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Hellboy en enfer tome 1 sur 2
EAN : 9782756048161
160 pages
Delcourt (02/04/2014)
4.4/5   15 notes
Résumé :
Après avoir sauvé l?Humanité, au sacrifice de la Grande-Bretagne et au péril de sa vie, Hellboy est mort. Condamné à rester en Enfer, il retrouve un certain nombre de visages connus, des âmes damnées, des fantômes du passé, et un trône qui n?attend que lui. Mais Hellboy est-il prêt à monter sur celui-ci pour régner sur les enfers ? Un voyage infernal assuré par le maestro Mike Mignola.
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Ce tome est le premier d'un diptyque racontant la descente littérale d'Hellboy aux enfers. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2012/2013, écrits, dessinés et encrés par Mike Mignola, avec une mise en couleurs de Dave Stewart. le récit fait référence à plusieurs événements survenus précédemment et il vaut mieux être familier de l'histoire d'Hellboy pour apprécier pleinement ce tome.

Helboy a tué le dragon, puis le spectre de Nimue a arraché le coeur d'Helboy qui s'est retrouvé en Enfer. Un autre spectre relate ces faits à l'esprit de Sir Edward Grey, lui aussi décédé. Ce dernier demande au spectre de l'envoyer pour rejoindre Hellboy afin de l'aider. Dans le même temps, Hellboy chute et se reçoit lourdement et sans grâce, la tête la première sur un rocher. Un spectre lui apparaît lui indiquant qu'il ne se trouve pas vraiment en Enfer, mais dans les Abysses. Alors qu'Helboy est en train de se rendre compte qu'il connaît l'identité du spectre, de nombreuses créatures insectoïdes surgissent et l'attaquent. Elles sont dispersées par le spectre. Alors qu'Hellboy reprend la station débout, il est attaqué cette fois-ci par un géant armé d'un marteau, Duke Eligos.

Arès cet affrontement, le spectre l'emmène dans une maison dont les murs intérieurs sont couverts de signes cabalistiques. Alors que Duke Heligos attaque à nouveau, le spectre repousse Hellboy dans l'escalier. Il se retrouve sur une placette et observe un stand de marionnettes, où celle Jules Dulot reçoit la visite d'un squelette appelé Jacob Marley. Ce dernier informe Dulot qu'il va bénéficier d'une chance d'échapper à son sort, sous réserve qu'il soit capable de la saisir. Un autre spectre vient chercher Hellboy et fait en sorte de le faire léviter au-dessus de la cité où ils se trouvent. En survolant la cité, il l'emmène jusqu'à Pandémonium, la capitale des Enfers. Arrivés sur place, il lui explique que la capitale est vide, car tous les démons ont décidé de tenter leur chance ailleurs après la mort de Satan. le spectre l'emmène jusqu'au pied du trône de Satan où flotte sa couronne, et où se trouve une mouche.

Ce tome est à recommander à des lecteurs déjà familiers du personnage, car il est fait allusion à plusieurs aventures à commencer par Hellboy T10: La grande battue, mais aussi la série dérivée Witchfinder T01: Au service des anges et quelques tomes du BPRD pour ce qui est de la Confrérie de Ra. le paradoxe réside dans le fait que le lecteur familier d'Hellboy et ayant lu les tomes de la série sait déjà ce qui l'attend : la descente d'Hellboy aux Enfers jusqu'au trône de son père. En effet depuis le début de la série, l'enjeu pour le personnage est de savoir s'il pourra échapper à son destin qui est de succéder à son père sur le trône de l'Enfer. Dans le même temps, le lecteur n'a aucune idée de ce qui va arriver à Hellboy en Enfer, ni des batailles qu'il va avoir à livrer. Effectivement les premières séquences produisent un effet déroutant, laissant le lecteur dans l'expectative, totalement incapable d'anticiper ce qui va arriver. Il se demande quelles sont les différentes silhouettes encapuchonnées qui dispensent des conseils à Hellboy, et aussi quelles sont leurs objectifs inavoués. Il n'a aucune idée de la raison pour laquelle l'auteur intègre un spectacle de marionnettes mettant en scène Jacob Marley, un personnage secondaire de Un chant de Noël (1843) de Charles Dickens.

Dans le cas particulier de cette série, il est possible que le lecteur s'intéresse plus aux dessins qu'à l'intrigue proprement dite. En effet, ce tome (et le suivant) marque le retour de Mike Mignola en tant qu'artiste, alors qu'il avait abandonné cette fonction à partir du tome 8, confiant les dessins à Duncan Fegredo. le lecteur se souvient des principales caractéristiques : des formes épurées parfois jusqu'à l'abstraction, des arrière-plans souvent vides, des personnages croqués à gros traits, des monstres à la conception graphique soignée aux petits oignons. Ceux de ce tome ne dérogent pas à la règle, comme en atteste la dizaine de pages d'études graphiques à la fin du tome. Elles permettent de se rendre compte des recherches sur les monstres insectoïdes et sur Duke Eligos. Les premiers évoquent les Grands Anciens d'HP Lovecraft sans pour autant donner l'impression de plagiat. le second présente une forme massive et imposante, avec une morphologie pas tout à fait humaine, et une tête fendue en deux. Mignola n'a rien perdu de sa capacité à donner vie à des monstres aux formes très épurées, mais aussi à l'apparence quasi minérale. le lecteur a du mal à croire que ces espèces de créatures aux yeux ronds et vides puissent être autant visuelles simples et dégager une aura aussi sinistre. C'est tout l'art du dessinateur que ces formes à l'apparence infantile soit quand même menaçante.

Il en va de même pour les différents démons anthropoïdes. le lecteur retrouve un diablotin apparu dans The wild hunt, avec une posture naturelle très générique et un peu relâchée. Dans le même temps, les différentes formes noires encrées qui définissent ses traits du visage et la texture de sa peau en font une créature sans lien avec l'humanité. Comme à son habitude, l'artiste dessine des épaules tombantes à ses personnages, à commencer par Hellboy, mais aussi aux autres personnages. Il n'y a pas de logique autre qu'esthétique à ce choix, cette particularité dégageant une impression de fatalisme. Comme à son habitude, Mignola ne s'investit dans les décors que quand il le juge nécessaire. Il peut donc y avoir une absence d'arrière-plan une page durant, les ombres portées et les rayons de lumière venant alors insister sur l'ambiance. Lorsque l'environnement est représenté, il bénéficie du même soin dans sa conception que les monstres ou les personnages. le lecteur avait déjà eu un aperçu de Pandémonium dans d'autres tomes. Elle présente une architecture évoquant étrangement des temples grecs ou romains pour une raison inconnue. Comme d'habitude le rendu de cette architecture semble taillé au burin, et est complété par les couleurs de Dave Stewart, en particulier des flots de rouge donnant une impression de sang, mais aussi de lave et de feu. Dessins + couleurs jouent sur un aspect monolithique et ancien, ainsi que sur des unités simples et d'un seul tenant, évoquant des forces primales et primaires

Au fur et à mesure des pérégrinations d'Hellboy, le lecteur découvre d'autres endroits inattendus comme une maison refuge, ou une place dans un village datant du dix-neuvième siècle. le lecteur y voit un assemblage d'éléments hétéroclites qui forment un amalgame sans grumeaux, dégageant un fort onirisme. Il repère aussi bien des éléments gothiques, que des toitures provençales, ou encore un urbanisme bavarois. Cette présence chronique des décors incite le lecteur à y prêter une attention particulière quand ils sont présents, car c'est un indicateur du fait que l'auteur leur donne de l'importance. le lecteur peut très bien ne pas être sensible aux mécanismes graphiques employés par Mike Mignola et qui lui permettent d'arriver à générer les ambiances et les sensations qu'il souhaite mettre en scène. Cela ne diminue en rien l'impact que certaines images ont sur la lui, la force de leur onirisme, de leur étrangeté, ou la puissance de leur évocation. Il peut s'agit d'images spectaculaires : Hellboy se tenant sur un rocher alors que les eaux autour regorgent de monstres, la vision de Pandémonium dans le lointain, le trône de Satan au milieu des décombres, Sarah Hughes transpercée par un croc de boucher, etc. Il peut également s'agir d'images plus banales mais très étranges dans le contexte d'une scène : une mouche enchâssée dans de l'ambre montée sur une bague, une épée courte tombant au sol avec un bruit retentissant, une pompe à eau sur une pierre tombale avec la mention Lethe. Alors même que les dessins semblent dépouillés, le lecteur se rend compte qu'ils comprennent des informations visuelles inattendues et déroutantes qui participent à établir une ambiance onirique et bizarre, dérangeante.

Le lecteur retrouve bien la force personnalité graphique de Mike Mignola, ce qui peut suffire à son plaisir de lecture. L'apparition de Jacob Marley est la première des citations littéraires. L'auteur a inséré une brève note en bas de page quand il en fait d'autres comme celle tirée de Macbeth (1623) de William Shakespeare, ou celle tirée du Paradis perdu (1667) de John Milton. Ces citations s'inscrivent naturellement dans le récit, côtoyant les éléments narratifs tirés du folklore populaire. L'auteur cite également des événements d'autres tomes de la série, en un nombre suffisamment limité pour que cela n'exige pas un trop grand effort de mémoire, mais pour faire apparaître le prolongement naturel que sont les développements dans ce tome. Mike Mignola déstabilise le lecteur en sautant à plusieurs reprises d'une situation à une autre sans transition claire, comme si Hellboy évoluait dans un environnement onirique, ce qui est le cas. Il faut donc accepter de se laisser porter par la narration, et de ne pas avoir des réponses immédiates, par exemple quant à l'identité de la personne avec qui Jacob Marley est en train de parler.

Arrivé au milieu du deuxième épisode, le lecteur commence à reprendre pied grâce à des informations sur les enjeux liés à la succession au trône de Satan, et à la fonction de la main droite d'Hellboy. le lecteur de longue date soupire d'aise dans les dernières pages de l'épisode 2 quand il se rend compte qu'il assiste à la naissance d'Hellboy, avec la présence de sa mère et la greffe de cette main droite si particulière, disproportionnée par rapport au reste de son corps. L'auteur retient l'attention de son lecteur par une série de révélations inattendues à ce stade du récit, à commencer par l'apparition de Gamon et Lusk 2 frères d'Hellboy et d'autres révélations encore. du coup le lecteur lui accorde sa confiance totale au cours de l'épisode 3, ce qui tombe bien parce que l'épisode 5 semble prendre une voie de traverse pour une anecdote relative à Jules Eugène Dulot, sans beaucoup de rapport avec la choucroute.

Alors qu'il arrive avec une idée bien claire de la direction générale de l'histoire pour ce tome, le lecteur se trouve complètement pris au dépourvu par ce que lui raconte l'auteur. Mike Mignola n'a rien perdu de son talent graphique pour réaliser des formes à l'apparence simpliste, mais à la saveur inégalée. Il emmène le lecteur dans des endroits inattendus, à la rencontre de personnages très surprenants, pour des scènes déroutantes, mais enrichissantes.
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http://lacasebd.overblog.com/2014/03/hellboy-in-hell-n-b.html

Salut les lecteurs et haut les coeurs. Alors ça biche ? Tenez-vous bien et sortez la bouteille de Champomy car on va s'intéresser à une BD qui déglingue sa race au canif, on va parler d'une série qui aura pour thème : douleurs, larmes, philosophie et baston (je vous avais bien dit de vous accrocher) ; bienvenue dans l'univers d'Hellboy.

Hellboy c'est une histoire éponyme sortie il y a belle lurette et qui va justement fêter son 20ème anniversaire en juin 2014. Comme tout merchandising qui se respecte, c'est à coup de promotion et pubs diverses que l'on va en bouffer ; l'on démarre les hostilités en force par les Éditions Delcourt et sa sortie collector-noir-et-blanc-paillette de Hellboy In Hell (en anglais dans le texte).

Ouais mais avant toute chose, qui est Hellboy ? Parce que tout le monde ne connait pas forcément.

Hellboy, pour les deux du fond qui ne suivent pas, c'est un démon. À la base, il a été invoqué par les nazis durant la seconde guerre mondiale histoire de leur donner un petit coup de pouce. Manque de bol, ça foire grave et ce dernier est sauvé in extremis pas une bande de militaires-archéologues-ricains genre X-File. du coup ils sauvent Hellboy, bottent le cul aux nazis et s'en retournent aux States afin d'éduquer comme il se doit le démon, lui inculquer les bonne valeurs de l'oncle Sam et l'intégrer dans leur département paramilitaire en charge de, je vous le donne en mille, investiguer et nettoyer tout ce qui est paranormal. Voilà bien un prétexte fallacieux pour nous emmener évidemment visiter tous les contes et légendes, mystères, et anachronismes de l'Histoire.

Tout va passer à la moulinette dans le cerveau de l'auteur Mike Mignola surtout que c'est son bébé , son oeuvre maitresse , qu'il a quasiment piloté tous les scénarios de la série et en a illustré une bonne moitié. Bref vous l'avez compris, c'est tout un univers onirique qui a été créé et c'est très bien ! Ça c'est pour la partie préambule de la série, ici on parle de l'édition Collector. Alors de quoi ça cause bon sang ? ( Et la je vous répondrai Woozzzaaaahh !!! )

Dans ce nouvel opus qui a commencé en 2013, Hellboy, histoire de sauver l'humanité et promouvoir la démocratisation du poulet grillé (nan je déconne), affronte un Dragon dans un combat titanesque qui ferait repousser les cheveux sur le crâne de n'importe quel chauve brûlé au 30ème degré ; du coup il se prend une rouste du tonnerre qui l'envoie fissa en Enfer (bouh) manger les spaghettis par les racines. Et justement l'Enfer c'est surtout pour lui un retour aux sources, à ses origines puisque c'est là que son père est mort, là où il a été créé et là aussi où Hellboy a bafoué sa destinée préinscrite parce que c'est un gros facho-rebelle « qu'on lui dit pas ce qu'il doit faire ».

Au premier coup d'oeil, on comprend rapidement que l'on n'est pas à Disneyland, que l'Enfer ce n'est pas celui de Dante, que son père était un gangsta (gangster ?) démoniaque et qu'on risque de se faire pincer les tétons, bouffer du chien et j'en passe… Bref rien à voir avec vos fantasmes S&M et l'iconographie du genre. Mais l'Enfer c'est aussi un monde qui manque cruellement d'un roi car son Lucifer de père est mort et le trône est vide. Hellboy voyagera du coup vers le Pandémonium où sa destinée semble inexorablement le conduire et où de nouveaux dangers et aventures l'attendent. Peut-on échapper à un si lourd fardeau ? Quelle est vraiment sa destinée ? Et qui sont ces créatures qui veulent tellement l'aider ?

Voilà donc une édition bien Collector comme il faut qui mettra au garde-à-vous tous les fans de la saga. Une saga très attendue et qui signe notamment le retour de Mike Mignola au scénario mais aussi aux dessins puisqu'il déléguait pas mal cette partie à d'autres auteurs depuis un certain nombre d'années. du coup le retour de son style graphique est un vent de fraîcheur pour tous ses fans, un trait justement très peu académique qui, en quelques lignes, arrive à créer par de subtils jeux d'ombres une ambiance du diable qui n'est là que pour supporter une histoire bien tortueuse.

Graphiquement épurée, techniquement et esthétiquement très beau, on reconnait le style si caractéristique de l'auteur. L'histoire est, ma foi, assez intéressante car on se plonge, comme à l'accoutumée et au-delà de la baston basique du « je vais t'exploser » , de plus en plus loin dans la psychologie complexe de cet anti-héros en ouvrant des portes et des questionnements philosophiques voire même religieux, le tout teinté d'obscurantisme et de gothisme.

On admire la mise en scène et la narration imposées par l'auteur, et les méchants vont comme d'habitude voir leurs plans chier dans la colle. L'histoire, elle, est très bien montée (oui je sais, merci) même si parfois un peu trop confuse pour le lecteur néophyte mais là j'y reviendrai.

Le tout est un beau bouquin cartonné d'une bonne centaine de pages qui couvre les 4 premiers épisodes de ce cycle déjà paru aux US (en fait, le 4e venant à peine de sortir là-bas et le 5e est prévu pour mai 2014). Petit bonus à la fin du bouquin : les couvertures non pas des 4 mais des 5 numéros de la série (ouais, même celui qui n'est pas encore imprimé).

Moi, avec mon oeil critique, j'ai apprécié moyennement ce sympathique objet car le manque de couleurs m'a clairement gêné. Je trouve justement que les jeux de couleurs donnent une dimension supplémentaire et complémentaire à l'histoire, chose que la version monochrome n'a pas, et ce, même servie avec des Chipitos.

En plus c'est destiné à ceux qui connaissent bien l'histoire vu les références, flashbacks et ce genre de trucs… Bref faut pas commencer par celui-là.

Pour résumer, cet objet sera indubitablement à cataloguer pour les collectionneurs, fans et les puristes. Et pour toi, ami et commun des mortels, sache que cette série est excellente mais attends d'abord la version couleur, c'est vachement mieux.

ps : Pour résumer, et pour vous montrer la densité du machin et le succès de celui-ci, j'ai mis ci-dessous une photo pour savoir comment lire les BD de cet univers, si ma foi vous décidez de vous y lancer… Mais vous savez déjà quoi faire.
Lien : http://lacasebd.overblog.com..
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Je ne connaissais pas le série Hellboy et j'ai pensé qu'avec ce tome il était possible de découvrir la série.
Mauvais pioche, je n'ai pas vraiment pu entrer dans l'histoire, pas de présentation des personnages, assez peu de texte globalement (et pourtant malgré le peu de mots utilisés on retrouve des fautes...).
Graphiquement, noir c'est noir, rehaussé d'une petite touche de rouge de temps en temps, le tout sur des dessins minimalistes qui m'ont fait me poser des questions et sur certaines planches ne pas reconnaitre le personnage principal.

En bref, à recommander aux gens qui connaissent et apprécient la série, mais certainement pas la bonne porte d'entrée pour pénétrer dans l'univers.
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critiques presse (4)
BDGest
21 mai 2014
À trop vouloir enrichir son œuvre, Mike Mignola a pris le risque, en développant autant de séries annexes, d'atténuer l'intérêt de la saga originelle. En ressuscitant son colosse rouge pour l'emmener vers son destin final, réussira-t-il pour autant à ranimer intérêt du lecteur ?
Lire la critique sur le site : BDGest
Ce premier tome de la série Hellboy en Enfer marque le retour de Mike Mignola aux commandes de son personnage fétiche, qu’il avait confié à d’autres auteurs. Cette fois, il signe le scénario et les dessins, restant fidèle à son style particulier, utilisant des encrages très sombres et bénéficiant de la très experte colorisation de Dave Stewart.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Sceneario
26 mars 2014
Ce premier tome d'Hellboy en Enfer est un vrai plaisir pour les amateurs. Déjà, de retrouver hellboy tout simplement, mais surtout de pouvoir admirer le dessin d'un Mike Mignola au sommet de son art ! Une oeuvre indispensable et idéale pour tout amateur de très bonnes bandes dessinée !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Sceneario
10 février 2014
En attendant la sortie du livre couleur, profitez pleinement de cette magnifique édition spéciale. Un beau livre permettant de retrouver un auteur, un artiste en grande forme. Indispensable !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Les gens sont comme des maisons, plus on a d'expérience et de souvenirs, plus on a de pièces dans sa maison. Certaines valent la peine d'être visitées, d'autres gagnent à rester fermées, barricadées, emmurées.
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-Il n'y a plus de royaume qui tienne. Plus de princes, plus de généraux, plus de ducs ni de seigneurs.
-Rien que vous, la classe ouvrière. Je vois.
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HELLBOY.-On m'a toujours dit que vous étiez un type bien, ED. Comment avez-vous atteri ici ?
EDWARD GREY.-Le déroulement des choses n'est pas toujours juste. Vous êtes bien placé pour le savoir.
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