"Le trait fin de
Véronique Dorey – aussi délicat que le grain d'une photographie en noir et blanc – renforce l'aspect malsain, presque prohibé, du récit. le lecteur est un voyeur, qui trouve un certain plaisir à faire intrusion dans l'intimité de ce vieil homme en décomposition, devenue bête de foire.
Véronique Dorey dépeint Roberto Apolinario comme un personnage à la fois inquiétant, vulnérable et pathétique, désirant à tout prix s'en sortir, mais se laissant toujours submerger par ses frayeurs. Comme s'il trouvait un quelconque réconfort dans ses abominables rêves. Comme si ces images ne pouvaient se dissocier de son corps… "
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