« Ce sont ces pauvres femmes, dont Sandrine Rousseau semble la plus paradigmatique, qui seraient restées anonymes si cette révolution ne leur avait pas permis d’attiser la haine et la vengeance des opprimés pour en tirer des profits personnels. Grâce à cette révolution, ces femmes-là obtiendront des postes importants, gagneront de l’argent en formant la population contre les prédateurs, en écrivant des livres chocs sur les stars qui les auraient violées, en dénonçant les hommes puissants auxquels elles voudraient ressembler. »
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Selon l’auteur, la moderne inquisition wokiste ne met l’accent sur la répression des violences sexistes et sexuelles que pour mieux escamoter le véritable problème, à savoir le plaisir des femmes :« Si les militantes féministes dédaignent cette question, c’est parce que, dans leur schéma politique, ce qui compte c’est non pas qu’elles jouissent mais seulement et uniquement qu’elles consentent. »
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« Depuis l’explosion du mouvement #MeToo (2017), les sociétés démocratiques ont organisé une croisade inédite contre la sexualité qui a pris l’allure d’une révolution, celle des femmes […] Sauf que cette croisade actuelle est beaucoup plus sévère que les anciens interdits d’origine religieuse. »