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EAN : 9782072841842
176 pages
Gallimard (21/02/2019)
3.53/5   2079 notes
Résumé :
Mathilde, la trentaine, forme avec Etienne un couple heureux. Elle est professeure de français dans un lycée. Elle adore son métier et ses élèves - à qui elle communique sa passion pour Flaubert et en particulier pour L'éducation sentimentale. Lors de leur dernier voyage en Croatie, Etienne lui a proposé de l'épouser et de fonder une famille. Mais peu de temps après leur retour, Etienne change d'attitude. Il est distant, gêné. Pressé de questions, il avoue qu'il a r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (318) Voir plus Ajouter une critique
3,53

sur 2079 notes
Mathilde, professeur de français au lycée est en couple avec Étienne depuis cinq ans. Ils projetaient de se marier et d'avoir un enfant mais Étienne retrouve par hasard son grand amour, Iris. Il n'en faut pas moins pour détruire en quelques secondes cinq années de couple et par la même occasion, détruire une femme laissée au pas de la porte, abandonnée à errer seule.

Mathilde s'effondre. La veille, elle était aimée, le lendemain elle est abandonnée, comment ne pas sombrer...

Mathilde sombre, de plus en plus loin, elle va de plus en plus mal.

David Foenkinos dresse un portrait glaçant d'une femme prise dans les tourments de son abandon. Il autopsie la souffrance, le rejet, la douleur, la déchéance avec justesse. le mal être est palpable, la douleur saigne, le coeur s'emballe. Mathilde souffre le jour comme la nuit.

Accroupie dans sa douleur, sa soeur Agathe décide de l'héberger. Mais peut-on se reconstruire devant le film incessant du bonheur d'un autre couple ?

J'aime beaucoup David Foenkinos, ses romans sont en général très lumineux et d'une sensibilité à fleur de peau. A peine sorti, j'ai sauté dessus en m'attendant au meilleur. Dans Deux soeurs, l'auteur change de registre et s'aventure dans un registre bien plus noir. Il nous sert en entrée, en plat et en dessert de la souffrance en veux-tu en-voila. Ça frise un peu l'overdose et la désespérance.
Pour au final offrir un roman qui n'a pas été à la hauteur de mes espérances.
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Mathilde a deux passions : son amour, Étienne qui, lors d'un séjour récent en Croatie l'a pratiquement demandée en mariage, et son métier. Elle est une professeure de français consciencieuse et très appréciée de tous, parents, élèves, enseignants.
Depuis qu'elle a découvert L'éducation sentimentale de Flaubert, elle ne peut vivre sans la littérature et éprouve chaque fois un grand plaisir à faire étudier ce livre à ses élèves.
Mais voilà que, du jour au lendemain, sa vie bascule : Étienne la quitte sans explication ! Mathilde va alors entrer dans une dépression profonde. Sa soeur Agathe lui propose alors de l'accueillir au sein de son foyer, le temps de la convalescence.
Au fil des jours, la cohabitation va devenir de plus en plus éprouvante. Mathilde souffre d'une tristesse sans nom et chaque parole, chaque détail, chaque lieu la ramène à l'homme aimé. de cette peine, de cette tristesse vont découler la colère et la jalousie.
David Foenkinos a réussi un huis clos familial glaçant et terrifiant où la tension et le suspense sont omniprésents. Avec Deux soeurs, véritable thriller psychologique, l'auteur montre comment un chagrin d'amour peut révéler une nouvelle personnalité inattendue.
Ce conte cruel n'a pas été sans me rappeler Chanson douce de Leila Slimani.
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Avec une ambiance pesante jusqu'au bout, David Foenkinos plonge son lecteur dans la psychologie de ses personnages. Des Deux soeurs, c'est Mathilde qui tient le rôle principal alors qu'Agathe, la soeur, intervient vraiment après une première partie entièrement consacrée à la première citée.

Si je n'ai pas lu tout ce qu'a publié David Foenkinos, j'ai surtout adoré Charlotte parce qu'il mettait en lumière, de façon originale, une artiste oubliée et malmenée par l'Histoire. Les Souvenirs, La délicatesse et Je vais mieux étaient davantage dans le même registre que Deux soeurs.
Professeure de français dans un lycée parisien, Mathilde s'épanouit dans son métier d'autant plus qu'elle vit le grand amour avec Étienne, depuis cinq ans. Au retour de vacances réussies en Croatie, elle sent que le temps se gâte : « Elle avait comme un mauvais pressentiment. Celui d'avoir basculé dans une zone non affective ; une sorte de terrain vague qui préfigure le rejet. »
Elle qui base son enseignement sur l'étude de Flaubert et de L'Éducation sentimentale car elle aime cette oeuvre avec passion, se retrouve en pleine tourmente quand son compagnon la quitte, une scène très pénible.
Et là, tout se dégrade malgré des tentatives désespérées, demandes d'explication, supplications, recours à une voisine psychiatre, engrenage des médicaments et autres psychotropes…
Nous faisons aussi connaissance avec l'heureuse rivale, Iris, retour d'Australie, une fille au parcours compliqué, ex d'Étienne, mariée aux antipodes puis de nouveau en France pour récupérer « son bien ».
Si je suis plein d'empathie pour Mathilde pendant une bonne partie du livre, je la comprends moins ensuite, cet acharnement, son travail qu'elle assume de moins en moins bien et où tout se termine très mal.
Heureusement, il y a la frangine qui reprend Mathilde en mains, la récupère chez elle et fait tout pour lui redonner goût à la vie, ce que sa soeur supporte de plus en plus mal.

La descente, la dégringolade est bien menée, bien étudiée, l'auteur sait réserver des surprises, des événements inattendus dans une vie bien parisienne jusqu'au coup de théâtre final qu'il n'est pas question de divulgâcher mais qui choque tout de même.


Lien : http://notre-jardin-des-livr..
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Mathilde enseigne le français dans un lycée, la passion pour son métier l'habite...
Elle vit une histoire d'amour avec Étienne depuis cinq ans, ils parlent de se marier et d'avoir un enfant .
Las ! Soudain Étienne retrouve son grand amour : Iris partie à l'étranger, quitte brutalement et sans explication Mathilde.

Comment ne pas sombrer dans le désespoir ?

Lors de cette belle première partie l'auteur autopsie avec son talent habituel, son écriture simple et sensible l'effondrement de Mathilde. Elle est dévastée par la douleur, ravagée,.Cette rupture devient vite un cauchemar.Elle vit les affres d'une séparation.Et Qui n'en en a pas vécu une?


Chagrin, stupeur, souffrance intense, sentiment de rejet, manque , incompréhension, prostration, déchéance , dégoût de soi et des autres , vide absolu et mal être , une petite mort....

Lors de la deuxième partie : Changement , Agathe sa soeur , mariée avec Frédéric , une petite fille Lili l'héberge dans un petit appartement .
Le huit - clos s'avère pesant et lourd, promiscuité, non - dits , petits coups en douce ....Mathilde se coupe du monde et sombre dans la dépression...Une bascule surprenante ....
Pour le lecteur cela se transforme en un thriller psychologique mal digéré , Mathilde devient un monstre , le final est aussi glaçant que surprenant .

Il montre que désespoir et souffrance peuvent se muer non seulement en « descente aux enfers » mais en « folie » par une femme trahie après avoir cru au bonheur.
Une mise en abime d'un traumatisme: la passion amoureuse et ses dérives ...

J'aime bien cet auteur mais c'est vraiment un livre à part ....

Relisez plutôt « Charlotte » un livre à la beauté ineffable.......lu et critiqué il y a longtemps que je n'ai pas oublié .....
 
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Mathilde vit avec Etienne depuis cinq ans. du jour au lendemain, il la quitte alors qu'ils avaient déjà projeté de se marier et d'avoir des enfants.
Pour Mathilde, c'est un véritable cataclysme, elle sombre dans une dépression sévère.
Elle essaie de continuer son métier de professeur de français mais une grosse erreur survient avec un élève.
Elle va habiter chez sa soeur Agathe. Son beau-frère est très accueillant et Mathilde s'attache à leur petite fille encore bébé.
Sa dépression la démolit de mal en pis.
C'est surtout sa fermeture sur elle-même qui est étonnante et vraiment mise en avant par l'auteur.
La fin se révèle tout à fait inattendue mais je l'ai acceptée en tant que fiction.
L'analyse de la chute psychologique de Mathilde est absolument bien décrite, bien analysée par David Foënkinos avec des mots très précis, une écriture très abordable, un style qui fait mouche.
Un livre que j'ai beaucoup apprécié.
C'est vrai que je suis une inconditionnelle de l'auteur.
J'ai lu quasi tous ses livres.


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critiques presse (5)
LeJournaldeQuebec
23 avril 2019
Placées entre les mains de l’écrivain français David Foenkinos, les ruptures amoureuses peuvent parfois déboucher sur des histoires terribles. Deux sœurs, son nouveau roman, en témoigne.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
LaPresse
10 avril 2019
L'auteur français David Foenkinos (La délicatesse, Charlotte) aime brouiller les pistes et changer de registre. Son nouveau livre, Deux sœurs, est un roman à l'humour noir qui raconte un chagrin d'amour qui vire mal. Très mal.
Lire la critique sur le site : LaPresse
Actualitte
03 avril 2019
Deux sœurs est un roman à la saveur indélébile dont l’issue s’avère redoutable.
Lire la critique sur le site : Actualitte
LeFigaro
28 février 2019
Jusqu'où peut aller une femme trahie après avoir cru au bonheur? Récit d'une descente aux enfers.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LeFigaro
25 février 2019
Avec son nouveau livre, Deux sœurs, le romancier et réalisateur explore l'amour et la folie.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (278) Voir plus Ajouter une citation
On entendait ici ou là chuchoter cette expression de la curiosité douloureuse. La professeure expliqua brièvement qu'il y avait quelque chose de résolument moderne dans ces deux mots, ce désir de tout suivre de la vie de l'autre s'étant énormément amplifié de nos jours.
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Il m'a quittée, je ne peux rien y faire. C'est peut-être ça, le drame. Je dois accepter une situation que je refuse.
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Une rupture est toujours encombrée par le flou, les non-dits accumulés, et souvent des mensonges énoncés pour ne pas blesser.

Un homme se mit à lui parler : elle se dit qu'elle pourrait coucher avec lui puisqu'elle était seule maintenant. Enfin, pas coucher, mais s'offrir sans la moindre raison, à part peut-être celle de se salir, de fuir, ou de mourir.

Elle se rendit compte à quel point il était facile de ne pas être soi : elle avait imaginé que tout le monde lirait sur son visage son désarroi. Rien de tel, Berthier, comme tous les figurants de sa journée, ne constaterait rien de particulier. Cela accentuerait son malaise. Bien sûr, elle ne voulait rien montrer de ce qu'elle éprouvait, mais cette mascarade générale la propulserait dans l'évidence que nous sommes, quoi qu'il arrive, irrémédiablement seuls.

Elle observa le cadre vide, et la symbolique lui sauta au visage. C'était sa vie, sa nouvelle vie. Un cadre, avec rien dedans.

Elle voulait connaître le passé amoureux d'Etienne ; ce passé qui la plaçait face à une douloureuse évidence : il avait aimé plus intensément avant elle.

Il avait fini par se dire que certaines histoires meurent d'avoir commencé trop tôt ; Iris n'avait pas assez vécu, et c'était un poids dans son coeur. Il ne pouvait pas lutter. Elle le laissa, et il demeura hébété par cette fin absurde.

Elle proposa de rester en contact, mais il fini par couper tous les liens ; il préférait l'absence d'Iris à des petits bouts de conversation disséminés ici ou là, errant comme des âmes perdues. Étienne allait parfois voir sur Instagram les photos d'Iris, mais finalement cela faisait trop de mal. Il passa donc à la seconde rupture : celle des réseaux sociaux, en la "bloquant " sur toutes ses pages. Elle fit de même : la fin d'un amour moderne.

Elle qui avait écrit un mémoire sur Flaubert compris réellement le sens de cette phrase qui évoque la rencontre de l'être aimé : L'univers venait tout à coup de s'élargir.

Mathilde eut le sentiment de reconnaitre cet homme, qu'elle ne le rencontrait pas pour la première fois, mais qu'il existait déjà en elle, comme une sorte de prémonition amoureuse.

Tous les couples, dans une excitation narrative, adorent se remémorer les détails de leur première fois. Ils estiment souvent que tout dans leur rencontre a été fou ou incroyable alors que, la plupart du temps, tout n'a été qu'éclat de la banalité.

Pourtant, elle se disait que si leur histoire reprenait un jour, cela serait cette fois sur de bonnes bases ; elle avait vécu, il avait mûri.

Elle finit par considérer, l'enfant à venir comme un ennemi de son propre avenir.

Ce fut un vertige. C'était bouleversant de retrouver ce corps déjà connu, déjà aimé si longtemps auparavant. Le sentiment de découvrir quelque chose qui existe déjà en nous. Un jour, Etienne ne sachant comment dire les choses, avait balbutié à Mathilde : Je ne me sens pas bien en ce moment. Il n'était pas bien car il anticipait la souffrance qu'il allait lui infliger : il en était obsédé. Mais d'un autre coté, il ne s'était jamais senti aussi bien en ce moment.

Mathilde avait désiré rester seule. Chacun possède son propre chemin vers la consolation, son mode d'emploi pour tenter de chasser la douleur. En ressentant la bienveillance de sa sœur, elle se dit que c'était absurde de penser qu'elle pourrait s'en sortir ainsi. Elle avait besoin de ses proches ; ils devaient l'aider à porter la souffrance qui était en elle.

On peut mesurer bonheur à la cadence de chacun dans la rue. C'est toujours bon signe d'être pressé ; on est forcément attendu quelque part.

Elle se dit aussitôt, avant même de pouvoir prononcer le moindre mot, qu'elle l'aimerait pour toujours. C'était effroyable. Ce sentiment évident que sa douleur ne pourrait jamais s'estomper s'il ne revenait pas.

Je meurs depuis ton départ. Je ne sais pas comment je vais pouvoir vivre sans toi. Et te voir ici accentue ma souffrance. Tu es si beau Etienne. Tu me manque tant. Chaque matin, chaque soir, chaque minute. C'est atroce. Tu ne peux pas me faire ça. On s'aime. Dis-moi qu'on s'aime. Depuis que tu es parti, je ne sais plus qui je suis. Je prends des médicaments pour dormir, et puis d'autres pour me réveiller. Je m'accroche pour ne pas sombrer. Voilà comment je vais.

L'usure n'existait pas qu'en amour. On pouvait, au bout d'un moment, surtout avec la même personne, éprouver le sentiment que les conversations se transforment en impasses. Et c'est une sensation qui peut s'aggraver dans le contexte professionnel, quand les discussions tournent sans cesse autour des autres collègues et des histoires récurrentes d'un milieu clos.

Qui pouvait prédire la durée d'une mauvaise passe ? Quand on vivait une période difficile, elle pouvait durer toute une vie. Ou alors, avoir des conséquences sur toute la suite de sa vie.

Elle jeta un dernier regard vers le salon avant de fermer la porte. Elle voulait observer encore un peu cette vie qui n'existerait plus. Et enfin elle quitta les lieux. Tout était fini.

Agathe s'extasiait d'une manière appuyée sur tel ou tel moment de l'adolescence, tentant de rendre extraordinaires les moments les plus insipides. On offre si facilement aux anecdotes du passé une saveur quasi mythologique.

Elle avait perçu comme une lumière dans l'œil de Frédéric. Cette même lumière qu'elle ne voyait plus quand elle s'adressait à lui. Elle s'était subitement souvenue de leurs premiers mois, quand ils parlaient pendant des heures, et s'émerveillaient de découvrir chaque parcelle de la vie de l'autre. Elle fut attristée par l'idée que cette complicité avait presque disparu.

Les humains traversaient l'histoire avec une nonchalance croissante ; l'excès d'informations en toute chose aboutissait à une diminution sidérante de la capacité à s'enthousiasmer. C'était frappant avec les enfants ; ils considéraient comme acquis de voir un dessin animé, et l'accueillaient souvent d'une manière blasée ; et, plus encore, ils pouvaient passer à autre chose en pleine histoire, sans sacraliser le moment. Avant, les enfants attendaient un dessin animé toute la journée avant de ressentir une intensité inouïe au moment où il était diffusé à la télévision. La disponibilité permanente de toute chose curieuse avait donc conduit à une baisse de libido curieuse.

Il arrive qu'on se confie non par nécessité intérieur mais pour rassurer l'autre (une des perversions de la vie sociale).

La meilleure façon d'éviter de parler de soi est de mettre la lumière sur l'autre.

Plusieurs fois, elle s'était posé la question : est-ce que ce ne serait pas la meilleure façon d'oublier Etienne que de salir son corps ? Coucher avec n'importe qui, les hommes les plus insignifiants, diluer le souvenir du corps d'Etienne dans une multitudes d'autres corps. La vérité était tout autre. Elle ne valait plus rien. Elle voulait être froissée, méprisée, pourquoi pas violentée, pour se sentir en adéquation avec ce qu'elle pensait d'elle-même.
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Les humains traversaient l’histoire avec une nonchalance croissante ; l’excès d’informations en toute chose aboutissait à une diminution sidérante de la capacité à s’enthousiasmer. C’était frappant avec les enfants ; ils considéraient comme acquis de voir un dessin animé, ils l’accueillaient souvent de manière blasée ; et, plus encore, ils pouvaient passer à autre chose en pleine histoire, sans sacraliser le moment. Avant, les enfants attendaient un dessin animé toute la journée avant de ressentir une intensité inouïe au moment où il était diffusé à la télévision. La disponibilité permanente de toute chose avait donc conduit à une baisse de la libido curieuse. Alors on repérait les passionnés, ici ou là, comme des chevaliers d’un autre temps.
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Elle pouvait aller à pied jusqu’au siège de la Web TV où travaillait Iris. C’était « rue de la Fidélité » dans le Xe arrondissement de Paris ; il n’y avait donc jamais de temps mort à l’ironie. Sans cesse, la vie se moquait de nous, comme si le malheur des humains était un divertissement cosmique.
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Jean-Edgar Casel vous présente le programme !
Notez que certains auteurs ont confirmé leur présence après le tournage de cette vidéo. Luc-Michel Fouassier et Olivier Bal (le samedi 8) et David Foenkinos (le samedi 15).
Pour tout savoir : https://www.lagriffenoireenfete.fr
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