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Nightside tome 2 sur 3

Gregory Bouet (Traducteur)
EAN : 9782352940609
252 pages
Bragelonne (22/06/2007)
3.99/5   37 notes
Résumé :
Dans le Nightside, le cœur maléfique du Londres surnaturel, tout le monde me connaît. Je suis John Taylor, l'homme qui trouve n'importe quoi. Même les choses les plus dangereuses. Tenez, en ce moment je suis chargé de retrouver le Graal Impie, la coupe de Judas. Cette relique confère un pouvoir absolu qui vous corrompt en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "Crucifixion". Bien entendu, je ne suis pas tout seul sur l'affaire. Des anges, des démons, des saints et... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
La séquence prégénérique nous montre la confrontation au sein de l'église fortifiée de Saint-Jude entre John Taylor et sa cliente du jour, Jessica Douleur l'Apostat, la version gothique et psychopathe de Supergirl. Ce n'est qu'un amuse gueule.
Les agents du Très Haut et du Très Sombre mettent le Nightside sans dessus dessous pour retrouver le Graal impie, et John Taylor ne peux pas utiliser ses pouvoirs pour les contrer, sous peine de se faire repérer… C'est donc parti pour une bonne vieille enquête à l'ancienne où tout est prétexte à une chasse au trésor très pulpienne et chaque péripétie / indice / indic mène tout naturellement aux péripéties / indices / indics suivants.
C'est plus rythmé et plus homogène que dans l'épisode pilote intitulé "Vieux Démons", car on va ici à 100 à l'heure ! On va même un peu trop vite, et j'aurais aimé qu'on accorde plus de pages à Jessica Douleur, Jack, Belle ou Cathy… Certes oui le cheminement et l'intrigue sont linéaires, mais on s'en fout ce qui importe c'est le musée des horreurs mis en scène par l'auteur et leurs confrontation avec le fils de Celle-qui-ne faut-pas-nommer et Suzie la Mitraille, aka Shotgun Suzie, "Oh Christ it's her, RUN !" et "Just Shoot Yourself In The Head And Get It Over With".
Encore que, le vrai kiffe avec cette série c'est humour décapant du narrateur : ah ça, le traducteur Grégory Bouet s'est fait plaisir ! ^^

Les anges et les démons veulent le Graal impie pour hâter la venue du Jugement Dernier, le Vatican et la Mafia pour le mettre à l'abri, Howard Hughes et le Collectionneur pour se la péter…
Tandis que le seigneur des Épines, le Comte Vidéo, le roi Charnel et Carnage organisent une ligne de défense face à l'invasion angélique, nos Bonnie and Clyde urban fantasy sévissent eux-aussi : les Demon Lordz, les nazis du IVe Reich, la Tare Académie (une version maléfique des boys bands à la 2Be3), Jack L'Ordure Cosmique, l'Ordre des Guerriers saints vont en faire pour leurs frais... Et il faudra aussi compter avec les agents de tel ou tel camp comme Marilyn Monroe, le Verbe armé tout droit sorti d'un cauchemar de David Cronenberg, la Belle Dame sans Merci (c'est son nom en VO ! ^^), alter ego féminin du Sylar de la série "Heroes", et les cybermen félidés du Collectionneur…

C'est "Indiana Jones et la dernière croisade" écrite à 4 mains par Michel Audiard et Raymond Chandler. Ou "Supernatural" écrit par Neil Gaiman, ou "Chapeau melon et bottes de cuir" écrit par Clive Barker (auquel on emprunte ici quelques trucs issus des "Livres de sang"), voire même un revival horrifique du célèbre Terry Pratchett. Quel joyeux foutoir jouissif : c'est génial ! Gaiman, Barker, Pratchett et l'auteur se connaissant IRL, ce n'est pas vraiment surprenant finalement. Et il y a toujours ce côté "Dr Who" Hard Boiled supracool : l'aide d'Alex Morrissey, le dernier descendant d'Arthur Pendragon, d'Eddie le Razoir, de Merlin Fils de Satan et du Juif Errant ne seront pas de trop pour s'en sortir vivant…

Et mine de rien, on en apprend un peu plus sur les passés de John, Suzie, Walker et les révélations apportées à la fin du roman montrent qu'on est dans un détournement du "Vicomte de Bragelonne" :


Ah vivement le prochaine épisode intitulé "La Complainte du Rossignol" !

Lien : http://www.chemins-khatovar...
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So british assurément ! Je découvre Simon R Green avec ce cycle des aventures de John Taylor, un privé un peu particulier, puisqu'il est natif du Nightside.
Mais qu'est-ce au juste que le Nightside ? A l'image de ce que peut proposer un Neil Gaiman dans "Neverwhere", le Nightside est une version magique de Londres, un quartier se situant dans une dimension à part, mais dont les limites touchent en plusieurs points celles du Londres ordinaire. S'y retrouvent toutes sortes de créatures, issues de divers mondes, mythes et époques...A l'image de son double, le Nightside est cosmopolite à souhait, et pas toujours pour votre plus grand bonheur^^. Il faut également savoir qu'il fait toujours nuit dans cet univers incertain.

Dans ce tome 2, John Taylor est chargé par Jude, bibliothécaire occulte du Vatican, de retrouvé le Graal Impie, la coupe utilisée par Judas, lors du dernier repas. Vous l'aurez compris c'est un anteGraal qui est l'essence même du mal. Plusieurs tyrans, à travers le temps, l'ont possédé, dont Hitler par exemple.
Le problème c'est que la nouvelle du retour de la coupe maléfique s'est rapidement propagée, et des nuées d'anges servant le Très Haut et le Très Sombre sont prêtes à mettre le Nightside à feu et à sang, afin de récupérer l'artefact maudit. Taylor aura bien besoin de l'aide de ses potes un peu particuliers (Eddie le Rasoir, Alex Morissey, Suzie la Mitraille...) pour mener cette enquête à bien, d'autant plus qu'il ne peut utiliser son "troisième oeil", sous peine d'être immédiatement repéré par un camp ou l'autre.

On retrouve dans cette épisode tous les ingrédients qui ont fait l'intérêt du premier tome, mais en plus rythmé et plus condensé : l'imagination fertile de l'auteur, le mélange humour / horreur (au passage, l'humour est ici encore bien plus présent et, sans atteindre ce niveau, on peut parler de cousinage avec Pratchett), les personnages sympathiques. Des bribes de leur passé nous sont livrées, notamment en ce qui concerne Suzie. Par contre, quel dommage que Simon R Green n'est pas fait davantage de place à Cathy, la nouvelle "secrétaire" de Taylor (rencontrée dans le tome précédent). Les expression bien senties (d'aucun qualifierait ça de "punchlines") sont légions et on se régale à enchaîner les scènes d'action, entrecoupées de passage plus humoristiques, le tout nappé de cette sauce horrifique du meilleur effet.

Certes, tous ça n'a pas la qualité ni la classe d'un Terry Pratchett, mais c'est quand même bien agréable et "Nightside "possède véritablement sa patte (de démon). Et puis c'est tellement rapide à lire que ceux qui hésitent auraient bien tort de se priver.
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Très bon tome 2 ! le titre est assez génial, et décrit somme toute plutôt bien tout le paradoxe du "Nightside"...

Niveau style, toujours le même défaut (pas rédhibitoire, la preuve, je l'ai déjà fini ce tome 2), des phrases "explicatives" dont on se passerait tout aussi bien.

Suzie Bang-Bang (surnommée aussi "Oh ! Mon Dieu ! C'est elle ! Fuyez !", mdrrrr) est un personnage à égalité avec John Taylor dans ce tome-ci, pour mon plus grand bonheur. Comme je disais ailleurs, il y a un côté outrancier dans ces bouquins qu'on ne trouve pas souvent en lecture... C'est vraiment déjanté, c'est vrai que j'ai plus apprécié dans ce tome 2.

L'ambiance est apocalyptique, c'est le cas de le dire, et à côté de l'horreur, on a le rire, ce qui est un mélange détonnant ! Je pense que vu que la série n'a pas été continuée en français (comme pour les dossiers Dresden, que je m'en vais continuer en anglais), on n'aura jamais le fin mot de l'histoire de la mère de Taylor, qui n'est pas "vraiment humaine" mais dont on ne sait rien, comme lui. Ce qui l'énerve beaucoup d'ailleurs, il a une fâcheuse tendance à péter les plombs quand on lui parle de sa famille...

Et qui est à la limite de l'honnêteté pour nous, pauvres consommateurs pieds et poings liés aux lois du marché de l'édition française... Grumpf ! Enfin vous voilà prévenus, si vous entrez dans le Nightside (en français), vous ne pourrez en ressortir que frustrés. Ce qui est mieux que ce qui arrive à la plupart de ce qui y entrent...
Sur ce je continue avec le dernier tome (français) (mais yen a 12 en anglais).
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Ce second volume reste fidèle au précédent. On retrouve quelques connaissances déjantées (et déglinguées), on rencontre de nouveaux personnages tout aussi tordus et l'enquête de John Taylor se déroule à 100 à l'heure, sans nous laisser une seconde de répis ; pour ma part, je ne me suis pas ennuyée un seul instant. Je craignais une certaine lassitude maintenant que l'effet de surprise s'est évaporé et que l'on commence à connaître le Nightside, mais L'envers vaut l'endroit parvient à créer de nouvelles situations folles et glauques à souhait. L'humour noir fait toujours mouche. Contrairement au premier, un des éléments centraux du récit n'est pas éventé trop vite par des indices trop évidents. Enfin, le bouquin nous en apprend un peu plus sur l'identité de la mère de John, et j'espère que le volume 3 et/ou le 4 continueront d'éclaircir les choses. Car il est difficile de croire que John va en rester là maintenant qu'il sait à qui poser les questions...

Des regrets ? le roman est court, ce qui est à la fois bien et mauvais. On le dévore vite et, comme je l'ai déjà dit, on n'a pas une seconde de répit. Mais en même temps, j'ai trouvé que certaines ficelles étaient un peu faciles ou que la structure souffrait du syndrome "jeu vidéo". John va à tel endroit, trouve un personnage qui sait quelque chose ou un indice bien visible, parfois les deux, personnage ou indice qui l'amène(nt) dans un nouvel endroit, avec un nouvel indice bien visible, etc... Entre-deux s'intercalent quelques boss de fin de niveau. Certes, c'est aussi un roman de détective mais j'ai parfois eu le sentiment que c'était un peu artificiel et facile, et tout particulièrement lorsque le héros est remis sur la bonne piste par l'intervention de personnages secondaires plus ou moins bienveillants ou plus ou moins intéressés. On n'est pas tout à fait dans le Deus Ex Machina répété, mais presque.
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Choisir un livre pour découvrir un auteur n'est jamais une tâche aisée pour moi car fonctionnant au coup de coeur, il est de fortes chances que je passe à côté de certains simplement parce que mon premier choix ne m'a pas convaincu. Mon premier choix concernant Simon R Green porte sur ce Nightside volume 2, découvert au hasard de mes flâneries dans les rayons de ma bibliothèque favorite. le hasard ne fait pas toujours les bonnes choses puisque force est de constater que ce tome me laisse sur ma faim.
Certes j'ai apprécié l'univers proposé, les personnages bien que peu fouillés, et l'histoire qui se déroule à fond la caisse. L'auteur ne s'embarrasse pas des détails et va à l'essentiel; seule son histoire compte ainsi que son dénouement auquel on parvient très vite. le livre est court et vite lu. Mais il est vite lu car le style de l'auteur est fluide et agréable. Il sait nous plonger au coeur de son récit et nous permettre de lâcher le livre qu'à la dernière page.
J'aurai aimé des personnages plus approfondis et des révélations autrement plus intéressantes concernant Taylor, le personnage principal. J'ai donc plutôt été déçu sur ce plan là.
Mais il faut apprécier ce livre pour ce qu'il est; le rythme voulu par Green est incompatible avec des descriptions longues et détaillées. La psychologie des personnages se dessinent au détour des dialogues, nombreux, et l'univers se profilent au rythme des descriptions fugaces.
Je compare ce bouquin à un film d'action. On est là pour en prendre plein les yeux, et on ne fait pas dans le sentimentalisme ou le contemplatif. Donc de ce côté là, l'objectif est atteint.
Mais je suis plus adepte de gros pavé et de longs cycles, et même si je suis un peu déçu par ce livre, il a eu le mérite de me permettre de respirer un peu avant de replonger dans un gros calibre. Quelques fois, un bouquin qui se lit en une soirée ou deux, ça fait du bien....
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Citations et extraits (49) Voir plus Ajouter une citation
Le Collectionneur nous entraîna dans l’une des allées qui, pour un œil non averti, ressemblait à toutes les autres. Nous le suivîmes en faisant des grimaces dans son dos, mais sans nous laisser distancer. Des centaines de passages se croisaient pour former un labyrinthe où il était facile de se perdre. Mes yeux couraient sur les caisses que nous dépassions. Certaines portaient des légendes et des numéros de référence. Sur une des légendes on pouvait lire « Expédition en Antarctique 1936, ne pas ouvrir jusqu’au retour des Grands Anciens ». En dépit de la chaleur générale de l’entrepôt, la caisse était couverte de givre. Il y avait une autre boîte beaucoup plus grande avec la mention « Roswell 1947 ». Elle avait des trous d’aération, et quelque chose grogna à l’intérieur, quelque chose de pas content du tout. Un peu à l’écart, une des caisses flottait à quelques centimètres du sol. Je ne savais pas ce qu’il avait dedans, mais ça puait. Suzie attira mon attention sur une petite boîte qui sursautait violemment ; elle semblait suer le point d’exploser.
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A son crédit, elle avait toujours été prête à affronter n’importe qui, n’importe où, et elle n’avait jamais perdu. Cela surtout grâce aux trophées pris sur ses victimes et dont elle s’était équipée. Elle portait une fourrure de loup-garou, épaisse, grise et un peu hirsute. Elle avait écorché le monstre elle-même et elle en arborait la peau avec le crâne évidé rabattu sur la tête comme une capuche. Les longues canines entaillaient son front, juste au-dessus des yeux.
Ce n’était pas un simple accessoire vestimentaire, les pouvoirs de Belle maintenaient la peau en vie et la liaient à son propre système nerveux. Elles avaient fusionné, c’était sa fourrure à présent, et elle en avait hérité les pouvoirs de régénération. Sa cuirasse avait été taillée dans des écailles de dragon, et elle était pratiquement impénétrable. Ses gants blancs étaient faits en peau de vampire, écorché par la belle en personne. De grosses griffes de goule émergeaient de l’un de ses mains ; elles s’étaient fondues dans ses doigts. Les grandes bottes étaient une nouveauté. Je ne savais pas d’où elle les sortait. La capacité de Belle à fusionner avec ses trophées la rendait pratiquement immortelle.
Belle savait s’entourer.
La plus étrange était encore que les deux côtés de son visage ne se ressemblaient pas. L’un était bien plus sombre. Une de ses victimes était parvenue à lui arracher la moitié de la face. Après l’avoir tuée, Belle avait prélevé la moitié de son visage pour réparer le sien. La nouvelle peau était plus jeune, plus souple. Parfaite.
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Les vampires, dans leurs costumes impeccables, cadraient parfaitement avec le décor. Ils buvaient discrètement du sang à la paille dans des thermos qu’ils se passaient entre eux. A côté d’eux, les momies semblaient d’autant plus sales, avec leurs bandages jaunis soulevant des nuages de poussière à chaque applaudissement. Les loups-garous s’étaient regroupés pour hurler avec la musique, et leur mâle alpha était superbe dans son blouson en peau humaine. Dans le dos, on pouvait lire qu’il était le « Chef de meute ». Les goules restaient dans leur coin et rongeaient des doigts transportés dans du papier aluminium. Les zombies étaient bien droits, et ils applaudissaient doucement en faisant bien attention de ne rien perdre par la même occasion. Ils se tenaient le plus loin possible des goules. Chez les fantômes, on passait des contours parfaits à des formes brumeuses si vaporeuses que leurs mains se traversaient quand elles tentaient d’applaudir. D’autres devaient déployer des trésors de concentration pour éviter de se fondre dans leurs chaises.
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L’odeur me frappa en premier. L’effluve de chevaux au travail, l’odeur des chiennes en chaleur, la puanteur des tripes arrachées. J’ouvris complètement l’étui. Lové sur son lit de velours noir reposait le pistolet le plus laid que j’ai jamais vu. C’était un assemblage de chair et d’os, incrusté de tendons noirâtres et de cartilages veineux, le tout ajusté avec des lambeaux de chair pâle. Un engin de mort façonné avec des tissus vivants. Une peau couverte de tâches de rousseur recouvrait les morceaux d’os qui faisait office de crosse. La peau rougit et j’eus l’impression qu’elle transpirait. La gâchette était une longue canine et le canon, un tube de viande luisant d’humidité.
- C’est bien ce que je crois ? souffla Suzie.
J’avalai péniblement ma salive.
- Ça correspond à la description, murmurai-je.
- Le Verbe armé.
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La Tare Académie avait le sens du spectacle. Ainsi, vous pouviez éprouver la peur de voir vos couilles rapetisser avant de disparaître, la peur d’entendre subitement tout le monde parler avec l’accent belge, la peur de voir des gens vous montrer leurs photos de vacances et la peur de ne pas retrouver vos clefs de voiture.
Tout cela aurait pu tourner à la blague si je n’avais pas vu l’un des clients se peler lentement la peau du bras en essayant de chasser les insectes qui la recouvrait. Un autre s’arracher les yeux, puis les piétiner plutôt que de continuer à subir les visions qu’ils lui communiquaient. Certains se convulsaient, victimes de crises cardiaques. Les Académiciens contemplaient leur œuvre et riaient. Ils n’en finissaient plus de rire.
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