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EAN : 9782290316221
379 pages
J'ai lu (31/01/2002)
3.69/5   39 notes
Résumé :
Quatrième de couverture
" J'ai rendu au corps des femmes sa liberté, dira Gabrielle. Ce corps suait dans des habits de parade, sous les dentelles, les corsets, les dessous, le rembourrage. "
Ainsi, lorsque Chanel détruit une mode et crée une silhouette toute neuve, on entre dans un autre siècle, celui de la Belle Epoque. Il y a une certaine confusion des sexes dans la forme d'élégance qu'elle préconise, mais la coupe à la garçonne, les robes tubulaires... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai découvert un personnage étonnant grâce à cette biographie. Tout le monde connaît plus ou moins - au moins instinctivement - Gabrielle Chanel, mais de nombreux éléments révélés par Henry Gidel sont extrêmement étonnants.
Coco Chanel était une femme simple, intelligente, travailleuse mais aussi très seule et malheureuse en amour. Personnage paradoxal, au caractère plus que bien trempé, Chanel a marqué tous ceux qui l'ont rencontrée.
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Ce récit se lit comme un roman, tant Mademoiselle Chanel a eu une vie remplie, tant professionnellement que sur le plan des rencontres ou des amours. de son enfance pauvre, du décès de sa mère et de son abandon dans un orphelinat, en compagnie de ses soeurs, par un père qui préférait courir le guilledou que de s'occuper de ses enfants, Gabrielle Chanel n'a jamais beaucoup parlé. Des années ayant précédé le succès que l'on lui connaît non plus, d'ailleurs. Qui sait ainsi qu'elle rêvait d'être chanteuse, mais qu'elle n'avait pas la voix nécessaire pour en faire une carrière? Que son surnom lui vient d'un passage sur la scène d'un cabaret fréquenté par une garnison?

J'ai trouvé cette biographie intéressante pour la peinture qu'elle fait d'une époque. Chanel, avec ses idées très arrêtées sur ce que doit être la mode féminine, a su être en phase avec son temps, saisir les besoins dont les femmes n'avaient elles-mêmes pas encore conscience, s'appuyer sur les événements parfois terribles comme la guerre 14-18. Elle a su profiter de l'aide que lui offraient ses (riches) amis, pour tracer sa voie, asseoir son indépendance et exister par elle-même, alors qu'elle aurait pu se contenter d'être une Cocotte parmi d'autres. On découvre une femme déterminée, sûre de son goût au point d'en paraître parfois dédaigneuse, et qui a, entre autres talents, celui de bien s'entourer. Femme d'affaires avisée, elle ne loupait en outre jamais le coche et ne râtait pas une occasion de se faire connaître ou de s'implanter plus profondément, aux États-Unis notamment.
On la découvre autoritaire voire égoïste, mais aussi généreuse, dépensant sans compter pour aider ses amis, leur offrant souvent de les héberger pour une longue durée. Pour autant, mais peut-être est-ce dû à l'insistance de l'auteur sur ces points, j'ai été négativement frappée par certains aspects de son comportement. Ainsi, alors qu'elle ne jure que par la simplicité des lignes, des tissus et des bijoux (préférant créer et acheter de la bijouterie de fantaisie), elle montre un goût du luxe inouï lorsqu'elle décore ses résidences, et peine à se justifier lorsqu'elle participe à une exposition de haute-joaillerie.

Personnalité complexe que cette femme qui voulait être reconnue pour son travail mais se cachait de ses clientes parce qu'elle était mal à l'aise en public. Qui se révélait incapable de coudre un ourlet et ne montrait aucun goût pour la couture lorsqu'elle était pensionnaire. Qui n'avait, par son éducation, aucune culture ni connaissance en art, mais qui permit à plusieurs artistes de survivre grâce à l'argent qu'elle leur versait. Qui entretenait avec certaines amies des relations mêlées de disputes et n'échappant pas à certains commentaires très "cash".

Si sur le plan professionnel, elle ne pouvait guère rêver mieux (malgré quelques revers, bien sûr, mais qui ne l'ont jamais détournée de sa ligne de conduite et de ses principes), sa vie personnelle et sentimentale a été plus chaotique. Beaucoup ignorent peut-être qu'elle a, malgré de nombreuses relations, perdu le seul homme qu'elle aurait vraiment aimé, et qu'elle connut en outre le malheur de ne pouvoir avoir d'enfant. Cette blessure semble n'avoir jamais cicatrisé, au point de se montrer désagréable avec les femmes enceintes croisant son chemin.

Chanel a, certainement, joué un rôle essentiel dans la mode féminine qu'elle a, au sens propre, décorsetée et désentravée. A l'heure où les femmes, guerre oblige, avait besoin de davantage de liberté de mouvement, on imagine bien l'énorme succès de ses créations. On reste rêveur, aussi, devant les amitiés exceptionnelles qu'elle entretenait, elle qui fréquentait Cocteau, Reverdy, Guitry ou Dali.

Reste que j'ai été un peu mal à l'aise face aux avantages qu'elle a pu tirer de la Première guerre mondiale (oh! elle n'a pas été la seule, bien sûr; et elle a en outre fermé sa maison dès le début de la guerre 40-45) ainsi que devant ce qui m'a semblé être une sacrée ambivalence concernant le luxe, et enfin devant son souhait (récurrent) de maquiller sa jeunesse. Elle a ainsi, à deux reprises, engagé un auteur dans le but d'écrire sa biographie, au plutôt de la réécrire : hors de question pour elle d'avouer que son père était pauvre et l'avait abandonnée; hors de question aussi d'avouer l'origine de son surnom. D'autre part, j'avoue avoir trouvé des longueurs dans ce récit, certes intéressant, mais qui dévie parfois du sujet pour entrer dans des détails (pour moi inutiles) concernant les personnes gravitant autour de Coco, et qui souffre de certaines répétitions. On ne compte plus les références au fait qu'elle veut de la simplicité, encore de la simplicité, toujours de la simplicité. Quelques dizaines de pages en moins m'auraient sans doute épargné une certaine lassitude en fin de lecture. Dizaines de pages qui auraient pu être consacrées à davantage de photos ou illustrations, tant j'aurais aimé voir de mes yeux les tenues et créations citées par l'auteur. Sur ce point, je reste sur ma faim, même si le sujet de l'ouvrage n'était pas celui-là.
Lien : http://margueritelit.canalbl..
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Coco Chanel était une grande dame (ou une grande demoiselle, puisqu'elle préférait être appelée Mademoiselle), mais quel caractère ! Il ne devait pas être simple de travailler avec elle quand elle était de mauvaise humeur.
Cette biographie est bien documentée, sans être trop longue et m'a permis d'en apprendre plus sur une femme que je ne connaissais que de nom.
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J'adore le destin ce cette femme, elle s'est céée toute seule sans l'aide de personne à eu une enfance difficille, la perte de l'amour de sa vie, des critique faite dans hommes dans le métier, bref pour moi c'est la femme parfaite en tout point. Ce livre et très complet et pour ceux qui seront curieux de lire ce livre ne seront pas déçut.
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La vie passionnante d'une grande dame avec ses réussites et ses ombres...
Seul bémol : il arrive à l'auteur de déformer certains événements par parti pris.
Cette biographie se lit comme un formidable roman d'aventure
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Malgré le choix superstitieux du cinquième jour du mois pour la collection, c’est une catastrophe, du moins aux yeux des journalistes français et anglais. Les robes et les ensembles que présente Chanel apparaissent aux regards des admirateurs de Dior et du new-look comme des fantômes du passé, des survivances des années 20 ou 30… Au mieux, c’est pour eux une mélancolique rétrospective, au pire, le défilé consternant de toilettes complètement démodées. L’ambiance est glaciale et on n’entendra que quelques maigres applaudissements. Zeffirelli déclarera plus tard que ce fut là une des plus cruelles expériences qu’il ait connues de son existence. La presse fut « atroce de mépris et de méchanceté », écrit Michel Déon. Certains articles étaient déjà prêts avant que les journalistes eussent vu un seul modèle. Combat titre : « Chez Coco Chanel à Fouilly-les-oies en 1930 »…
À l’issue de cette première présentation, Coco ne se montre pas à ses amis. Elle veut leur épargner et s’épargner à elle-même le spectacle de leur embarras. Chanel reste apparemment de marbre : c’est dans ces circonstances que l’on reconnaît la trempe d’une personnalité. Madame Manon, toujours très proche d’elle, se souvient qu’elle craignait beaucoup « la réaction que Mademoiselle aurait le lendemain de ce fiasco ». C’était sous-estimer celle qui était déjà une « dame de fer ». « Ils vont voir ! dit simplement Gabrielle, nous allons recommencer… » Et elle se remet aussitôt au travail. Certes, on n’aperçoit pas l’ombre d’une cliente et les grands salons d’essayage du premier sont déserts. Mais « tant mieux, dit-elle, on ne sera plus à l’aise que dans le petit cabinet du second pour préparer la prochaine collection ». Voilà comment elle parle, rue Cambon, pour rassurer et galvaniser ses troupes.
Sa vraie force réside dans sa certitude absolue d’avoir raison. Au lieu de lutter avec ses concurrents sur leur propre terrain, elle va renverser la situation en montrant que ce sont eux qui sont démodés. Ils agissent exactement comme le vieux Poiret, explique-t-elle, ils cherchent à épater leurs clientes par leurs extravagances vestimentaires au lieu de se soucier des femmes elles-mêmes et des réalités qu’elles vivent. Ils oublient cette vérité élémentaire : il faut qu’elles plaisent aux hommes ; il faut qu’ils s’écrient non pas « quelle jolie robe vous avez ! » mais « comme vous êtes jolie ! » Et cela, Gabrielle est sûre que les femmes finiront par le comprendre.
Ce qui frappe ici, au moins autant que la force de volonté de Gabrielle, c’est l’intelligence de son analyse. Curieusement, ce n’est pas la France ni l’Angleterre qui vont comprendre Chanel mais les États-Unis, et ils entraîneront l’Europe qui, à son tour, lui fera un triomphe.
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Prévoyante, et croyant en son étoile – c’est sa force –, Gabrielle perçoit la nécessité, au cas où elle lancerait d’autres parfums, de caractériser le premier d’une manière plus précise qui le distingue de ses successeurs éventuels. Le plus simple, pense-t-elle, sera le meilleur… Puisqu’elle a choisi le flacon N°5, pourquoi pas Chanel N°5 ?
— Mais ça ne s’est jamais fait ! balbutie Ernest Beaux ahuri par cette audace.
— Justement, réplique Coco, qui adore rompre avec la routine, ça le distinguera des autres !
Et puis, il faut le souligner, cette idée d’un numéro ainsi mis en vedette se rattache à tout un pan de son passé. Déjà à Obazine, elle croyait lire dans les chiffres mystérieux, une écriture secrète qui la faisait rêver… Cette fois-ci, elle rêve à nouveau… elle pense que le 5 va être un « bon numéro », celui sur lequel elle jouera et invitera à jouer – au sens Monte-Carlo du terme – l’ensemble du public. D’ailleurs, n’est-ce pas à l’occasion de son escapade à Monaco qu’elle a rencontré Ernest Beaux ? Nul doute qu’il ne lui a été envoyé par le destin, s’imagine-t-elle.
Ce goût de la simplicité, qu’elle a manifesté dans le choix de l’appellation du parfum, on le retrouve dans la conception de l’étiquetage : un rectangle tout blanc sur lequel se détache, avec une netteté presque provocante, le patronyme CHANEL en lettres noires. On retrouve ici le contraste noir-blanc qu’elle exploite si souvent dans ses créations vestimentaires et dont la fascination remonte au plus profond de son enfance, à cet univers de l’orphelinat. De plus loin encore semble provenir le sigle composé de deux C entrelacés que l’on discerne scellé sur le cachet circulaire attaché au bouchon. N’est-ce pas ainsi que l’ancêtre cabaretier de Ponteils « signait » les meubles qu’il s’était fabriqués ? Or ces deux C, Gabrielle les avait rencontrés sur les vitraux d’Obazine, qu’elle contemplait lors des innombrables offices auxquels il fallait qu’elle assistât. Mieux encore, le hasard avait voulu qu’à Moulins on la surnommât Coco… Ainsi, les deux C lui paraissant imposés par le destin, lui est-il impossible de ne pas les associer à l’avenir de son parfum…
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Elle va engager dans son entreprise un certain nombre de Russes émigrés et d’abord ceux qui étaient des amis, ou des parents plus ou moins éloignés du grand-duc. Naturellement, il s’agit surtout de femmes de la haute société qui ont perdu tous leurs biens et qui ont absolument besoin de travailler pour vivre. Gabrielle les engage comme vendeuses. Elle embauche aussi le comte Koutousov, ancien gouverneur de Crimée, sa femme et ses deux filles. (Ce Koutousov est le descendant du maréchal de ce nom qui a battu Napoléon Ier à Krasnoié). Elle l’héberge, lui et sa famille, à Bel Respiro qui devient avec les Stravinski et Dimitri une véritable colonie russe.
Ce n’est pas tout ; la fréquentation de Dimitri incite Coco à s’inspirer dans ses créations des Russes et de la Russie sous tous les aspects… Le même phénomène s’était produit, en plus discret, avec Boy Capel et l’influence anglaise. L’inspiration slave, quant à elle, est beaucoup plus « voyante ». C’est le mot qui convient devant ces broderies de couleur, inspirées du folklore russe, qui ornaient robes à bretelles, blouses ou chemises paysannes. Certes, les Ballets de Diaghilev, dès 1909, avaient déjà popularisé ces formes artistiques colorées. Paul Poiret, après 1912, Jeanne Lanvin un peu plus tard, avaient aussi œuvré dans ce sens. Mais personne autant que Gabrielle ne va puiser dans cette source d’inspiration. Elle n’hésite pas à embaucher cinquante brodeuses. Elle les groupe dans un atelier à la tête duquel elle place la propre sœur de Dimitri, Maria Pavlov. Là encore son originalité éclate. « Nul mieux que Chanel ne sait orner ses modèles de broderies originales », remarque Vogue en mai 1922. Elle adore rehausser ses robes de crêpe, ses blouses et ses manteaux – à dominante noire ou marron – de dessins multicolores parfois exécutés, d’ailleurs, en perles de verre, ou en association avec des paillettes. Quant aux motifs, faisant feu de tout bois, elle ne les emprunte pas seulement à la Russie mais à la Roumanie, à la Perse, aux Indes et à la Chine…
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Au bout d’un an, Coco sent qu’il faut quitter son travail en chambre, son commerce quasi clandestin pour avoir pignon sur rue, et louer une boutique à son nom, ce nom qu’elle entend illustrer. Et cela dans un quartier qui ne fasse plus douter de son sérieux, entre la rue Royale et l’Opéra, par exemple. Fini le temps de l’amateurisme ! Cette nouvelle adresse l’autorisera à pratiquer des prix beaucoup plus élevés, ce qui est indispensable, elle l’a vite compris, si elle veut plus tard faire partie des « grandes » de la capitale.
Pour ce faire, il lui faut des fonds importants. Alors, elle cherche à les emprunter à Étienne. Mais celui-ci, qui a bien voulu prêter sa garçonnière à Coco pour qu’elle puisse « s’occuper » et satisfaire à son caprice n’a jamais imaginé qu’elle se prendrait au sérieux. Cette fois, il ne joue plus. Au demeurant, que va-t-on penser dans le monde si sa petite protégée travaille réellement ? Qu’il ne peut plus l’entretenir ? Ou pis encore, qu’il est trop avare pour le faire et que la pauvre fille est, par sa faute, contrainte de gagner sa vie ? On en fera des gorges chaudes…
Il ne lui prêtera pas un centime. Au reste, il préfère consacrer son argent à sa passion des chevaux qui, à la vérité, lui coûte cher. Coco insiste. Il ne veut rien savoir. En revanche, Boy qui initialement n’était pas loin de partager l’opinion d’Étienne, prend le parti de Coco avec une telle chaleur que son hôte commence à comprendre :
— Ma parole ! tu es amoureux d’elle !
Certes, il n’ignorait pas que Boy était aussi l’amant de la jeune femme et il n’y voyait guère d’inconvénients, mais la situation est cette fois bien différente. Par une réaction très classique, Coco prend soudain à ses yeux une importance dont elle ne bénéficiait pas jusque-là. Il a remarqué que Gabrielle revient de moins en moins souvent dormir à Royallieu… Parbleu, c’est parce qu’elle passe la nuit chez Capel… elle n’a qu’un saut à faire pour aller le retrouver. Serait-il jaloux ? Ce serait trop bête.
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Rédactrices de Vogue, Bettina Ballard est si intéressée par la collection de Chanel qu’elle en fait publier trois pages de photos dans son magazine. Le frontispice montre le nouveau mannequin de Gabrielle, la ravissante Marie-Hélène Arnaud, nonchalamment appuyée contre un mur et mains dans les poches. Elle est vêtue d’un tailleur de jersey bleu marine laissant apparaître un chemisier de linon blanc à nœud de satin noir boutonné à la jupe. Elle porte avec une délicieuse impertinence un petit canotier de paille qui laisse flotter en arrière ses rubans…
Bettina, enthousiasmée par cette tenue qui donne une allure si jeune, l’achète aussitôt pour elle-même et la porte devant quinze cent pontifes américains de la mode réunis à Manhattan pour l’exposition des modèles importés de France. Nombre d’entre ces messieurs n’avaient jamais vu de Chanel… C’est pour eux une révélation et pour les autres une redécouverte. Bettina leur explique l’esprit dans lequel travaille la couturière : elle veut promouvoir une mode conçue à la fois pour le confort et la beauté de la femme et non pour la satisfaction personnelle de quelques esthètes de la couture. L’auditoire se montre très sensible à ces propos qui flattent le pragmatisme américain. Un second argument va achever de les convaincre : si le new look était par sa complication impossible à reproduire par les confectionneurs, au contraire la simplicité rigoureuse des vêtements de Chanel se prête infiniment plus à la copie et par conséquent à la diffusion commerciale de masse. Voilà un aspect de la question qui est capital pour les acheteurs de la 7e avenue. Ils entrevoient déjà les bénéfices colossaux qu’ils vont engranger… Très vite et dès le début de 1955, le succès de Chanel est assuré…
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