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EAN : 9782843449802
130 pages
Le Bélial' (20/05/2021)
3.33/5   103 notes
Résumé :
Des milliers de races extraterrestres et posthumaines cohabitent harmonieusement dans la méta-civilisation de l'Amalgame. Seul le noyau central, occupé par les Indifférents, des êtres qui refusent tout contact, est un milieu hostile. Avant de mourir, Leila et Jasim, mariés depuis dix mille trois cent neuf ans, souhaitent en savoir davantage sur les mystérieux Indifférents.
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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L'auteur est un auteur de hard science et le créateur d'univers ultra-futuristes tangibles. Dans ce court roman l'auteur brosse le portrait d'une immense société à l'échelle galactique. C'est l'Amalgame. Cette société possède des ressources illimitées. Ses ressortissants jouissent d'une durée de vie extrêmement longue et les espèces sentientes sont nombreuses et souvent mélangées sur des mondes partagés. Les deux personnages principaux (un couple à la longévité immense) souhaitent occuper leur vie à tenter de percer un mystère entêtant et assez populaire. Dans l'infini et proche de cette société de l'Amalgame ,se trouve un autre immense territoire inconnu qui est dit être celui des indifférents. On les appelle ainsi parce qu'ils se refusent à tous les contacts possibles avec leur voisins curieux . Leurs univers est immense , opaque, lointain et impossible à investiguer car les sondes lancées en reviennent systématiquement sans réussir pénétrer cet univers dont le coeur reste toujours invisible. Alors un couple décide d'y aller voir.
Comme tous les citoyens ils disposent potentiellement de ressources presque illimitées sur une durée de temps énorme.
Il y a dans ce texte comme un paradoxe tendu et permanent. Cette société et ses moyens technologiques comme par exemple la mise en oeuvre du projet de contact de ce couple futuriste est de la hard science argumentée ,pointue et assez accessible .Cet aspect du texte ouvre éloquemment des perspectives que l'on peut trouver impressionnantes et des possibles difficiles à concevoir sans les efforts pointus et millimétrés de Greg Egan .Les personnages ont un rien de naïf dans leur structure et c'est je pense une manière de les garder accessibles au lecteur. Cela crée une tension entre la naïveté des personnages et la complexité scientifique de cet univers et de ces potentialités que l'on peut trouver désagréable. C'est le point noir de ce roman et peut-être le seul. La fin passe par un épisode de hard science magistrale et elle peut décevoir , mais sincèrement le voyage vaut le détour à mon humble avis subjectif.
C'est une lecture où j'ai ressenti assez peu de plaisir .Le texte m'a agacé un peu mais ce futur est proprement étonnant Il matérialise des possibles époustouflants et tout azimut.
Clairement, c'est difficile de recommander aveuglement ce roman mais personnellement je ne regrette pas cette aventure et ces visions scientifiques incarnées dans les réalités et dans les corps.
Pour se plaire dans ce texte il faut clairement apprécier la hard science.
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Mon avis ne sera pas très long car je n'ai pas du tout accroché à cette histoire. Je dirais même plus qu'elle a échappé à ma compréhension.

Leila et Jasim vivent depuis des milliers d'années. Comment ils y arrivent d'incarnations en instanciations ? Je ne suis pas parvenue à me l'imaginer. C'est comme pour leur étrange maison… Dans l'ensemble, j'ai trouvé tout trop abstrait.

Le but ultime de leur vie est de percer le mystère des Indifférents

Hard SF très hard. J'ai d'autres livres en stock de l'auteur, je ferai une autre tentative avec ‘Céres et Vesta'.



Challenge ABC 2022
Challenge SFFF 2022
Challenge mauvais genres 2022
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Indifférents.

L'Amalgame a uni tous les peuples de la galaxie. Seul les indifférents, vivant dans le bulbe galactique central, refusent tout contact. Leila et Jasim ont décidé de percer ce mystère.

Lecture sympathique bien qu'un peu décevante. Greg Egan place cette novella dans un contexte de civilisation galactique. Celle-ci est intéressante dans sa construction et ses avancées technologiques. Néanmoins l'enjeu est la prise de contact avec les Indifférents, la seule partie de la galaxie refusant de communiquer avec l'Amalgame.

Leila et Jasim arrivent au terme d'une très longue vie. Ils veulent la clore en contactant les Indifférents. Greg Egan expose ici diverses notions d'astrophysique. Certains phénomènes spatiaux seraient des signes d'activités, voire de tentatives de communication des Indifférents avec le reste de la galaxie.

Si l'aspect hard-SF est toujours aussi passionnant, l'histoire n'est que moyennement captivante. Les personnages et le contexte ne sont qu'esquissé, quant à la conclusion je l'ai trouvée décevante. En plus d'être frustrante, elle contredit le propos de la novella.

Bref, une lecture plutôt en demi-teinte.
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De temps en temps, je sors de ma zone de confort de lecture et je m'en vais faire des incursions dans d'autres genres.

Cette fois-ci, j'avais envie de SF et de space-opera. Les novellas publiées par le Bélial' sont parfaites pour ce genre : pas trop longues.

Les voyages dans l'espace sont permis, l'immortalité est pour tout le monde et après 10.000 de vie commune (putain, quel bail !), le couple formé par Leila et Jasim décide qu'il est temps de s'arrêter, dit au revoir à tout le monde et s'en va tenter d'entrer en communication avec bulbe central.

Le bulbe est peuplé d'êtres ayant refusé jusqu'à la moindre communication avec ceux qui les entouraient. Voilà de quoi finir sa vie de façon grandiose et audacieuse.

Si au départ j'ai fusionné avec cette lecture, à un moment donné, je me suis retrouvée engluée dans la panade avec l'auteur qui introduisait dans son récit trop de données scientifique, trop de concepts et cela m'a fait décrocher du voyage intergalactique. Plus soulant qu'une bouteille de vin, ces explications.

Le ton froid de l'auteur, en plus de ces concepts scientifiques trop lourds, ne m'a plus donné envie de suivre les pérégrinations de ce couple, qui, après plus de 10.000 de vie commune, se sépare pour des broutilles…

Je ne vais pas m'épancher plus, tout ce que je sais, c'est que l'astrophysique n'est pas mon truc du tout et que je préfère imaginer sans avoir à me farcir cette science à laquelle je ne comprends rien et qui m'a plombé cette lecture qui était pourtant bien partie.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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« A dos de crocodile » de Greg Egan semble plate comme si on était transporté sur ce dos reptilien dans une rivière calme. La relative insipidité du récit de ces deux touristes éclairées à travers le bulbe galactique, dans des contrés profondes et inconnus est un leurre. Car le thème de la nouvelle est annoncée clairement dans le chapitre 4 : «  La nature de la réalité. Les usages de l'existence. Les raisons de vivre et les raisons de ne pas vivre. »


Dans cette nouvelle ce n'est pas le récit de voyage l'important, car il est pour les protagonistes et les lecteurs décevants. Pas de révélations aux mystères qui entourent les « indifférents » : les « habitants » invisibles du bulbe galactiques. La réflexion s'est ailleurs, elle est dans la description du mode de vie et du fonctionnement de l'amalgame : les « habitants » du disques galactiques. La technologie est tellement avancées que les frontières entre la vie et la mort, l'existence et l'inexistence sont abolis. On peut vivre sous une forme matérielle ou logicielle, transporter en paquet d'onde d'étoiles en étoiles pour être reconstitué par des machines auto-générées grâce à une certaine forme de code informatique. La galaxie, disque et bulbe, est en fait un gigantesque réseau de transport de l'information sécurisé : il faut le vouloir pour ne pas être « sauvegardé » en cas d'erreur de transmission.


Comme les frontières deviennent flou, on peut se demander si finalement en renversant la perspective la réalité n'est pas elle même une simulation. le débat ne sera pas tranché. Mais les questions d'usages de l'existence et des raisons de vivre/exister, sont plus approfondies.


N'existons nous pas pour contempler notre existence, pour donner du sens à notre vie afin de découvrir le sens de la réalité. On croit alors valoriser son existence en ce consacrant à de grands mystères à élucider. Mais c'est finalement vain. A la fin, avant de mettre un terme définitif à leurs vies/existences, se chiffrant en dizaines de milliers d'années, ils ne se entent même pas compte qu'ils sont passés à côté de ce qui était important : « Elle s'assit , écoutant les gazouillis et les bourdonnements étranges émis par des créatures dont elle ne savait rien. Elle aurait pu assimiler en un instant tous les faits enregistrés à leur sujet, mais elle ne s'en souciait pas, elle n'avait pas besoin de savoir ». Comme tous les touristes, elle, ils avaient oubliés de contempler ce qui les entoure.
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Citations et extraits (21) Voir plus Ajouter une citation
Lorsqu’elle se présenta, rien ne distinguait la piste à suivre des mille impasses qui l’avaient précédée.
C’était leur dix-septième année sur Nazdik. Quinze ans auparavant, Leila et Jasim avaient lancé leur propre observatoire – équipé des derniers perfectionnements méticuleusement sélectionnés dans toute la galaxie -, confirmant l’absence de résultats de leurs prédécesseurs.
Ils s’étaient installés dans une routine tranquille, explorant systématiquement les possibilités que l’observation n’avait pas encore écartées. Entre les scénarios manifestement impossibles – la présence dans le bulbe d’une civilisation extravertie, disposant d’énergie en quantité et cherchant activement le contact par tous les moyens à sa disposition – et le nombre infini de possibilités ne pouvant tout simplement pas être distinguées à cette distance de l’absence de toute vie et de toute machine, à l’exception d’un gardien stupide mais efficace, des indices séduisants jaillissaient de temps en temps des données, pour s’évanouir dans l’insignifiance statistique dès qu’ils les soumettaient à un examen soutenu.
Depuis Nazdik, on distinguait des dizaines de milliards d’étoiles au sein du territoire des Indifférents. Certaines d’entre elles évoluaient ou interagissaient violemment sur une échelle de temps de plusieurs années ou de plusieurs mois. Çà et là, des trous noirs écorchaient et avalaient leurs compagnons. Des étoiles à neutrons et des naines blanches dérobaient du combustible et explosaient en novæ. Des amas d’étoiles entraient en collision et se déchiraient. Si l’on collectait des données sur toute cette ménagerie pendant assez longtemps, on pouvait s’attendre à observer à peu près n’importe quoi. Leila n’aurait pas été surprise, en se promenant dans le jardin la nuit, de trouver un grand signe de bienvenue épelé dans le ciel, avant que le motif accidentel dessiné par les novæ ne s’efface et que le message ne se dissolve à nouveau dans l’aléatoire.
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Elle considéra le lointain soleil de Tassef avec des émotions contradictoires, comme un marin se remémorant le dernier arpent de terre ferme.
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Leila et Jasim étaient mariés depuis dix mille trois cent neuf ans quand ils commencèrent à envisager de mourir. Ils avaient connu l’amour, élevé des enfants et vu prospérer leur descendance, génération après génération. Ils avaient visité une dizaine de mondes et vécu au sein de mille cultures. Ils avaient plusieurs fois repris des études, démontré des théorèmes et acquis puis délaissé toutes sortes de sensibilités artistiques et de savoir-faire. Ils n’avaient pas tout vécu, loin de là, mais quel aurait été le sens de la pluralité des individus si chacun essayait d’épuiser toutes les permutations de l’existence ? Il y avait des expériences, ils en convenaient, que tout le monde devait faire, mais d’autres qui ne concernaient qu’une poignée de gens dans l’immensité de l’espace et du temps. Ils n’avaient aucune envie d’abandonner leurs particularités, ni de réformer des personnalités enracinées dans leurs niches depuis bien longtemps, et encore moins de se lancer dans une énumération mécanique de toutes les autres personnes qu’ils auraient pu devenir. Ils avaient été eux-mêmes, et à cette fin ils en avaient fait plus ou moins assez.
Avant de mourir, Leila et Jasim voulaient cependant tenter quelque chose de grandiose, d’audacieux. Ce n’était pas que leur vie fût incomplète, tendue vers une impérieuse, une ultime et grandiose manifestation. Si une quelconque catastrophe inattendue les avait privés de la possibilité d’organiser cette apothéose, leurs amis les plus proches n’auraient fait aucun commentaire et ne l’auraient certainement pas déploré. Ce n’était pas une compulsion, un vide existentiel à combler, mais c’étaient néanmoins ce que tous deux voulaient, et une fois qu’ils s’en furent ouverts l’un à l’autre, ils y mirent tout leur cœur.
Le choix du projet n’était pas un souci ; c’était une tâche qui ne demandait rien d’autre que de la patience. Ils savaient qu’ils le reconnaîtraient en son temps, quand il leur apparaîtrait. Toutes les nuits, avant de s’endormir, Jasim demandait à Leila : « Tu l’as trouvé ?
– Non, répondait-elle. Et toi ?
– Pas encore. »
Leila imaginait parfois l’avoir aperçu dans ses rêves, mais la transcription de ceux-ci prouvait le contraire. D’autres fois, Jasim était certain que le projet affleurait sous la surface de ses pensées, mais quand il s’immergeait dans celles-ci pour vérifier, cela s’avérait n’être rien d’autre qu’une illusion d’optique.
Les années passèrent, qu’ils occupèrent à des plaisirs simples : jardiner, nager dans les vagues, discuter avec leurs amis, prendre des nouvelles de leur descendance. La découverte de passe-temps supportant la répétition était devenue l’un de leurs champs d’expertise. Mais sans cette aventure mystérieuse qui les attendait, ils auraient jeté une paire de dés tous les soirs, d’accord qu’un double six signifieraient qu’ils en avaient fini.
Une nuit, Leila se trouvait seule dans le jardin à regarder le ciel. Depuis Najib, leur planète natale, ils n’avaient visité que les étoiles porteuses de mondes habités les plus proches, ne consumant à chaque voyage que quelques dizaines d’années. Ils s’étaient fixé ces limites afin de ne pas devenir étrangers à leurs amis, leur famille, et n’avaient jamais vécu cela comme une contrainte. Il était vrai que la civilisation de l’Amalgame courait sur l’ensemble de la galaxie, et qu’un voyageur motivé pouvait passer deux cent mille ans à en faire le tour avant de revenir chez lui, mais à quoi rimait une odyssée d’une telle démesure ? Leur voisinage, avec sa dizaine de mondes, comptait bien assez de variété pour n’importe quel voyageur. Savoir si des contrées plus lointaines recelaient des nouveautés dignes d’attention ou ne constituaient qu’une redite éternelle leur semblait de peu d’intérêt. Autant il était important d’avoir un but, une destination, autant il était vain de se noyer sans raison particulière dans la simple abondance des mondes.
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Une destination ? Leila superposa toutes sortes d’informations à la carte du ciel, la plupart forcément obsolètes depuis des millénaires. Des mondes avec des perspectives spectaculaires sur des nébuleuses et des amas d’étoiles ; des panoramas qui seraient certainement toujouts visibles s’ils voyageaient pour les observer, mais est-ce qu’en avoir une expérience directe serait vraiment mieux que de s’immerger dans les images parfaites déjà disponibles dans la bibliothèque de Najib ? Perdre dix mille années en un clin d’œil juste pour se réveiller sous un nuage de gaz vert et violet, aussi magnifique fût-il, n’était-ce pas terriblement décevant ?
Les étoiles clignotaient dans leurs piteuses tentatives d’attirer son attention. Ici l’architecture, les rivières, les festivals ! Même si ces attractions touristiques pouvaient franchir les millénaires, même si certaines d’entre elles étaient littéralement uniques, Leila ne voyait rien qui lui parût un prélude convenable à leur mort. Si encore ils avaient depuis des siècles, dans leur excentricité, établi une relation particulière envers un monde à l’autre bout de la galaxie, un lieu réputé d’une grande beauté, d’un grand intérêt ; et s’ils avaient parlé suffisamment longtemps de leur résolution de s’y rendre quand ils n’auraient rien de mieux à accomplir, cela aurait valu la peine de tenir cette promesse qu’ils se seraient faite, même pour arriver sur un monde en ruines. Mais une telle destination chérie n’existait pas, et il était trop tard pour s’en dénicher une.
Le regard de Leila se posa sur un endroit où les réclames se raréfiaient, ce qui la mena vers le bulbe d’étoiles entourant le centre de la galaxie. Si le disque de la Voie lactée appartenait à l’Amalgame, dont les diverses espèces primitives avaient fusionné pour former une civilisation unique, le bulbe central était peuplé d’êtres ayant refusé jusqu’à la moindre communication avec ceux qui les entouraient. Toutes les tentatives pour envoyer des sondes dans le bulbe – sans même parler du type de spores de construction nécessaires à la construction d’une infrastructure de transport – avaient été doucement mais fermement repoussées, et les intrus expulsés sans délai. Les Indifférents restaient silencieux et isolés depuis bien avant l’existence de l’Amalgame.
Les dernières nouvelles sur le sujet remontaient à vingt mille ans, mais le statu quo datait de près d’un million d’années. S’ils voyageaient, elle et Jasim, au plus loin de la frontière de l’Amalgame, il était plus que probable que les Indifférents n’auraient pas changé leurs habitudes dans l’intervalle. Et quand bien même, à supposer qu’ils aient ouvert leur frontière, ce dégel sans tambour ni trompette serait déjà en soi une chose extraordinaire à constater.
Elle appela Jasim dans le jardin et lui montra la plénitude des étoiles sans l’ornement des résumés historiques.
« Nous allons où ? demanda-t-il.
– Aussi près que possible des Indifférents.
– Et pour quoi faire ?
– Essayer de les observer. D’apprendre quelque chose sur leur compte. De les contacter d’une manière ou d’une autre.
– Tu penses être la première ?
– Des millions l’ont fait, mais pas tant que ça récemment. Peut-être que, pendant que l’intérêt diminuait de notre côté, ils ont changé et sont devenus plus réceptifs.
– Et peut-être pas. » Jasim sourit. Il avait d’abord été un peu ébranlé par sa proposition, mais il commençait à se faire à l’idée. « C’est un problème vraiment très dur que nous nous proposons d’affronter. Mais pas futile. Pas tout à fait. » Il prit ses mains dans les siennes. « Voyons ce que nous en pensons demain matin. »
Le lendemain, ils étaient tous les deux convaincus. Ils s’établiraient aux portes de ces étrangers impénétrables et tenteraient de les sortir de leur indifférence.
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En un sens, la civilisation interconnectee de l'Amalgame devait son existance au fait qu'il y avait aussi une gande variation culturelle à l'intérieur de chaque espèce qu'entre les différentes espèces.
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