Pendant des dizaines d'années, des milliers d'ouvrages touchant un large public ont constitué la " littérature coloniale " en un genre majeur, avec sa rhétorique, ses critiques, ses Prix et ses Académies, et ses anthologies. Ce continent littéraire, aujourd'hui continent perdu, mérite pourtant mieux que le mépris ou l'oubli. On peut juger insupportables les partis pris idéologiques qui informèrent le regar...
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