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3,98

sur 945 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Et bien j'avoue que ça me fait mal, mal à la tête , mal au coeur....

J'attendais vraiment beaucoup de ce roman, sans doute trop. Sans doute que je m'étais fait une idée fausse avec les quelques éléments que le maître avait disséminé dans le second opus de sa trilogie.
J'attendais de revivre le plaisir, la hantise, la joie, le suspens que j'avais lu dans les autres romans de Stephen liés a la télékinésie. Et oui Charlie et Carrie je les ai adoré, dévoré. Et du coup, j'espérais....

Mais malheureusement le King a voulu en faire de trop (à mon sens) et du coup j'ai trainaillé à lire ce roman. Je me suis fait violence pour le finir. Et pourtant j'aime ses personnages, j'aime son écriture, j'aime ses histoires.
Et puis du coup , a force de vouloir trop en faire avec Brady, à lui donner trop de possibilités de se servir de ses nouveaux pouvoirs , j'en reviens a une de mes phrases favorites : le trop est l'ennemi du bien.

D'un autre côté je suis contente de voir que d'autres lecteurs ont apprécié ce roman. Mais même si je voue une certaine admiration pour l'un des plus grands auteurs contemporains, je ne peux pas dire que j'ai passé un bon moment de lecture. Je reste avec l'idée que Stephen King aurait du s'arrêter a son tome 1.

Une trilogie qui pour moi est une courbe rectiligne totalement décroissante.
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Pas plus tard qu'hier, je me suis surpris à contempler longuement l'écran de veille d'un ordinateur, au bureau. Des bulles de différentes couleurs s'y déplaçaient doucement, se télescopaient avant de rebondir dans une autre direction. Pendant cinq bonnes minutes, je n'ai plus du tout prêté attention à ce qui se disait autour de moi. J'étais comme fasciné par cette danse harmonieuse, par ces ronds qui passaient par toutes les gammes chromatiques de l'arc-en-ciel et qui n'en finissaient pas d'aller et venir d'un bord à l'autre de l'écran, à un rythme toujours très lent. J'étais comme hypnotisé.
Et j'ai surtout davantage réalisé les dégâts que pouvait provoquer la démo de "Fishin' Hole", ce jeu vidéo en apparence innocent à l'honneur dans le roman.
Parce que si Brady Hartsfield avait été dans le coin, j'aurais probablement fini par ouvrir la fenêtre et c'est à l'état de crêpe qu'on m'aurait retrouvé sur le macadam, vingt mètres plus bas.

J'attendais avec impatience ce troisième tome de Mr Mercedes. J'avais en effet beaucoup aimé les deux premiers et bien qu'il s'agisse d'une incursion de Stephen King dans la littérature policière, je l'avais trouvé incorrigible quand, dans le second ( Carnets noirs ), il avait attribué à un Brady paralysé sur son lit d'hôpital des pouvoirs de télékinésie. A croire que l'auteur américain ne pouvait s'empêcher d'intégrer du surnaturel, même dans une série de romans noirs. L'idée me ravissait tant les possibilités semblaient infinies avec ce virage à 180°, d'autant plus que Brady fait indubitablement partie de ces méchants qu'on adore détester tant ils sont dérangés, manipulateurs et sournois.
Nouvelle confrontation avec l'Off - ret Bill Hodges ? de nouvelles règles du jeu et un équilibre des forces revu et corrigé ? C'était vraiment prometteur. Sans doute trop.

Comme dans les deux volets précédents, Fin de ronde s'ouvre sur cette scène de cauchemar devant le City Center, où une voiture folle joue au bowling avec des êtres humains en guise de quilles. Cette fois, nous suivrons le point de vue et l'intervention des ambulanciers, qui parviendront notamment à sauver la vie d'une des victimes de ce carnage matinal. Martine Stover demeurera néanmoins tétraplégique et six ans plus tard, il semblerait que sa mère l'ait aidé à quitter ce monde avant de se suicider. Responsable de l'enquête, Pete préviendra son ancien coéquipier Bill Hodges. Il ne s'agit pas du premier incident de ce genre ayant un rapport indirect avec le prince du suicide Hartsfield et même si ce dernier n'est plus en mesure de faire de mal à qui que ce soit, un léger doute subsiste sur son éventuelle implication.
Accompagné de sa fidèle et excentrique associée Holly, Bill mènera une enquête parallèle à celle de la police dont le point de départ sera un Zappit retrouvé sur les lieux du crime, c'est à dire une console de la forme d'une game-boy mais avec des jeux intégrés.
"- Brady Hartsfield aimait le suicide, murmure-t-elle. C'était son hobby."

Comme vous l'aurez compris, Mr Mercedes est quant à lui dans un piètre état depuis qu'Holly est parvenue à le mettre hors d'état de nuire. Sa dernière tentative d'attentat s'est en effet soldée par un crâne fracassé d'un sac de billes.
"Pas loin de l'état de mort cérébrale.", "Il n'y a plus rien à l'intérieur de lui, Bill.", "Hartsfield est parti au pays des légumes.", "Aussi inconsistant qu'un bol de porridge."
Et pourtant ... Bill a toujours eu une incertitude sur la réelle mise hors-circuit de son ennemi juré.
"Il mérite l'oscar des traumatisés du cerveau, pas de doute là-dessus."
Une infirmière le mettait au courant des rumeurs folles qui circulaient au sujet de son patient, qui serait capable malgré son apparente léthargie de déplacer des objets par la force de l'esprit.
Soigné par le docteur Babineau avec un traitement non homologué, l'architecte du suicide serait-il en fin de compte plus en forme que jamais ?
"En tant qu'être physique, il était pour ainsi dire fini."
Le cerveau de Brady tourne en revanche à plein régime et va reprendre exactement là où il s'était arrêté, mettant sur place un nouveau plan machiavélique.

L'aspect fantastique que j'attendais tant est donc bel et bien présent. Hartsfield se découvre de nouvelles capacités, en plus de la télékinésie, qui feraient presque de lui un super-méchant de comics s'il n'y avait pas eu une volonté de l'auteur de rationaliser au maximum ces pouvoirs. En réalité, j'ai eu souvent l'impression de lire un roman fantastique qui ne s'assumait pas entièrement.
Quant au fameux plan de Brady, si j'ai aimé que ce taré puisse malgré sa déchéance continuer à exercer une certaine forme de contrôle sur ses proies en leur suggérant que leur vie ne valait pas la peine d'être vécue ( comme il l'avait déjà fait dans Mr Mercedes ), j'ai trouvé son idée tellement complexe dans sa mise en oeuvre que je me suis parfois perdu en chemin, ne retenant que l'essentiel. Mélange indigeste ( pour moi ) d'électronique, d'informatique et de paranormal, j'avoue m'être parfois déconnecté de la trame vengeresse dont je n'ai pas assimilé tous les rouages. L'intrigue a selon moi souffert d'un manque de fluidité avec cette longue justification et mise en place d'un plan qu'on ne pouvait de toute façon qu'accepter sans y croire véritablement.

Ce troisième volet est donc à mon avis un peu en deçà des deux précédents, mais il n'est pas non plus à éviter. Il répète d'une certaine façon le duel qui opposait Brady et Bill dans le premier tome, mais dans des circonstances radicalement différentes. Brady parviendra-t-il enfin à se venger du flic retraité qui lui a mis tant de bâtons dans les roues ? ( "Hodges méritait plus qu'une balle dans le ventre suivie de dix ou quinze minutes d'agonie. Bien plus." ). le livre offrira en tout cas une ingénieuse conclusion à leur affrontement.
Au-delà de la réflexion sur les dangers des jeux vidéos ou des réseaux sociaux, ce tome a surtout été pour moi synonyme du plaisir de retrouver les protagonistes des tomes précédents. Brièvement on retrouvera Tom Saubers, autre victime de la Mercedes et principalement protagoniste de Carnets noirs. Brady revient sur le devant de la scène et permet quelques moments d'anthologie de par son aspect parasitaire et c'est avec un malsain plaisir qu'on retrouve notre taré de service en très grande forme malgré les apparences. Et puis bien sûr, l'équipe de Finder's keepers est là au grand complet. Jérôme tardera un peu à apparaître mais sa soeur Barbara nous aidera à patienter. Holly quant à elle est toujours parfois maladroite ou stressée ( "Holly a beau avoir des troubles de la personnalité, elle sait très bien arriver à ses fins." ) mais elle a pris beaucoup d'assurance également, en particulier au contact de son associé et ami Bill Hodges. Notre détective sans licence devra quant à lui lutter sur différents fronts puisque les mauvaises nouvelles n'arrivent jamais seules, et le retour de Brady coïncidera avec de graves problèmes de santé. Et Stephen King est toujours aussi talentueux pour rendre réels, sincères et émouvants ses personnages.

Une dernière petite parenthèse pour évoquer certains choix musicaux qu'a fait Stephen King pour ses personnages. Je pense en effet qu'y retrouver Ozzy Osbourne ( "Il va sur BAM-100 et tombe sur du Black Sabbath à l'époque où Ozzy était un mec cool" ) ou Judas Priest ( "Il allume la radio, se trouve un bon Judas Priest, et monte le son." ) n'a rien d'un choix hasardeux.
Ozzy Osbourne a en effet chanté "Suicide solution" sur Blizzard of Ozz, album qu'écoutait en 1986 un adolescent dépressif au moment de son suicide.
Quant à Judas Priest, c'est en 1985 que deux jeunes américains vont écouter en boucle l'album "Stained Class" en fumant de l'herbe avant de passer à l'acte.
Mis en accusation, les anglais sont passés en justice cinq ans plus tard, accusés d'avoir dissimulé des messages subliminaux dans cet album.
Passé à une certaine vitesse, on pouvait entendre sur le disque : Let's be dead - Try suicide - Do it ( Soyons morts - Essaie le suicide - Fais le ).
Je tiens à préciser que dans les deux cas, les artistes ont été mis hors de cause.
Il n'en reste pas moins que les messages subliminaux existent.
Et ça n'est pas Brady Hartsfield, "cet enfoiré de prince du suicide", qui prétendra le contraire.


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Je viens de finir péniblement la lecture de ce troisième volet de la trilogie de Stephen King. Pourquoi péniblement parce que j'ai trouvé qu'il. Y avait beaucoup de longueurs de redites de répétitions, cela dit cela m'a aidee, moi qui n'ait lu qune partie de carnets noirs. Finalement cela ne m'a pas gênée puisque qu'on rappelle plusieurs fois les événements des autres volets de la trilogie. C'est un des points positifs. Un autre point positif, c'est l'imagination de Stephen King qui nous apporte dans ses écritures souvent un côté un peu fantastique des histoires qui somme toute sont des fictions mais qui pourraient très bien nous arriver dans la Vraie Vie.
Bon je n'ai mis que trois étoiles car les redondances m'ont presque fait abandonné ma lecture.
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La fin de la trilogie regroupant Mr Mercedes et Carnets Noirs.
Un King de bonne facture, j'ai bien aimé la Zappit qui permet à Stephen King d'explorer ce qu'il fait de mieux c'est à dire un histoire bien racontée avec un zeste de surnaturel.
La vengeance de Brady ne fait que commencer et elle sera implacable.
Une fin de trilogie dans l'urgence, Hodge, notre flic à la retraite, ne dispose que de quelques jours pour clôturer ce duel. On retrouve avec plaisir plusieurs personnages déjà présents dans les deux premiers tomes plus un psychiatre pas très net.
Une couverture un peu kitsch mais qui à la lecture du livre révèle tous ses secrets
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Après l'excellent Monsieur Mercedes, après la suite très attendue Carnets noirs où j'ai retrouvé avec plaisir Bill Hodges et ses amis, Fin de ronde résonne comme le volume de trop : trop lent, trop long, trop dilué... Même si l'on est impatient de savoir comment se termine l'histoire avec Brady Hartsfield, nouée dès le premier tome autour de meurtres prémédités assaisonnés d'un brin de psychopathie, l'intrigue n'a plus la saveur ni les surprises des précédents opus. C'est dommage.
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Deception pour le dernier tome de la trilogie.
En effet, j'avais beaucoup aimé les 2 premiers tomes (notamment 'Carnets noirs' où j'avais retrouvé les thèmes de prédilections et le génie de l'auteur). J'avais également trouvé la construction de la saga très intéressante et inédite.
Mais je me suis vite ennuyée dans ce dernier opus.
Le thème fantastique n'était pas à la hauteur de mes attentes. le manque de crédibilité et le peu de rebondissements ont accentué mon ennui. La série vaut quand même le détour aux amateurs du genre fantastique. Pour ma part, j'en voulais plus...
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Je pense que ce retour vaut surtout pour ceux qui ont lu Mr Mercedes et éventuellement Carnets noirs, puisque c'est le troisième livre qui clôt donc la trilogie sur le tueur à la Mercedes.

Bon, j'avais dévoré le premier livre, le deuxième également, et j'avais même une petite préférence pour ce deuxième volet, mais je dois dire que rapidement, j'ai senti que Stephen King n'allait pas m'amener dans son délire. Pour le coup, j'ai senti beaucoup de longueurs, l'intrigue ne m'a pas captivé, je l'ai trouvé trop grosse, juste trop grosse. Je suis un peu rentré dedans vers la fin, le dénouement m'a tenu un peu en haleine, grâce au suspense, la traque du méchant, et Stephen King est doué pour les dénouements.

Malheureusement, je reste sur ma faim avec ce troisième volet. Peut-être le moins bon Stephen King que j'ai lu à ce jour, il en fallait bien un un jour ^^ Mais je suis quand même content d'avoir fini la trilogie. du coup, j'ai une petite préférence pour Carnets noirs, mais cela reste subjectif.

En prime, je n'aime pas trop les deux choix de couvertures pour la version française, ni le titre. Je pense qu'il faut s'appeler Stephen King pour vendre un livre avec une telle couverture xD
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Un King mineur (encore un), mais qui se lit sans déplaisir, parce qu'il a quand même ce petit truc que les autres n'ont pas. le thème du suicide "assisté" est bien exploité, et le compte à rebours qui concerne Hodges, l'ex-flic, confère à l'intrigue un sentiment d'urgence qui fonctionne super bien. Je n'ai hélas pas retrouvé la magie de la première partie de Carnets noirs, seul bouquin de la trilogie selon moi a être de la véritable littérature comme le King sait parfois le faire quand il a pas son comptable sur le dos. Les dernières pages sont déchirantes.

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Avec Fin de ronde, Stepehn King conclue sa trilogie consacrée à Bill Hodges et Brady Hartsfield.
Les deux premiers volets étaient des thrillers sans interférences surnaturelles alors que ce dernier tome renoue avec la veine fantastique. Hodges est contacté par un ancien collègue qui lui signale plusieurs suicides frappant des survivant du massacre perpétré par Mr Mercedes. Il suspecte que Brady Hartsfield est lié d'une manière ou d'une autre à cette affaire. Pourtant, Hartsfield reste dans un état semi-végétatif depuis son arrestation.
C'est du Stephen King. il y a une belle science de l'intrigue. On tourne les pages sans s'en rendre compte. On se laisse embarquer... Mais, comme dans Mr Mercedes, on sent que Stephen King n'est plus vraiment à la pointe. Il se perd à nouveau dans des explications un peu vaseuse sur les nouvelles technologies. Il s'était déjà embrouillé dans une histoire de brouilleur de fréquence dans Mr Mercedes. Cette fois, ce sont les mystères d'internet et du hacking qu'il a bien du mal a assimiler. Son intrigue mélange ingrédients fantastiques classiques combinés avec une touche de WiFi et de hacking. Pourquoi pas ? Malheureusement ses explications me font l'effet d'une personne qui a à peu près compris son sujet et a bien identifié les quelques mots-clés à utiliser pour faire illusion. Mais sans plus. le résultat est paradoxalement très "vintage", ce qui est plus que surprenant pour un roman sorti il y a moins de 3 ans.
Paradoxalement je pense que ce livre vieillira bien, lorsqu'il sera définitivement dépassé technolopgiquement. On le lira en acceptant cette "faiblesse" parce qu'elle sera simplement le signe du temps qui passe. Personne ne s'offusque que le Meilleur des Mondes, 1984 ou 2001 imaginent un futur qui n'a jamais été. Personne ne reproche à Jules Verne ou HG Wells de baser certains romans sur des faits depuis considéré comme impossible. En lisant il y a quelques années la nuit des enfants-rois, il est difficile de ne pas trouver un côté terriblement désuet à l'aspect scientifique de l'intrigue. Et pourtant, l'intrigue est suffisamment réussie pour qu'on se concentre sur ce qui importe.
Cette trilogie n'est certainement pas ceque Stephen King a fait de mieux, mais elle reste un moment de lecture agréable. J'ai lu 2 des 3 tomes en vacances, au bord de la piscine. lecteure idéale pour ce type de conexte. Ni plus, ni moins.
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On se retrouve aujourd'hui avec la suite et fin de la trilogie centrée autour de Bill Hodges et Brady Hartsfield. Sept ans après avoir arrêté Brady, Bill et Holly tiennent une petite entreprise de détective privé. Lorsque Pete, l'ex-coéquipier de Bill, l'appelle pour une étrange affaire de meurtre-suicide, Bill pense immédiatement à Brady. Mais comment est-ce possible, puisque ce dernier n'est plus qu'un légume ? C'est là que la fiction prend le pas sur la réalité. Brady se sert de consoles de jeux vidéo, des consoles old school, démodées, d'une entreprise qui a fait faillite il y a un certain temps. Grâce à la démo d'un jeu un peu plus stroboscopique que les autres, Brady se rend compte qu'il arrive à hypnotiser les gens et même à en prendre le contrôle... S'ensuit une course contre la montre pour Bill et Holly, pour non seulement stopper le nouveau plan de Brady, mais c'est également pour Bill une course à gagner contre lui-même...

C'est un roman haletant que nous propose là King, une très bonne fin pour ses protagonistes. Brady Hartsfield, bien que très diminué, est toujours aussi maléfique et attise à chaque instant l'antipathie qu'on ne peut s'empêcher d'éprouver envers lui. Quant à Holly et Bill, ce fut un plaisir de les retrouver, ainsi qu'un déchirement, surtout à la fin du livre. L'histoire parle beaucoup de suicide et c'est une thématique très sensible, mais je l'ai trouvée plutôt bien abordée.

Cependant, bien que j'aie passé un bon moment de lecture, je n'ai pu m'empêcher de trouver certains passages un peu trop rapides, les personnages faisaient des liens avec bien peu d'indices, selon moi, et puis certaines facilités adoptées afin que les héros s'en sortent... Enfin, façon de parler.

Je retiens de cette trilogie de bons romans, des personnages très bien construits (comme souvent chez King) et des intrigues bien ficelées, bien qu'un peu faciles parfois. Pas les meilleurs titres de l'auteur, loin de là, mais une belle découverte, surtout en ce qui concerne Holly, que j'ai hâte de retrouver dans un prochain roman !
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