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EAN : 9782902324101
317 pages
Cosmopolis (15/04/2021)
4.07/5   14 notes
Résumé :
250 personnes seront victimes de violences meurtrières pendant que vous lirez ce livre*
Près de 1 300 homicides se produisent chaque jour aux quatre coins du monde, de la Californie à Bornéo, du Congo à Paris, de Nice à Kaboul.
Visiblement, sans lien apparent.

4 hommes sur 5 et d'1 femme sur 2 ont déjà eu l'intention de tuer au cours de leur vie**

Les auteurs de ces crimes et leurs victimes sont de tous les âges, nationali... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Indignée. Dégoûtée. Amusée. Horrifiée. Réjouie. Décontenancée. Écoeurée. Choquée. Ravie. Scandalisée. Hilare.
Voilà quelques adjectifs pour qualifier l'état dans lequel je me suis trouvée après chacune des quarante-deux textes qui composent ce recueil.
Autant dire que cette lecture fut une réussite.

Philip le Roy manie l'art de la nouvelle : concision, efficacité de la narration et maîtrise de la chute.
Il a une imagination fertile et aborde des sujets très variés, surprenant sans cesse le lecteur et lui évitant de s'ennuyer.

L'auteur prévient dans la préface : "J'ai ainsi conçu ces nouvelles comme des cocktails Molotov lancés à la gueule de la bête tapie dans l'homme et contre les belles façades d'un monde d'illusion et de faux bonheur. Des histoires monstrueuses pour mieux traquer la monstruosité de l'humanité." : objectif atteint !

Un livre à ne pas mettre entre toutes les mains, un ouvrage d'une noirceur terrible qui ne vous sera d'aucun secours en cas de nuit blanche mais parfait si vous cherchez une lecture distrayante et sans prétention littéraire.

Merci à Babelio pour son opération Masse critique et aux éditions Cosmopolis pour leur envoi.

Pour finir, je voudrais mentionner deux bizarreries que j'ai relevées.
Page 27 : "un présentateur aussi charismatique qu'un palais de curling" m'a bien fait rire, je l'avoue. "Palet" semble plus approprié... enfin, pas tout à fait. Au hockey sur glace on utilise bien un "palet", mais au curling, l'objet que le joueur lance s'appelle une "pierre". En tout cas, pas un "palais". :-)
Page 49 : "il était devenu une cible facile pour les logarithmes du Net". L'auteur (ou l'éditeur) est manifestement fâché avec les mathématiques ! Il s'agit d'algorithmes et non de logarithmes.
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Ça fait un petit bout de temps que je n'ai plus eu à chroniquer un livre que je n'ai pas aimé, j'espère donc que je n'ai pas trop perdu la main. Et en même temps, il y a tellement de choses dérangeantes dans ce recueil que je vais forcément occulter certains points. Par oubli, parce que je ne prends pas de notes pendant ma lecture, ou par flemme, parce que les sujets que j'ai choisi d'aborder vont déjà bien me vider (Et en vrai, j'aime pas tellement ça, critiquer, mais j'ai reçu ce livre en Masse Critique et mon avis est donc réclamé).

On va commencer par le moins pire si ça vous va – et en même temps, si ça ne vous va pas, c'est pareil, parce que c'est moi qui fais la loi, ici. Oui, ben autant se mettre dans une ambiance malaisante dès le début. Allez, go.

Le point qui m'a le plus plu, donc, c'est l'écriture, la patte globale d'une partie des nouvelles. Malgré certains points qui m'ont fait lâcher le livre à plusieurs reprises, le style passe à peu près. Il n'est pas de ceux qui vous tiennent en haleine toute la nuit, ni de ceux, plus rares encore, dont vous ne vous remettez jamais tout à fait (on en a toustes, faites pas genre), mais j'ai esquissé l'un ou l'autre sourire par moment, et il est même arrivé que je trouve une phrase ou un paragraphe vraiment agréable et bien trouvé.

Parmi ces points pas glop (ça se dit encore pas glop ? J'ai l'impression que c'est presque une boomerie, non ?) on peut citer des dialogues sans incises, sans intérêt et interminables à base d'infos qui auraient pu être communiquées par le narrateur mais qui, en l'état, alourdissent le texte et l'allongent inutilement. Mais aussi un vocabulaire pas toujours adapté à ce que la nouvelle a mis en place juste avant (« ils baisent » au milieu d'un texte qui se voulait jusque-là plein de métaphores à base de danse et de musique, ça tache). Et puis des longueurs, des détours qui n'apportent rien à l'ensemble.

Certaines idées sont vraiment chouettes, cela dit, mais souvent traitées de façon pas optimales, précisément à cause de points cités plus haut. Entre autres, mais on y vient.


Certaines nouvelles sont un peu gores, elles font mine de critiquer la société dans laquelle on vit, les gens qui la composent. Elles révèlent, soit disant, le pire en chacun et chacune d'entre nous et, en vrai, à quinze ans, je crois que j'aurais aimé ce bouquin. Pour le côté noir et pseudo-subversif. Pour les morts à chaque nouvelle, ou presque. Pour l'humour gras qu'on retrouve ici ou là. Sauf qu'aujourd'hui j'ai plus du double de cet âge, et la magie ne fonctionne plus.

Peut-être parce que ça manque de subtilité. Peut-être parce que je suis plus SJW que réac (vous vous souvenez des SJW ? Cette ébauche mal branlée des grands méchants Wokes, aussitôt avortée qu'éjaculée dans une chaussette arc-en-ciel. Oui, ben moi aussi, je peux écrire des trucs vulgaires sans raison, c'est pas encore réservé à une élite.)

Avant de continuer, j'ai bien envie de dresser un compte-rendu rapide. Juste histoire de tout mettre à plat et qu'on soit bien d'accord au sujet de ce dont on parle.

Alors, sur 42 nouvelles et 49 personnages que l'on peut considérer comme principaux, ceux-ci s'avèrent être 34 fois des hommes, 15 fois des femmes et 4 fois autre-chose (je ne parle pas de non-binarité, ici, mais plutôt d'animaux, d'extra-terrestres, etc).
(Je vous rappelle aussi que je ne prends pas de notes pendant ma lecture – parce que je suis stupide. Non mais vous pouvez le dire, hein, je suis d'accord à 100 % avec ça – et que j'ai dû tout me retaper en accéléré pour vous sortir cette donnée. Nous ne sommes donc pas à l'abri d'une ou deux petites erreurs, tenez-en compte pour la suite.)

C'est un détail ? L'auteur est un homme et se sent mieux avec des héros qui lui ressemblent ? OK, je vois que j'ai affaire à un public difficile. Alors reprenons.

Ces héros, dans la grande majorité des cas, on ne sait rien de ce à quoi ils ressemblent. La couleur de leurs yeux, de leurs cheveux, de leur peau ? Leur taille, leur corpulence, leur âge ? Aucune info, si ce n'est vestimentaire dans une partie des cas, mais on devine assez rapidement qu'il s'agit d'hommes blancs de 25 à 50 ans avec un physique dans les normes de la société.
Comment on le sait ? Parce que ceux, parmi les personnages secondaires, qui n'entrent pas dans ces standards sont moqués voir humiliés précisément dans le but de montrer qu'ils sont différents.

OK, c'est toujours pas hyper grave (enfin... c'est à dire que si, un peu, quand même, mais faisons comme si ce n'était pas le cas). Ce que je veux dire, c'est que les nouvelles sont courtes et que savoir que Pierre-Yves ou Marc-Antonin a les cheveux blonds ou une tache de naissance sur le cul ne changera rien à la trame. le truc, c'est que les femmes qui les entourent, elles, sont systématiquement décrites, au moins un peu. Souvent ça passe par la taille de leurs seins et de leur fesses, leurs formes parfaites et les regards libidineux posés sur elles en toutes circonstances. Mais on n'a pas (ou vraiment très peu) de persos féminins sur lesquels on ne sache rien niveau physique. (Je parle des persos qui ont au moins une ou deux lignes de textes, parce que, dans les faits, il me semble me souvenir d'une vendeuse ou autre secrétaire sans aucune importance qui n'ont pas été décrites.)

Et parfois (souvent ?) elles le sont avec des détails dont on se passerait pourtant très bien. Soit parce qu'ils n'apportent rien à l'histoire (bouh la vilaine grosse qui va servir le temps de deux lignes, mais qui sent le canard wécé et qui fouille dans son nez avec son gros doigt boudiné. Je vous ai dit que les gros·ses étaient systématiquement moqué·e·s ? Non ? Bah, voilà, c'est fait.), soit parce qu'ils sont fucking gênants (Non, je n'avais pas envie de savoir que la belle-fille de 17 ans du perso Machin Truc avait des piercings partout sauf au clito. Déjà parce qu'elle ne fait que de la figuration, que l'info ne sert à rien et que Machin Truc n'a pas de raison d'être au courant sauf s'il a été vérifier. SPOILER :

Autre problème, lié au premier – je vous avais dit qu'il n'était pas tant que ça pas si problématique. On a peu de persos non-blancs dans les 42 nouvelles (même en perso secondaires, cherchez pas, je vous dis), mais ça pourrait juste être parce que l'auteur est blanc et non-déconstruit sur ces sujets. Ce sont des choses qui arrivent, qui sont courantes même, et assez naturelles quand on habite en occident. Et en vrai, si aucun·e concerné·e ne nous a fait part du souci, il est probable qu'on ne s'en rende jamais compte par soi-même parce qu'on n'est pas confronté·e aux mêmes choses. Ça ne veut pas dire qu'on est une mauvaise personne, juste qu'on est humain et qu'il nous est plus facile de comprendre les choses qui nous concernent directement. Là où ça devient un poil plus chaud, c'est quand la quasi-totalité des 9 personnages (secondaires ou principaux) arabes sont... des terroristes. Et que les deux seules femmes africaines sont victimes de viol et atteintes du sida.
Je vous jure que j'invente rien.

Scènes de viols très imagées, d'ailleurs, et ce, bien que l'héroïne soit âgée de quinze ans. Mais davantage narrées à la façon d'un film porno que d'une abomination. Ce qui me fait me poser plus de questions encore quand plusieurs des autres nouvelles traite de pédocriminalité ou sexualise des gosses dans ses situations randoms, comme s'il était normal qu'un perso homme adulte se dise en voyant une gamine de 11 ans qu'elle est quand même bien jolie et qu'elle fera tourner un paquet de têtes dans quelques années.
Vous, je sais pas, mais moi, ça me met vraiment mal.
Et encore plus en mettant tout bout à bout.

Je passerai très vite sur l'irréalisme de certaines situations.
J'aime l'absurde, le burlesque, les situations improbables, mais encore faut-il que ce style si particulier soit maîtrisé, or ici, ce n'est clairement pas le cas et on peine vraiment à rentrer dans le délire où veut nous traîner l'auteur.

J'aime quand les choses semblent ne pas avoir de sens, puis que la dernière ligne de l'histoire nous révèle mine de rien la pièce qu'il nous manquait pour pouvoir pousser un Ohhh rétrospectif. J'aime aussi quand on est plongé dans un univers farfelu et qu'il faut dealer avec des choses qui nous paraissent étranges mais que les persos trouvent banales (j'ai aimé l'histoire des changements de prix dans la nouvelle 35, par exemple, même si l'explication a un peu tout gâché pour moi). Mais l'absurde est loin d'être simple à maîtriser et il faut traiter l'humour loufoque avec sérieux.

Oserais-je noter que l'auteur a osé le coup du « ce n'était qu'un rêve » sur l'une des meilleures nouvelles... Je croyais que le mémo était passé auprès de tout le monde et qu'on était globalement d'accord pour dire que ce genre de fin c'est caca, mais il semblerait que certains résistent encore.

En un mot comme en cent (ou plutôt en mille) j'ai bien peur d'être passé à côté de ce recueil, à moins que ce ne soit lui qui me soit passé à côté.
Mais je crois aussi que ce sont surtout les thématiques abordées et la façon dont l'auteur a choisi de le faire qui m'ont tenu à l'écart.

C'est dommage parce que parmi ce melting-pot d'idées parfois saugrenues, il y en a quelques-unes qui ont un beau potentiel et que j'aurais pu apprécier si les circonstances avaient été différentes.

En ce qui concerne l'édition, j'ai repéré quatre ou cinq coquilles, c'est pas énorme, pas très grave, et pour les livres auto-édités je ne le note même pas, mais comme il s'agit ici d'un livre édité de façon traditionnelle, je me permets de l'indiquer, même si ça n'a pas du tout influencé ma note.
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Voici une gourmandise que j'apprécie énormément : un recueil de nouvelles !

Une anthologie de 42 nouvelles noires à lire avant de mourir (c'est bon je l'ai lu je peux mourir tranquille ! )

De la dynamique , ça secoue sévèrement !

La noirceur la mort le pire qui vit en l'être humain , ici tout est permis , et les différents protagonistes morflent !

J'en ai beaucoup aimé , d'autres ne m'ont pas séduites , mais sincèrement je garde un sentiment plutôt positif de cet ouvrage dans son ensemble!

Et puis , allez y pour dénicher un recueil qui offre autant , sérieusement c'est plutôt rarissime …

Il m'a littéralement réveillée , botté le cul , remué et secoué juste comme il le faut !

Plusieurs histoires vivent encore en moi j'ai du mal à m'en défaire ce qui est plutôt bon signe !

Des nouvelles efficaces courtes , ou longues (parfois très courtes AHA)

L'auteur va droit au but et nous balance cela à la tronche violemment un peu comme une grenade ou une balle dans le crâne !

Des cocktails molotov lancés à la gueule !

En toute franchise , Je suis satisfaite de ce que je viens de lire , car j'ai dévoré ce beau bébé en une après-midi !!!

Je n'ai pas pu le savourer plus longtemps , et me restreindre ( c'était trop bon! )

C'est marquant violent & inoubliable, une véritable claque !

Des recueils comme ça je vote directement POUR , car même si il y a des nouvelles qui ne sont pas à mon goût je suis toujours très empressée de connaître la fin , la chute qui est toujours relativement satisfaisante!

Amoureuse de ce genre peu apprécié par les éditeurs apparemment , ces petits récits explosifs méritent franchement le coup d'oeil …

N'hésitez surtout pas à vous lancer corps & âme là dedans , plongez sans retenue dans les enfers des autres , cela divertit plutôt bien et surtout nous fait un peu oublier le notre !
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Près de 1 300 homicides se produisent chaque jour aux quatre coins du monde, de la Californie à Bornéo, du Congo à Paris, de Nice à Kaboul, visiblement, sans lien apparent. Il faut trouver une issue,pour échapper à la violence d'un monde absurde et oppressant mais, étroite est la porte et resserré le chemin menant au Paradis, et il y en a peu qui les trouvent. le ton est donné d'emblée et cette anthologie de 42 nouvelles nous entraîne effectivement au plus profond de la noirceur humaine. Philip le Roy va droit au but et expose une facette de notre réalité dans ce qu'elle a de plus détestable, de plus sauvage, de plus cruel également. Des histoires sombres mais efficaces, une vision cynique et impertinente d'une société à la dérive et en perte totale de repères. On découvre au fil des récits, des drames humains, de la duplicité, de funestes rencontres, d'imprudentes décisions qui vont engendrer des tragédies, d'immuables rancunes et des jugements sans complaisance. Toute une palette d'émotions et de pulsions aussi complexes que troublantes et intenses que Philip le Roy parvient en peu de mots à transmettre dans un éventail considérable de problématiques pour susciter une profonde émotion. Il va directement à l'essentiel sans s'encombrer d'inutiles parenthèses mais, en aucun cas, il ne transgresse à la règle fondamentale de la nouvelle, offrir quoi qu'il en soit une chute aussi stupéfiante que déconcertante et qui bouscule toutes les certitudes. Si certains textes frôlent l'excellence, d'autres s'avèrent plus ordinaires ou inadéquats voir pour certains sans intérêt. L'ensemble s'attache avant tout à mettre l'accent sur un genre peu exploité et méconnu qu'il célèbre en dépit de la perversité du propos. Si l'écriture d'une nouvelle est un exercice complexe qui décourage bon nombre d'auteurs à s'y essayer, Philip le Roy, dans un style inhabituel et plutôt inédit, s'y emploie intelligemment, indépendamment de quelques failles, avec originalité et une certaine habileté.
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Aller simple vers l'enfer
De temps à autres j'aime bien lire des nouvelles, ces textes assez courts souvent percutants. Avec ce recueil sous titré « anthologie des 42 nouvelles noires à lire avant de mourir », je n'ai pas été déçue.
Cocktail explosif de drames humains ponctués de trahisons, de vengeances, de mauvaises rencontres, d'incidents fortuits (ou pas) ces 42 textes (qui vont de 4 mots pour le plus court à une vingtaine de pages pour le plus long) ne font pas dans la dentelle. L'auteur prévient : c'est brutal, noir, trash, sans espoir. Il y a du sang (beaucoup) et des larmes.
Et d'ailleurs ça commence très fort avec « accident de parcours », première nouvelle qui m'a littéralement scotchée… le reste est à l'avenant. Bien sûr, comme dans tout recueil de nouvelles, certaines sont meilleures que d'autres, selon le ressenti de chacun. Cependant, je trouve que l'ensemble est cohérent : Philip le Roy n'a pas menti sur la marchandise !
A lire, si possible avec la lumière allumée et dans le meilleur des cas, avant de mourir !
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Le bruit le plus terrifiant que l'humanité ait inventé depuis son aube est celui du réveil. Avec la fraise du dentiste peut-être. Les deux annoncent que vous allez souffrir.
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Vidéo de Philip Le Roy
Qui veut gagner le Paradis ? : le thriller en 42 incroyables nouvelles noires à la Black Mirror signé Philip le Roy, disponible partout dès maintenant !
250 personnes seront victimes de violences meurtrières pendant que vous lirez ce livre* Près de 1 300 homicides se produisent chaque jour aux quatre coins du monde, de la Californie à Bornéo, du Congo à Paris, de Nice à Kaboul. Visiblement, sans lien apparent.
4 hommes sur 5 et d'1 femme sur 2 ont déjà eu l'intention de tuer au cours de leur vie**
Les auteurs de ces crimes et leurs victimes sont de tous les âges, nationalités, origines sociales, orientations politiques ou sexuelles. Cela pourrait être n'importe lequel d'entre nous. À qui le tour de tuer... ou d'être tué ?
Étroite est la porte et resserré est le chemin menant au Paradis, et il y en a peu qui les trouvent***
Comment échapper à la violence d'un monde absurde et oppressant ? Le Paradis existe-t-il ? Il faut trouver une issue, mais vite, car le compte à rebours a commencé depuis longtemps.
Philip le Roy est scénariste et auteur de thrillers dont le Dernier Testament, Grand Prix de Littérature Policière. Qui veut gagner le Paradis ? est un thriller à fragmentations. Il repousse les limites de l'art de la nouvelle qui comme le disait le maître du genre Philip K. Dick consiste à surprendre le moment le plus intense de notre existence. Un ouvrage hors normes à ne pas mettre entre toutes les mains.
* Selon une étude de l'ONU, près de 464 000 personnes dans le monde ont été victimes de violences meurtrières en 2017, soit cinq fois le nombre de personnes tuées dans des conflits armés au cours de la même période.
** Selon une étude portant sur 760 étudiants, 79 % des hommes et 58 % des femmes ont déjà eu au cours de leur vie des pensées visant à tuer quelqu'un.
*** Évangile selon Matthieu 7.13-14.
Philip le Roy est scénariste et auteur de thrillers dont le Dernier Testament, Grand Prix de Littérature Policière. Qui veut gagner le Paradis ? est un thriller à fragmentations. Il repousse les limites de l'art de la nouvelle qui comme le disait le maître du genre Philip K. Dick consiste à surprendre le moment le plus intense de notre existence. Un ouvrage hors normes à ne pas mettre entre toutes les mains.
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