On serait bien aise de pouvoir leur inoculer une petite dose de ce nihilisme souriant, sans dette ni devoir, qui fait le fond de l'air chez nous, mais il est à craindre que notre bonheur prudentiel, axé sur le fitness et le week-end prolongé, leur apparaisse petit bras à côté des douceurs éternelles dont jouissent là-haut « ceux qui meurent au combat sur le chemin de Dieu ».
Claude Grange : "Je lance un appel, aux soignants, de rester dans le prendre soin"