" Il s'agissait du troisième homme du monde assassiné en deux semaines. Sans adopter un ton alarmiste, le journal insistait sur le fait que les meurtres d'hommes du monde devaient cesser. Il y avait une limite, une limite raisonnable, à tout. Pourquoi un homme du monde devait-il être assassiné ? On pouvait aussi se demander pourquoi un homme du monde devait-il vivre ? Mais là n'était pas réellement la question. Ils vivaient. Après tout, soyons honnêtes, qu'est-ce qu...
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