Une atmosphère angoissante et souvent dérangeante du à la personnalité du protagoniste. Un être doué d'une intelligence au-delà de la norme qui cause sa perte en définitive.
Un thriller très intéressant malgré un passage à vide assez long. Je ne sais pas s'il vient de l'auteur ou de moi, mais le livre a pris un tournant sans logique. Les flashbacks sont parfois difficiles à suivre ce qui demande de la concentration alors que le livre et l'histoire sont très simple.
Une énigme pour moi, les différentes identités sont elles une usurpation, font-elles parties de sa maladie ou aussi simple que l'annonce Mike.
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En commençant la lecture du roman, je me suis dit qu'il n'y avait rien de bien intéressant dans ce récit et que le narrateur se prenait pour plus intelligent qu'il n'était. Après quelques chapitres, le narrateur commence à raconter son enfance, et on commence à comprendre que sous la surface lisse et détachée, il y a une vraie fêlure. Plus le récit avance, et plus on a envie d'en savoir plus (tout en craignant de découvrir la vérité). La mécanique du récit est très bien huilée, l'auteur tisse sa toile page après page pour mieux vous prendre au piège. C'est un récit à la fois intelligent, sensible, et poignant. On ne sait pas si on doit avoir de la compassion, aimer ou détester les protagonistes. Tous les détails ont leur importance, et on ne comprend la manière dont sont racontées les choses du début qu'à la toute fin du récit.
Je vous laisse découvrir de quoi il s'agit par vous-même...
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Difficile d'écrire une critique sur ce livre, le narrateur, Mike Engleby, est un personnage glacial et très peu attachant, le roman traine en description et en narration.
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Tonight, I won't study in my room because there's the weekly meeting of the Folk Club. Almost all the boys in my college go to this, not for the music, though it's normally quite good, but because lots of girls students come here for the evening. The only boys who don't go are those with a work compulsion, or the ones who thing folk music is died Bob Dylan went electric.
J'ai toujours eu une mémoire que Jen aurait probablement qualifiée de "prodigieuse" et son journal n'est pas très difficile à retenir : le fil de l'histoire tient constamlment lieu de "souffleur".
Bande annonce de l'adaptation du roman "Birdsong"