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Commissaire Maxime Tellier tome 4 sur 4
EAN : 9782755691788
379 pages
Hugo Publishing (07/10/2021)
4.04/5   179 notes
Résumé :
Assaillie par les doutes aussi bien dans sa vie personnelle que professionnelle, la commissaire Maxime Tellier est en disponibilité depuis plusieurs semaines quand un messager anonyme la met sur la piste d'une organisation qui s'en prend à des criminels relaxés par la justice. N'ayant plus les moyens officiels de mener une enquête, elle fait appel au capitaine Brémont, expert en profilage, pour suivre la piste de ces justiciers qui transforment les coupables en vict... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
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Je ne connaissais pas Maxime Tellier, héroïne récurrente de l'auteure. A noter que la lecture de ce tome est possible sans avoir lu les précédents (c'est mon cas), mais je pense que la connaissance préalable des personnages peut apporter un plus à la lecture.
La commissaire Maxime Tellier est en disponibilité. Elle reçoit un faire-part pour l'enterrement d'un personne qu'elle ne connait pas et qui se révèle ne pas exister: tout est faux, à commencer par l'acte de décès; Et pourtant il y a bien un cadavre dans le cercueil.
C'est le point de départ de l'enquête qui va être menée par Maxime avec la coopération du capitaine de gendarmerie Brémont. Une enquête sur laquelle un mystérieux informateur livre des indices au compte-gouttes.
C'est un bon roman policier, qui se lit facilement : des chapitres courts. une écriture fluide. Cependant, il m'a manqué quelque chose pour adhérer complètement. je n'ai pas ressenti une tension grandissante, plutôt l'inverse, et je n'éprouvais pas le besoin de rouvrir le livre, ce qui est pour moi le signe que le livre fait le job, dans le cas d'un polar.
Ce qui m'a le plus intéressée dans ce livre et qui fait que j'en lirai sans doute un autre de l'auteure à l'occasion, ce sont les personnages des enquêteurs. Ils se connaissent et entretiennent une relation qui mêle admiration et agacement, J'ai aimé leurs passes d'armes, et ressenti très bien l'exaspération que peut provoquer le capitaine chez Maxime.
En résumé, des personnages que j'ai eu plaisir à découvrir dans une enquête qui m'a laissée un peu en-dehors. Un grand merci aux éditions Hugo thriller pour ce partage #LedernierprocèsdeVictorMelki #NetGalleyFrance !
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Véritable COUP DE COEUR, le dernier procès de Victor Melki de Sandrine Destombes publié chez Hugo Thriller parait le 7 Octobre.
La commissaire Maxime Tellier, proche d'un burn-out, a choisi de se mettre en disponibilité. En rentrant chez elle elle trouve un faire-part. Christian Mallard sera enterré trois jours plus tard après une messe en l'Eglise Saint Louis de Grenoble... Elle ne connait aucun Christian Mallard mais comme elle n'a rien de prévu dans son emploi du temps elle décide d'assister aux obsèques. Une couronne et surtout l'inscription la perturbe : "L'ordalie a parlé. Christian a échoué. Max Tellier" Pour pouvoir mener à bien une enquête et disposer des moyens d'investigations indispensables elle fait appel au capitaine de gendarmerie Brémont, expert en profilage. L'enquête peut commencer ou plutôt le jeu de piste dirigé par un messager anonyme...
Un roman hallucinant, addictif en diable qui nous conduit aux quatre coins de la France , la tension est là palpable, les morts s'accumulent et ...
Un roman qui m'a tenue en haleine jusqu'à la dernière page que je ne peux que vous recommander chaudement.
Sandrine Destombes signe là un excellent thriller. Un très grand merci aux éditions Hugo thriller pour ce partage via Netgalley.
#LedernierprocèsdeVictorMelki #NetGalleyFrance !
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Voici mon retour de lecture sur le dernier procès de Victor Melki de Sandrine Destombes.
Assaillie par les doutes aussi bien dans sa vie personnelle que professionnelle, la commissaire Maxime Tellier est en disponibilité depuis plusieurs semaines quand un messager anonyme la met sur la piste d'une organisation qui s'en prend à des criminels relaxés par la justice.
N'ayant plus les moyens officiels de mener une enquête, elle fait appel au capitaine Brémont, expert en profilage, pour suivre la piste de ces justiciers qui transforment les coupables en victimes.
En dressant le profil de ces vengeurs, Max s'interroge : l'homme qu'elle doit sauver est-il innocent ou coupable ?
Le dernier procès de Victor Melki est le quatrième tome des aventures de Maxime Tellier, ce que j'ignorais en l'achetant !
J'avoue qu'il m'a manqué quelques références, étant donné que c'est la quatrième enquête de cette jeune femme. Mais ça va, je n'ai pas été perdue pour autant.
Nous avons ici des personnages forts, aussi bien Maxime que le capitaine Brémont. Ils sont complexes, pas toujours faciles à comprendre et avec eux on ne s'ennuie pas une seconde. J'ai beaucoup apprécié ce duo.
J'ai découvert Maxime affaiblie par un burn out. Bien que ne la connaissant pas, j'ai rapidement compris qu'en réalité, auparavant, elle n'était pas comme ça ! Elle est d'ailleurs beaucoup plus forte que je ne l'imaginais.
Elle reçoit un message surprenant par rapport à un homme décédé qu'elle ne connaissait pas. Elle va aller sur les traces d'une mystérieuse organisation.. Et tout va devenir très complexe, pour mon plus grand plaisir de lectrice.
Le dernier procès de Victor Melki est un bon thriller, très bien ficelé, et que je suis ravie d'avoir acheté.
Mon petit regret est de ne pas avoir lu les tomes précédents même si cela n'a pas réellement gêné ma lecture. Cela m'aurait juste permis de mieux appréhender les personnages.
Je vous invite à découvrir à votre tour ce roman, que je note quatre étoiles et demie :)
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Au bord du burn out, Maxime Tellier est en disponibilité. Elle reçoit alors un faire part pour un enterrement. Elle n'a jamais entendu parler du défunt, mais son instinct lui dit qu'il y a quelque chose de louche. Et quand l'affaire prend une tournure inattendue, elle demande l'aide du capitaine Brémont.
Je n'ai jamais lu d'autre roman mettant en scène Maxime Tellier, mais ce n'est pas gênant pour l'histoire. Et franchement, quelle histoire ! Une intrigue menée d'une main de maître qui commence de manière anecdotique et monte crescendo vers un suspense de plus en plus prenant. le jeu de piste macabre entraine la commissaire et son acolyte dans une enquête atypique de plus en plus sombre. C'est complexe, addictif et original.
C'est malin... Maintenant, j'ai bien envie de me plonger dans les autres enquêtes de Maxime Tellier.
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Quatrième tome de la série où l'on a comme enquêtrice la commissaire Maxime Tellier.
Bon, je me suis un peu loupée puisque je n'ai lu que le premier.
A priori, ce n'est pas très grave, sauf que je me suis un peu spoilée sur certains protagonistes. Tant pis.

Le résumé me semblait assez intéressant dans l'idée développée ici.
Une organisation qui joue les justiciers et qui punie les criminels relaxés à tort.
Alors, d'abord il y a la commissaire qui se met en indisponibilité. Elle va recevoir une lettre qui va la titiller et la mettre sur la piste de cette organisation.
Elle va faire appel, sur conseil de son ami Enzo, au capitaine Brémont, expert en profilage.
Entre eux, c'est un peu le jeu du chat et de la souris.
Il lui parle, elle rougit.
Elle se demande comment elle n'arrive pas a trouver les réponses plus vite que lui.
Ils ne se disent pas tout car on dirait presque que Max est encore en formation aux côtés de Brémont.
Un pas en avant, deux en arrières.
Ce n'est pas ce que j'ai préféré dans l'histoire.
Au niveau des enquêtes, l'autrice alterne entre Maxime dans le présent et des personnages qui finissent pas se suicider en prononçant une drôle de phrase mais également Victor qui est encore au main de l'organisation et tout ça à différentes périodes.
Encore du passé-présent.

Bien que l'autrice est séparée chacun de ces moments sur des chapitres différents, j'ai eu du mal à refaire le lien au final pour être sûre d'avoir mis toutes les pièces du puzzle en place.
Une lecture assez complexe donc et un ressenti un peu trop mitigé.
Je pense que je vais l'oublier rapidement. Mais je garde ma confiance en l'autrice car j'ai lu plusieurs de ses romans et certains sont juste Whaou !
Elle a quand même des histoires qui sortent de l'ordinaire.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Elle leva les yeux au ciel en constatant qu’elle avait les mains moites avant même la première sonnerie. Cet homme l’avait toujours impressionnée. Bien sûr, Antoine Brémont était bel homme. Grand, brun, les yeux noirs et le nez aquilin, il se dégageait de lui une certaine prestance. Mais ce n’était pas cela qu’elle retenait. Il y avait sa profession, son statut, mais aussi son charisme. Max avait compris en travaillant à ses côtés que profileur n’était pas un métier à proprement parler. C’était avant tout un état d’esprit. Une capacité à s’abstraire des normes de la pensée. Le capitaine Antoine Brémont était en mesure, le temps d’une enquête, d’oublier les remparts de la société, ses codes de conduite et sa morale. Il éludait toute notion de bien ou de mal pour se substituer aux âmes déviantes qu’il devait appréhender. L’empathie du capitaine allait bien au-delà de ce que le commun des mortels pouvait endurer. Max y voyait une force qu’elle était loin de maîtriser.
C’est pourquoi elle avait été surprise qu’il l’intègre aussi facilement dans son monde lorsqu’ils avaient mené une enquête conjointement, plusieurs mois auparavant. Brémont l’avait traitée comme son égal, lui dispensant parfois quelques conseils sans jamais être condescendant. Il se fiait à son instinct et Max espérait qu’il en serait de même aujourd’hui.
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Ce n’est qu’après avoir allumé une des lampes du salon qu’elle vit la croix qui ornait l’enveloppe.
Max ouvrit le faire-part de décès d’une main fébrile et pesta de devoir laisser le temps à ses yeux de faire le point. L’alcool n’était pas le seul responsable. La presbytie qu’elle tentait d’ignorer savait se rappeler à elle dans les moments importants. Le bristol à bout de bras, elle finit par déchiffrer les lettres d’imprimerie. Une messe serait célébrée dans trois jours en l’hommage de Christian Mallard à l’église Saint-Louis de Grenoble.
Max se dirigea vers le salon, l’esprit accaparé. Elle était certainement trop saoule ou trop fatiguée, mais elle n’avait aucune idée de qui pouvait bien être ce Christian Mallard.
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G.F a plaidé la légitime défense en précisant que sa femme le battait depuis des années.

Vous savez ce que c'est ! Quand ça se passe dans ce sens, on a tendance à douter.
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- Qui vous parle d’abandonner, Max. Votre messager anonyme nous impose son rythme. Il n’est visiblement pas prêt à tout vous délivrer.
- Qu’est-ce que vous en savez ?
- Rien. Et j’imagine que c’est parce que je n’ai aucune expérience dans ce domaine que vous m’avez appelé.
Peu de personnes étaient en mesure de moucher Max aussi facilement et elle redescendit aussi vite d’un cran.
- Désolée, je n’ai jamais été très patiente !
Brémont émit un rire sec et franc auquel elle n’était pas préparée.
- Maxime Tellier ne serait pas très patiente, dit-il toujours amusé. Je crois bien que je tiens le scoop de l’année.
- Oui, bon. On peut peut-être passer à autre chose ?
Sa prière fut exaucée par le téléphone de Brémont qui se mit à vibrer sur la table.
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— Si je suivais votre raisonnement, toutes les religions seraient considérées comme des psychoses collectives.
— Et ?
— Et on parle ici de troubles réels, Max. Les sœurs Papin sont souvent citées en exemple pour appuyer ce principe.
Max grimaça pour indiquer son ignorance.
— Deux sœurs considérées comme des domestiques modèles ont décidé un beau jour de tuer leurs deux patronnes. Au moment du procès, les experts ont insisté
sur l’effet d’entraînement du crime à deux pour soulever la thèse d’anomalie mentale. Cela étant, une des deux sœurs a été considérée plus folle que l’autre, si on peut parler ainsi.
L’autre a été jugée comme responsable de ses actes malgré l’emprise de la première. Le procès avait fait grand bruit à l’époque.
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