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EAN : 9782376620228
158 pages
C&F Editions (23/03/2021)
4.5/5   1 notes
Résumé :
La destructivité pousse les humains à vouloir détruire, objets ou autres humains, y compris eux-mêmes, leurs corps, leurs capacités émotionnelles, leurs repères identitaires. Les terroristes savent s'appuyer sur les conséquences de cette destructivité chez les adolescents, les adolescentes et les jeunes adultes fragiles pour recruter.
L'auteur s'appuie sur sa longue expérience de psychanalyste pour développer une réflexion originale sur la tentation actuelle,... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Vous avez aimé la série « En thérapie » avec un Frédéric Pierrot incarnant à merveille un Philippe Dayan à l'écoute, nul doute que vous pourriez aimer lire Daniel Oppenheim dans cet essai au coeur du réel. le terrorisme est un problème majeur de notre 21ème siècle. Il m'a semblé intéressant de voir ce que pouvait écrire à ce sujet un auteur possédant une énorme expérience dans sa pratique, lui qui exerce en tant que psychiatre et psychanalyste depuis une cinquantaine d'années et a publié 14 livres et plus de 400 articles.

Il s'agit dans le premier chapitre de tenter de comprendre les mécanismes qui poussent des adolescents et des jeunes adultes vers la violence politique, leur destructivité s'exprimant en actes tels les jeunes radicalisés rejoignant Daech. Quelles sont les conséquences de cette destructivité quand elle va jusqu'à la volonté d'extermination d'une communauté pour des raisons politiques, religieuses ou ethniques ? L'analyse de l'autobiographie du commandant d'Auschwitz est aussi glaçante qu'intéressante.
Le deuxième chapitre s'intéresse aux effets sur les victimes et leurs descendants. Les effets sur les enfants de ceux qui ont exercé cette barbarie sont également pris en compte.
Dans le troisième chapitre, deux exemples de moyens de résistance non violente sont présentés : par les lois, le bon fonctionnement de l'appareil d'Etat, la résistance civile quand celui-ci est défaillant. Face à la barbarie, la défense exceptionnelle par les armes est mentionnée. le second exemple, le candomblé au brésil, culte des orishas, religion tolérante, ni secrète ni prosélyte, est présenté comme une réponse collective au mal-être et au désarroi social et identitaire. le thérapeute fait un parallèle étonnant entre cette pratique et la littérature qui peut être une arme contre les dictatures et les tyrannies.

Les ouvrages de psychanalystes ne sont habituellement pas vraiment à la portée de chacun de nous. J'ai accédé avec difficulté à la pensée de Sigmund Freud, de Carl Gustav Jung, de Jacques Lacan par exemple, alors que des auteurs comme Bruno Bettelheim ou Jean-Baptiste Pontalis m'ont parus bien plus abordables. le livre de Daniel Oppenheim a le mérite de se lire très facilement, l'auteur utilisant volontairement des mots et des notions tout à fait accessibles à tous. Il donne des récits d'expériences, des exemples d'entretiens – Chapitre intéressant d'un entretien psy avec un adolescent concerné par cette destructivité –. Modestie et prudence dans les interprétations apparaissent à chaque étape, ce qui peut brouiller la lecture. On ne trouvera pas de théorie toute faite ici, chacun doit cheminer dans diverses hypothèses pour tenter de comprendre et chercher les voies de résistance. D'ailleurs, le dernier court chapitre est intitulé « Il reste beaucoup à faire pour comprendre et prévenir », avec une citation de Peter Weiss « Pour nous, étudier fut, dès le début, se révolter. »

La destructivité est le penchant à détruire. le Larousse précise : « tendance pathologique à la destruction ». Daniel Oppenheim précise qu'elle existe dans bien d'autres domaines, dans le monde du travail, son organisation et les processus de fabrication, les méthodes de management, le pratiques de harcèlement et de destruction sociale, psychique ou physique (suicide, maladies graves) des travailleurs.
Banalité du mal théorisée par Hannah Arendt, banalité de la destructivité liée à la pulsion de mort théorisée par Freud et reprise par la psychanalyse dans son ensemble.

Cet essai vise à la prévention, à empêcher ou limiter l'évolution de certains parcours vers la violence terroriste. Il n'est pas adressé aux seuls spécialistes mais à tous ceux au contact des jeunes dont le malaise pourrait les rendre disponibles aux propositions de violence destructrice. Un tel sujet nous concerne tous.

A la fin, l'auteur présente « une littérature de résistance qui décrit la destructivité et qui apprend à la lire ». Pas sûr que cette présentation renforce le propos et certains éléments m'ont gêné. Quatrevingt-treize de Victor Hugo est un des 6 livres présentés et décortiqués. L'auteur affirme « Victor Hugo est romancier, pas historien. Il mêle vérité historique et création fictionnelle qui en remplit les vides, lui apporte la puissance littéraire, ses questionnements et ses réflexions, et la présente à un public plus vaste que celui des spécialistes. ». La vérité historique est une notion qui aurait mérité également modestie et prudence surtout concernant Hugo. Les exemples mettent en avant la révolution française et l'histoire du 20ème siècle à travers la révolution russe et l'esclavage aux États-Unis : Vladimir Zazoubrine « le Tchékiste », Isaac Babel « Cavalerie rouge », Iouri Olecha « L'envie », Lamed Shapiro « le royaume juif », William Faulkner « L'intrus ».

En quatrième de couverture des éléments de biographie sont présentés. « Daniel Oppenheim est psychiatre et psychanalyste depuis le début des années 1970. Ses travaux ont porté sur la barbarie biologique (celle du cancer et du handicap sévère) et sur la barbarie collective humaine et ses séquelles. »
La barbarie humaine est une réalité de toutes les époques et on doit tout faire pour la comprendre et tenter de l'enrayer. Fait-on assez dans l'éducation à ce sujet ? Daniel Oppenheim pense que non ! L'importance de l'éducation sexuelle est prise en compte mais rien sur « l'éducation à l'agressivité exprimée et subie » telle qu'envisagée par Freud dans « le malaise dans la culture ». Ne pourrait-il pas y avoir un module spécifique, en lien avec la philosophie et la littérature pour éduquer et prévenir contre la violence ?
Par contre, j'ai eu plus de mal à comprendre que le terme barbarie puisse être accolé à biologique. Il me semble que la barbarie véhicule des notions morales ne concernant que l'attitude volontaire de l'homme. Qu'en pensez-vous ?
Grand merci à Babelio, à C&F éditions, de m'avoir fait découvrir ce livre démontrant que la destructivité n'est pas une fatalité et qu'il est possible d'agir contre elle, ne serait-ce qu'en le lisant.
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Critique complète avec photo d'illustration, couverture du livre sur fond de pétunias noirs, sur le site Bibliofeel ou sur Facebook, Instagram à clesbibliofeel. A bientôt !

Lien : https://clesbibliofeel.blog
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La solidarité protège plus que le chacun pour soi

« C'est le constat angoissant de voir un nombre significatif d'adolescents et de jeunes gens « comprendre » et excuser la violence politique excessive, en particulier celle du terrorisme, voire être tenté de s'y engager, qui fut le point de départ de ce livre. En comprendre les causes et les mécanismes m'est apparu nécessaire pour contribuer à limiter cette tendance inquiétante et pour aider ceux qui pourraient être tentés par la violence politique excessive à s'en déprendre. Cette violence est omniprésente dans notre monde. Elle est celle des États dictatoriaux, « illibéraux », ou « démocratiques autoritaires », des groupes armés (aux divers objectifs, souvent mêlés), des génocides, massacres, guerres barbares menés par ces groupes, des partis ou des États. La destructivité m'a semblé être une porte d'entrée et une ligne directrice pertinente pour cette réflexion ». En introduction Daniel Oppenheim discute, entre autres, de la violence et de la destructivité, de pulsion de mort. Il présente le plan du livre, sa progression logique. Il propose de réfléchir dans un premier temps sur les mécanismes et les processus. Il souligne que « Néanmoins, tous ceux qui partagent ces caractéristiques ne basculent pas pour autant dans la tentation de la destructivité en acte ou dans sa mise en oeuvre ». Il aborde dans une seconde partie « une réflexion sur les moyens que les victimes et leurs enfants ont pour résister à la violence barbare et pour se déprendre de leurs effets traumatiques et destructeurs », sans négliger les séquelles traumatiques des descendants d'exécuteurs. Pour enfin discuter de résistance civile, du candomblé au Brésil, de la résistance par la littérature. L'auteur présente aussi la destructivité pour les psychanalystes…

Quelques remarques préalables.

Je n'utilise pas le terme « terrorisme » qui semble réduit à la destructivité en acte – pour utiliser la terminologie de l'auteur – de certains dans l'oubli du terrorisme des Etats, des industriels, des groupes d'extrême-droite, des suprémacistes divers… Des écrivaines féministes utilisent, me semble-t-il à juste titre, la notion de terrorisme masculin pour les viols et les violences sexuelles… Dans tous les cas, il ne s'agit pas de reliquats de rapports sociaux anciens mais bien de « barbarie » moderne… le « désir de détruire » peut se manifester par des génocides, des bombardements de civil·es, des viols, des castrations et autres réassignations violentes, des tueries, sans oublier l'« ordinaire » de l'exploitation et des dominations. Il s'agit donc d'un continuum et de formes extrêmes – dont il faut en effet comprendre les processus – de négation de l'égalité voire de l'humanité de certain·es…

La destructivité en acte ne peut être comprise sans des analyses de l'ensemble des rapports sociaux et de leurs imbrications historiques, sans les apports de l'analyse des « psychés humaines » – ici aussi sous ses formes historiques, sans l'analyse des particularités des adolescences (telles que nous les connaissons aujourd'hui). de ce point de vue, lorsque l'auteur discute de l'enfance et de l'adolescence, il semble ignorer les socialisations différenciées et hiérarchisées entre les filles et les garçons, et plus généralement les rapports sociaux de sexe. Il ne peut alors prendre en compte que la majorité des « destructeurs en actes » sont des hommes, que les formes extrêmes de violences sont genrées, et ont souvent quelques choses à voir avec la masculinité en acte…

Je signale enfin que l'auteur a travaillé antérieurement sur « la barbarie biologique » (celle du cancer et du handicap sévère).

La consultation du sommaire peut-être une bonne invitation à se plonger dans cet ouvrage.

Introduction

La tentation de la destructivité en actes

Pourquoi des adolescents et des jeunes adultes sont tentés par la destructivité en actes

Ce qui les attire vers cette destructivité

Décrypter l'autobiographie de R. Höss, le commandant d'Auschwitz

Résister à la destructivité collective en actes, se protéger de ses effets

Les séquelles de la barbarie chez les adultes. L'exemple des rescapés de la Shoah

L'expérience de la barbarie chez les enfants et les adolescents

Un exemple d'entretiens psychanalytiques avec un jeune garçon souffrant de destructivité

Faire avec les séquelles de la barbarie subie par ses grands-parents

Être enfant d'exterminateur de masse

Recevoir et soigner les enfants de retour de zones de combat au Moyen-Orient

La résistance non-violente à la violence destructrice

La résistance civile

Le candomblé

Une littérature de résistance qui décrit la destructivité et qui apprend à la lire

Vladimir Zazoubrine. le Tchékiste

Isaac Babel. Cavalerie rouge

Iouri Olecha. L'envie

Lamed Shapiro. le Royaume juif

Victor Hugo. Quatrevingt-treize

William Faulkner. L'intrus

Il reste beaucoup à faire pour comprendre et prévenir

L'auteur souligne la spécificité des adolescents, « La destructivité est présente chez tous et à tous les âges. Mais elle est souvent exacerbée chez l'adolescent, en raison de la fragilisation de tous ses repères et points d'appui en cette période de sa vie ». Il revient sur l'histoire des « processus de radicalisation collectifs ». Daniel Oppenheim souligne l'importance d'éviter de privilégier une cause – dans le faisceau de raisons multiples – « par exemple sociale ou religieuse », et de donner du sens « à l'insensé incompréhensible des attentats ». Il nous rappelle que « le terrorisme cherche à diviser et exclure, pour ensuite exterminer ». L'auteur parle, entre autres, des porosités entre la cité et la prison, des images transgressives, de « contre-culture », d'« identité sociale » et du sentiment d'« appartenance », des conséquences de la confrontation précoce à la mort, des liens ou de leur absence avec le passé, de ceux qui tuent « comme un travail routinier ou un jeu », des terreurs « archaïques », du doute généralisé et de « certitude de la justesse du combat et de la parole qui l'ordonne », d'accès au temps lointain, de relation aux autres, « Déshumaniser et tuer des victimes établira et confirmera la distance radicale qui le sépare d'eux et qui existe déjà pour lui », de certitude forcenée et de gel de la pensée… Et de l'éventail des réponses possibles.

Daniel Oppenheim met en relation le passé et le présent. Je souligne les pages sur l'autobiographie de Rudolph Höss (commandant d'Auschwitz), son auto-représentation comme spectateur ou comme fonctionnaire respectueux de la Loi, l'indifférence des bourreaux. L'auteur montre l'intérêt de la rédaction de textes par les « (apprentis) terroristes) »…

« Nous nous sommes intéressés à ceux qui mettent en actes leur destructivité, ou qui sont tentés de la faire. Il est temps maintenant de nous intéresser aux victimes, directes et indirectes, et aux effets sur elles et leurs descendants »

J'ai particulièrement été intéressé par la seconde partie : « Résister à la destructivité collective en actes, se protéger de ses effets », la nécessité de comprendre les mécanismes des effets traumatiques, les séquelles de la barbarie chez les adultes, « La barbarie provoque une cassure dans la continuité temporelle entre un avant et un après l'évènement », la difficulté à se retrouver et à trouver sa place parmi les autres, les devenu·es étranger·es à toustes et à elles/eux-mêmes, les relations ambivalentes à la mémoire, l'expérience des camps, les séquelles psychiques, l'émigration et l'exil, le sens, « Il importe que la victime puisse donner du sens à ce qu'elle a subi et à l'évènement plus vaste, collectif, dans lequel son parcours s'est inscrit », le travail de mémoire et de réflexion, les mécanismes de défense, « le clivage apparaît généralisé, entre réalité et imaginaire, soi et son corps, soi et soi-même, et plus tard présent et passé, soi et les autres » (A noter que des survivantes de la prostitution utilisent ces mêmes expressions), faire avec les séquelles de la barbarie subie par ses grands-parent·es (y compris chez les enfants des exterminateurs), le temps figé hors de la temporalité commune, le retour d'enfants de zones de combats au Moyen-Orient…

Daniel Oppenheim présente ensuite « deux moyens, individuels et collectifs, de résister à l'émergence de cette violence ou à sa mise en oeuvre » : la résistance civile et le candomblé, la reconquête d'une parole et d'un espace public.

« Exercer son emprise sur les représentations culturelles de la société contribue à prendre et/ou maintenir son pouvoir sur la population et ses esprits autant que les divers éléments de la violence politique pour un groupe ou pour l'appareil d'Etat ». Puis l'auteur aborde quelques livres, la « littérature de résistance »…

S'il « reste beaucoup à comprendre », ce petit ouvrage, en déplaçant les questionnements, en élargissant le champ de la réflexion, contribue à nous permettre d'agir contre « la destructivité »…
Lien : https://entreleslignesentrel..
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Dans cette oeuvre, Daniel Oppenheim (psychiatre et psychanalyste) parle du désir de détruire qui est de plus en plus présentes à notre époque, en particulier chez une population jeune.

Daniel Oppenheim tente de nous démontrer et nous faire comprendre la destruction acte des jeunes en développant la réfléxion tout au long du livre.

Je comprends ce thème et je le trouve très intéressant, j'y retrouve malheureusement quelques unes de mes pensées sur ce plaisir de vouloir détruire. Que ce soit des objets, des gens, moi-même.
Le livre est rapide à lire. Petit, chapitres avec une bonne dynamique et court dispatché par parties.

Je vous invite à le lire si le thème vous intéresse !
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Je tiens tout d'abord à remercier les éditions du livre pour cet envoi due à la masse critique.

Cet ouvrage traite le sujet de la destruction, notamment chez les adolescents. Effectivement, l'auteur s'intéresse aux différentes raisons qui poussent les jeunes à détruire et il en propose ainsi les solutions pour remédier à ces problèmes.

Il s'agit là de comprendre l'adolescent, d'étudier son comportement tout en s'intéressant à sa vie jusqu'à ses origines.

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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Le lecteur n’est pas le spectateur passif des affrontements sur une scène de théâtre, s’identifiant aux uns, rejetant les autres, il est traversé par ces contradictions qui le poussent à interroger les siennes.
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Le terrorisme actuel, qui occupe parfois le devant de la scène et des peurs, n’en est qu’un élément parmi tous les autres. Mais la destructivité existe dans bien d’autres domaines, comme dans le monde du travail, qu’il s’agisse des processus de fabrication, de l’organisation du travail, des méthodes de management, des pratiques de harcèlement et de destruction sociale, psychique ou physique (suicide, maladies graves) des travailleurs.
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C’est le constat angoissant de voir un nombre significatif d’adolescents et de jeunes gens « comprendre » et excuser la violence politique excessive, en particulier celle du terrorisme, voire être tenté de s’y engager, qui fut le point de départ de ce livre. En comprendre les causes et les mécanismes m’est apparu nécessaire pour contribuer à limiter cette tendance inquiétante et pour aider ceux qui pourraient être tentés par la violence politique excessive à s’en déprendre. Cette violence est omniprésente dans notre monde. Elle est celle des États dictatoriaux, « illibéraux », ou « démocratiques autoritaires », des groupes armés (aux divers objectifs, souvent mêlés), des génocides, massacres, guerres barbares menés par ces groupes, des partis ou des États. La destructivité m’a semblé être une porte d’entrée et une ligne directrice pertinente pour cette réflexion
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Les enfants sont résistants. Ils observent et comprennent précocement tout ce qu’il y a à comprendre : qu’ils sont en danger de mort. Ils sont parfois dupes, ou font semblant de l’être considérant que l’illusion est préférable à la lucidité impuissante.
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L’enjeu est d’être à l’aise avec soi-même, son passé et son présent, et avec tous ceux qui comptent pour lui. La justice, les procès, les commissions vérité peuvent contribuer à l’élaboration de ce récit, à la croisée de l’individuel et du collectif.
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Video de Daniel Oppenheim (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Daniel Oppenheim
udrey Pulvar reçoit Daniel Oppenheim, psychiatre et psychanalyste à l'occasion de la sortie de "L’enfant très malade approché dans ses dessins" aux Editions de l’Olivier paru le 12 mai 2011. Il a travaillé de 1987 à 2011 à l’institut de cancérologie Gustave-Roussy de Villejuif.
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