur de ne pas trouver les mots pour rendre justice à son livre.

Tout commence par une scène d'une extrême violence. Alex qui appartient à la bande du gros Fred s'est fait surprendre sur le territoire des Pitts. Or, le territoire, c'est sacré et malheur à celui qui cherche à empiéter… Alex va en faire la douloureuse expérience qui lui coûtera ses jambes. Dès les premières lignes, le ton est donné et malgré la gravité des faits, on ne peut s'empêcher de sourire tant le style de Cetro empli de gouaille et de dérision fait mouche. Les Pitts, c'est d'abord Max et Fabio, vingt-sept ans, deux amis à la vie à la mort, les jumeaux, Hugo et Georges, deux “gorilles” d'un gabarit impressionnant qui sont les hommes de main, plus Aziz et Sam et quelques autres. Et puis il y a cette vieille femme, Marijo, qui détonne dans le quartier, elle semble n'avoir peur de rien, marche la tête haute et son regard est plein d'une vie qui a depuis longtemps quitté les êtres qui hantent cette jungle de camés où seule la loi du plus fort règne. Elle a perdu son petit-fils Damien, mort d'une overdose. Néanmoins, dans cette jungle, il règne une certaine déontologie, il y a un certain sens de l'honneur et de la loyauté, bon d'accord pas pour tout le monde mais quand même… Ainsi, Auguste qui est simple d'esprit n'a rien à craindre, il fait les courses pour tous les gens du quartier. Max est obsédé par Marijo et il éprouve de la culpabilité pour la mort de Damien dont il se sent indirectement responsable à cause de toute la drogue qu'il deale. Il se met à la suivre pour tenter de comprendre pourquoi elle l'obsède autant. « Marijo s'occupe des anges », dixit Auguste.

« Après la neige » nous fait entrer dans le monde impitoyable et misérable de la drogue, des trafiquants et des camés, des prostituées et des guerres de territoire entre chefs de gangs. Ce ne sont certes pas des enfants de choeur, ils en sont même très loin, mais je ne peux m'empêcher de ressentir de la tendresse pour eux. La faute à Cetro qui sait nous les rendre attachants. C'est ainsi qu'on fait la connaissance de Bronx, l'American Bully de Max. le chapitre qui lui est consacré vaut son pesant d'or. Et puis il y a Séraphine, la mère paralysée des jumeaux : alors que ce sont de véritables brutes, ils deviennent touchants dans la manière dont ils la soignent et la dorlotent.

Le monde que nous décrit l'auteur est féroce. Il nous plonge dans l'enfer de la drogue et nous montre sans concessions les ravages qu'elle provoque, ses effets dévastateurs : dépendance, atrophie du cerveau, destruction de la famille, violence conjugale et familiale, agressions, fausses couches et malformations du foetus… Et tout cela au nom du sacro-saint profit d'une poignée de trafiquants pour asseoir leur pouvoir diabolique. Cetro dénonce également la manie que nous avons de tout filmer et surtout l'inconcevable pour pouvoir poster sur internet, être vu, ou encore les méfaits de la télévision à outrance. Nous sommes tellement habitués à voir la violence, la mort en direct que nous en devenons insensibles. Plus rien ne nous touche ou nous atteint.

L'auteur pose un regard plein d'humanité sur cette “cour des miracles”. À travers Max, nous découvrons comment un enfant aimé et élevé au sein d'une famille dite normale a pu faire les mauvais choix et se retrouver chef de gang. Il va faire une douloureuse prise de conscience de sa responsabilité. Pourra-t-il se racheter ? N'est-il pas déjà trop tard ? Et surtout de quelle façon ? Et c'est là que Cetro montre son génie. Non seulement, il nous offre une magnifique histoire de rédemption, poignante, bouleversante, mais en plus Max trouve une façon de se racheter tout simplement incroyable et terriblement émouvante.

« Après la neige », c'est encore une remarquable étude de la psychologie des différents protagonistes. L'auteur dépeint à merveille la psychologie de ses personnages. Son écriture est un régal, il utilise un langage imagé et plein de poésie. Les dialogues sont pleins d'humour et malgré la dureté du monde qu'il décrit, je n'ai pas cessé de sourire et même de rire. C'est aussi un polar assez particulier et là, Cetro se montre machiavélique, un manipulateur hors pair. Il nous roule dans la farine. Il m'a complètement bluffée. C'est un véritable magicien et je vous mets au défi de deviner la fin, une véritable apothéose…

J'espère vous avoir donné envie de découvrir ce livre. Vous ne le regretterez pas, c'est de l'émotion à l'état pur ce qui est un peu la marque de fabrique de l'auteur. Vous en ressortirez complètement chamboulés, ne sachant plus si vous devez vous réjouir ou au contraire pleurer…
Lien : http://au-pays-de-goewin.ove..
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Après la neige de Cetro, c'est à la fois dur et âpres mais aussi doux et sucré.
Max et Fabio règnent sur leur cité, le trafic de drogue et la violence sont leur quotidien.
Et même s'ils sont amis, ils sont très différents.
Ils sont le ying et le yang, Fabio tout en violence et Max plus réfléchi, posé, et ce duo fonctionne à merveille dans ce microcosme noir et sans pitié.
Mais Max va croiser la route de Marijo, une vielle femme, qui vivote dans ce quartier mal famé, et qui semble, malgré tous les drames dont elle est témoin, est sereine et plus vivante que la plupart des gens.
Max, intrigué par cette femme à la verve fleurie,va tenter de comprendre, et ce qu'il va découvrir lui fera l'effet d'un électrochoc.
Cedric nous embarque donc dans un récit qui fait la part belle à l'introspection, la psychologie, la manipulation, et l'amour aussi.
Il y dénonce la violence, le chacun pour soi, l'overdose compasionnelle, les violences familiales, l'abandon au sens large du terme (qu'il vienne de l'état ou de la société), et tout cela avec acuité.
On ne peut s'empêcher de se prendre d'affection pour certains de ses personnages, aussi pourris soient ils au premier abord.
On est embarqué dans un maelström d'émotion et de on oscille régulièrement entre les rires et les larmes.
L'intrigue en elle même est aussi magnifiquement menée et l'on va de surprise en surprise, les rebondissements et les fausses pistes nous embrouillent pour nous mener par le bout du nez là où l'auteur l'a décidé.
Pour conclure, Après la neige est un roman noir, puissant, addictif, un coup de coeur pour moi.
Cette qualité qu'il a, à toujours être capable de nous transporter quel que soit le thème abordé, fait qu'il est incontestablement un des auteurs les plus doué du moment.
Lisez le !!!
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Troisième roman que je lis de Cetro, aucun de ceux que j'ai lus ne se ressemblent, sauf en qualité. L'auteur ne nous joue, une fois de plus, pas de violon, il nous balance cash la situation dans la figure, cette situation est trash, odieuse, sans aucune pitié, mais la vie est ainsi faite. Difficile de se voiler la face, pourtant, au fil des pages cette petite lueur d'espoir, ténue, presque insignifiante mais présente.


Je suis une troisième fois donc, restée scotchée à ma lecture, emmenant partout ce livre, espérant pouvoir avancer de quelques pages entre deux activités obligatoires. Cetro nous embarque ici au fin fond d'une cité où les dealers, les prostitués, la misère sociale, la violence sont légion et où plus personnes ne tentent d'insuffler un peu d'espoir car ici l'espoir est mort. Non! Peut-être pas tout à fait…
Lien : https://wp.me/p5mZHK-2eu
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
J’ai grandi dans un foyer chaleureux, ai fait des études. J’ai été aimé, ouais, je peux le dire ainsi.Disons que la direction que j’ai prise a été le fruit d’un choix, réfléchi ou pas, selon les points de vue, mais un choix quoi qu’il en soit. J’ai vite réalisé que même les études ne me permettraient pas de gagner décemment ma vie, en tout cas n’était-ce pas ma voie. Ressembler à mon père était mon pire cauchemar, le regarder s’escrimer à la tâche et courber l’échine comme un larbin devant sa hiérarchie, accepter tous leurs caprices, tout ça pour être payé au lance-pierre ne m’a pas vraiment incité à suivre le chemin qu’il souhaitait pour moi.
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Il se produit en moi des changements que je n’aime pas du tout.
Ce sentiment de culpabilité qui m’assaille quant à la mort de Damien me perturbe. Jamais cela ne m’était arrivé avant, en tout cas pas depuis quelques années. Je suis plutôt du genre à me foutre totalement des conséquences de mes activités tant que ces dernières sont florissantes et me rapportent en conséquence. Et si cela devait se reproduire, ça mettrait tout en péril. Comment continuer avec la culpabilité chevillée au corps, si chaque entorse à la morale et à l’honnêteté se transforme en torture ?
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On va nous prendre pour des fiottes qu’on peut baiser sans craindre le retour de bâton. Et ça, il faut que vous le compreniez tous, que vous vous le foutiez bien profond dans vos petits crânes, on peut pas se le permettre. Ici, c’est notre domaine, mon vieux. Et les chiens de garde, c’est nous. Me dis pas que t’as pas vu le panneau "chien méchant", à l’entrée. T’es comme qui dirait entré par effraction, là, et tu t’étonnes de te faire bouffer les couilles par les molosses de service ? Mais tu vois, ce qui m’agace encore plus, c’est qu’on me prenne pour un con.
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J’avais pas encore la force ni l’aplomb nécessaires, comme un enfant tombe plusieurs fois avant de rester droit sur son vélo. Il faut se faire du mal pour progresser, comme disait notre enflure de boss. Au fil des années, on s’en est donné, du mal, et putain, Dieu sait qu’on en a fait aux autres ! Je suis remonté à vélo tant de fois.
La violence extrême, les agressions, les menaces, tout ça est vite devenu une routine pour Fabio. J’ai eu beaucoup plus de mal que lui à m’y mettre vraiment, je n’ai jamais avancé que derrière lui, dans son ombre.
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Voir un garçon porter sur le visage les stigmates des "leçons" données par son propre père n’était pas chose coutumière, pour moi. Ma curiosité m’a mené vers lui.
Notre amitié, nos liens de confiance, ne se sont jamais démentis depuis.
Il m’est fidèle, je sais pouvoir compter sur lui en cas de coup dur et ne crains pas le coup fourré, la trahison, le retournement de veste. Ce qui est bien sûr réciproque.
Les autres, ça va, ça vient, certains sont valables, d’autres ne valent rien. Et ces derniers, on sait quoi en faire.
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