AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782253001904
376 pages
Le Livre de Poche (16/11/2005)
3.96/5   155 notes
Résumé :
A vingt-sept ans, avec ce roman devenu un classique, Julien Green installait aux côtés d'Eugénie Grandet et d'Emma Bovary une autre inoubliable figure de femme au destin silencieusement écrasé dans l'étouffante médiocrité de la province. Jeune et belle, Adrienne Mesurat s'étiole entre un père tyrannique et borné et une sœur plus âgée, aigrie et malade. Il suffit d'un homme croisé, d'un regard un instant saisi, pour rendre à jamais insupportable cette existence sans ... >Voir plus
Que lire après Adrienne MesuratVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 155 notes
5
10 avis
4
0 avis
3
3 avis
2
2 avis
1
1 avis
Adrienne Mesurat a 18 ans, vit rue Thiers à La Tour-l'Evêque, en Seine-et-Oise, et ce n'est pas peu dire qu'elle s'ennuie dans sa petite ville de province. On est en 1908, l'été s'annonce chaud et interminable, et Adrienne étouffe déjà, entre son père âgé et tyrannique, et sa soeur malade et aigrie. Elle croise alors le regard du médecin installé près de chez elle, et en tombe aussitôt amoureuse. Désormais, toute son existence ne tend plus que vers lui -qui forcément en ignore tout.

Curieux livre que celui-ci, écrit en 1927 et considéré comme un "roman psychanalytique écrit par quelqu'un n'entendant rien à la psychanalyse", comme le rappelle Julien Green dans sa préface, où il précise aussi qu'il n'a jamais adhéré aux thèses freudiennes en vogue lors de ses années d'études. Et pourtant, on est bel et bien plongé dans la psyché d'une jeune femme rongée par le vide de son existence, l'étroitesse de la vie provinciale et la médiocrité de la petite-bourgeoisie. Roman suffoquant, donc, sur une femme prisonnière des carcans de son époque, dont elle pense se libérer en se réfugiant dans un fantasme d'adolescente, où apparaîtront également des fantômes.
Histoire futile mais dramatique, dont on pressent qu'elle finira mal, tant le mal-être d'Adrienne est intense. Et pendant 350 pages, on suit les circonvolutions de son esprit égaré et épuisé, et j'avoue que cela ne m'a pas toujours passionnée, attendu qu'il se passe finalement peu de choses -bien que le "peu" qui survient soit mémorable. J'ai donc succombé à l'ennui, moi aussi. Sans doute devrais-je y voir tout le talent de l'auteur à restituer l'immobilisme d'une vie petite-bourgeoise et provinciale du début du XXe siècle, mais j'avais surtout hâte de fuir cette pesanteur. J'ai néanmoins aimé la précision féroce avec laquelle il décrit ce petit monde replié sur lui-même et obsédé par l'argent, où l'amour ne peut qu'être assimilé à la folie.

Ce fut ma première rencontre avec Julien Green, mais sans doute pas la dernière, tant son style classique nimbé d'étrangeté m'a intriguée malgré ses langueurs. A suivre, donc...
Commenter  J’apprécie          389
Dans la salle à manger de la villa des Charmes, une galerie de portraits des Mesurat défunts renvoie des regards dominateurs, des caractères résolus. Celle qui s'attarde un peu chaque jour, pour épousseter la desserte située sous les portraits, a tout juste dix-huit ans et on peut déceler, sur son visage, des traits d'autorité qui en font une vraie Mesurat. Elle s'appelle Adrienne.
Nous sommes au début du XXe siècle, dans une petite ville de province où il faut rester bien respectable afin de ne pas alimenter les commérages qui ne demandent qu'à se propager dans les commerces et les maisons.
Adrienne soupire d'ennui dans cette villa lugubre, à la façade enlaidie par ses nombreuses fenêtres trop rapprochées les unes des autres. D'ailleurs, c'est uniquement par ces fenêtres qu'elle peut guetter un peu de vie pour fuir l'ennui et la tristesse du foyer. Elle est prise en étau, entre son père, retraité autoritaire, fier de sa routine quotidienne qu'il ne faut surtout pas perturber, et sa soeur Germaine, prématurément vieillie à trente-cinq ans par des fièvres récurrentes. Cette dernière, aigrie, jalouse et même haineuse, épie les moindres gestes de sa cadette et en réfère au père.
D'une profonde monotonie, les journées sont rythmées rigoureusement par le père et la soeur. Adrienne s'y résigne, en apparence, car face à cette vie privée de tout évènement significatif, des pensées s'agitent au fond d'elle. Elle arrive, pour un temps, à déjouer la surveillance de ceux qui apparaissent comme ses geôliers, et sort se promener à la faveur de la nuit. Un jour, un regard croisé, un petit salut du docteur de la ville et son esprit s'enflamme. Cet homme, à peine entrevu, devient son obsession, ses sorties nocturnes la menant inévitablement face à sa maison. C'est une lueur de bonheur possible pour celle qui se morfond jour après jour dans cette vie restreinte, elle s'y attache désespérément. Mais comment s'échapper du joug paternel, comment s'extirper de cette vie privée de tout bonheur ?

Avec une écriture aussi belle qu'envoûtante, Julien Green offre un destin sombre et impitoyable pour cette jeune fille que l'on prend en pitié. Enfermée dans une vie insipide, elle se retourne parfois sur son passé mais « Jamais elle ne songeait à son enfance et à sa jeunesse sans une espèce de lassitude, tant ces époques de sa vie lui paraissaient arides. Quand avait-elle été heureuse ? »
On la sent tirer derrière elle sa douloureuse existence. Entre ses espoirs, ses désillusions, ses accès fiévreux et ses moments de longue lassitude, l'étouffement qui l'oppresse est palpable.
Son état physique, renvoyé par un miroir de la villa, se soumet à son état psychologique que l'auteur scrute avec un remarquable talent. Les frayeurs intérieures d'Adrienne, son angoisse, ses accès mélancoliques, ce coeur broyé de souffrance, succèdent à des moments de tranquillité presque plus effrayants encore.
Entre sa soeur inquisitrice et sa crainte de gestes violents de la part de son père, les sentiments éprouvés par Adrienne sont confus. Opprimée, l'opinion qu'elle avait de son père évolue jusqu'au mépris de celui-ci dont elle juge les attitudes ridicules.
Naïve, elle tente maladroitement de trouver de l'aide à l'extérieur mais même là, elle se heurte à des personnes perfides. Pendant ce temps, son obsession amoureuse poursuit son chemin…
Il est dit, dans la quatrième de couverture, qu'Adrienne est « une autre inoubliable figure de femme au destin silencieusement écrasé » à l'image d'Eugénie Grandet et d'Emma Bovary. Mais même si l'on pressent une issue tragique, les évènements ne sont pas ceux auxquels je m'attendais et c'est avec fébrilité que j'avançais dans le cruel destin d'Adrienne.
Un roman remarquable et bouleversant.
Commenter  J’apprécie          244
C'est malin.
Me voici amoureuse passionnée de ce merveilleux ouvrage.
Et de cet auteur.
C'est par l'intermédiaire de Mme Roudinesco, avec son Dictionnaire amoureux de la psychanalyse, livre fort intéressant au demeurant, et plus particulièrement l'entrée du dictionnaire Green Julien, c'est par son intermédiaire donc que j'ai eu envie de connaître cet écrivain peu connu finalement.
Et je ne fus pas déçu.
J'ai adoré ce livre lu en une journée tant il m'a plu.
Je découvre cet auteur et je suis conquise, tellement que derechef, ni une ni deux, je viens de commander Léviathan, un de ses autres romans.
Julien Green est un chirurgien de l'âme, âme qui se trouve disséquée tout au long du roman. Quel talent !
Le sujet : la descente aux enfers d'une jeune femme, Adrienne Mesurat, qui pourrait tout à fait être la soeur d'Eugénie Grande de Balzac, ou la cousine germaine de Emma Bovary tant cette vie tragique nous fait penser à ces héroïnes qui, elles aussi, seront doté d'un avenir bien sombre, et qui souffreront le martyr jusqu'à leur mort, aussi bien physiquement que moralement.
De nos jours, Adrienne aurait sans nul doute été internée, tellement sa folie se construit de jour en jour, tout doucement mais sûrement.
Ces bourdonnements d'oreille incessants, ces crises d'angoisse à répétition, ces hallucinations, toute cette souffrance en somme la mènent tout droit à cette folie. En un mot comme en cent, Adrienne devient psychotique, avec cette merveilleuse dissection de la maladie mentale que nous offre Julien Green.
Il faut dire qu'elle n'à pas de chance cette pauvre Adrienne...
Plus d'une fois, cet ouvrage remarquable m'a fait penser à Balzac, mon cher Balzac, mais, et là c'est une première, en mieux.
C'est superbement écrit, ce qui ne gâche rien, j'ai vraiment eu un grand coup de coeur pour ce roman, qui m'a beaucoup touché.
A bientôt pour la critique de Léviathan, roman de ce cher Green que je compte commencer aujourd'hui.
Quand on aime, on ne compte pas !
Commenter  J’apprécie          190
Il y a tant de choses à dire de ce roman de Julien Green. Adrienne, petite soeur d'Emma Bovary, est une jeune femme belle et aisée qui s'ennuie terriblement dans une petite ville de province. Elle vit littéralement séquestrée par son père, un homme violent et froid. Sa soeur, souffreuse et jalouse, l'épie et voit le vice dans les moindres gestes d'Adrienne. Enfermée dans cette maison, écrasée par cette morale écoeurante et étouffée par cette petite ville où chacun se mêle de la vie de tous, Adrienne n'a aucun espoir pour son avenir. Un jour, lors d'une promenade, une voiture la dépasse lentement. Elle croise le regard du médecin, qui habite à deux rues de chez elle, pendant quelques secondes et ce dernier lui adresse un signe de la main. Ce minuscule événement prendra alors une empleur considérable dans la vie d'Adrienne. Elle aime cet inconnu d'un amour aveugle et fou. Prête à tout pour le revoir, elle rôde la nuit dans sa rue, se penche à l'extrême bord de sa fenêtre pour voir sa maison alors que sa soeur observe et comprend son changement d'attitude.
Adrienne Mesurat est une tragédie bouleversante. C'est le drame des jeunes filles du début du XXe siècle enfermées par les carcans de l'époque et mises au banc de la société par des bourgeoises colportant les ragots pour leur bon plaisir. Ce classique qui tombe un peu dans l'oubli prend le lecteur aux tripes et le perturbe. Pendant 450 pages, le lecteur devient cette jeune femme recluse et amoureuse d'un homme qu'elle ne connaît pas. Publié en 1927, alors que Julien Green n'avait que 27 ans , ce roman mérite une place au soleil.
Commenter  J’apprécie          121
De Julien Green, je ne connaissais pas grand chose, mis à part le nom, la solide réputation et l'existence de son journal. Je n'ai cependant pas hésité à prendre ce livre lorsque je l'ai vu, gage de qualité d'écriture, et d'un univers classique qu'il me serait agréable de retrouver à l'occasion. Et je n'ai pas été déçue. Julien Green explique en préambule les coulisses de l'écriture de ce roman, son intérêt d'alors pour la psychanalyse de Freud et l'observation qu'il a faite à ce moment-là de sa famille, vaquant à ses occupations domestiques. Et nous entrons en effet dès les premières pages dans un intérieur domestique. Dans une petite ville de province, La Tour-l'Eveque, vit une famille composée d'un père autoritaire, d'une grande soeur maladive, et d'une cadette d'à peine dix-huit ans, Adrienne. le quartier est calme, peu de voitures circulent dans leur rue, dans laquelle Adrienne s'échappe parfois. Un jour, alors qu'elle est partie un peu plus loin encore, elle croise le regard de son voisin, médecin, à travers la vitre de sa voiture. Des sentiments qui ressemblent à de l'amour, ou plutôt à une sorte de fixation amoureuse, naissent dans le coeur de la jeune fille. Toutes ses actions vont dorénavant avoir un seul but, pouvoir apercevoir au mieux la maison de son voisin. Pour ce faire, elle sort encore tous les soirs, convoite la chambre de sa soeur aînée, mieux disposée, et attend avec impatience le retour de son autre voisine, qui a une vue imprenable sur le pavillon du médecin… Il est peu de dire que ce qui a germé dans l'ennui, les contraintes excessives de sa famille, la routine, va engendrer des comportements étranges chez Adrienne, jusqu'au drame… J'ai été assez bluffée par ce roman qui sait faire monter en puissance le malaise et la tension. On s'attache au personnage d'Adrienne, tout en étant un peu accablé par son attitude et ses choix. Julien Green laisse en suspend quelques interrogations, par exemple sur le lien réel de Germaine, la grande soeur, avec sa cadette. On imagine aussi le père Mesurat détenteur de lourds secrets. Ce roman, paru en 1927, m'a fait une grande impression.
Lien : https://leslecturesdantigone..
Commenter  J’apprécie          140

Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Elle marchait avec lenteur, peu soucieuse de retourner à sa chambre, et, comme elle passait devant un café, un ouvrier en sortit. C’était un jeune homme. Elle eut le temps de voir son visage violemment éclairé par la lumière blafarde, ses yeux dont le blanc brillait, ses joues imberbes, un peu maigres. Il s’arrêta en la voyant et la regarda, les mains aux poches. Elle traversa aussitôt et se mit à marcher un peu plus vite, lorsqu’elle l’entendit venir derrière elle. (…) Un instant, elle eut l’idée d’appeler au secours, mais la crainte du ridicule l’en empêcha. De même, elle n’osait courir ; cela donnerait plus d’audace, peut-être, à cet homme. Elle pressa le pas, fit de grandes enjambées et, au lieu de continuer tout droit jusque sur la place, prit une ruelle, la première qu’elle rencontra à sa droite.
Ce fut là qu’il la rejoignit. Elle se retourna brusquement, le dos au mur et souffla : « Allez-vous- en ! » Mais il se tenait immobile devant elle. Sa casquette posée de côté sur sa tête laissait échapper des cheveux noirs qui luisaient comme du métal. Ses traits étaient fortement marqués, ses yeux noirs autant qu’on pût en juger. Une cravate rouge flottait lâchement autour de son cou dont elle accentuait la blancheur. Il rit à voix basse.
« De quoi avez-vous peur ? » demanda-t-il.
La main d’Adrienne se crispa sur son parapluie. Elle reprit :
« Laissez-moi tranquille, ou j’appelle. »
Le jeune homme la regarda une seconde, puis haussa les épaules.
« Je ne voulais pas vous faire de mal », dit-il.
Et il s’en alla. Elle l’entendit qui s’éloignait en sifflant une valse à la mode. Tout d’abord, elle se félicita de s’être si bien tirée d’affaire, puis brusquement un regret immense l’envahit. Dans sa solitude quelqu’un était venu à elle et elle l’avait repoussé. Etait-ce parce qu’il portait une cotte et qu’il l’avait abordée sans la connaître ? Ah ! qu’est- ce que cela pouvait faire? Elle se souvint de sa voix un peu grave, presque tendre, comme de quelque chose de déjà si loin que jamais elle ne pourrait le retrouver. Si cet homme revenait, elle lui parlerait sûrement, mais reviendrait-il ? Ne l’avait-elle pas découragé ?
Commenter  J’apprécie          30
Le coeur humain est ainsi fait. Il laisse s'écouler de longues années et ne songe pas un instant à se mutiner contre son sort, puis il vient un moment où il sent tout d'un coup qu'il n'en peut plus et qu'il faut tout changer dans l'heure même et il craint de tout perdre s'il diffère d'un seul jour cette entreprise dont la veille encore il n'avait pas l'idée.
Commenter  J’apprécie          70
Des années s’écoulèrent ainsi dans une monotonie profonde. (…) Une distraction était impossible, et, comme si elle obéissait à un ordre tacite, Adrienne en vint peu à peu à disposer de son temps suivant un mode précis et d’une façon aussi rigoureuse que dans un couvent. Elle aussi connut le besoin d’accomplir sa tâche à un instant donné, mais, par une contradiction singulière, cela lui déplaisait, et elle ressemblait à une religieuse qui n’a plus la foi, mais qui conserve pour la règle une espèce d’attachement irrité, parce que c’est la règle qu’elle s’est choisie.
Commenter  J’apprécie          41
Il fallait qu'elle vît partir Mme Legras pour se rendre compte à quel point la compagnie de cette femme odieuse lui était nécessaire. Elle n'essayait même pas de s'expliquer une contradiction monstrueuse, elle la subissait comme on subit quelque chose que l'on ne se sent pas la force de combattre. En quoi cela pouvait-il l'aide de connaître l’origine et la nature de sa servitude, de savoir ce qui l'obligeait à rendre visite à Mme Legras tous les jours? Elle préférait ne pas s'interroger.
Commenter  J’apprécie          40
Certaines heures semblent impossibles à vivre. Il faudrait pouvoir les sauter, les omettre et rejoindre la vie un peu plus loin. Pourquoi souffrir toutes ces angoisses ? Elles ne rendent pas meilleur, n'apportent pas de solution aux difficultés présentes, elles sont stériles et ne font que durcir le coeur.
Commenter  J’apprécie          60

Videos de Julien Green (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Julien Green
"[…] les auteurs d'aphorismes, surtout lorsqu'ils sont cyniques, irritent ; on leur reproche leur légèreté, leur désinvolture, leur laconisme ; on les accuse de sacrifier la vérité à l'élégance du style, de cultiver le paradoxe, de ne reculer devant aucune contradiction, de chercher à surprendre plutôt qu'à convaincre, à désillusionner plutôt qu'à édifier. Bref, on tient rigueur à ces moralistes d'être si peu moraux. […] le moraliste est le plus souvent un homme d'action ; il méprise le professeur, ce docte, ce roturier. Mondain, il analyse l'homme tel qu'il l'a connu. […] le concept « homme » l'intéresse moins que les hommes réels avec leurs qualités, leurs vices, leurs arrière-mondes. […] le moraliste joue avec son lecteur ; il le provoque ; il l'incite à rentrer en lui-même, à poursuivre sa réflexion. […]
On peut toutefois se demander […] s'il n'y a pas au fond du cynisme un relent de nostalgie humaniste. Si le cynique n'est pas un idéaliste déçu qui n'en finit pas de tordre le cou à ses illusions. […]" (Roland Jaccard.)
0:14 - Bernard Shaw 0:28 - Julien Green 0:45 - Heinrich von Kleist 1:04 - Georges Henein 1:13 - Ladislav Klima 1:31 - Michel Schneider 1:44 - Hector Berlioz 1:55 - Henry de Montherlant 2:12 - Friedrich Nietzsche 2:23 - Roland Jaccard 2:37 - Alphonse Allais 2:48 - Samuel Johnson 3:02 - Henrik Ibsen 3:17 - Gilbert Keith Chesterton 3:35 - Gustave Flaubert 3:45 - Maurice Maeterlinck 3:57 - Fiodor Dostoïevski 4:08 - Aristippe de Cyrène 4:21 - Générique
Vous aimerez peut-être : DICTIONNAIRE DU PARFAIT CYNIQUE #3 : https://youtu.be/A6¤££¤86S'IL N'Y AVAIT DE BONHEUR QU'ÉTERNEL83¤££¤ DICTIONNAIRE DU PARFAIT CYNIQUE #1 : https://youtu.be/PAkTz48qZrw NI ANGE NI BÊTE : https://youtu.be/aBUASQxO9z4 S'IL N'Y AVAIT DE BONHEUR QU'ÉTERNEL... : https://youtu.be/bHCEHBhdLLA LES CHIENS CÉLESTES : https://youtu.be/zZ-0H1qTlJg PETITE FOLIE COLLECTIVE : https://youtu.be/Ge4q_tfPWjM AD VITAM AETERNAM : https://youtu.be/YjvEBidvMXM QUE SUIS-JE ? : https://youtu.be/sbWh58UeGvE LA LUCIDITÉ POUR LES NULS : https://youtu.be/mMXwZq9N2kk Philosophie : https://www.youtube.com/playlist?list=PLQQhGn9_3w8pT0¤££¤55Attribution-NonCommercial95¤££¤9ptGAv
Référence bibliographique : Roland Jaccard, Dictionnaire du parfait cynique, Paris, Hachette, 1982.
Images d'illustration : Marquise de Lambert : https://de.wikipedia.org/wiki/Anne-Thérèse_de_Marguenat_de_Courcelles#/media/Datei:Anne-Thérèse_de_Marguenat_de_Courcelles.jpg George Bernard Shaw : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Bernard_Shaw#/media/Fichier:G.B._Shaw_LCCN2014683900.jpg Julien Green : https://www.radiofrance.fr/franceculture/le-siecle-d-enfer-de-l-ecrivain-catholique-et-homosexuel-julien-green-8675982 Heinrich von Kleist : https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_von_Kleist#/media/Fichier:Kleist,_Heinrich_von.jpg Georges Henein : https://www.sharjahart.org/sharjah-art-foundation/events/the-egyptian-surrealists-in-global-perspective Ladislav Klima : https://www.smsticket.cz/vstupenky/13720-ladislav-klima-dios Michel Schneider : https://www.lejdd.fr/Culture/Michel-Schneider-raco
+ Lire la suite
autres livres classés : romanVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (406) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (2 - littérature francophone )

Françoise Sagan : "Le miroir ***"

brisé
fendu
égaré
perdu

20 questions
3608 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , littérature française , littérature francophoneCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..