Une de mes premières séries. J'avais aux alentours de 14 ans. L'histoire m'échappe, mais je me souviens des émotions ressenties. J'avais adoré ! Peut-être lui trouverais-je plein de clichés aujourd'hui, mais ça fait partie des oeuvres qui ont façonné ma passion pour la lecture. Alors, tout mon respect et merci !
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Ça se lis bien! c'est une histoire courante des années de mon grand père! Il ne se passe pas grand chose, ça ne bouge pas vraiment! Il lui arrive bien des malheurs, et on peut voir un peu pourquoi les hommes sont comme ils sont aujourd'hui (pas tous) :)
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Les nouveaux époux avaient maintenant autre chose en tête et dans le corps. Ils se désiraient depuis longtemps; maintenant que c’était imminent, ils ne savaient plus trop. Pour un peu, ils auraient remis leur nuit de noces à plus tard, anxieux, exténués de leur journée chargée, craintifs soudainement de ne pas être à la hauteur, de ne pas satisfaire l’autre, de le décevoir. Les noceurs leur firent comprendre qu’il était temps pour eux de passer aux actes, ce qui n’empêcherait pas les invités de fêter une bonne partie de la nuit et du lendemain aussi.
C’est pas une question de regretter; c’est juste que ce bon temps-là, ça revient pas. C’est tout.
Le blâme l’avait atteint en plein cœur et lui faisait plus mal que le silence de toute une année. Il ne savait comment rattraper sa phrase injuste qui avait embué de chagrin les yeux de celle qu’il aimait tant. Il y alla sans détour pour effacer la peine.
Agir pour éviter des reproches : agir par la négative. Chez ses parents, elle s’était accordée au rythme de sa mère, de ses habitudes, de sa manière de gérer la maison. En se mariant, elle avait simplement échangé une autorité contre une autre.
Les femmes ont une belle vie, dans le fond. Il trouva qu’il y avait quelque chose d’injuste à ce que lui se fasse geler en hiver ou cuire au soleil en été pendant que les femmes vivaient sans problèmes dans les maisons.