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Anne Damour (Traducteur)
EAN : 9782226221346
439 pages
Albin Michel (18/05/2011)
  Existe en édition audio
3.7/5   228 notes
Résumé :

Désespérée par l’enlèvement de son petit garçon dans Central Park deux ans plus tôt, Alexandra « Zan » Moreland, belle et talentueuse architecte d’intérieur, découvre avec effroi qu’elle est soupçonnée d’avoir organisé le kidnapping de l’enfant.

Traquée par la police et les médias, Zan n’arrive pas à comprendre qui a intérêt à la faire accuser.

Malgré la peur, malgré les doutes, la jeune femme, persuadée que son fils est t... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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Ça se lit bien, ça se lit vite, l'histoire a beaucoup de potentiel, mais il y a un gros hic : au bout de 30 pages environ, on comprend tout !
La fluidité de l'écriture permet de tenir le rythme quand même, mais je trouverais ça encore mieux s'il y avait réellement du suspens !
Et puis on y retrouve quand même un sacré paquet de clichés du "thriller de gare" : une trentenaire active et accomplie, plutôt jolie, célibataire bien sûr, qui vit un cauchemar ; des flics qui ne traitent pas une piste sous prétexte que le coupable est tout trouvé ; un mec forcément riche et beau qui tombe amoureux de l'héroïne ; et à la fin, tout est bien qui finit bien ! Sans compter que le vrai coupable est souvent celui dont on parle le moins... Quand on a compris ça, ça casse tout !
Bref, lecture potable, mais je ça ne me donne pas envie de relire un roman du même auteur.
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Mary Higgins Clark n'est plus mon auteur de polars préféré depuis longtemps mais je continue à la lire avec un certain plaisir. Je pense que quand on en a lu un, on a tout lu, mais ses romans sont agréables et faciles à lire. Ce sont des polars gentils sans grandes effusions de sang.

Le thème peut être différent dans chaque roman mais la trame est la même. Ici, il s'agit d'usurpation d'identité.

Ce roman est le 37e que je lis de l'auteur.

Deux ans plus tôt, Matthew, le petit garçon de Zan Moreland, décoratrice d'intérieure en passe de devenir une célébrité dans son domaine, a disparu. Les recherches n'ont rien donné. Pas de demande de rançon, aucune trace du petit garçon. Nul ne sait s'il est vivant ou mort. Nul, à part ses ravisseurs, dont Glory qui rêve de devenir comédienne et qui imite à la perfection les stars à la mode.

C'est Glory qui détient Matthew et la jeune femme, à l'occasion, se fait passer pour la mère du petit. C'est d'ailleurs "perruquée" et habillée comme Zan qu'elle a kidnappé le petit.

Deux ans plus tard, des photos de l'enlèvement paraissent dans la presse. Les inspecteurs n'ont plus aucun doute : c'est Zan elle-même qui a kidnappé son enfant. Mais qu'en a-t-elle fait? Où l'a-t-elle caché? L'a-t-elle tué?

Zan clame son innocence; elle est persuadée que quelqu'un a usurpé son identité, mais personne ne la croit, pas même ses amis qui croient plutôt à un dédoublement de personnalité...

Partant du principe que le coupable est toujours celui qu'on attend le moins, j'ai hésité entre deux hommes. le coupable est l'un des deux, mais l'histoire n'est pas très crédible à mes yeux. J'aurais préféré que ce soit l'autre...
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Un tourne-page efficace, certes, mais vite oublié. La clé étant donnée dès les premiers chapitres , la lecture suit son train-train, rebondissements attendus, personnages stéréotypés, clichés à foison: la jeune femme active courageuse, si séduisante, le méchant décorateur qu'elle concurrence (ah, oui, parce que, en prime, visite guidée des appartements chics sur Central Park), le prêtre tenu au secret de la confession, le beau, gentil, honnête, bienveillant promoteur immobilier (oui, il faut un mariage à la fin, ce n'est même pas dévoiler quoi que ce soit, tant les ficelles sont grosses). Et puis comme il se doit, le coupable est celui que l'on ne doit pas attendre (mais bon, même si je ne suis pas une boulimique de polars, la technique est éculée...). Un ""roman de train": de quoi faire patienter , c'est déjà une qualité.
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Cela faisait des années que je n'avais pas lu un livre de MHC ! J'ai décidé de relire ceux que j'avais, qui n'étaient plus très frais dans ma mémoire..

Un bon livre, loin d'être un coup de coeur, et d'être le meilleur si je me souviens bien.
J'ai apprécié retomber dans sa façon d'écrire. Ce qui a été un réel point positif pour moi étaient les nombreux chapitres présents. Présentant chacun un des personnages, un point de vue concernant l'intrigue.

L'intrigue quant a elle n'est a mon sens pas très présente. En effet, assez rapidement nous comprenons qu'il s'agit d'une usurpation d'identité et que finalement la question du "est-il vivant" est vite éclaircie.
Cependant, nos soupçons concernant le protagoniste a l'origine de l'intrigue perdurent au fil des pages, même si lorsque l'on le connait, on se dit que nos doutes étaient fondés.

En résumé, un livre non prise de tête et agréable a lire que je recommande entre deux lectures un peu plus poussées, un peu plus intriguantes.
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Avant la lecture de ce roman, j'avais quelques appréhensions sur la qualité de l'intrigue. Mes appréhensions se sont confirmées sur les premiers chapitres car le style y est très léger et les dialogues sont parfois grotesques.

Néanmoins, ces mauvaises impressions, se sont vite envolées. J'ai lu ce roman avec beaucoup de plaisir. En effet, le suspens demeure tout au long des pages, si bien qu'on ne peut pas lâcher le livre avant de connaître le dénouement. le lecteur s'identifie facilement à Alexandra Moreland.

Dès le départ, le lecteur est averti qu'il s'agit d'une usurpation d'identité mais qui est le mystérieux chef d'orchestre et jusqu'où ira cette machination infernale ? Mary Higgins Clark réussi à semer le doute, c'est donc un bon thriller.

Autre remarque, ce roman sur l'usurpation d'identité est une commande de l'éditeur, Mary Higgins Clark le précise dans les dernières pages. Ce côté commercial du livre me déplaît beaucoup car l'idée ne vient pas de l'auteur mais de l'éditeur, c'est dommage.
Lien : http://lilasviolet.blogspot...
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critiques presse (1)
LesEchos
29 juin 2011
Dommage : Mary Higgins Clark est devenue « tout public ». Et même si son dernier livre se dévore avec plaisir, le lecteur fidèle regrettera sa perversité d'antan, cette noirceur morbide qui donnait une étrangeté troublante à ses thrillers.
Lire la critique sur le site : LesEchos
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
- Tu m'as épousée pour prendre soin de moi, et je t'ai récompensé en laissant ton fils entre les mains d'une baby-sitter inexpérimentée qui ne l'a pas empêché de disparaître...Ted, quoi tu dises, je ne cesserais de m'en accuser. Toutes ces agences de détectives que j'ai engagées et qui n'ont servi à rien…
- C'était de l'argent jeté par la fenêtre, Zan. Le FBI enquête toujours, ainsi que la police de New York. Tu t'es laissé berner par des charlatans. Sans parler de cet illuminé de voyant qui nous a fait parcourir Alligator Alley, au sud de la Floride.
- Je ne pense pas que tout ce qui pourrait nous aider à retrouver Matthew soit une perte d'argent. Même si je dois consulter la totalité des agences détectives répertoriées dans l'annuaire du téléphone. Peut-être trouverai-je un jour la personne qui nous mettre sur la bonne piste.
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Moins d'une minute plus tard, la porte s'ouvrit et le petit Matthew Carpenter s'immobilisa et regarda autour de lui. Zan courut vers lui et tomba à genoux. Tremblante, elle l'enveloppa dans la robe de chambre.
D'un geste hésitant, Matthew tendit la main vers la boucle de cheveux qui retombait sur le visage de sa mère et la tint contre sa joue. "Maman, murmura-t-il, tu m'as manqué."
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Je sais qu'un meurtre va être commis, et je ne peux pas l'empêcher. Je n'aurais jamais dû venir ici. Bénissez-moi mon père parce que j'ai pêché. Je confesse avoir participé à un acte criminel et être complice d'un meurtre imminent. Vous l'apprendrez sans doute par les journaux. Je ne voulais pas y être mêlée, mais il est trop tard.
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Des bribes de son rêve lui revinrent. C'était toujours les même images : elle était a la recherche de Matthew dans Central Park, elle l'appelait, le suppliait de répondre. Il aimait tant jouer a cache cache.
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Penny trouva la clé et courut vers la penderie. Elle l’ouvrit doucement. Le petit garçon avait visiblement entendu le coup de feu car il était recroquevillé dans un coin, terrifié. La lumière était allumée. Penny l’avait suffisamment vu en photo dans les journaux pour être sûre que c’était Matthew.
Avec un grand sourire, les larmes lui montant aux yeux, elle se pencha, le souleva et le tint serré contre elle. « Il est temps de rentrer chez toi maintenant, Matthew. Maman t’a cherché partout. »
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Videos de Mary Higgins Clark (31) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mary Higgins Clark
Extrait du livre audio « Les Enfants du guet » de Mary Higgins Clark et Alafair Burke, traduit par Anne Damour et Amélie Juste-Thomas, lu par Valérie Lemaître. Parution CD et numérique le 5 juillet 2023.
https://boutique.audiolib.fr/produit/1259/9791035413675/les-enfants-du-guet
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