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sur 558 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Madeleine, Leonard et Mitchell se sont connus sur les bancs de l'Université, une de ces vénérables institutions de la Ivy League, l'immuable et respectable campus de Brown. Ils s'y sont aimés, se sont déçus, se sont déchirés. Madeleine la jeune bourgeoise du trio, passionnée de littérature victorienne aime Leonard, fantasque et insaisissable étudiant en sciences. Quant à Mitchell, le fils prodigue, chéri de ses parents, il se cherche une voie dans le domaine non moins mystique de la religion et aime d'un amour sans retour la belle Madeleine. Et oui, nous voilà face à ce que l'on appelle couramment le trio amoureux. Jeffrey Eugenides s'attaque à l'amour avec un grand A mais forcément il s'agit d'amours contrariées. Car il y un hic derrière tout cela : notre scientifique et cartésien Leonard est bipolaire, le faisant alterner phase de joie et d'intense activité intellectuelle et sociale avec de profondes phases de dépression, sombrant dans un puits sans fond de fatalisme et de repli sur soi. Difficile alors pour notre jolie et policée Madeleine d'apprivoiser cet homme qu'elle aime par-dessus tout, au-delà de la raison pure, elle qui ne pensait pouvoir être touchée par la grâce de la passion et capable d'une telle dévotion. Face à ce spectacle, Mitchell notre amant éconduit, fidèle compagnon, assiste impuissant aux affres de ce couple et à la détresse de celle qu'il considère comme l'amour de la vie. Sans jamais sombrer dans le pathos ou l'excès de sentimentalisme, Jeffrey Eugenides nous offre une belle histoire d'amour et d'amitié, profonde et sensible, tout en retenu. le désespoir de Madeleine face au rejet de Leonard qui n'assume pas sa maladie et refuse de se soigner correctement (on le comprend le lithium utilisé annihile les sens et les capacités intellectuelles) est traité avec toute la pudeur et l'émotion qui conviennent. Mais c'est surtout la détresse de Léonard, être égoïste s'il en est, qui m'a le plus émue. Car derrière cette maladie obscure Jeffrey Eugenides restitue la solitude et le désarroi éprouvés par ceux qui en sont atteints, étrangers à eux-mêmes, incontrôlables et qui dans leur malheur ne peuvent être compris , les excluant d'autant plus. Quant à Mitchell, paumé parmi les paumés, on ne doute pas un seul instant de son amour sincère pour Madeleine et malgré l'affection portée à Leonard, nous, gentils lecteurs n'attendons qu'une chose : que Madeleine quitte Leonard et choisisse enfin le dévoué Mitchell, le seul qui saura la rendre heureuse. Autour de ce trio Jeffrey Eugenides nous dépeint aussi une époque, les années 80, les fameuses années Reagan et le souffle de liberté qui régnait sur ces campus de la côte Est américaine, Brown étant le parfait exemple des universités dont les Humanités (philosophie, littérature, religions…) étaient encore valorisées. On y découvre une jeunesse qui cherchait à briser les chaînes du puritanisme qui selon elle l'entravaient, cette jeunesse qui voyait dans l'Europe, la France en tête et ses auteurs tels que Barthes, l'exemple parfait du renversement des valeurs ancestrales et des idées préconçues sur l'Amour, la vie, la morale. Au coeur de cette émulation intellectuelle, notre trio amoureux insensible aux bouleversements, continue sa course folle, entraîné dans les affres de la passion. le roman du mariage fut ma première découverte de l'auteur (à qui on doit le fameux Virgin Suicides). Il ne sera pas la dernier. Un livre que je recommande chaudement, une belle réflexion sur la maladie, un touchant portrait d'une génération perdue et un puissant hymne à l‘amour et à la vie
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Je me suis pâmée sur "Virgin suicides", j'ai été impressionnée par "Middlesex", et là... je suis déçue par "Le roman du mariage".
Jeffrey Eugenides a écrit un roman victorien autour de 3 étudiants qui s'aiment, s'attirent et se fuient, au début des années 80 sur un gentil campus américain. le souci est que je n'ai trouvé aucun de ces personnages sympathique, et que l'intrigue se résume à savoir qui épousera qui à la fin. Pffff. En plus, j'ai repéré des anachronismes. Re-pffff.
Même si on y apprend beaucoup de choses sur la maniaco-dépression, je pense que c'est une lecture dont on peut aisément se passer.
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Eugenides écrit peu, et j'attendais avec impatience sa nouvelle création, après les très bons « Virgin Suicides » et « Middlesex ». le thème du roman ne m'avait pas particulièrement emballé, mais l'écrivain avait déjà réussi à me surprendre avec des situations a priori très classiques, donc je n'étais pas trop inquiet.

Pourtant, ça s'est bel et bien révélé décevant. L'intrigue est un triangle amoureux très classique, les personnages sont tous aussi convenus : une jeune WASP, un étudiant en pleine quête spirituelle qui recherche une révélation en Asie, et un jeune homme issu d'une famille pauvre qui intègre malgré tout l'élite de la nation grâce à son seul mérite.

Eugenides arrive tout de même à nous accrocher jusqu'au bout, avec un mélange d'érudition, d'humour, et quelques piques sur les modes du monde universitaire. Les pages sur le ressenti d'un maniaco-dépressif, et son entourage, qui passe du sens du sacrifice à la rancoeur, sont aussi particulièrement réussies. Mais le plat reste généralement fade.

Peut-être le roman est-il finalement trop réaliste, avec des protagonistes ni tout noir ni tout blanc, qui prennent des semi-décisions insatisfaisantes, avec l'idée vague que le destin finira bien par arranger les choses tout seul un jour ou l'autre. En tout cas, aucun des trois n'a réussi à attirer ma sympathie.

J'aurais sans doute été moins sévère avec un autre auteur, mais, venant de quelqu'un qui m'avait ébloui avec un roman sur le thème rarement traité de l'intersexuation, j'attendais autre chose que de passer 500 pages à me demander si A va se mettre en couple avec B ou C.
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Madeleine aime Leonard : brillant, mais fragile et imprévisible, il l'attire comme un aimant. Mais il y a aussi Mitchell : intelligent mais moins vibrant, plus fiable donc, le prétendant idéal. Trois personnalités qui se rencontrent, se heurtent, se font du bien et beaucoup de mal. Inévitable ? Peut-être. À Madeleine d'avancer, de se tromper, de se convaincre, de douter et de décider, peu ou prou, si le mariage et la vie à deux sont uniquement une affaire d'amour.

Petit sentiment, petite chronique : j'ai lu ce livre il y a une dizaine de mois et le souvenir qu'il m'en laisse n'est pas impérissable. Il y a du bon et de l'intéressant, mais globalement, cela m'a tiré un haussement d'épaule. Peut-être parce que – mais pourquoi ? – j'arrive rarement à me laisser happer par la littérature américaine, peut-être parce que cette lecture ne m'a pas fait me poser de questions supplémentaires, peut-être parce que la question de l'amour néfaste me parle mais pas comme ça. J'aurais voulu que ça me donne du grain à moudre tout en me prenant aux tripes. Je suis restée passive face à cette aspirante écrivaine et son histoire d'amour pourtant pas si banale. Pourtant, l'amour en dépit de tout ça me titille généralement les neurones… Si le roman du mariage n'est pas révolutionnaire, il a tout de même le mérite de poser la question épineuse du couple en regard de troubles psychologiques.
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Plus abouti que le sulfureux "Virgin Suicides" que j'ai lu lorsque j'étais adolescente, mais pas autant que l'excellent "Middlesex", le dernier roman de Eugenides a été pour moi une sympathique découverte. Il ne se hissera pas dans mon top cinq mais ne manque définitivement pas d'attrait : la qualité de l'écriture en premier lieu, suivie par le portrait intelligent des trois personnages principaux et des thématiques intéressantes.
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S'il y a un roman étranger qu'il faut avoir lu, à en croire la critique, c'est celui là ! Une unanimité semble se faire autour du troisième roman de Jeffrey Eugenides après "Virgin suicide" et "Middlesex". Obéissant mais surtout curieux , j'ai lu les presque 600 pages de "Le roman du mariage" et il est certain que pour moi, l'emballement attendu n'a pas eu lieu.
Regardez tout d'abord la couverture franchement ratée de l'ouvrage. Si l'on décrypte les pictogrammes représentés autour du titre, on voit une dame qui aime monsieur qui lui aime un monsieur qui aime la dame. Déjà, on se dit que la trame du livre risque d'être plus proche du débat actuel autour du mariage gay, que le mariage traditionnel risque d'être sévèrement écorné au fil de pages.
Hé bien pas du tout ! Il y a tromperie sur la marchandise, nous sommes dans la plus pure tradition du roman classique. Madeleine, l'héroïne, jeune étudiante issue d'une famille fortunée aime Léonard, d'extraction beaucoup moins bourgeoise et maniaco-dépressif. Mitchell, lui aussi né avec une cuillère d'argent dans la bouche, aime Madeleine en silence et se réfugie dans la religion. Nous sommes dans les années 80, aux USA, et les trois héros entrent dans l'âge adulte. Ils vont comme leurs aînés se brûler les ailes, perdre quelques illusions, et plonger tête la première dans le même conformisme que leurs parents alors qu'ils ont tous les possibles qui s'offrent à eux.
Entendons-nous bien, ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de relation homosexuelle entre les héros mâles que j'émets quelques réserves sur ce roman. Non. Ce qui me dérange un peu c'est le côté banal de tout ça. En plus de délivrer un message ultra traditionnel, du genre : jeune fille riche, ne vous mariez pas avec n'importe qui, réfléchissez, soyez raisonnable, ne vous laissez pas emballer par votre sensualité, choisissez quelqu'un de sûr, de riche comme vous pour faire croître le patrimoine, qui pourra gagner de l'argent, mais surtout mariez-vous et restez avec votre mari (sauf s'il est malade, maniaco dépressif comme ici, c'est mauvais pour la reproduction), on retrouve comme dans beaucoup de soi-disant grands romans US, cet univers clos que sont les universités, comme si en dehors de ces établissements d'élite, il n'y avait pas de possibilité romanesque.(Il faut ajouter maintenant l'univers des banques et de la finance, très tendance aussi )
Je pinaille un peu c'est vrai, mais cette banalité a gâché tout le reste, car le reste est de la belle ouvrage.
La suite sur le blog
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Mitchell, Madeleine, Leonard , trois étudiants en littérature, revisitent le triangle racinien vu par Barthes : A aime B, B aime C et C n'aime…que lui-même !
Entre l'étude des romans anglais du XIXème et la grille des structuralistes, la tentation de la fuite caritative en Inde et celle de la dépendance aux psychotropes, les trois jeunes gens font l'expérience de l'amour, de l'amitié et du sexe. Des échecs et des leurres qui les ramènent à quelques réalités bien senties. : celles des examens, du travail, de la maladie mentale et surtout celle du mariage qui les encage toutes.
Une brillante variation sur le couple : l'improbable couple amical, l'invivable couple passionnel…généreusement intoxiqués par le mythique couple romanesque.
Formidable Eugenides ! Toujours perspicace et jamais convenu, à la fois ironique et profond ! Je l'ai dévoré avec le même plaisir que Middlesex !
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Le roman du mariage de Jeffrey Eugenides pourrait n'être que l'histoire d'un classique triangle amoureux. Mitchell aime Madeleine, mais elle préfère Léonard. Pourtant, Jeffrey Eugenides, parvient à nous livrer une véritable réflexion sur l'amour mais aussi sur le mariage, le sujet du roman.

Université de Brown dans les années 1980, Madeleine étudie la littérature parce qu'elle aime les livres. Passionnée par Austen, James et du mariage romanesque elle se penche peu à peu sur Derrida, Barthes et la sémiologie, raffinée et venue d'Europe. Mitchell, le gendre parfait, s'intéresse à la théologie. Quant au mystérieux et séduisant Léonard, il suit des cours de biologie mais aussi de philosophie.

Tour à tour, Jeffrey Eugenides nous fait suivre ces trois jeunes gens qui entrent dans l'âge adulte. de l'étudiante sage aux parents aisés au garçon brillant mais maniaco-dépressif, en passant par l'amoureux transi en quête d'un idéal, l'auteur décrit finement la personnalité et la psychologie de ces personnages.

Le roman du mariage est donc un classique livre d'amour mais également une étude fine sur l'amour et sur la complexité d'un tel sujet. Madeleine pensait pouvoir sauver Léonard en l'épousant mais cela peut-il être aussi simple ? de par le fond du récit, l'auteur nous invite également à la rencontre de la littérature.

Après Virgin Suicides, son premier roman adapté à l'écran par Sofia Coppola, et Middlesex, couronné du prix Pulitzer, Jeffrey Eugenides revient avec ce troisième roman et nous prouve son talent pour ciseler les intrigues et les personnages de ses oeuvres.

Lien : http://150mots.blogspot.fr/2..
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Ce ne fut pas une lecture harassante, loin de là, mais 552 pages d'une écriture dense, avec des chapitres très longs, ça ne s'avale pas en 3 jours.
J'ai juste eu besoin de 2 semaines pour venir à bout de ce roman de Jeffrey Eugenides...
Le roman du mariage est son troisième roman, sorti en 2011 aux États-Unis, après Virgin Suicides en 1993 et Middlesex en 2002.

Mitchell et Leonard aiment tous les deux Madeleine et Madeleine, quant à elle, n'est amoureuse que de Leonard.
Tel est le point de départ de ce gros roman.
Tous trois, étudiants au début des années 80 se sont rencontrés à l'université de Brown, à Providence, dans le Rhode Island.

L'histoire nous permet de les suivre à partir de la fin de leur deuxième cycle, et sa remise de diplômes, sur environ une année entière, avec des flashbacks réguliers dans le récit.
À l'issue de ses études, Mitchell, amoureux plus ou moins secret, part voir le monde pour se changer les idées. Paris, Venise, la Grèce, pour atterrir finalement à Calcutta où il sera bénévole 3 semaines durant au Foyer des mourants de Mère Teresa. Sur son chemin, il s'ouvre à la spiritualité.
Madeleine, la très positive et très psychologiquement stable, de son côté, vit une histoire d'amour torturée avec Leonard, atteint d'une psychose maniaco-dépressive. Malgré une sévère rechute durant l'été, en septembre, ils partent vivre en couple à Pilgrim Lake où Leonard, étudiant en science, a obtenu un poste d'assistant de recherche.

Une histoire présentée parfois comme un triangle amoureux, mais ce n'en est pas un.
Les deux garçons ne se connaissent pas, sinon de vue et de "réputation" et Madeleine, bien qu'ayant parfois une position ambiguë face à Mitchell, l'amoureux transi qui représente plus le gendre idéal aux yeux de ses parents, n'est pas amoureuse de lui mais bien de Leonard, l'amoureux fou.

Ce livre est un pavé, certes, mais j'ai été prise par l'histoire du début à la fin. Je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai été passionnée, mais captivée oui.
Et ça se lit très très bien !
J'ai apprécié l'écriture réaliste et "jeune" de l'auteur. Quand il décrit les relations sexuelles des jeunes gens (il n'y a pas que ça) ce n'est pas édulcoré, ou survolé. C'est juste parce que ça rappelle des souvenirs !
Quand il détaille les effets secondaires de la prise des médicaments engendrés sur Leonard (prise de poids, tremblements, ralentissement de la vivacité d'esprit, estomac barbouillé), ça sonne vrai.

Le récit se décompose en 6 énormes chapitres, le premier faisant la place aux rencontres entre les 3 personnages, à l'université. On découvre la passion de Madeleine pour la lecture et la littérature victorienne. Mitchell, aussi littéraire, est de plus en plus attiré par les questions de théologie. Quant à Leonard, son domaine de prédilection est la biologie mais son cursus l'amène aussi à suivre un cours de littérature dans lequel il rencontre Madeleine.
La seconde partie, et les suivantes, entraînent les jeune adultes dans la "vraie" vie.

Dans les diverses chroniques que j'ai pu lire sur ce livre, j'ai trouvé des interrogations, voire des incompréhensions au sujet du titre de l'ouvrage, le roman du mariage. En ce qui me concerne, je le trouve plutôt bien approprié, et bien plus encore en anglais The Marriage Plot.
Il y a bien une histoire de mariage entre Madeleine et Leonard et, de plus, le mariage dans la littérature, et plus précisément dans les oeuvres de Austen, Eliot et James, est le sujet d'étude de la jeune femme. Donc pas de mystère pour moi.

La première partie centrée sur l'université, et ses cours, est l'occasion pour l'auteur de déballer des références littéraires, qui ne m'ont pas parues incompréhensibles mais qui m'ont un peu ennuyée.
C'était même parfois du chinois pour moi.
Heureusement, dès la seconde partie entamée, on change de monde. On entre alors de plein pied dans autre chose : la maladie maniaco-dépressive dont est victime Leonard, qui alterne des périodes d'euphorie, jusqu'à leur extrême, avec des périodes de profond abattement.
L'auteur dépeint en long, en large et en traverse la manière dont il essaie d'y faire face, avec l'aide des psychiatres mais aussi tout seul, en régulant lui-même son dosage de lithium, mais aussi les répercussions sur son entourage proche. Sur Madeleine et sur les parents de celles-ci, très rétifs à l'union de leur fille avec quelqu'un atteint d'une maladie mentale.
Les parties consacrées à Mitchell et ses aventures de par le monde permettent de souffler, de sortir de cet univers un peu lourd.

Si on devait retenir un sujet principal pour ce roman, ce serait bien plus la maladie mentale en question que le mariage, c'est une évidence. On ne peut cependant le réduire à cela tellement l'auteur "ratisse" large, dressant une fresque où évoluent de nombreux personnages secondaires, famille ou amis, dans plusieurs lieux différents.


Je conseille donc ce Roman du mariage à tous ceux qui ont envie d'une longue lecture captivante façon fresque générationnelle !

Lien : http://linecesurinternet.blo..
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A la lecture des premiers chapitres, j'ai été complètement happé par le style de l'auteur. Fin, moderne, drôle, tout en nuance et typiquement américain.

Pourtant, malgré un sujet passionnant, le roman se perd dans des longueurs. Il ne se passe rien, et pourtant le roman dure...

Une grosse déception donc, même si je lirais sans doute un autre roman de l'auteur pour ne pas partir sur cette impression.
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