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EAN : 9782205067583
56 pages
Dargaud (28/10/2011)
3.69/5   83 notes
Résumé :
Avec L'OuvreTemps, nous avions quitté Valerian redevenu enfant dans les rues de Paris. On le retrouve accoudé au comptoir, le clope au bec, dégarni, hirsute et bedonnant. Entre les deux, un cataclysme, un accident majeur dans le continuum espace temps. Mézières et Christin, après quarante ans et vingt-deux albums, ont décidé de clore la série. Mais les vrais héros ne mourant jamais, certains auteurs, triés sur le volet, pourront, avec la bénédiction des deux créateu... >Voir plus
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L'espace infini, les galaxies entrelacées, les voies lactées... Un sujet qui passionne au plus haut point René Pérouillaud, l'âme poétique en plus. Il ne peut s'empêcher de proclamer haut et fort les quelques vers qu'il compose à son copain (accessoirement de bar), Jean-Pierre. Qui, lui, ne comprend pas du tout la fascination de son pote pour les espaces intergalactiques. Ce soir-là, après quelques verres, les deux amis croisent, sur le chemin du retour, un dénommé Albert qui se dit tout heureux d'avoir enfin retrouvé Valérian, accompagné de 3 bêtes étranges, les Shingouzs. Cet homme lui apprend alors qu'il n'est pas celui qu'il croit mais Valérian, un agent spatio-temporel parmi les plus en vue sur la place de Gago'BH. Malheureusement, à cause d'un certain Jespériank, de la tribu des Jakolass, qui, pour se venger, l'a téléinterné dans un corps inoffensif, il est devenu René ! Donc, si ce dernier tient à retrouver sa véritable identité, il doit mettre la main sur Jespériank, enfermé dans une planète-prison...

Manu Larcenet, sous l'oeil avisé et bienveillant de Pierre Christin et Jean-Claude Mézières, aux commandes de cette revisite de Valérian et Laureline, le voyage risque d'être fort dépaysant ! Et ce n'est pas René, cet alcoolique rêveur, alias Valérian, qui dira le contraire. Fort heureux d'apprendre que sa vraie place n'est pas sur terre mais à bourlinguer entre les galaxies en tant qu'agent spatio-temporel, il ne se fera pas prier pour aller combattre Jespériank, le malotru qui aura osé le téléinterner en poivrot et, finalement, rendu sa vie insipide. C'est Laureline qui risque d'être surprise en voyant la tête de son cher et tendre ! Larcenet rend un bel hommage à ces personnages mythiques et nous offre un scénario aussi improbable, déroutant que riche en rebondissements, un brin décalé mais ô combien jouissif. Des personnages hauts en couleur et des lieux insolites, des dialogues pimentés et loufoques, et des situations jubilatoires. Graphiquement, le trait est précis et soigné, l'ambiance oppressante et les couleurs délicates.
Larcenet réussit brillamment cette reprise de l'inconditionnelle série.
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Se peut-ce-t-il que ce type au physique ingrat, le mégot vissé au bec et le cul chez Francisque, pâle troquet cradingue sis au deuxième anneau de Saturne sur la gauche, soit le grand, le célèbre, l'inénarrable Valérian ? Je pose la question. Ah bah oui tiens, l'auteur vient de confirmer la triste nouvelle.
Mais que t'est-il arrivé fier aventurier aux innombrables exploits intergalactiques ?
Quid de ta jeunesse passée et de ta sublime moitié ?

Bon, on va pas se mentir, Valérian en a pris un sérieux coup dans l'aile et le lecteur avec.
Déchet alcoolisé rêvant toujours de grands espaces, les comas éthyliques représentent désormais les seuls trous noirs qu'il visite avec délectation.
Certainement abonné à VDM.com, il n'imaginait pas un seul instant que cet Albert, rencontré un soir d'errance enivré, flanqué de ses trois Shingouz -pas binouze, hein, allez pas énerver notre ersatz de super-héros- et d'une rousse banale à défaut d'être sculpturale, allait lui balancer des étoiles dans les mirettes...

Bercé par Valérian, c'est avec une crainte non dissimulée que j'attaquais cet hommage Larcenesque tout en entrechat pointe des pieds carpés.
La barre est haute, l'attente tout autant.
Alors de deux choses l'une, soit l'on décide d'autorité que le trait, le ton et la trame sont incapables de rivaliser avec la paire originelle Christin/Mézières, soit l'on fait fi de cette revisite en se laissant porter sans préjugé et voir où cela nous mène.

Tudieu, la belle surprise que ce fût !
Ce Valérian version 2.0 représente le parfait mix entre aventure spatio-temporelle et univers déjanté à la Larcenet.
Les puristes crieront à l'imposture, rien de choquant à cela.
Mais difficile de ne pas succomber à la gouaille humoristique qui nimbe cet album de Jupiter à Vénus ♫en passant par la Lorraine avec mes sabots dondaine♪...
Univers totalement éclaté et décalé, Larcenet fait ce pourquoi il est doué tout en respectant l'ADN de la série.
Inventif et primesautier, cet album suscitera la joie ou l'affliction, c'est selon.
J'ai adoré.
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Ne jamais se fier aux fans. Ils ont toujours tort.

Etant fan de Valérian et Laureline, j'avais mille raisons de détester cet épisode imaginé et dessiné par Manu Larcenet. Je n'ai, de ce point de vue là, pas été déçu.

Au moment de la sortie de cet album , je le voyais en cinquante exemplaires sur les étals de la fnac et, déjà, j'avais ce terrible pressentiment. La couverture me semblait brouillonne et assez éloignée de ce que l'on pouvait attendre d'un album de Valérian. Je me suis rapproché, bien sûr, et j'ai ouvert la bd. D'abord au hasard puis dans l'ordre. L'effroi était le même. Mais qui était cette fille mal fagotée qui se prenait pour Laureline et où diable était donc Valérian ? J'ai reposé le livre. On verrait plus tard, on verrait une fois que j'aurai achevé le long cycle de Valérian, moi qui l'avais abandonné 5 ou 6 ans auparavant après m'être lassé de leurs pathétiques pérégrinations spatiales sans queues ni têtes (ahh ces atroces héros de l'équinoxe).

Le mois de l'imaginaire sur Babelio et le club de lecture BD m'ont fait relire avec plus d'attention les intégrales sorties quelques mois plus tôt que, par un curieux hasard, ou un étrange alignement de planètes alpha, je venais de commencer. Rien à dire, les premiers épisodes de la série (quoique, s'il vous plait, par charité chrétienne, restons silencieux sur cet horrible tome 1) ont quelque chose de magique et je reviendrais certainement sur leurs cas dans les jours qui viennent.

Mais revenons à cet anti-épisode que je me suis finalement mis à lire. L'armure de Jakolass. Je n'ai rien contre les dessins de Manu Larcenet. Je trouve certes les personnages particulièrement moches mais cela n'est pas très grave. L'auteur à tous les droits. Laureline n'a jamais été si peu avenante mais c'est son droit de la présenter ainsi, tant pis pour nous, pauvres lecteurs. Les auteurs originaux avaient de toute façon probablement un peu abusé dans le passé en allant toujours plus loin dans le sexy. Passons sur Valérian qui n'apparaît jamais sous sa véritable forme humaine et intéressons nous au principal, c'est à dire au scénario de cette aventure galactique.

Laureline et un vieux je-sais-tout sont à la recherche de Valérian. Son esprit a en effet été envoyé dans le corps d'un autre par un sanguinaire despote se croyant le maître de l'univers. Bon, pourquoi pas. Mais était-ce vraiment indispensable de faire toute une histoire de Valérian et Laureline SANS Valérian et avec si peu de Laureline ? Nous passons l'essentiel de l'aventure avec un Valérian bis au gros bide. Un genre de vieux beauf tout droit sorti d'un sketch des Deschiens, l'humour en moins. Ah, l'humour ! J'ai lu ici ou là que l'aventure était truffée de jeux de mots et autres délicieux calembours. Las, ma lecture est plus cruelle : le texte, les répliques, tout est si bas, si vulgaire que ce soit-disant humour plombe cet album comme jamais aucun mauvais goût n'avait jusqu'alors gâché un album de Valérian. Exemple : “Hé Dites ?! Personne n'aurait un muscadet ou une roteuse ? Parce que si j'ai pas mon gramme cinq dans le sang, ça me donne des gaz !” Tout sonne très terrien du XXème siècle là où les auteurs originaux avaient justement réussi à créer des personnages intemporels quoique largement imparfaits.

Mais donc, dans cet album, pour reprendre mon rapide résumé, on suit les aventures de ce petit groupe et de cet être vulgaire que les auteurs essaient de nous faire passer pour Valérian. Celui-ci se retrouve sur une planète-prison où il aura l'occasion de reprendre sa forme normale (pour abréger). Sauf que l'on se fiche depuis longtemps déjà du sort de cet imposteur.

Conclusion
Je crois que la principale raison qui m'a fait detester cet album est le fait que je sois un peu trop fan de la bd et que j'aurais aimé au moins y retrouver un peu des personnages de la série. L'album est irrévérencieux et cela est très bien. Mais de là à nous refourguer une histoire anecdotique à travers des personnages aussi vulgaires, franchement, Manu Larcenet n'avait-il pas mieux à faire ?

Mais ne vous fiez pas à moi, ne vous fiez pas aux fans, ils ont toujours tort.
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Quelque part en France, dans un rade paumé, il y a René Pérouillaud, comme chaque jour il a un peu trop bu et il passe son temps à rabattre les oreilles de son compagnon de beuverie, Jean-Pierre, avec ses histoires d'espace, de fusées spatiales et autres fariboles inter galactiques. Francisque le barman, il les connait trop bien ces deux énergumènes, et il ne compte plus le nombre de tournées , entre rouge qui tache et blanc qui cogne, à écouter toutes ces affabulations sans queue ni tête, mais bon, la vie est ainsi faite dans l'immensité désuète des villes d'aujourd'hui…

Et puis c'est le grand soir, René et Jean-Pierre rentrent chez eux, fiers compagnons à la démarche chaloupée, lorsque Albert, émissaire de Gago'BH interpelle un certain…Valérian !?!… Oui, après quelques improbables péripéties, on apprend que sept années terrestres auparavant, ce sympathique (et séduisant) aventurier est tombé dans un piège tendu par « Jasperian le Jakolass » et sa célèbre armure indestructible. En effet, par un subterfuge que seul Jasperian maîtrise il a « télé interné » Valérian dans le corps d'un inoffensif humain à moustache… René Pérouillaud…

Seulement voilà, pour le bien être et la sécurité de la galaxie, Valérian est une pièce de choix, il est donc impératif que ce dernier puisse retrouver dans les meilleurs délais son apparences d'origine (accessoirement cela consolerai aussi au passage la douce Laureline, compagnonne de la première heure, et follement éprise du bel aventurier).

Et c'est partie pour une aventure aussi improbable qu'ahurissante qui entrainera le lecteur (averti ou non) jusqu'aux confins du « soleil noir de Baréniff-la-sombre », en passant par « les amas hypnotiques de Krozkoz » et bien évidemment sans oublier de visiter « Karouss V la stupéfiante » avec ses nombreuses échoppes où tout se monnaie, tout s'échange… On apprendra également l'existence des « Shobaks », capables de fissurer la structure atomique, ainsi que des « Gnii liquides de Sikabeng » inoffensifs en règle générale mais capables de se transformer en de redoutables monstres si ils se sentent menacés. Ah, petit détail qui aura tout de même pas mal d'importance dans l'aventure, l'alcool a été prohibé dans la galaxie pour être avantageusement remplacé par la « Néo Kodion de Spidbol III ».

D'énigmes insolubles en dangers insurmontables, cette quête épique mènera finalement le lecteur intrigué aux portes du centre carcéral de « Walawalla » vers un dénouement aussi explosif qu'insoupçonnable… enfin, si nos héros parviennent au passage à éviter une « démolécularisation » en traversant la barrière de satellites vivants de Goluzor…

Je ne suis pas un spécialiste (loin s'en faut) de ce que l'on appel « la bande dessinée franco-belge », mais comme beaucoup d'entre vous j'ai déjà entendu parler des aventures spatiales / spéciales de Valérian et Laureline, la saga mise en images par Pierre Christin et Jean-Claude Mézières, sans pour autant n'en avoir lu ou vu ne serais-ce que l'ébauche d'une case. Mais je reste cependant toujours attiré par ce genre de projet, et puis comme je le dis souvent : « c'est tellement plaisant de savoir qu'on a encore tant et tant de chose à découvrir »… Bref, c'est surtout la démarche des deux « pères » de la série qui aura su m'intriguer et aiguiser ma curiosité :

« Une série ayant inspiré autant de créateurs, parcouru autant d'univers, ne pouvait totalement s'arrêter. Et d'ailleurs, dans les abîmes interstellaires, où se situent la fin et le commencement ? C'est pourquoi Christin et Mézières ont souhaité confier leurs deux héros à quelques amis, triés sur le volet, pas pour une suite, surtout pas, mais pour une exécution en figures libres, une relecture d'un univers propice à toutes les interprétations… »

Le premier à se lancer aura donc été Manu Larcenet, et il faut bien le dire, c'est une petite perle qu'il nous a pondu là. Complètement déroutant, passionnant de la première à la dernière page tout en étant particulièrement « léger » et distrayant, un humour ravageur à couper au couteau, une kyrielle de personnages et de lieux hautement improbables mais tellement biens sentis et, bien évidemment, le trait inégalable et toujours aussi efficace d'un Manu Larcenet en très grande forme. Je pourrai parler des heures et des heures de cet ouvrage tant il aura su me procurer du plaisir et de la joie, mais j'aurai la délicatesse de vous épargner cela… je conclurai simplement en disant que finalement ils sont plutôt rares les ouvrages qu'on regrette d'avoir terminé, juste par ce qu'on aimerait encore et encore pouvoir les lire pour la première fois…
Lien : http://testivore.com/larmure..
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L espace, l aventure et la gloire ne sont pas pour tout le monde et ce n'est pas nos deux piliers de bistrot qui diront le contraire; même si l un des deux va vivre une aventure extra-terrestre à moins que ce ne soit une crise de delirium.
Attention aux fréquentations rencontrées car cela pourrait vous mener à vivre des aventures spaciales, spéciales et specieuses.
De belles planches dessinées même si les sujets sont pour beaucoup, loufoques.
Des dialogues à la hauteur de nos deux anti-heros.
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critiques presse (7)
Du9
17 avril 2012
Le pastiche à quadruple connivence de Larcenet inverse cette très vieille dialectique : c’est l’accident et la péripétie qui relèvent du connu et du répétitif (au point qu’on se désintéresse très facilement de l’intrigue réelle de L’armure du Jakolass), tandis que les effets de rupture et de nouveauté sont portés par le style.
Lire la critique sur le site : Du9
Du9
02 mars 2012
Larcenet ménage un équilibre précaire dans lequel les codes de la série de départ sont suffisamment bien restitués […] pour que le lecteur puisse profiter des entorses innombrables que Larcenet inflige à ces mêmes codes.
Lire la critique sur le site : Du9
BullesEtOnomatopees
21 décembre 2011
Plus qu’une simple parodie, L’armure du Jakolass réussit à insuffler un esprit aventureux qui semble en adéquation avec l’œuvre de Christin et Mézières. Et même si l’humour n’est pas toujours du meilleur goût, Larcenet trouve le juste équilibre entre aventure et dérision.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
BoDoi
21 novembre 2011
L’Armure du Jakolass est drôle, parfaitement rythmé et joliment mis en couleur, et devrait tout autant ravir les amateurs de la première heure que ceux de l’auteur de Blast et du Combat ordinaire. Jetez-y un œil, si vous l’osez, et vous aussi saurez ce qui se cache sous l’indestructible armure du terrible Jakolass !
Lire la critique sur le site : BoDoi
LesEchos
08 novembre 2011
« L'Armure de Jakolass », un hommage drôle, fidèle à l'oeuvre de Christin et Mézière. Mais si l'histoire respecte l'esprit de Valérian, elle prend une bonne dose de liberté avec la lettre
Lire la critique sur le site : LesEchos
BDGest
04 novembre 2011
En fin de compte, L'armure du Jakolass est à la fois le meilleur Valérian paru depuis longtemps, rappelant l'âge d'or de la série, et un Larcenet du meilleur cru. Incontournable.
Lire la critique sur le site : BDGest
Sceneario
25 octobre 2011
Ce mélange d'ambiance, d'univers d'auteur fonctionne merveilleusement, on sent que Larcenet porte une tendresse très particulière pour ces histoires de voyage dans l'espace, pour cette série, et ce qui pourrait au premier abord apparaitre comme un étrange mariage entre deux approches aux antipodes l'une de l'autre devient très vite un succulent concept.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
- Ô espace infini qui éblouit l'imagination du pauvre attracté terrestre...
Où toutes les aventures sont possibles et tous les possibles sont aventure...
Ô espace infini sur les galaxies entrelacées, sur les voies lactées, j'écrit ton nom...
- C'est un "s"...
- Quoi ?!
- "J'écris ton nom", c'est avec un "s"…pas un "t".
- Alors, je m'ouvre à toi, je te jette en pâture mes vers les plus intimes, je mets mon cœur à nu et toi tu ne vois qu'une faute d'orthographe... Technocrate !
- … de conjugaison... C'est une faute de conjugaison.
- ϟϟ
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(Quidam réglant sa note au bar)

Quidam: Bon allez hop! C'est combien qu'on te doit Francisque?
Le Patron: Depuis dix ans...317258€...
Quidam: Tiens, en v'là déjà cinq, tu t'achèteras de la patience...
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- Tu as été arrêté et déporté sur une planète carcérale de niveau 6...
- Ah ?? Mais j'ai rien fait...
- On est toujours coupable de quelque chose, même si on l'ignore...
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- Ô ciel constellé où l'homme libre se saoule d'aventures ignorant les céphalées qui, d'ordinaire, accompagnent la biture...
- T'es le dernier des poètes, René...
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- Aah mais tu comprends pas ?, L espace c'est... c'est le mystère, les dernières frontières inviolées... c'est l aventure.
C'est une vie en apesanteur, aux confins des galaxies, au croisement des flux cosmiques, à tutoyer les dieux, à frôler l infini du bout des doigts.

- Vu comme ça c'est sûr que ça semble plus attrayant que le pôle emploi ! Francisque tu nous remets ça ?
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