Disons-le d'emblée, ce petit essai d'
Alain Jugnon est une sorte de gros coup de pied dans la fourmilière — et aux fesses. Une invitation (ou plutôt un appel vigoureux) à réfléchir à tout ce qu'on lit, entend, voit, pour s'opposer au retour plus ou moins insidieux de la pensée fasciste telle que la définit l'auteur. La droite en prend pour son grade, mais la gauche aussi, et les monothéismes, n'en parlons même pas. Les attaques se font nommément :
Alain Finkielkraut et
Renaud Camus,
Michel Onfray,
Michel Houellebecq, divers journalistes (radio en particulier), tiennent compagnie à
Nicolas Sarkozy,
Emmanuel Macron,
Manuel Valls,
etc. Tous sont régulièrement apostrophés
et critiqués au fil des entrées qui composent l'ouvrage, sorte de «journal de cette dérive [celle de la pensée renouant avec le fascisme], de ce voyage au bout de leur nuit», débuté après les attentats du 7 janvier 2015 et poursuivi jusqu'en 2017.
La suite de la critique est disponible sur mon blog !
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