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«Il est minuit et tout va bien !»

Dans une ville où tout est régulé, jusqu'à la criminalité rangée en guildes, le guet n'a plus grand chose à faire, à part tenter d'oublier son inutilité. Mais il suffit qu'une bande d'illuminés sème la zizanie, oh trois fois rien, une (toute petite) invocation de dragon, pour remettre en cause tout ce beau système.

Comme le précédent opus, ce livre commence en fanfare parodique, et j'ai plus d'une fois ricané devant mon bouquin. Contrairement au précédent opus, si la suite est moins drôle, l'intérêt ne s'émousse pas et on a envie de retrouver toute cette joyeuse bande une fois la dernière page tournée. Oyeah ! (Erf...au guet !)

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« C'est quoi, un guet ? / Oh […] ils s'occupent de vérifier que les gens respectent la loi et font ce qu'on leur dit. » (p. 26) La renommée du Guet d'Ankh-Morpork est solide : les agents y sont des ratés, des ivrognes, des incompétents, des trouillards, des nigauds, des couillons placés là parce qu'aucune autre place n'était envisageable. « Comptez sur moi pour lui apprendre que c'est illégal d'arrêter les voleurs. » (p. 45) Aussi, quand Carotte, robuste nain de près de deux mètres (oui, je sais…), intègre le Guet et applique à la lettre les articles du règlement, son zèle secoue un peu Vimaire, Chique et Côlon. « Jamais dans toute la vie de Carotte on ne lui avait vraiment menti ni donné une consigne qu'il n'était pas censé prendre au pied de la lettre. […] Il ne lui serait jamais venu à l'idée, s'il devenait officier du Guet, de ne pas en être un bon. » (p. 30) Ce qui secoue encore plus cette garde foutraque, c'est qu'un dragon vitrifie des citoyens dans les ruelles, alors que tout le monde sait que les dragons ont disparu depuis longtemps. Pour la première fois depuis longtemps, le Guet est sur une affaire. Un lien évident se fait avec le vol d'un livre de magie dans la bibliothèque de l'Université de l'Invisible et un cercle occulte qui voudrait rétablir la lignée royale d'Ankh-Morpork.

Après m'être régalée avec le cycle des sorcières, j'attaque donc le cycle du Guet. le grand Carotte m'est tout à fait sympathique, avec son esprit premier degré, certes un peu limité, mais efficace. Vimaire est une belle réécriture du vieux flic désabusé dans un service qui dysfonctionne, mais qui retrouve son flair, aiguillonné par une jeune recrue qui lui rappelle les fondements du métier. « Il y avait eu crime. Des sens dont Vimaire se croyait dépourvu, d'antiques sens de policier, lui redressaient les poils du cou et lui disaient qu'il y avait eu crime. » (p. 145) J'ai surtout un authentique coup de coeur pour Dame Ramkin, aristocrate qui sait que la vraie noblesse n'est pas affaire de parure, mais d'autorité. J'étais un peu triste d'avoir quitté Nounou Ogg : je trouve en Sybil Ramkin une femme de la même trempe. Me revoilà de nouveau hameçonnée par Terry Pratchett !
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Tout d'abord, je dois préciser que je vais parler ici de l'adaptation en comics d'un roman de Terry Pratchett.

"Au guet" ("Guards ! Guards!", en V.O), est le huitième tome des Annales du Disque-Monde, cette série mêlant humour British et fantasy.

Dans cet album/roman, nous découvrons le disparate Guet, sorte de milice municipale, de la ville d'Ank-Morpork, cité cosmopolite ou les intrigues sont courantes.

J'avais lu le roman, quand la BD est sortie en 2007, je dois dire qu'à l'époque elle ne m'avait guère attirée, il a fallut que dix ans plus tard, je tombe sur cet album soldé pour me laisser tenté...
Et j'ai eu raison de me fendre de 3 € pour cette bd éditée par L'Atalante (éditeur de Pratchett).

La Bd de Graham Higgins & Stephen Briggs, s'avère d'une lecture agréable.
Les graphismes sont réussis, et restituent bien l'univers décalé de Pratchett.
Les couleurs en revanche ne sont pas des plus belles, mais cela ne diminue pas le plaisir qu'on peut avoir à lire cette Bd.

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L'histoire est mauvaise et ne vaut pas grand-chose. Terry Pratchett ne se sentira pas insulté car l'acte de naissance de la série des Annales du Disque-Monde se justifie par la volonté de parodier les interminables et éprouvantes chroniques de fantasy. En revanche, la verve et le cynisme sont éblouissants bien que, comme l'écrit l'auteur lui-même : « S'il y avait une chose qui le déprimait davantage que son propre cynisme, c'était bien de le trouver souvent moins cynique que la vie réelle ».


L'histoire balourde des dragons vous fait piquer du nez et aussitôt, Terry Pratchett vous lance une claque verbale qui fait crier au génie. On reste sur des jeux de mots d'apparence frivole, énoncés dans un contexte grotesque où l'absurde et la dérision sont les seuls règles qui vaillent. Toutefois, le mot fait son effet, l'histoire drôle tend malgré tout à prendre la forme d'une vérité éternelle.


« Il était le premier à voir le dragon d'Ankh-Morpork. Ce qui lui faisait une belle jambe, maintenant qu'il était mort. »


L'humour noir et le cynisme de Terry Pratchett ne visent aucun être vivant en particulier –qu'il soit homme, dragon ou singe-bibliothécaire- mais il s'en prend à la VIE en elle-même, stupide agglomérat de trucs et de bidules qui a même permis aux séries de fantasy d'exister. Heureusement, il existe des remèdes à ces entités à la présence inexplicable, et cela pourrait être, par exemple, un film des Monty Python, dont Terry Pratchett ne s'éloigne jamais dangereusement.


Merci à l'Ami bienfaiteur qui m'a encouragé à lire cette histoire malgré ma mauvaise volonté : bien que je n'ai rien appris et bien que l'histoire ne m'ait pas passionnée, je me suis toutefois régalée avec les bons mots d'un Terry Pratchett plus philosophe qu'un triste Kant, et je sais désormais à quelles sources d'inspiration s'abreuve le sens de l'humour de mon généreux donateur. Tel maître écrivain, tel disciple conseiller.

Lien : http://colimasson.blogspot.f..
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Avec ce huitième tome, nous rencontrons Vimaire et ses adjoints du Guet, garde anciennement prestigieuse d'Ankh-Morpork mais qui, depuis l'arrivée au pouvoir du seigneur Vétérini, ne sert plus à rien – je laisse à chacun l'occasion d'en découvrir les raisons, je n'aime pas trop en dire sur une intrigue -. C'est dans ce contexte qu'arrive Carotte, humain élevé chez les nains, pour qui faire partie du Guet est un grand prestige – il va bien sûr vite déchanter – , et qu'une société secrète, les Frères Éclairés, voit également le jour pour destituer Vétérini et remettre à la tête de la ville un roi. Comme l'on peut s'en douter, les choses ne se passeront pas du tout comme prévu…

J'ai trouvé qu'Au Guet ! démarrait fort, avec de nombreuses situations et dialogues bien absurdes comme je les aime chez Pratchett, surtout avec les Frères Éclairés, qui n'ont bien d'éclairés que le nom. de même, tout le fil conducteur de la véritable destinée de Carotte à Ankh-Morpork qui tombe « royalement » à l'eau m'a beaucoup plu du fait de parodier avec beaucoup de brio les romans de chevalerie. J'ai aussi beaucoup apprécié le personnage de Vimaire, grand classique du chef de garde désabusé qui reprend du poil de la bête au fil de l'intrigue pour faire preuve d'une certaine forme d'héroïsme, bien que toujours maladroit, et quand même encore un peu désabusé.

J'ai dans le même temps trouvé qu'au fil des aventures de notre Guet, quelques longueurs apparaissaient de plus en plus souvent, de scènes répétitives en scènes répétitives, pour ne mener finalement qu'à peu de choses… Même si je me suis demandée après coup si cela n'avait pas aussi quelque chose à voir avec le roman de chevalerie parodié – que de répétitions et d'emphases épiques en effet dans ces romans -. Il n'empêche que, pendant ma lecture, j'ai parfois trouvé le temps un peu long, et c'est bien la première fois dans un Pratchett. Pourvu que cela ne se reproduise pas !
Lien : https://lartetletreblog.word..
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Au guet ! est le huitième roman des annales du disque-monde, série de roman de light fantasy écrit par Sir Terry Pratchett.

Nous suivons ici des personnages ordinaire, du moins en apparence. J'entend par là que ce ne sont ni des mages ratés, ni des sorcières, ni des personnes à l'aspect étrange s'habillant intégralement de noir ne sortant pas sans leurs faux et parlant en majuscules, et encore moins des aspirants pharaon. Non. Ce ne sont que de simple soldat du guet de nuit d'Ankh- Morpork, des gens du peuple, des gens simples.
Nôtre histoire commence alors qu'un dragon terrifie la ville, et va alors prendre la place du patricien, et va alors devenir roi. Et l'enjeu, vous vous en doutez ces que nos soldats du guets, vont alors essayer de le vaincre pour libérer la ville de son oppression.

On voit donc bien que la narration, ici est peu importante, et peu développé. Mais peu importe. Ce qu'on aime dans les annales du disque-monde, c'est l'humour, c'est la parodie et la satire. Avec des dialogues au petits oignons, et des personnages travaillé pour avoir chacun un caractère bien particulier, pouvant amener de nombreuses situation cocasse.

De quoi passé un très bon moment !
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Tout commence par l'histoire d'un nain qui en fait n'en ai pas un puisqu'il a en réalité été trouvé à sa naissance par un couple de nains se voit révéler qu'il appartient en réalité au monde des hommes. Carotte, tel est son nom, se voit alors contraint d'abandonner ceux qu'il considère comme sa famille afin de rejoindre la cité d'Ankh-Morpork et de travailler le service de police de nuit de la vielle se nommant "Le guet". Là, il découvrira une abominable machination qui a été mise au point par une société secrète qui vise à renverser le Praticien au pouvoir. Leur dessein est de mettre un nouveau roi sur le trône, un roi qui serait légitime grâce à sa victoire sur un dragon issu de l'une de leurs invocations. Ainsi, ce nouveau roi, qui ne devrait pas avoir un brin de jugeote, pourrait ainsi accomplir leurs machiavéliques intentions.
Mais cela était sans compter sans le capitaine du Guet, Vilaire, qui croit encore, naïvement peut-être, que le Bien pourrait régner sur le monde. Carotte, quant à lui, légèrement idiot sur les bords mais très attachant, accomplit son devoir en respectant les règles avec soin, ne sachant pas que ces règles ont jusqu'ici été élaborées pour être violées ou disons plutôt ignorées puisque le Guet, sous les ordres du Praticien, se doit de passer outre les infractions commises par la Guilde des voleurs ou par celle des Assassins.

Carotte et Vimaire, cependant, eux, ne voient pas les choses sous le même oeil et tendent bien rétablir l'ordre dans la cité. Cependant, ce parcours et cette rébellion, sera parsemée d'embûches et ils devront souvent accepter l'injustice.

Bande-dessinée adaptée du roman de Terry Pratchett par Graham Higgins et Stephen Briggs, celle-ci est très fidèle à l'univers créé par Pratchett dans Les Annales du Disque-monde. L'ambiance est tantôt lugubre, tantôt comique et tout cela mis en images donne un ouvrage très agréable à lire ! le lecteur ne rencontre aucune difficulté pour comprendre l'histoire, même s'il n'a jamais lu un quelconque tome des Annales du Disque-monde et je dirais que, au contraire, cela ne peut que lui donner d'en savoir plus sur cet univers. A découvrir !
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Le doute m'assaille quant au bien fondé de rédiger une énième critique : je me sens un peu comme le capitaine Vimaire, assez désemparé... En effet lorsque je lis l'excellente dissection du huitième tome par la babelionaute Illion, je me dis : "A quoi bon en rajouter?!" > difficile de passer derrière et écrire davantage me semble vain (si ce n'est déjà fait ,je vous conseille de lire ses analyses des Annales du Disque-Monde! )... M'enfin bon, comme je ne dispose pas de boutanche pour noyer mon spleen, je vais le diluer dans l'encre (brouillon par écrit au préalable ) et tenter de me livrer à l'exercice...
A Ankh-Morpork, la cité de tous les dangers où paradent fièrement la Guilde des Assassins ou bien celle des Voleurs,entre autres, il est ardu d'imaginer des Forces de l'Ordre (Le Guet) dignes de ce nom...Le rôle du Guet y est vague et insignifiant, au grand dam de son capitaine : Samuel Vimaire, un alcoolique notoire épaulé par un binôme d'empotés (Chicard et Côlon) constituant le reste de l'effectif...Or se présente une recrue de choc venue de l'extérieur (enfin pas vraiment puisque extraite tout droit des mines de Nains !), Carotte, qui va être l'une des étincelles qui embrasera la Cité et redorera l'image de la profession en contrecarrant les plans d'encagoulés subversifs...
Personnellement,heureusement que le personnage fabuleux qu'est Carotte soit très présent tout au long du bouquin car il vole (enfin façon de parler...) la vedette aux autres haut la main...Son zèle et sa candeur m'ont emballé et contribuent fortement à ma bonne opinion générale du livre (même si je ne déborde pas autant d'enthousiasme que sur le "mortimer" ou "Trois soeurcières " qui comportaient davantage de jeux de mots et cocasseries!).
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On a donc ici une pure histoire de fantasy dans un univers qu'on qualifiera de vaguement médiéval. Et, effectivement, c'est complètement barré. La compagnie du Guet est d'une veulerie revendiquée et l'arrivée de Carotte, très à cheval sur le règlement, va un petit peu bouleverser les habitudes de la ville pourtant habituée à ce que l'ordre soit régi par les Guildes des Voleurs ou des Assassins. C'est vrai, quoi, si on se met à arrêter les assassins parce qu'il ont commis un assassinat, où va-t-on ? Et c'est tout le temps comme ça. Plus l'histoire progresse, plus ça devient n'importe quoi. Et c'est toujours très drôle et très plaisant à lire.

Malgré tout, derrière cette plaisanterie assumée et bien écrite se cache quand même une description critique des sectes et autres sociétés secrètes, de la corruption ou sur l'ordre et la police en général. Et justement, ces petites critiques sont beaucoup plus "audibles" quand elles sont soumises par la rigolade que quand elles sont assenées froidement et sérieusement. du coup, cette initiation à l'univers de Terry Pratchett s'avère intéressante et appelle à la lecture d'autres romans de l'oeuvre de cet auteur anglais qui a su créer tout un univers de fantasy un peu foutraque mais bien rigolo.
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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Guards ! Guards !
Traduction : Patrick Couton

L'une des originalités les plus remarquables de la vaste cité-état d'Ankh-Morpork, c'est que toutes les corporations professionnelles y sont représentées. Légalement représentées, s'entend, y compris celle des Voleurs et celle des Assassins.

C'est au Patricien, gouverneur suprême du coin, qu'on doit cette organisation très spéciale qui, astuce jusqu'ici jamais osée par nos propres gouvernants, impose le plus officiellement des taxes à tous, fût-ce aux corps de métiers les moins recommandables. Et le plus étonnant, c'est que ça fonctionne très bien, pour la plus grande satisfaction des chefs de Guildes eux-mêmes bien entendu et de l'Ankh-Morporkien moyen ensuite.

Hélas ! du coup, les forces de l'ordre de la ville n'ont plus vraiment raison d'être. Il survit cependant un Guet de nuit, placé sous le commandement du capitaine Samuel Vimaire, homme de valeur que l'ennui et la nette impression de ne pas être tout à fait à sa place ont fait sombrer dans l'alcool et la dépression. Sous ses ordres, une bande de tocards tels le sergent Côlon et l'ineffable caporal Chicard. Leur seule tâche : se promener dans les rues la nuit et éviter de déranger voleurs et assassins dans l'exercice de leur profession. Ah ! oui ! Toutes les heures, ils ont aussi pour consigne de clamer aux ténèbres : "Il est telle heure et tout va bien !" Mais leur prudence naturelle les incite en général à susurrer la chose sans s'y attarder ...

C'est dans cette surprenante équipe que débarque un beau matin, poussé par son père qui veut en faire un homme, le jeune et vaillant Carotte Fondeurenfersson. "Techniquement parlant", comme il le dit lui-même, Carotte est un nain. Morphologiquement par contre et compte tenu du fait qu'il a été recueilli tout bébé par le couple Fondeurenfersson, c'est un humain qui mesure à peu près 2 mètres de haut (1,98 m en fait) et qu'une enfance et une adolescence passées à travailler dans les mines avec les nains ont doté d'une musculature redoutable.

Si le lecteur habitué apprend, au fils des volumes où il apparaît, à mettre en doute la naïveté un peu trop spectaculaire de Carotte, il ne remettra par contre jamais en question son honnêteté foncière. Autre trait attachant du jeune homme, de son éducation première, il a conservé une propension marquée à tout prendre au pied de la lettre. Dans de telles conditions, inutile de vous dire que les "tâches et responsabilités" auxquelles le génie politique du Patricien a réduit le Guet vont beaucoup l'étonner.

Inutile de vous dire aussi, je suppose, que, avec la bonne volonté qu'il va apporter à pourchasser dans les rues d'Ankh-Morpork aussi bien les charrettes mal garées que les meurtriers en puissance, la situation du Guet à la fin de l'ouvrage se sera considérablement améliorée.

Entretemps, il est vrai, un ignoble personnage aura cherché à évincer le Patricien et à le remplacer par un roi fantoche. Entretemps, un dragon noble* aura répandu le bruit et la fureur dans tout Ankh-Morpork. Entretemps, dame Sibylle Ramkin, qui a eu le coup de foudre pour un Samuel Vimaire désormais bien résolu, envers et contre tous, à faire son devoir de capitaine du Guet, aura été offerte en sacrifice au dragon devenu maître d'Ankh-Morpork. Entretemps, vous aurez fait la connaissance de Bravegars Balluchon Plumepierre de Quirm** et de quelques autres. Entretemps, le système digestif des dragons, nobles ou pas, ne recèlera plus pour vous aucun mystère. Entretemps, avec tout le plaisir qu'on y goûte à chaque fois, vous aurez croisé le Bibliothécaire de l'UI***, ses bananes et ses "ook."

Entretemps enfin, et toujours sans avoir l'air d'y toucher, Pratchett aura eu le temps de poser pas mal de questions essentielles, notamment sur la lâcheté, le courage et toute cette sorte de choses ...

Bref, vous aurez lu le huitième volume des Annales du Disque-Monde, intitulé en toute simplicité : "Au Guet !" Et je vous souhaite d'y prendre autant de plaisir que moi. Wink

* : dame Ramkin vous expliquera.

** : un sacré nom, hein ?

*** : pour ceux qui prennent le fil en cours et n'ont jamais entendu parler ni de Pratchett, ni du Disque-Monde, l'Université de l'Invisible. ;o)
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