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Inspecteur Rebus tome 21 sur 24
EAN : 9782702448656
384 pages
Le Masque (28/02/2018)
3.57/5   59 notes
Résumé :
Il y a des affaires qu'on ne peut pas oublier.Quarante ans après, John Rebus est toujours hanté par la mort de la belle et volage Maria Turquand, étranglée dans sa chambre d'hôtel alors qu'une rock star et son équipe donnaient une fête déchaînée dans la chambre d'à côté. Le tueur n'a jamais été retrouvé.
Pendant ce temps, la pègre d'Édimbourg s'agite : un jeune caïd influent, Darryl Christie, subit une violente agression qui le rend vulnérable, d'autant plus ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Vingt- et unième enquête de Rebus, ( mais officieuse , l'enquête, hein ! ) , parce que le Rebus est RETRAITE. Mais la retraite, il connait pas ou plutôt, il ne veut pas connaître !

Aidant, s'incrustant, se rendant indispensable, Rebus va réussir à seconder et épauler ses copains de la Crim', car il y a du boulot à Edimbourg . A commencer par une cold case , vieille de quarante ans : une jolie jeune femme adultère étranglée dans une chambre d'hôtel , alors qu'une rock star locale était à deux pas .
Pendant ce temps à Edimbourg : le jeune caïd local s'est fait agresser, le vieux caïd local aimerait (re)prendre sa place. Bref, rien de nouveau sous le "soleil" d'Edimbourg, à part que Rebus a du mal à profiter de sa retraite, préoccupé qu'il est, par une ombre sur un poumon …

Ce n'est pas le meilleur Rankin, et pour dire la vérité, je me suis un peu ennuyée. Plusieurs histoires s'entremêlent, sans qu'une soit privilégiée , le rythme est lent et l 'auteur ne casse pas le côté fastidieux des enquêtes avec la vie privée des inspecteurs. Malcom Fox et Siobhan Clarke sont là sans être là…
Oui, j'ai eu beaucoup de mal à finir ce roman..
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Un très bon polar écrit dans les règles de l'art.
Ian Rankin atteint son but avec brio dans cette histoire pleine de surprises et de rebondissements, pleine de tiroirs secrets qu'il ouvre méticuleusement un à un au fil des pages.
On retrouve heureusement cette pointe d'humour « so british » (ou devrait-on plutôt dire « so scottish ») qui pimente agréablement le récit.
L'inspecteur John Rebus est à la retraite, il a arrêté de fumer, ne boit pratiquement plus, a une tâche sur un poumon et tourne en rond comme un chien malade. Autant de raisons pour qu'il sorte de ses cartons une affaire vieille de quelques décennies, une affaire jamais élucidée, celle de Maria Turquand, épouse volage d'un riche financier, dont le corps sans vie a été retrouvé dans la chambre d'un palace cinq étoiles. Pendant que Rebus dépoussière son vieux dossier, à Edimbourg, Darryl Christie, petit truand en pleine ascension est tabassé dans son garage. Rajoutez un réseau de blanchiment d'argent et l'inspecteur retraité Rebus a son lien entre ces affaires : l'argent.
« le diable rebat les cartes » fait partie des bons opus de cette saga Rebus. A découvrir sans aucune retenue !
Traduction de Freddy Michalski.
Editions du Masque, 382 pages.
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J'étais resté longtemps sans revoir l'inspecteur Rebus, que j'aime pourtant bien fréquenter. Est-ce depuis sa retraite que je l'avais lâché ? Je ne sais plus. Et pour ne rien arranger, j'ai traîné avant de rédiger ma critique, et voilà que je constate que cette histoire s'est déjà estompée. Il faut dire que l'enquête est un peu compliquée. En fait, il y a deux enquêtes. La première concerne une vieille histoire de meurtre non résolu, dans le milieu du show-biz, qui implique des musiciens rock, stars des années 70, aujourd'hui un peu oubliés : une jeune femme mariée est retrouvée étranglée dans une chambre voisine de celle d'un des musiciens qui était aussi son amant. La deuxième enquête tourne autour de la rivalité entre deux caïds d'Édimbourg : Darryl Christie, le petit nouveau, et Big Ger Cafferty, le vieux de la vieille, que l'on connaît déjà bien. le premier a subi une violente agression et flics comme voyous ont tendance à soupçonner le deuxième de ne pas y être étranger. On découvrira que les deux enquêtes présentent des points communs…
***
Même si l'ensemble du roman manque de rythme, la lecture reste agréable. On retrouve les personnages qu'on connaît déjà et auxquels on s'est attaché. Rebus est égal à lui-même : un vieux ratoureux ! C'est l'adjectif québécois qui me vient : il a la particularité de qualifier à la fois une qualité (Rebus est astucieux) et un défaut (il peut se révéler retors), et ces deux aspects sont largement exploités ici. En plus, il est inquiet, Rebus : il paye ses années de tabagie, tousse beaucoup, et surtout, il attend les résultats d'examens des poumons et n'en mène pas large. J'ai retrouvé avec plaisir la très compétente Siobhan Clarke qui garde envers Rebus affection et respect, même s'il l'agace parfois. En revanche, je ne me souvenais pas d'un Malcom Fox aussi sympathique, voire touchant, pas encore en paix avec lui-même, mais sur la bonne voie. Si vous n'avez lu aucune des enquêtes de l'inspecteur Rebus de Ian Rankin, ne commencez pas par celle-là : c'est loin d'être la meilleure !
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J'ai lu ce nouvel opus des enquêtes de Rébus juste après avoir fini Mörk, de Rganar Jonasson, qui m'a profondément ennuyée, tant à cause d'une enquête qui traîne en longueur, sans rebondissements, qu'à cause d'un enquêteur mou du genou, terriblement convenable, pas drôle..Du coup, quel bonheur de retrouver Rébus et sa bande ! Rébus, est en retraite donc, mais absolument pas rangé des voitures. Son enquête personnelle sur un cold case ( le meurtre d'une jeune femme gravitant dans le milieu des musiciens rock des années 70, sur fond de drogue, de liberté sexuelle et de musique) va croiser celle que mènent Siobhan Clarke et celle de Malcom Fox sur une agression subie par le nouveau caïd de Edimbourg : Darryl Christie. Et le fait que Rébus exerce ses talents d'enquêteur à la marge, de façon officieuse, convient bien au personnage, qui doit user d'un tas de subterfuges pour pouvoir mener sa mission. Ce roman montre, une fois de plus, que Ian Rankin maîtrise son affaire : Rébus est plus filou que jamais, totalement iconoclaste, malgré son allure de retraité-à-chien et ses soucis de santé ; les affaires qui sont traitées sont complexes, croisent constamment différents fils, différents personnages, pour mieux nous perdre... Un petit regret : j'ai trouvé que le personnage de Siobhan, Clarke était trop délaissé. On aimerait pouvoir suivre sa vie intérieure et intime de jeune femme policière, comme on suit celle de Rébus.
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Ce nouveau roman de Ian Rankin avec son personnage fétiche est un mystère. Pour la énième fois, on voit Rebus (en retraite) essayer de coincer Big Ger Cafferty, l'ancien (vraiment si ancien que ça ?) caïd d'Édimbourg. Une nouvelle fois Rebus oublie qu'il est en retraite pour résoudre diverses enquêtes, tournant dans les jambes des policiers en activité, avec la complicité de Malcolm Fox et Siobhan Clarke, ses anciens collègues. Une fois encore, il franchit allègrement la ligne jaune au grand dam des autorités de la police, se retrouvant parfois parmi les suspects. On pourrait dire encore… Et pourtant, les pages se tournent rapidement et on est vite happé par les énigmes développées ici. Dans ce roman, Darryl Christie le nouveau caïd de la ville vient de se faire agresser. Quant à Rebus, il s'intéresse à un assassinat non résolu de 40 ans d'une femme libertine, mariée à un riche homme d'affaires. Et certain personnages sont communs aux deux affaires. Dont l'ennemi principal de Rebus, Cafferty. L'ancien enquêteur de la police se mêle donc des enquêtes en cours, d'autant plus qu'un ex-policier est retrouvé assassiné et que le dernier ayant discuté avec lui n'est autre que… Rebus, bien sûr. Une fois de plus nous suivons ce personnage attachant et énervant (avec les autres !). Et si ce roman ne révolutionne pas le genre, ni même la série des enquêtes de John Rebus, on passe un agréable moment à déambuler dans les rues d'Édimbourg
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critiques presse (1)
LeDevoir
06 août 2018
Même à la retraite, même avec une ombre sur le poumon, John Rebus n’arrive pas à lâcher le morceau : flic un jour, flic toujours ! Heureusement d’ailleurs…
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
- Et cette fichue musique qui ne s'arrête jamais…, déclara Cafferry en regardant les hauts- parleurs montés au plafond. Comme dans les restaurants et la moitié des magasins. Ça me rend dingue.
- Et ça ne mérite même pas le nom de musique, ajouta Rebus. Comme celle qu'on a connue dans le temps.
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- Est-ce qu'on appelle le patron , lui demanda-t-il.
- On appelle le patron, répondit-elle. Après qu'on aura pris ce que j'appelle une bonne tasse de thé bien méritée.
- Plus des gaufrettes au caramel.
- Qu'est ce que j'aime ça, quand tu dis des choses sales, Mark, (…).
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- Est-ce que je rêve ? dit Fox. Vous avez laissé tomber les clopes ?
- Appelons ça une séparation à l'essai, répondit Rebus.
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- Deb n'aime pas le foutoir - tu as vu toi-même la façon dont elle tient sa morgue. Tu pourrais dîner à même une de ses tables d'examen.
- Tant que celle-ci n'est pas occupée !
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Vous êtes un paradis fiscal comme les îles Vierges pas vrai ?
- Tout à fait.
- Ce qui implique probablement que de l'argent sale s'y est échoué à un moment ou à un autre au gré des marées.
- Les Caraïbes ont toujours été pleines de pirates , (…)
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Vidéo de Ian Rankin
Dans ce nouvel épisode, nous continuons notre visite des coulisses du genre en compagnie de Fabienne Gondrand, traductrice littéraire, qui nous raconte ses débuts dans le métier et sa passion pour les éditions du Masque, héritage d'un grand-père italien fan des polars d'Agatha Christie et de Simenon. Au fil de la conversation, on évoque sa traduction "jubilatoire" de Meurtres à Kingfisher Hill de Sophie Hannah, l'héritière de la Reine du crime, ainsi que les romans noirs électriques de Joseph Knox, où la ville de Manchester se dresse comme un personnage. Pour finir, Fabienne nous parle en avant-première de la nouvelle aventure de l'inspecteur John Rebus, par l'immense Ian Rankin, auteur phare de la maison. Bonne écoute !
CRÉDITS : Conversation dans le noir est un podcast des éditions du Masque. Réalisation : Paul Sanfourche Générique : Longing - Joachim Karud
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Jaune, le rébus ? Non, John Rebus !

Salut, moi c'est John, Rebus, drôle de nom pour un flic. Je suis d'Edinburgh, mon père est Ian Rankin, il m'a collé tous les défauts possibles, je fume, je bois etc..., mais question traque des malfrats de toute espèce je suis au TOP. Tout ça a commencé lorsque j'ai quitté l'armée pour rentrer chez les flics, c'est ce qui y ressemblait le plus. Ma première enquête à Edinburgh, que je connais comme ma poche, a consisté a mettre sous les verrous, le fameux ............ d'Edinburgh. Un frappé rodant dans la bibliothèque, tuant de très jeunes filles…sans lien apparent entre elles.

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