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3,82

sur 1938 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Il est de ce que l'humanité a fait de pire, même le diable en as peur. Pourtant, un jour, vous croiserez son chemin.

Il y a beaucoup de choses que j'ai aimer dans ce livre, d'abord le narrateur qui s'adresse au lecteur ou à la lectrice que je suis, je sais que beaucoup de gens aiment pas cela, mais là franchement j'ai adorer.

C'est un des livres le plus dur et gore que j'ai écrit avec la promesse des ténèbres, propos de l'auteur lui même, cela donne le ton.

Perso, la promesse des ténèbres as été un coup de coeur et celui là j'en suis pas loin.

Oui c'est dur mais il y a un contexte la déviance de Jon Petersen, qui as très mal commencé sa vie, est ce que c'est pour cela qu'on dois tous lui mettre sur le dos ? C'est une interrogation que Maxime Chattam nous propose.

J'ai aimer aussi l'a ramifications qui se mêle avec cet odieux personnage.
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Le thriller n'est pas mon genre littéraire de prédilection. J'en lis assez rarement, et jusqu'à maintenant, très peu d'auteurs ont acquis ma confiance absolue. Maxime CHATTAM fait néanmoins partis de ces "élus", si je peux m'exprimer ainsi. Ses livres ne m'ont jamais déçue, et le roman dont je vais parler aujourd'hui ne déroge pas à la règle.

Comme les autres thrillers de l'auteur, il est très sombre, très noir, mais il a une particularité : c'est qu'ici, on ne recherche pas un assassin, il n'est pas question de meurtres en série, de kidnappings, de tortures...

Dans ce roman, on nous raconte la vie, pendant presque trente ans, du pire des habitants de Carson Mills, petite ville située dans le Kansas, Etats-Unis. On nous montre toute la noirceur de son âme, tout le vice, toute la colère qui est en lui.
C'est comme si cet homme était né pour faire le Mal, qu'il avait ça dans le sang.

Jon Petersen n'a pas eu une enfance facile, c'est vrai, mais pas horrible non plus, et en tout cas, elle n'explique pas et justifie encore moins, sa violence, sa perversité et son goût pour la domination.

Enfant solitaire et renfermé, il devient un adolescent sournois, méchant et brutal. Plus tard, il poursuivra sur sa lancée et sera un homme tyrannique envers sa famille, qui ne supporte pas que son autorité soit remise en question, ne serait-ce qu'un tout petit peu, et qui peut entrer dans des fureurs noires et dévastatrices si cela arrive.

Jon Petersen fait vraiment froid dans le dos et, comme le dit la 4e de couverture, il donne des envies de meurtres. Car à un moment donné, on se dit qu'il faut l'arrêter, qu'il faut qu'il se passe quelque chose, qu'un des personnages du roman doit intervenir, qu'il y ait un miracle, en quelque sorte, pour que la tension se relâche et que l'on respire un peu.

Heureusement, tout le roman n'est pas centré que sur ce personnage. Il y a des chapitres entiers consacrés au shérif de la ville, qui est un personnage vraiment sympathique. Un vieux briscard proche de la retraite, qui est né et a passé toute sa vie dans cette petite bourgade et connaît tous ses habitants. Et ce shérif, Jarvis Jefferson, sent dès le départ que quelque chose ne va pas chez Jon Petersen, dès l'adolescence. Il sent qu'il est malsain et anormalement insensible. Et quand des choses horribles se produisent dans la paisible petite ville, son enquête tourne fortement - quoique discrètement - autour de Jon Petersen, mais sans jamais rien pouvoir prouver.

J'ai beaucoup aimé ce personnage, un homme foncièrement bon et humain, qui sait réfléchir et faire la part des choses.

L'autre personnage qui m'a beaucoup touchée, émue et attendrie, c'est le fils de Jon Petersen, Riley. Oui, on peut se demander comment un tel monstre a pu avoir une femme et un enfant, mais c'est hélas arrivé et honnêtement, je n'ai jamais autant plains des personnages de toute ma vie. Sa femme est tellement dominée, bridée et finalement brisée par cet homme inhumain qu'elle en est transparente, mais leur fils, Riley, dans son innocence et sa fraîcheur, est réellement attachant. On ne peut pas s'empêcher de trembler pour lui et d'avoir envie de le sortir de là, de l'emmener loin de ce foyer maudit. Mais cet enfant est beaucoup plus fort qu'on n'aurait pu le croire, et surtout, il est intelligent et observateur, et son rôle dans cette histoire va être déterminant.

La plume de l'auteur est, comme toujours, magistrale, et ce roman m'a vraiment prise aux tripes. Je l'ai dévoré en ressentant à la fois de la répulsion, de la peur et de la colère, suivant les passages, et à la fois de l'admiration pour l'écrivain qui arrivait à me faire ressentir autant de choses, à m'embarquer, à me faire vibrer pour son histoire et ses personnages.

La fin du roman, elle, m'a laissée abasourdie par son originalité et son culot. J'ai trouvé l'auteur vraiment courageux, mais aussi malicieux, de nous pondre une fin pareille. Certains ont trouvé que c'était céder à la facilité, moi j'ai trouvé que c'était un joli coup, qui m'a fait sourire, hocher la tête et me dire : "Chapeau, l'artiste !"


Conclusion : du grand Chattam ! C'est très noir et dérangeant mais génial. Sa plume est magnifique et la fin originale et surprenante. Il fallait oser !
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J'imagine que nombre de fans de Maxime Chattam ont eu du mal à reconnaître son style dans ce roman, beaucoup plus dans la psychologie que dans les descriptions hyper réalistes des abjections du Mal. Je reconnais moi même volontiers avoir été un petit peu déstabilisée par cette ressemblance finalement beaucoup plus marquée avec un autre de mes auteurs favoris, à savoir Stephen King. Lui aussi s'attache, ces dernières années, à nous parler de l'humanité, avec tous ses travers. Et ce Jon Petersen est un échantillon pour le moins atypique. Heureusement d'ailleurs…

L'histoire nous est racontée par un habitant de Carson Mills, une de ces petites bourgades américaines où tout le monde se connaît, et où pourtant, noircissent de bien tristes secrets. On découvre Jon tout petit, jeune orphelin élevé par son grand-père et ses tantes et qui, très tôt, se découvre une passion pour les mutilations d'animaux. On devine d'emblée que ce jeune homme va mal tourner, le plaisir qu'il prend à faire souffrir ces pauvres bêtes étant tout sauf bien sain. Et effectivement, il ne va pas s'arrêter là et on assiste, avec une espèce de fascination horrifiée, à la suite de son évolution vers quelque chose de bien pire.

Si l'auteur nous propose de faire la connaissance de nombreux personnages, tous intéressants et bien construits, c'est vraiment dans la tête de Jon que l'on s'attarde. Certains anti-héros sont présentés de telle manière qu'on ne peut pas faire autrement que de s'attacher à eux, mais ce n'est absolument pas le cas ici. Jon représente la quintessence du mal et à aucun moment, le doute ne plane à ce sujet. On compatit pour ses victimes, on se surprend même parfois à avoir envie de secouer les autorités, de les traiter d'imbéciles de ne pas voir ce qui se passe juste sous leur nez. Mais la perversion de Jon est telle qu'il semble intouchable, et notre frustration est à la hauteur de son triomphe.

C'est un roman vraiment glaçant, dans lequel l'auteur excelle à nous plonger dans l'ambiance de cette petite ville à l'atmosphère si particulière. Une vie rude, bien différente de celle que l'on connaît, en un lieu différent, à une époque différente. Et pourtant, on y est, le texte est extrêmement immersif et on n'a aucun mal à s'imaginer tout ça. Hommage aux romans noirs américains, Que ta volonté soit faite est tout autant surprenant que captivant ou encore horrifiant. Et quand l'auteur nous prend à témoin, le pire est peut-être bien qu'on se sent le droit de juger !
Lien : http://aristide-pilgrim.blog..
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Je crois que je n'ai jamais autant retrouvé Stephen King chez Maxime Chattam que dans ce roman. Paru en tout début d'année, Que ta volonté soit faite est bien différent des autres livres de l'auteur, moins thriller gore, plus polar noir où l'on assiste à la naissance d'un véritable psychopathe. Comme souvent chez Stephen King, l'intrigue se déroule dans une petite ville rurale américaine, où le Mal va s'installer chez un jeune garçon et faire de lui le vecteur de ses atrocités jusqu'à la fin de sa vie.

Bienvenue à Carson Mills, donc, une bourgade qui serait sans doute charmante s'il n'y avait Jon Petersen. La plupart des gens s'y connaissent, et bien qu'il y ait deux congrégations religieuses et de vilaines commères comme partout dans les communes de cette envergure, s'y respectent. On découvre plusieurs personnages qui ne nous laissent pas indifférents, tous ont leurs problèmes, leurs éclats de bonheur aussi parfois, mais d'une manière générale, là où passe Jon Petersen, l'herbe ne se relève pas. Né dans le sang, il représente la quintessence du Mal, un homme sans remords ni comportements « humains », totalement indifférent aux souffrances d'autrui, un homme dont la méchanceté, la cruauté, va s'épanouir sous nos yeux pendant plus de deux décennies.

Outre la petite ville de Carson Mills, ses pittoresques habitants parmi lesquels Jon lui-même, et l'ambiance qui y règne, une autre particularité de ce roman est son narrateur. En effet, étrangement omniscient, il fait partie des habitants de Carson Mills, mais on ne sait pas qui il est. En revanche, il semble tout savoir des exactions commises par Jon Petersen... Mais alors, pourquoi ne pas l'avoir dénoncé, pourquoi n'avoir rien tenté pour l'arrêter ? Il vous faudra lire le livre pour le savoir, mais soyez assurés que c'est plutôt bien fait, même si le dénouement déplaira certainement à une partie du lectorat. Avec Que la volonté soit faite, Maxime Chattam s'essaie à quelque chose de nouveau et nous prouve, si besoin était, qu'il peut encore nous surprendre.

Déçue par son précédent opus, je me suis délectée de ce dernier roman où l'on assiste, impuissant et révolté, à tout ce qui peut arriver de pire dans les petits villages reculés de l'Amérique profonde. L'écriture est toujours aussi efficace, les images puissantes (vous ne verrez plus jamais les coquelicots de la même manière), la narration presque détachée comme pour mieux transcender la violence qui nous est contée. Une petite pépite à côté de laquelle il ne faut pas passer, un bel hommage aux polars noirs américains, une bien belle réussite. Lisez le !
Lien : http://etemporel.blogspot.fr..
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Suite à la trilogie du mal qui m'avait passionné et montré que Maxime Chattam est très fort dans le style, le scénario et dans les détails..j'avais fait une pause sur ces histoires pressantes et violentes mais addictives, excellentes.
Donc, commencer Que ta volonté soit faite, se fait sans que je ne me sois renseigné, achat rapide en rayon.
En une semaine, je me suis laissé porté par le MAL incarné par Jon PETERSEN, cette histoire écrite différemment plus lente, plus violente peut être, avec des descriptions ou suggestions de l'auteur limite à déranger à quelques moments.
Mais, dès le début, on se voit avec Marcel Pagnol et sa fourmilière, il faut détruire, ça commence.La similitude avec Gribouille dans le Parfum de Suskind m'a rapidement parue évidente, un enfant mal né, sa vie dirigée dans le mauvais sens, vers le mal...
Pas mal de subtilités sont trouvées: une image d'un coquelicot qui marque..un monstre et ses rencontres , ses influences sur ses proches devenues victimes...un scénario qui nous emmène loin dans le temps, vers une fin imprévisible car on se met à en imaginer plusieurs en cours de lecture, et NON:on ne peut la trouver!
Se faire du mal en lisant , c'est un peu ce que l'on peut ressentir, comme se poser la question pour Maxime CHATTAM: il faut aller loin pour imaginer et accoucher par écrit cette violence interne, décrite par les pensées, les mots..violence du meurtrier du violeur..
Un vieux shérif est là, attachant, la part du religieux, aussi,l'ambiance de la petite ville isolée, se fait importante.
Au final, la lecture se fait vite, on veut SAVOIR !!
Excellent livre.
J'enchaine sur un autre Chattam: le Signal.
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Riley, 11 ans, vit sous la torture et la violence de son père. Son père fracasse la tête de son petit chien sous ses yeux, voilà comment commence l'histoire.
Jon son père est né dans le sang, il ne fait pas bon de naitre de l'union d'un méthodisme et d'un luthérien. Jon, orphelin sera élevé à la dure dans cette ferme à l'écart du village par Ingmar et ses tantes. Ce garçon renfermé, pas spécialement doué à l'école.
Ce psychopathe, bien conscient de son état puisqu'il tentera de canaliser ses pulsions sexuelles détruit les gens, les âmes qu'il rencontre.
On sait qu'il est pervers.
On sait qu'il est un violeur.
On sait que le shérif le soupçonne.
Es-ce pour autant qu'il est responsable de tous les actes criminels de la ville ?

Mais ce type ne laisse pas indiffèrent et si Tyler ne l'avait pas agressé. Jon aurait-il été le même homme ? Aurait-il fait face à sa violence ?
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Que ta volonté soit faite est un excellent thriller de Maxime Chattam, lu d'une traite.
J'ai trouvé ce roman bien écrit, avec une histoire de psychopathe qui fait froid dans le dos !
Il y a des surprises, je ne m'attendait pas du tout à cette fin, c'est étonnant et très bien trouvé.
J'ai adoré ce livre, que je ne recommande toutefois pas aux âmes sensibles car certains passages sont violents et peuvent être difficiles à lire.
Je mets cinq étoiles, à lire pour les amateurs du genre :)
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Roman ultra noir, Que ta volonté soit faite a le don de vous transporter dans cette petite ville de quelques milliers d'habitants, d'y trouver quelques personnages attachants et d'autres répugnants. Et à mesure que vous lisez, que vous vous enfoncez et que vous vous impliquez dans cette sombre et abominable histoire, vous vous demandez quand tout cela cessera, quand le Mal finira par être stopper et que la morale prendra le dessus. Car il est hors de question, et même impensable, de fermer ce roman sans que la justice ne soit rendue. Et puis vous restez intrigués par un narrateur qui semble tout connaître et dont on ne connait finalement rien. Un narrateur qui s'immisce dans le récit sans jamais s'impliquer mais qui en dit finalement plus que nous ne voulons bien écouter........................
Lien : http://libre-r-et-associes-s..
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Carson Mills, petite bourgade du Midwest, dans les années 50, une petite ville perdue d'Amérique.
Vit Jon Peterson, un homme que j'ai suivi de sa naissance jusqu'à la fin de sa carrière de psychopathe.

Il faut savoir, c'est un homme complètement ignoble dans tous les sens du terme, petit, il va vivre un évènement dramatique et humiliant et c'est ce qui va déclencher ce qu'il va devenir, un tueur complètement fou et dérangé.

Donc il n'est pas né tueur, il le devient à cause d'un événement déclencheur.

Pendant ma lecture j'ai vraiment suivi la naissance de cet homme que le Mal habite , son aura c'est le Mal , et la noirceur son quotidien permanent , il brûle des fourmilières , crame des insectes , ça lui donne des petits papillons dans le ventre de faire sa , mais plus tard il devient carrément pire , il viole et tue des femmes , il devient ignoble en tout point , détestable , infâme , menteur , manipulateur . Et moi pendant ma lecture, je n'arrêtais pas de haïr ce personnage que je trouvais totalement abject.

Par la suite il va continuer de grandir et il veut à tout prix calmer ses pulsions , donc il décide de se trouver une femme , enfin de manipuler une femme , pour qu'elle se marie avec lui , il va réussir de cette union va naître Riley le pauvre petit bonhomme va vivre l'enfer avec ce père habité par le Mal heureusement il ne deviendra pas comme lui , quant à sa femme c'est pareil il lui fait subir le même traitement , sachant qu'ils vivent dans la ferme de l'oncle et la tante sa peut encore un peu aller .

Hélas, son comportement ne changera pas, et il restera toujours habité par le démon.

Carson Mills est un village petit où tout le monde se connaît , se côtoie , jusqu'à voter le même partie , la seule différence qu'il y a c'est la religion , ils ya des gens de la ville qui sont méthodistes et d'autres luthériens , alors par contre pour ça il ne faut surtout pas mélanger ta religion , si tu es méthodiste tu dois le rester et si tu es luthérien tu le dois rester c'est très important . La religion à une très grande place dans ce roman et elle guidera à un moment donné Jon.

Il y a tout de même un homme dans cette ville le shérif avec son style de cow-boys façon western , qui commence à s'intéresser à Jon a le voire grandir , son instinct de flic lui souffle qu'il sent qu'il se passe un truc de pas très clair avec Jon, mais malheureusement, il agira beaucoup trop tard .

Ce roman n'est pas un thriller, non, c'est un roman noir très noir, il est vraiment bien construit, il m'a plongé complètement dans la noirceur de Jon Peterson, comme je l'ai dit plus haut je le déteste en tout point.

L'auteur m'a littéralement embarqué, cette manière de décrire l'atmosphère qui règne dans ce roman dans cette petite ville d'Amérique des années 50. J'ai aimé les descriptions qui sont faites de chaque personnage.

Il faut savoir aussi que le début du roman l'auteur nous explique qu'il y a un narrateur et que ce n'est pas lui et que c'est moi à travers ma lecture de le découvrir , j'ai trouvé l'idée vraiment subtile , car j'avais l'impression de vivre à Carson Mills , enfaite je tenais un rôle pendant cette lecture , je l'ai compris en arrivant au dénouement final de ce roman , qui est totalement bluffant.

J'avais jamais vu cela dans un autre roman, j'ai trouvé cela super original.

Puis j'ai adoré le titre du roman, je l'ai trouvé après réflexion que ça collait terriblement avec l'histoire.

Quant au petit coquelicot, à vous de le découvrir...

Pour moi, c'est un véritable coup de coeur, je suis ressortie de cette lecture vraiment conquise par ce roman, noir qui donne vraiment matière à réfléchir sur les tueurs en série. ^^
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Haletant ! du grand Chattam.
Une petite ville américaine où la vie est dure mais l'amour se révèle entre deux jeunes gens. le problème c'est qu'ils ne sont pas de la même confession. Alors les ennuis commencent. Les familles s'opposent mais les amoureux s'unissent. Un bébé s'annoncent, on cloître la future mère et on rejette le futur papa. le petit garçon n'ait dans une violence inouïe et sera marqué de sceau de la violence...

A lire absolument mais attention âmes sensibles s' abstenir
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