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EAN : 9782812615412
128 pages
Editions du Rouergue (15/11/2017)
3.66/5   121 notes
Résumé :
Placé dans un internat pour garçons difficiles, Erwan est envoyé en stage dans un centre équestre, après une fugue. Ce garçon métis, né d'un père sénégalais et d'une mère bretonne, est habitué à se battre, à la moindre remarque sur sa couleur de peau. Et il rêve de devenir boxeur. Face à Gilbert, le directeur du centre, qui lance des blagues racistes sans même s'en rendre compte, il va devoir apprendre à ne plus réagir au quart de tour. Un beau portrait d'adolescent... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (82) Voir plus Ajouter une critique
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Ici, nous rencontrons Erwan, un jeune de quatorze ou quinze ans, si je ne dis pas de bétises, enfin, il est en 3eme. Il se retrouve dans un internat, loin de chez lui, parce qu'il a un petit côté bagarreur qui lui apporte beaucoup de problèmes. Et il n'aime pas forcément les cours, aussi. Nous ne savons pas comment se passe ses débuts dans cet internat, nous le retrouvons au bout de six ou sept mois, et… Il n'a pas changé, il est toujours assez bagarreur, il n'apprécie pas les cours, et il veut partir. Réaliser ses rêves. Sa passion, c'est la boxe, et pas seulement pour la violence ! Il a un idole, Rubin Carter, qu'il admire et.. juste pour ça, je me suis reconnue en lui. Je connais bien les idoles, et certes, ce n'est pas le même genre d'idole que j'ai (principalement des chanteurs) mais l'admiration qu'il porte à l'Ouragan m'a rappelé mon admiration pour mes groupes préférés.
Erwan est noir. Ou métis puisque sa mère vient de Bretagne, mais dans tous les cas, il connaît bien les réflexions racistes. Il subit le racisme tout comme son père. Il n'est pas violent à cause de ça, mais vous vous doutez bien que c'est énervant pour lui, et qu'il se défends comme il le peut, ce qui est compréhensible. Il se retrouve dans une situation particulière, qui l'oblige un peu à accepter un stage dans un centre équestre
où le propriétaire est… assez raciste. C'est un personnage très

Et donc, il y a Gilbert, la personne s'occupant de ce centre équestre. Il est assez âgé, on s'en rends compte, et il a enregistré mentalement que ses réflexions racistes ne l'étaient pas. Il ne se rends pas compte de son racisme ordinaire, et c'est très énervant à lire. J'ai fermé plusieurs fois le livre, j'avais envie de le frapper. On sait qu'il a un bon fond, et qu'il s'attache à Erwan, on le voit, on le sent, mais ses réflexions sont juste insupportables. Je n'ai pas pu apprécier ce personnage, m'y attacher, contrairement à Erwan.

Cédric, ensuite, qui est…. mystérieux? Il est dans le même internat que Erwan, ils se connaissent, et font des conneries ensembles, enfin, surtout Cédric, et il entraîne Erwan avec lui. C'est un personnage pas forcément attachant, mais on se pose beaucoup de questions sur lui. On ne sait presque rien, seulement qu'il est bagarreur, qu'il n'aime pas les cours, et qu'il cherche lui aussi à partir. Il est très rusé, je crois. Mais c'est dommage qu'on ne connaisse pas plus son passé ou même ce qui se passe dans sa tête, un bouquin le concernant m'intéresserait beaucoup. Malheureusement, je n'ai pas réussi à m'attacher à ce personnage non plus.

Et puis, il y a tous les autres. Les amis racistes de Gilbert, qui donnent envie de faire une grande distribution de claques. Les parents d'Erwan, qui sont toujours présents sans vraiment l'être, son père a l'air vraiment intéressant d'ailleurs. L'oncle de Cédric, qui est un personnage attachant, on comprends vite qu'il est seul et qu'il voit bien que Cédric fait des conneries, mais il l'aide, il les aide. Bastien, qui m'a l'air d'être un bon gars, bien trop mignon, et attachant sans doute. Blandine, qui n'est pas indispensable au roman. Pardon, mais je n'avais pas envie d'une romance, et elle est légèrement sous entendu alors, voilà. Donc ce personnage, je ne m'y suis pas attaché.
Et puis, l'idole d'Erwan, Rubin Carter, qui a une grosse place dans ce roman, il est presque un personnage principal puisqu'Erwan en parle tout le temps, il y fait référence souvent. D'ailleurs, si vous ne le connaissez pas, je vous conseille de vous intéresser à son histoire, de regarder le film Hurricane (l'Ouragan) si vous avez le temps. C'est vraiment important d'en parler.

C'est donc un livre qui parle de racisme, énormément de racisme ordinaire surtout. Certaines personnes ne réalisent pas à quel point une parole peut être raciste, à quel point cette parole peut blesser. Je pense que ça peut ouvrir les yeux à beaucoup de personnes.

En bref, un livre touchant, qui m'a rappelé à quel point le racisme ordinaire peut être présent et grave. Un bouquin qui m'a fait lâcher quelques larmes d'énervement. le seul point négatif est le coup de foudre ou je ne sais quoi qui est sous entendu, mais ce n'est qu'un avis personnel.
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Récit du racisme quotidien ordinaire.

Erwan est placé en internat suite aux renvois successifs des Collèges qu'il a fréquenté. Il faut dire que ce breton à la peau noire, héritage de son père, sort ses poings à la moindre insulte.

D'ailleurs il cultive une passion pour la boxe et pour Rubin Carter, un sportif américain emprisonné à tord de nombreuses années en raison de sa couleur de peau.

Une nouvelle escapade avec son copain de galère, la bûche, l'envoie en stage d'une semaine dans un centre équestre. le soucis est que Gilbert est raciste et rempli de préjugés...

Un roman simple qui nous permet de ressentir et de partager un moment la révolte de cet adolescent catalogué au premier regard parce qu'il est noir.

Il porte en quelque sorte en lui l'histoire de tous les hommes de couleurs, de l'esclavage aux répressions policières en passant aussi par la guerre d'Algérie.

Il est une sorte de réceptacle de la bêtise des hommes qui souhaitent avant tout cataloguer l'autre en fonction de ses différences et juger en un coup d'oeil.

Un très beau roman qu'illumine Erwan par sa sensibilité et son intelligence. C'est le temps et le partage du quotidien qui permettra, en dépit des différences, la construction d'un lien.

A lire !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Un roman jeunesse sympa avec une histoire forte. Un roman bien adapté aux pré ados et ados. Surtout qu'il est court et se lit facilement.
Le parcours initiatique d'Erwan métisse qui connait échec scolaire, colère, racisme. Sa dernière chance pour retrouver un semblant de paix intérieur, se retrouver dans un internat dans un bled paumé. L'électrochoc des cultures va t'il marcher? Il suffira d'une rencontre insolite, un choc pour deux êtres pour réveiller ce jeune garçon encore trop en colère contre la vie.
Comme je le disais, un roman fort qui aborde la racisme vécu par un adolescent. La couverture parle d'elle même et d'ailleurs c'est pour elle que j'ai voulu le lire. Uppercut ce sont les poings rageurs d'un ado à chaque fois qu'il prendra de plein fouet les remarques racistes. Un monde extérieur qui va l'attaquer de toute part. Peut-on pardonner certaines personnes qui vivent dans des lieux reculés et ne réfléchissent pas à leurs paroles. En tout cas, ce roman jeunesse pousse à la réflexion que ce soit pour l'adulte ou l'ado.
J'ai un petit bémol. Mais c'est l'adulte qui parle. Je l'aurais aimé un peu plus long, un stage plus long pour voir l'évolution de cette amitié improbable entre Erwan et Marcel.
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Dans le cadre du projet Babelio, j'ai choisi de rédiger la critique littéraire d'Uppercut d'Ahmed Kalouaz. Lors de la présentation du projet par notre professeur de français, cette oeuvre m'a tout de suite attiré car elle se passe de nos jours et présente un garçon de mon âge. Dès le livre acheté, j'ai eu envie de le lire d'un coup. C'est la première fois!
Uppercut est un roman court (15 chapitres, 127 pages). Il est facile à lire car les phrases sont simples et utilisent des mots du quotidien: «Tu es à la bourre», «allez, hop, au boulot», «arrêter la glandouille» et même des mots grossiers: «la baston», «des conneries d'enfants», «ma tronche», «c'est pommé ici». Je ne me suis pas rendu compte que je lisais car c'était comme si je regardais la vie de tous les jours. Je me suis très vite mis à la place d'Erwan, le personnage principal.
Erwan a 13 ans, il est métisse et violent car depuis toujours, il encaisse les insultes racistes: «Banania», «Uncle Ben's», «chez vous…enfin, là-bas, en Afrique», «violent regard de blanc vers un noir», «un bronzé». Après plusieurs exclusions, Erwan va travailler dans un centre équestre appartenant à Gilbert. Ils travaillent ensemble de mieux en mieux bien que Gilbert et ses amis (Marcel et Fernand) continuent de l'insulter sans s'en rendre compte mais Erwan résiste. Il veut s'en sortir «J'allais pouvoir sortir de l'oisiveté» et ne plus suivre Cédric, un ami de l'internat: «Tes conneries, tu vas les faire ailleurs».
J'ai aimé ce roman car:
- J'ai vu que les insultes sont parfois plus fortes que les coups.
- J'ai compris que les gens violents ne sont pas forcément méchants mais plutôt tristes.
- Il m'a donné envie d'aider les personnes en difficultés: «Le cadeau du jour».
- J'ai appris que quand on est triste et violent, on va vers de mauvaises influences et on peut faire de mauvaises choses (fumer, voler, fuguer): «On avançait tous les deux sans savoir quand se terminerait notre escapade», «partagé entre la colère et la tristesse d'avoir perdu un ami».
- Ma phrase préférée est «l'ouragan devenait une brise légère», vous verrez bien pourquoi si vous lisez Uppercut!
Les défauts:
Il y a quelques chapitres ou paragraphes qui sont peu intéressants car ils n'apportent pas assez d'informations ou d'actions. Ils ne font pas avancer l'histoire.
Erwan est passionné par un boxeur «Ruben Carter». On retrouve plusieurs mots venant de l'univers de la boxe dont le titre : «Uppercut». Cette passion aide Erwan à canaliser sa violence mais rien de plus à mon avis.
Note pour ce livre: 17/20 , 4.5 étoiles /5.
Jules Romatier
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Uppercut de Ahmed Kalouaz est un petit roman agréable qui se lit très vite. Le récit nous immerge totalement dans la tête d'Erwan. Erwan est un enfant de 14 ans qui distribue les coups de poing comme il enchaîne les renvois de nombreux collèges. Il a été envoyé dans un internat à Grenoble qui est destiné aux jeunes " délinquants". Il pratique la boxe et il est fan de son idole Rubin Carter qui est un boxeur noir comme Erwan, Rubin Carter à été lui aussi confronté au racisme du à sa couleur de peau, ce qui leur fait plusieurs points communs. Erwan nous parle de lui , de sa passion, de sa famille et surtout de ses épreuves face au racisme. Après une fugue, il est envoyé dans un centre équestre, auprès d'un homme qui est justement raciste. Va-t-il réussir à garder ses poings et ses uppercut dans les poches?
Cet histoire m'a beaucoup plu car elle est très facile à comprendre. De plus, le livre n'est pas très long ce qui est un bon point pour ceux qui ne lisent pas beaucoup. A travers ce livre, l'auteur Ahmed Kalouaz veut nous faire comprendre que le racisme est toujours présent même aujourd'hui encore, mais surtout il veut faire comprendre que le racisme est quelque chose d'affreux. On peut supposer que l'auteur a peut être vécu la même chose qu'Erwan face aux racisme.
Ce livre a un sens, une morale c'est pour cela que j'ai apprécié ce livre.
2nd Mistral Hede Kylian 4/5



2nde Noroit Emilien
Erwan est un adolescent perturbateur scolarisé dans un collège de montagne pour enfants difficiles, chahuteurs, bagarreurs, à la dérive. Fils d'un chauffeur routier sénégalais et d'une mère bretonne, il passe toute la semaine à l'internat, où les journées d'ennui et de désoeuvrement se succèdent. Il rêve de devenir champion de boxe, à l'image de son idole Rubin Carter. A la suite d'une fugue avec son copain Cédric, le collège propose à Erwan un stage d'une semaine dans une ferme équestre non loin de là, pour qu'il se dépense, encadré par Gilbert, un homme bourru aux convictions douteuses, mais qui va se montrer étonnamment bienveillant. le garçon va alors être confronté à un univers inconnu de lui, peuplé d'individus à la vue parfois étriquée, et va devoir apprendre à serrer plus d'une fois les poings au fond de ses poches, à canaliser sa rage pour être plus fort que la haine et les intolérants et ne pas se conformer à l'image qu'ils se font de lui. Un roman court, facile à lire mais bien écrit, qui plonge le lecteur dans le quotidien et les pensées de ce garçon attachant qui fait preuve de maturité et d'une belle retenue au cours de son expérience. Son passage à la ferme va transformer son existence, faite d'oisiveté, de perpétuelles remontrances, de punitions et d'exclusions, en le valorisant, en le responsabilisant avec confiance , en lui faisant prendre conscience de ses capacités et de sa force morale. le livre aborde le thème du racisme ordinaire rencontré parfois dans les milieux ruraux, dans les campagnes françaises : un racisme ambiant, banalisé, insidieux, répandu par des intolérants repliés sur eux-même et pétris d'obscurantisme et d'ignorance. Mais s'il n'est pas ouvertement violent, ce racisme du quotidien peut s'avérer un véritable enfer lancinant pour ceux qui le subissent. Il met en regard un racisme plus profond et virulent qui règne aux Etats-Unis à travers l'évocation de la vie du boxeur noir américain Rubin Carter, auquel Erwan s'identifie. Un roman qui rappelle que le racisme peut prendre des formes multiples et que la violence n'est pas une solution face à l'obscurantisme et aux préjugés.
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Citations et extraits (16) Voir plus Ajouter une citation
Moi, je suis mi-blanc, mi-noir, une mère bretonne, un père sénégalais, si bien que certains jours, ça me fait du chagrin sur la peau. Dans la rue, je ne me balade pas avec un drapeau de la Bretagne dans le dos. En premier lieu, c'est ma face de kahlouche que les gens remarquent. Et à partir de là, ça devient plus difficile. Tout juste si certains ne vous jettent pas des bananes, ça c'est vu dans certains clubs de foot. C'est peut-être pour cette raison que j'ai aimé la boxe très jeune, autant pour esquiver que pour frapper et me défendre contre les insultes, les mauvais regards.
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Alors que j'étais encore rongé par la rancœur, Gilbert contemplait son pays en silence, en sifflotant. C'était peut-être ça, l'image de la phrase que ma mère employait parfois. Avoir la foi du charbonnier. Comme Gilbert, se dire que le monde est beau et s'en persua­der. J'ai pensé qu'il valait mieux faire de même. En regardant la prairie fleurie, j'ai dérivé sur autre chose, un souvenir de parfum que le vent portait jusqu'à moi. J'ai cueilli quelques fleurs que j'ai glissées dans la poche de ma chemise et me suis allongé sur le dos, songeant que le ciel pourrait aussi avoir cette douceur.
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"Un bâtiment perdu au milieu des montagnes, ouvert juste pour accueillir des gars comme nous. Lascars de mauvais poil au carnet scolaire saturé par les remarques" (p. 10)
" Tout juste si certains ne vous jettent pas des bananes, ça s'est vu dans certains stades de foot. C'est peut-être pour cette raison que j'ai aimé la boxe très jeune, autant pour esquiver que pour frapper et me défendre contre les insultes, les mauvais regards. (p. 20)
"Je pensais que tu ne tiendrais pas le coup.
- Pourquoi?
- Tu es un gars de la ville, non? Et puis bon, les Noirs, c'est pas des nerveux à ce qu'on dit."(p. 42)
"Installe-toi au salon, le temps que ça chauffe. Chez vous, la viande, vous la mangez crue, hein?" (p. 56)
"L'amitié, c'est un sentiment tordu. Il y a les bons moments et les autres, où il faut fermer les yeux pour ne pas être déçu ou bouffé par les émotions." (p. 64)
" Ce n'est pas la première fois que j'entendais ce mot, Banania. Mais ce mec ne savait pas ce qu'il y avait derrière. Le gus au fusil n'a jamais appris, ou il a oublié, qu'au début de la Première Guerre mondiale, on avait envoyé aux troupes du front 14 wagons de Banania pour redonner du courage aux soldats. (p. 96)
"Ma mère m'a dit que les allusions des gens n'étaient pas volontaires, parce que bcp se sont habitués à un racisme médiocre et facile. Dans ces moments, elle m'invitait à la retenue, à détourner la violence qui pouvait monter en moi. Facile à dire. Les autres ne détournent jamais la leur." (p. 119)
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J’avais tellement tiré sur la corde en trois ans de collège qu’un jour je me suis retrouvé dans un internat de montagne, au milieu d’autres élèves du même genre que moi. Des tocards ayant soit redou- blé, soit mis le bazar partout où ils étaient passés. Pas vraiment délinquants, mais certains déjà à la marge. Pour tous, le fait de se retrouver au collège de Nantizon signi ait être coupé de sa famille, et languir toute la semaine après le car et le train du retour. Moi, j’avais la boxe pour m’occuper le corps et la tête, ça allait à peu près.
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Ma mère m’a parfois dit que les allusions de gens n’étaient pas volontaires, parce que beaucoup se sont habitués à un racisme médiocre et facile. Dans ces moments, elle m’invitait à la retenue, à détourner la violence qui pouvait montrer en moi. Facile à dire. Les autres ne détournent jamais la leur.
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