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Dominique Grange (Autre) Tardi (Autre)
EAN : 9782413024385
176 pages
Delcourt (03/11/2021)
3.66/5   107 notes
Résumé :
Elise, jeune chanteuse « montée » de Lyon à Paris en 1958 pour tenter sa chance, tourne le dos au showbiz suite au mouvement contestataire de mai 68. Refusant le « retour à la normale », elle rejoint le maquis des luttes contre l'exploitation, les injustices sociales, le racisme.
Un parcours atypique qui nous mène de la guerre d'Algérie jusqu'à la fin des années 70.
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Elle a été de toutes les luttes, Élise. Depuis sa "montée" à Paris en 1958, elle sera le témoin des bidonvilles de Nanterre, du massacre du 17 octobre 1961 : "aucun animal ne ferait preuve d'une telle cruauté".
Un engagement au coeur des années 60, avec pour point d'orgue mai 68.

L'engagement se fera militant au sein du courant maoïste de la Gauche Prolétarienne, qui représente un espoir à l'époque pour le camp de l'émancipation qui refuse le stalinisme.
La précarité, la cavale, la clandestinité, la tentation de l'action directe, l'espoir de l'autogestion, elle en écrira des chansons dont celle des Nouveaux Partisans :

"Écoutez-les nos voix qui montent des usines
Nos voix de prolétaires qui disent y en a marre
Marre de se lever tous les jours à cinq heures
Pour prendre un car, un train, parqués comme du bétail
Marre de la machine qui nous saoule la tête
Marre du chefaillon, du chrono qui nous crève
Marre de la vie d'esclave, de la vie de misère
Écoutez-les nos voix, elles annoncent la guerre
Nous sommes les nouveaux partisans
Francs-tireurs de la guerre de classe
Le camp du peuple est notre camp
Nous sommes les nouveaux partisans"

Élise, c'est Dominique Grange, chanteuse engagée et compagne de Jacques Tardi depuis 30 ans. de ses souvenirs, il a voulu retracer le parcours d'une femme exceptionnelle, dont la foi pour la liberté n'a d'égale que sa pugnacité.

Un exemple pour notre époque si conformiste jusque dans ses "engagements" : n'oublions pas que l'anticapitalisme remet toute la société en cause et pas seulement quelques valeurs.

Les cases sont parfaites, l'angle des dessins et leurs mises en scène impeccables. du grand Tardi impliqué et passionné pour cette BD de toutes les luttes dans et hors de tout encartement. Loin d'être un hommage, c'est un hymne pour "faire jaillir l'étincelle de la révolution".
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Mon deuxième Philippe préféré a déclaré récemment : « La police tue. » *
Tollé : calomnie ! Et leur chef/ministre ('Tchoupi agent immobilier', dirait G. Meurice ♥) a illico annoncé qu'il déposait plainte...
.
Dans cet album engagé (co-signé Tardi !) : police à la fois meurtrière et complice de fachos, mais sur une autre époque.
A travers l'histoire d'une jeune militante, les auteurs montrent que les "forces de l'ordre" (sic) ont tué, et beaucoup, entre la fin des années 60 et les années 70.
.
J'ai toujours un peu de mal à piger les événements de mai 68, notamment les conflits & scissions entre mouvements de gauche.
Ça fait un peu mal (où vous voulez), aussi, d'entendre des militants - rêvant d'un monde meilleur, plus équitable, et oeuvrant pour cet Eden - se réclamer de Mao ! Avec le recul qu'on a sur la révolution chinoise...
Par contre, en cette période où De Gaulle se retrouve glorifié de tous les bords/bouts, érigé en modèle, j'adore qu'on rappelle certains 'détails' sur le bonhomme...
A ce sujet, lire également 'Cher pays de notre enfance: Enquête sur les années de plomb de la Ve République', d'Etienne Davodeau & Benoît Collombat.
.
Pour en revenir à cet album, 'Elise' : lecture un peu laborieuse, à cause de mon manque de connaissance du contexte politique d'alors.
Mais ce travail de mémoire des auteurs est bienvenu. On ne peut pas ignorer les similitudes entre cette époque de violences policières et aujourd'hui.
Idem sur le pouvoir des médias : « Nos actions doivent contrer la propagande de merde de la télé... 'être une sorte d'ORTF au service du peuple' ! » (p. 157)
Ceux-ci ont beau s'être multipliés, diversifiés, le discours dominant semble en faveur de "l'ordre", du 'Français blanc & de souche', de la droite bien dégagée derrière les oreilles (succès de certaines chaînes, rachats par B*ll*ré)...
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Sur les violences policières, on peut aussi lire l'album documenté 'La Force de l'ordre', de Didier Fassin, Frédéric Debomy & Jake Raynal (reportage en immersion 'ouverte' au sein de la BAC).

PS : très juste, la chronique de Clara Dupont-Monod, qui pointe la violence des militants, lors de ces manifs & affrontements, mais aussi entre eux. Je n'avais pas pensé à la mentionner.
>> https://www.youtube.com/watch?v=kUtpHFeCqls

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* https://www.youtube.com/watch?v=YjE6vIQIRtk
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Dès que je l'ai vu dans les rayonnages pour Noël, je comptais l'acheter pour mon frère et lui piquer pour la lire ensuite. Finalement, quand je l'ai trouvé dans la dernière Masse Critique, j'ai sauté sur l'occasion en espérant la recevoir dans les temps. Je remercie donc Babelio et les éditions Delcourt pour l'envoi de cette BD. Dans la famille, on apprécie Tardi, même quand ce n'est pas le célèbre Nestor Burma en personnage principal ou Adèle Blanc-Sec. Il a un style inimitable. Par contre, Dominique Grangé est une inconnue pour moi.

La lecture n'a pas été simple car pour le sujet choisi, je suis trop jeune. Je n'ai pas connu cette époque ni ses débordements. D'autant plus que l'histoire alterne passé et présent sans réelle distinction (surtout dans les premières pages), il n'est pas toujours facile de s'y retrouver. Au bout de 50p, on commence à s'y habituer. À voir certaines scènes, c'est à se demander si c'est vraiment tiré de faits réels : la violence des cognes contre des gens désarmés par exemple (un peu comme pour les « gilets jaunes » comme diraient certains…). Malgré tout, le style très particulier de Tardi (même si ce n'est pas mon préféré en matière de graphismes) est facile et rapide à lire grâce aux grandes cases et aux écritures. Les dessins sont peu détaillés mais facilement reconnaissables pour certains personnages ainsi que pour les lieux. J'adore la coquille en p129, on passe de février 68 à décembre 86, petite inversion de chiffres ? En lisant cette BD, j'avais de plus en plus l'impression d'avoir une suite de faits réels sans vraiment de liens entre eux hormis Élise et la cause du peuple. On nous raconte les exactions des flics contre le peuple et les manifestants non armés à coup de faits datés. Je n'ai pas eu l'impression d'avoir d'émotions pour cet étalage, à part la rancoeur de la scénariste. le passé et « présent » sont mélangés pour mettre en avant des évènements en particulier, ça fait un peu penser aux Gilets Jaunes en plus violent (et encore). Les dates récentes m'ont mis le doute si ce n'était pas tiré d'une histoire vraie. Après vérification, c'est l'autobiographie de la scénariste (quoiqu'elle en dise dans le postface)… Ça reste intéressant malgré tout mais je ne garderais pas un souvenir impérissable de cette BD, contrairement aux autres lues de Tardi. Je dois bien avouer que je n'ai pas retenu le quart des dates données dans cette histoire. Certes, ça nous montre que les inégalités ont toujours existé et je ne suis pas sûre que l'on soit à même d'y changer quelque chose, même avec toute la bonne volonté du monde. Il y aura toujours autant de moutons et de peureux dans notre société où la consommation est de mise, même en dépit du bon sens.

Comme vous l'aurez compris, cette BD aura été une bonne lecture, je suis loin d'un coup de coeur pour celui-là. du fait de mes lectures, je l'aurais sans doute bientôt oublié, comme beaucoup, et ce malgré le message fort qu'il veut véhiculer. Et quoiqu'en dise la scénariste, ça ressemble fortement à un récit autobiographique, d'autant plus que Tardi est son compagnon. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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A lire les commentaires sur cette BD des babyboomeurs en qui je me reconnais plus ou moins, je retrouve une constante dans les réactions, une réponse à ce cri du coeur de Grange et Tardi : c'était mon époque !
"C'était" la mienne ?
Pourquoi ce "c'était" qu'on emploie toujours ?
C'EST la mienne !
A chacun sa lorgnette, un pauvre trou de serrure où coller son regard, un orifice où coulent les graines du temps, inépuisables à jamais. Désespérément.
Car du grain, nos révoltes en auront toujours à moudre, vu que nous n'apprenons pas grand chose de nos erreurs, on dirait, nous les humains.

J'ai loupé 68 de peu : à 14 ans tout juste, j'étais un peu jeune et surtout pas très mûr pour mon âge. Bourgeois provinciaux paisibles et fervents cathos, mes parents ont dû baliser grave, en Mai 68. Moi, les vacances à rallonge ça m'a bien branché je crois.
C'est le souvenir que j'en ai, lamentable.
Je lis les bulles et j'admire les images de Tardi, toujours aussi efficace quand il s'agit d'évoquer l'important.
Et comme je l'ai lu dans un commentaire, oui, ses CRS sont des caricatures. Réducteur, le propos ? Manichéens, Tardi et Grange ? Peut-être un peu. Mais la violence des uniformes est universelle, et les uniformes méritent si rarement autre chose que la caricature !
Quand il met en scène la nuit du 17 Oct 61 et les exactions des sbires de Papon, Tardi s'est-il appuyé sur des faits historiques pour dessiner un flic qui arrache un nourrisson à sa mère sur un pont de la Seine ET LE BALANCE A LA FLOTTE ? Je ne sais pas, et j'ai envie de dire qu'importe.

C'est le début du bouquin, le ton est donné. La suite est parfois moins percutante, le quotidien d'un clandé reste un quotidien, le jour le jour c'est pas tous les jours des temps forts.
La vie de Cécile/Dominique qui suit, c'est la vie de révolte d'une personne qui a choisi son camp, une jusqu'au-boutiste parfaitement respectable qui a osé, risqué, payé de sa personne jusqu'à des passages à tabac, jusqu'à la perte de sa liberté, jusqu'à des mois de clandestinité. Payé cher, même si la France des années 70 n'était pas l'Argentine, le Chili, ou la Chine ou la DDR ou la Russie...

Une femme digne, quand même, à qui il manque juste un peu de clairvoyance pour gueuler haut et fort que le métro Charonne, ou le Goulag ou Tien an Men, ou la nuit de Cristal et même la Shoah qu'elle préparait, que tout ça c'est un peu la même chose, c'est juste une question d'échelle, juste la preuve qu'on n'apprend rien.

Il nous manque si souvent l'humilité pour être autre chose que des nuisibles, à qui la Terre- mère finira peut-être par dire STOP !...

Dans son commentaire, un internaute à cité Brassens et son "mourir pour des idées, d'accord mais de mort lente".
Je vais renchérir, rendre hommage aussi au grand Georges, que je vénère ô combien plus que le grand Charles :
"Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on
Est plus de quatre on est une bande de cons" !...

Ce n'est pas une BD qui donne la pêche, c'est le moins qu'on puisse dire. Mais c'est de la belle ouvrage, et du travail utile !
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Dans ce roman graphique, nous suivons pendant près de 200 pages, Elise, jeune chanteuse lyonnaise. Elle monte à Paris pour tenter sa chance en 1958. Militante maoïste engagée, elle prend part à toutes les luttes : celles dans les universités, les usines, les mines, celles des immigrés, algériens notamment…et elle ne baisse jamais les bras.

Dominique Grange nous explique dans sa conclusion que cette bande dessinée n'est ni fiction,ni autobiographique. Mais aussi qu'à cette époque, les français n'étaient pas encore au courant de toutes les horreurs que Mao a exercé dans son pays.

Les auteurs nous embarquent, avec vif intérêt, dans ces combats. J'ai appris beaucoup de faits de cette époque et je suis admirative de leurs engagements sans fin pour la lutte des classes.

J'aime toujours autant les dessins de Jacques Tardi .


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critiques presse (5)
LeSoir
17 mars 2022
Tous unis pour l’avenir camarades ! Dominique Grange et Jacques Tardi publient un roman graphique sur les raisons de la colère populaire de Mai 68 avec, en ligne de mire, l’urgence de bâtir un monde plus juste et plus fraternel.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LeMonde
19 janvier 2022
Le trait de Tardi rend parfaitement la violence des affrontements avec les forces de l’ordre et le tumulte de ces années de poudre. Au final, Elise et les nouveaux partisans (référence à l’hymne de la GP écrit par Grange) est un hommage aux révolutionnaires qui ne sont pas repentis et croient encore au grand soir.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LaLibreBelgique
10 janvier 2022
Tardi et son épouse Dominique Grange retracent les années de militantisme de celle-ci. Une autofiction romanesque pour mémoire.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Bibliobs
10 janvier 2022
Dans « Elise et les nouveaux partisans », Tardi et son épouse Dominique Grange retracent le parcours d’une militante de la Gauche prolétarienne, groupuscule maoïste né après Mai-1968.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
BDGest
10 novembre 2021
Lecture plus que plaisante – Paris par Tardi reste un plaisir visuel incomparable -, Élise et les nouveaux partisans n’arrive malheureusement pas à faire le tour complet de son sujet. Là où une réflexion sur le militantisme et ses limites aurait été la bienvenue, la seule conclusion proposée est celle de la colère face aux injustices. Ce réflexe est évidemment crucial, mais bien futile s’il n’est suivi uniquement de sanglots et de quelques refrains nostalgiques ou revanchards.
Lire la critique sur le site : BDGest
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Je suis 'montée' à Paris en 1958, pour y poursuivre mes études.
En Algérie, depuis 4 ans déjà, c'était la GUERRE, une guerre de libération nationale que le gouvernement français persistait à appeler 'les événements d'Algérie' !
Très vite, grâce à Malika, une jeune Algérienne qui travaillait au Restau U, j'ai compris que des populations différentes peuvent co-exister dans une même ville, sans rien savoir l'une de l'autre.
Ainsi en était-il pour ces travailleurs algériens qui, avec leurs familles, peuplaient le bidonville de Nanterre, un ancien terrain vague où ils survivaient, parqués aux portes de la capitale, à quelques kilomètres seulement de la banlieue chic de Neuilly... Invisibles !
Maintenus à distance, les Algériens de Nanterre ne sortaient du bidonville que pour aller au travail. Les femmes et les enfants restaient confinés à l'intérieur des limites tolérées par ceux qui, après avoir enrôlé leurs hommes comme chair à canon, les utilisaient désormais pour la production automobile ou la construction de futurs HLM.
(p. 5)
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Manif du 9 février [1971].
Des flics d'un nouveau genre ont surgi. On faisait connaissance avec les 'voltigeurs' !... Une sacrée trouille !
Le 6 décembre 1986, lors d'une manif contre la loi Devaquet, un étudiant de 22 ans, Malik Oussekine, mourra sous les coups des 'voltigeurs' motoportés. Ce peloton sera dissous avant de réapparaître, en décembre 2018, contre les Gilets Jaunes.
Depuis mai 68, des violences policières, j'en ai vu... Mais là, ces flics en train de frapper des gens à terre avec leur bidule du haut d'un engin motorisé, c'était vraiment la terreur !
On entendait des hurlements... Il fallait dégager fissa !
(p. 128-129)

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https://www.franceculture.fr/societe/la-mort-de-malik-oussekine-illustrait-les-techniques-policieres-de-lepoque
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[ hommage à un toxicomane ]
♪♫ Les anges de la mort
Étirent leurs ailes autour de toi
Tu souris doucement
Quand la neige fond dans ton bras
Tu dis que tu peux t'arrêter
Et les anges ça les fait rire
Ils te regardent t'accrocher
Ils te regardent t'endormir. ♪♫
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Lyon, 1957-1958... J'étais en Terminale au Lycée Edgar Quinet, en pleine guerre d'Algérie.
La prof de philo allait changer ma vie...
J'attendais chaque cours avec impatience, tellement elle était passionnante et passionnée par ce qu'elle nous enseignait.
A la maison, personne n'abordait jamais ces sujets-là : la colonisation, l'esclavage, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, la lutte des classes, le marxisme, la Révolution...
(p. 30)
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Totalement désarmés, des centaines de manifestants ont été précipités dans la Seine par des flics aux ordres de l'État français, mercenaires d'un régime colonial moribond qui, de l'autre côté de la Méditerranée, enlevait, torturait, assassinait les militants de l'indépendance algérienne et ceux qui les soutenaient comme Maurice Audin, Fernand Iveton.
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Videos de Dominique Grange (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Dominique Grange
A l'occasion de la sortie d'Elise et les Nouveaux Partisans, nous sommes allés à la rencontre des auteurs de la BD Dominique Grange et Tardi dans leur atelier.
Résumé : Elise, jeune chanteuse « montée » de Lyon à Paris en 1958 pour tenter sa chance, tourne le dos au showbiz suite au mouvement contestataire de mai 68. Refusant le « retour à la normale », elle rejoint le maquis des luttes contre l'exploitation, les injustices sociales, le racisme. Un parcours atypique qui nous mène de la guerre d'Algérie jusqu'à la fin des années 70.
En savoir plus : https://www.editions-delcourt.fr/bd/series/serie-elise-et-les-nouveaux-partisans/album-elise-et-les-nouveaux-partisans
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