Monographie consacrée à cet immense créateur dont les films m'ont enchanté et ont peuplé mon esprit d'images inoubliables . L'essayiste s'attache à travers la succession de ses oeuvres à dégager les règles d'un monde imaginaire baroque et foisonnant. Je conseille de compléter cette approche avec la vison des oeuvres bien entendu mais aussi par l'ultime film d'Ettore Scola , « Che strano chiamarsi Federico » consacré avec tendresse et poésie au souvenir de son ami .
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La thématique est bien présentée et illustrée.
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A la fin des années 50 Fellini est devenu très populaire, notamment pour son deuxième oscar pour La Strada et il possède une grande liberté d'action. Mais, la mort de son père, Urbano, déclenche une crise personnelle.
p.39
Les visages extériorisent les névroses de l'âme,les physiques grotesques du clown et du fou dévoilent une folie qui ,comme au cirque , est très proche de l'imaginaire à l'état pur.