Le titre de ce roman est tiré d'une phrase de Nietzsche : Quand tu vas chez les femmes, n'oublie pas ton fouet." Comme on peut l'attendre de Christiane Rochefort, cette phrase outrageante est employée en dérision. Et s'il est bien question de fouet, et d'outrages, c'est l'ouvrage qui est outragé, et le fouet se retourne contre son usage.
Voici l'histoire d'une passion, vécue solitairement, sans réciproque aucune. Un homme en quête de sa v... >Voir plus