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EAN : 9782070443420
144 pages
Gallimard (01/09/2011)
3.1/5   43 notes
Résumé :
Qui n’est pas un jour devenu fou en entendant son voisin d’à côté tondre le gazon systématiquementtous les dimanches au moment de la sieste ? Qui n’est pas devenu obsédé par le sifflotement anodindu voisin d’en face ? Comme si la vie prêtait toujours à siffloter ? Pamphlet contre le bruit environnant sur toutes ses formes, sur le bruit qui vous empêche de penser, coup de gueule contre tous ces bruits qui nous atteignent et nous gênent, mais surtout hymne au silence.
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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"Il faut être sourd, distrait ou mort pour ne pas s'apercevoir que l'époque est au vacarme. (...)
A l'instar des glaciers, des grands singes anthropoïdes et de la tulipe sauvage, le silence est une espèce en voie d'extinction. (p. 16)"

Un tout petit livre qui pourrait être écrit par un "gronchon chronique' mais j'ai su apprécier cet écrivain par un texte magnifique, qui m'a durablement marquée "Ecrire pour quelqu'un ", un hommage absolu envers un père aimé, admiré... la découverte d'une vieille photographie ,par l'auteur , de lui , enfant et de son papa, et cela sera le début de la rédaction d'un texte
des plus sensibles envers le difficile métier de" parents", et un hommage , une vénération envers l'écriture qui permet à la fois la création et tant de "réparations"...

Ce petit livre a une drôle d'histoire dans mes lectures. Dans un premier temps, je l'ai offert à un ami , en province... il a adoré, et me l'a réexpédié avec ses soulignements et ses commentaires très enflammés... Je l'ai donc relu, en double lecture: le texte de l'auteur et les commentaires marginaux de mon ami: très instructif et animé !!!
Cet éloge du silence est surtout l'expression exaspérée de toutes les nuisances sonores dans notre société, notre abrutissement et conditionnement sournois ...
J'aurais peut-être préféré que l'auteur parle en priorité du silence et de toutes ses qualités. Alors que ce petit texte est surtout un pamphlet du "Bruit", obsédant, omniprésent dans notre quotidien...Ce pamphlet a toutefois le grand mérite de nous faire prendre conscience de
nos nouveaux conditionnements, dont ce bruit, omniscient qui est devenu indispensable à une grande partie de nos contemporains !!

"Le silence (...) régénère. Par lui, on renaît. (...)
Dans ce monde qui thésaurise chaque instant, le silence n'est jamais donné, il se donne. Il a tout de la grâce: il s'offre au hasard des heures." (p. 35)

En plus de ce texte critique... un écrivain captivant, à la carrière atypique d'enseignant aux quatre coins du monde ... J'ai dans mes réserves son ouvrage sur Ambroise Paré, que je lirais aussi prochaînement que possible. En attendant, je lis actuellement son dernier ouvrage, "Lettre de consolation à un ami écrivain"....Tout cela pour vous dire que je suis cet auteur avec une attention des plus fidèles !
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Dans les villes, la collecte des ordures, le nettoyage des rues, le ramassage des feuilles, etc, produisent des bruits parfois quotidiens, à des heures évidemment indues, qui rendent insupportable le séjour dans un logement mal insonorisé.
Au moment où j'écris: nous sommes samedi, une disqueuse découpe pour la nième fois la chaussée, un véhicule xlaxonne rageusement,, un autre véhicule s'attarde sous mes fenêtres son auto radio à fond délivrant un rap hurleur et agressif, deux personnes "discutent " en criant, une troisième "parle" à très fort volume, dans son téléphone portable. Je perçois tous ces bruits car je viens d'éteindre la radio. Je suis à contretemps et à contre bruit d'une journée ordinaire, que je ne vis pas en semaine car je suis alors au travail.
Si je sors et entre dans les magasins, je serai inondée de musique au kilomètre, ou de pub racoleuse. Au resto, je me ferai regarder comme une extra terrestre, si je demande qu'on baisse le volume de l'ambiance musicale omniprésente, ou celui du grand écran vidéo, nouvel engin de torture compris dans les prestations.
Dans le train, que je prends régulièrement, il y a ceux qui ne mettent pas les écouteurs et écoutent une musique grésillante avec leur portable, entre deux conversations téléphoniques, et ceux qui ont des écouteurs qui ne filtrent que 60% au mieux de ce qui se déverse dans leurs oreilles de futurs sourds. Au travail, des collègues s'interpellent indiscrètement d'un bout à l'autre du couloir, l'une d'entre elles a pris l'habitude d'y chantonner ou d'y siffloter lors de ses déplacements multi quotidiens.
Un autre utilise ce même lieu comme cabine téléphonique, pour répondre plus tranquillement (?) à ses nombreux appels professionnels ou perso.
Dans mon immeuble, on recense en ce moment une demi douzaine de matous miauleurs, et un roquet jappeur. Diverses musiques filtrent sous la plupart des portes jusqu'à mon palier. Les appartements d'en face, fenêtres ouvertes, ne me laissent rien ignorer des soirées jeux de société (quinze personnes dans un studio, il faut bien renouveler l'air de l'habitacle), retransmission télévisée des tournois de Rugby, ou autres occasions de réjouissances collectives. le resto du coin n'a pas de licence IV mais contourne cet inconvénient en organisant trois fois par semaine des "soirées privées" (sur l'espace public) sonorisées et arrosées, au cours de "repas d'anniversaire" qui durent jusqu'à 2h du matin. Sur la place voisine, rendue aux piétons, la municipalité tolère des soirées tango, si pittoresques pour les touristes, des dégustations de vin, et, une fois, une soirée techno. Les murs de la cathédrale en tremblent encore. En saison, il y a les fêtes traditionnelles, les nocturnes du jeudi, et bien sûr les Nuits Blanches..
Malheur aux personnes âgées, aux malades, aux retraités, aux enfants.
Merci à l'auteur de ce livre, que je soutiens de toutes mes forces, mais que je ne lirai pas, car je le vis. Quand donc la loi anti bruit, très sévère, sera-t-elle effectivement appliquée, et sinon à quoi bon l'avoir votée?
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Après une enfance en banlieue parisienne, Jean-Michel Delacomptée suit des études de lettres, enseigne quelques années au Laos et à Mantes-la-Ville puis devient chargé de mission auprès du Ministère des Affaires étrangères dans le domaine de la coopération culturelle, scientifique et technique. A ce titre, il occupe un poste d'enseignant à Kyoto puis de conseiller culturel à Jérusalem, avant de remplir, pendant dix ans, différentes fonctions à l'administration centrale. En 1998 il rejoint l'université en tant que maître de conférences en littérature française. Il enseigne actuellement à Paris 8. Amateur de Proust, de Mme de Lafayette, de Montaigne, de Bossuet et de Saint-Simon, il a déjà publié plusieurs portraits littéraires dont un de la Boétie.
Quand un universitaire se penche sur un des maux de notre siècle, le bruit, il peut le faire soit un peu pesamment au travers d'un gros bouquin en convoquant d'illustres spécialistes scientifiques pour les explications des faits et de non moins illustres écrivains pour des exemples tirés de leurs oeuvres. Ou bien, écrire un court ouvrage de 130 pages comme ce Petit éloge des amoureux du silence.
Le titre donne déjà une idée du ton du livre, ce sera court comme je l'ai déjà dit et on louera les mérites de quelques uns, ce que confirment les premières lignes du texte « Ceux qui ignorent ce qu'est le bruit ne me comprendront pas. Ils se diront : « Voilà un mauvais coucheur, un ronchon. » Or, l'auteur est tout ce qu'on veut sauf un mauvais coucheur ou un ronchon. Ces termes péjoratifs sentent le râleur impénitent alors que J.M. Delacomptée, du moins à le lire, semble un garçon charmant et posé, réfléchissant avant d'agir, préférant déménager quand après avoir échoué dans ses négociations avec un voisin bruyant, il aurait pu avoir recours à la violence comme on le voit trop souvent dans les faits divers des journaux.
Tout au long des pages sont listés tous les bruits qui nous pourrissent la vie, de la tondeuse à gazon au bar karaoké, du tapage musical du voisin aux trains qui passent à deux pas de votre maison. Je mets au défi n'importe quel lecteur de ne pas avoir été confronté au moins une fois dans sa vie à l'un de ces exemples.
Subrepticement l'écrivain glisse de-ci de-là, quelques chiffres ou statistiques, ainsi que des réflexions évidentes mais auxquelles ont ne pensent pas assez comme « L'oreille est le seul des cinq sens qui reste en éveil vingt-quatre heures sur vingt-quatre ».
Ce pourrait être un peu ennuyeux à lire, mais un universitaire spécialiste de littérature ne pouvait faire moins que d'écrire un remarquable texte, au style délicieusement emprunt de celui de ses auteurs fétiches. Parfois ça tire un peu à la ligne peut-être, et la fin du livre est gâchée par la mésaventure trop longue de Mme Gomez.
Qu'importe, le bouquin est paru sans faire de bruit pour rester dans sa logique, mais il ne tient qu'à nous lecteurs de crier sur les toits qu'il mérite largement qu'on s'y intéresse.
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Delacomptée Jean-Michel - "Petit éloge des amoureux du silence" – Gallimard-folio, 2011 (ISBN 978-2070443420)

Le titre est trompeur, il provient probablement de l'éditeur, car il s'agit en fait d'une longue vocifération exaspérée contre l'un des fléaux majeurs de notre société actuelle, à savoir le bruit, le bruit sous toutes ses formes, mais surtout en tant que nuisance gratuite imposée à d'autres gens par des sadiques tout contents d'avoir une victime à leur disposition.
Ce livre est mal écrit, l'auteur déballe toutes ses rancoeurs en vrac, sans plan précis, sans argumentation, avec rage et hargne, de telle sorte qu'il ôte beaucoup d'intérêt à son entreprise pourtant fort louable. L'importance de ce livre vient de ce qu'il ose témoigner d'un fléau dont la simple dénonciation est aujourd'hui à peine tolérée.

Comme l'auteur le répète à plusieurs reprises, c'est le plus souvent la victime du bruit qui est aujourd'hui suspectée d'être coupable d'antimodernisme, d'antijeunisme, de ringardise, bref de relever d'un traitement psychiatrique, tant notre époque tente constamment d'écraser dans l'oeuf toute tentative de réflexion approfondie et continue, entre autre en bombardant les gens de bruits incessants.

L'auteur n'a malheureusement pas vraiment travaillé son sujet, car il passe sous silence l'un des pires aspects du bruit d'aujourd'hui, à savoir ce téléphone portable omniprésent, qui brise même les conversations les plus affables, et déglingue toutes les réunions de façon ahurissante.
Il ne fait qu'effleurer l'autre vérité essentielle : chez les plus pauvres, chez les plus démunis intellectuellement, le bruit sert de manifestation de puissance (surtout chez ces pauvres gamins abrutis dans la misère morale et matérielle des banlieue, confinés dans leur bêtise crasse, faisant par exemple ronfler de ridicules pétrolettes) de façon pitoyable : c'est le règne de la brutalité la plus criante.
Hélas, tout ceci n'est guère développé dans cet opuscule qui se veut plutôt pamphlet. A part une page ou deux, il manque également un chapitre qui aurait dû être consacré à celles et ceux qui luttent contre ce fléau, en obtenant peu à peu des résultats. Comme l'auteur le signale lui-même, les fumeurs tenaient le haut du pavé jusque dans les années 1970, il fallut de nombreuses campagnes de prévention pour inverser la tendance, mais c'est à peu près fait maintenant. Il est permis d'espérer qu'il en ira de même pour le bruit...

L'auteur aurait pu et dû replacer son pamphlet dans le cadre plus général de la destruction systématique de l'attention sciemment organisée (cf aveu de Patrick le Lay avec son trop célèbre Coca-Cola) et des réflexions entreprises depuis peu dans le domaine de l'économie politique de l'attention par des gens comme Matthew Crawford ou Yves Citton.
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Je rentre de ma réunion littéraire tard le soir avec ce bouquin parmi d'autres dans mon sac, et voilà pas que je me retrouve enfermée dehors, j'ai oublié mes clefs. Le silence apparent de cette tour de plusieurs centaines d'appartements semble se prêter à la lecture de ce livre, tandis que j'attends sagement mon sauveur, assise sur le paillasson. Dans ce faux silence, la sensibilité auditive prend tout son sens. Il n'y a plus de silence complet, même à trois heures du matin. On entend beaucoup de choses, et ces bruits rythmés qui rendent fous et pourrissent le moral ou la santé, ils existent vraiment. Il faut apprendre à se ménager du silence, et aider ceux qui n'arrivent plus à se soustraire aux bruits. Comme se plaindre du bruit à un indélicat ne fait en général qu'attirer les foudres de Zeus et n'arrange rien, ce livre devrait faire partie des lectures obligatoires de chaque habitant au recensement.
Même si j'estime que ce livre est plus une critique du bruit que l'éloge des silencieux, il n'en reste pas moins une très bonne lecture, qui m'a beaucoup intéressée et que je garde précieusement.
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critiques presse (1)
Telerama
14 septembre 2011
Jean-Michel Delacomptée […] part en guerre contre les « pompes à tintamarre », les outrances sonores, les outils vociférants.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Personne n'ignore que les cancres sont à leur affaire dans les classes turbulentes, où les élèves méritants se noient. Le jacassement distrait le groupe, le chahut le désintègre. Faute de silence, pas de réussite. Les monastères fondent la piété sur cette règle évidente : pour accueillir la parole divine, il faut se taire. Pareillement, le silence s'impose pour accueillir celle du maître. Impératif battu en brèche : les salles de cours sont des volières. Interdire aux élèves de téléphoner en classe semble à beaucoup un sacrilège. Enseigner, métier à risques : quelle meilleure preuve du discrédit qui fait du savoir une guenille et du silence un joug ?
Les élèves transportent la société tout entière dans leurs cartables : ses gadgets, ses PlayStation, ses iPad, ses jeux en ligne, son tumulte.
Il est certain que, dans un environnement bruyant, l'inspiration s'alourdit et que les méninges se traînent. Élaborer un plan complexe requiert une paix confiante. Même un questionnaire à réponses multiples en réclame. Ni l'attention ni la raison ne résistent aux ailes d'un moustique. Pascal, dans ses Pensées, à propos du philosophe: «Ne vous étonnez pas s'il ne raison ne pas bien à présent ; une mouche bourdonne à ses oreilles ; c'en est assez pour le rendre incapable de bon conseil. »
Il faut vivre en live. La vitesse croissante de circulation des données, des informations, des transferts financiers, des échanges commerciaux nous dérobe le temps que pressure l'actionnaire. Les délais sont proscrits, la flânerie paresseuse, la syntaxe superflue. Les longues phrases, avec leurs entrelacements de propositions, rejoignent la langue châtiée au rayon du temps perdu. Proust qui, écrivant dans son lit, boulevard Haussmann, protégé des bruits de la rue par les plaques de liège qui couvraient les murs de sa chambre, parle dans Sodome et Gomorrhe de « la plénitude nourricière et
charmante du silence », n'aurait plus même l'idée d'écrire La Recherche. Trop de subtilités, trop de détours. On le prendrait pour un esthète, pour un nuisible. Des phrases longues d'une page! Solution : en faire un téléfilm, de qualité si possible.
Un loisir improductif est, d'un point de vue économique, un scandale. On a troqué la plume contre l'ordinateur et le plomb d'imprimerie contre l'électron : gain de te mps fabuleux. Mais au prix fort : la surface des écrans supplante les plis du papier, la vidéosphère la graphosphère, la vie immédiate la longue durée. Les experts succèdent aux savants, les bateleurs aux poètes, l'émotion réflexe à la pensée construite, l'usage du pidgin à la maîtrise de la langue, et l'apoplexie sonore aux méditations.
Quant à ceux qui souhaitent encore lire, écrire, ou simplement converser comme des sages, qu'ils vivent sous cloche.
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On peut aussi se boucher les oreilles. [... ]
Seulement, la perspective de travailler avec des obturateurs plantés dans le cérumen vous décourage [ ... ]

Pour respirer, la pensée a besoin d'air. La frustrer de l'atmosphère ambiante l'étrangle. Le silence artificielle ampute les facultés.
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Il faut être sourd, distrait ou mort pour ne pas s'apercevoir que l'époque est au vacarme. (...)
A l'instar des glaciers, des grands singes anthropoïdes et de la tulipe sauvage, le silence est une espèce en voie d'extinction. (p. 16)
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Parlons franc : le bruit varie. Ce monstre aux mille pattes est affaire moins de lieux que de moments. Cet être difforme connaît des pauses et l'on trouve encore du silence, même dans les capitales surpeuplées, du moins dans les quartiers prospères. Je dis pas" le " silence, mais " du " silence . Un bonheur provisoire, à certaines heures, interruptions en équilibre instable dans le flux des ondes sonores.Périodes de soulagements vite ébréchées, colis marqués "fragile" entre deux chutes.
Commenter  J’apprécie          120
On traite de mal embouchés ceux qui détestent le bruit. On se gausse des vieux qui s’en plaignent, voire on les méprise. Mais c’est oublier qu’il faut beaucoup d’énergie pour vivre, et beaucoup d’énergie encore pour supporter les sons abusifs. Le lent retrait de la vie offre une réponse à l’angoisse du néant, tout comme dans les siècles passés, les libertins accueillaient la foi dont ils ricanaient jusqu’alors. En me noyant dans l’ici et le maintenant de l’agitation, le bruit m’inflige une leçon de réalité que je voudrais méconnaître. C’est plus qu’une gêne : une souffrance.
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Videos de Jean-Michel Delacomptée (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Michel Delacomptée
À l'occasion de la 45ème édition du festival "Le livre sur la place" à Nancy, Jean Michel Delacomptée vous présente son ouvrage "Jean de la Fontaine, portrait d'un pommier en fleurs" aux éditions Cherche Midi. Rentrée littéraire automne 2023.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2888713/jean-michel-delacomptee-jean-de-la-fontaine-portrait-d-un-pommier-en-fleurs
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