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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
"Si notre quotidien nous prive du merveilleux et de la magie d'antan, l'écrivain ressuscite l'univers fantasmagorique des mythes et des légendes, le renouvelle ou le rajeunit. […] Au cours du XXe siècle, le monstre a souvent muté de forme, il s'est fait plus incertain, plus difficile à décrire. Pourtant, il est bien présent, prêt à incarner nos obsessions et nos angoisses. L'auteur de fantastique est là pour nous faire entrevoir ce qui se cache derrière le monde des apparences. "
La dimension fantastique est un recueil de 13 nouvelles réunies par Barbara Sadoul, qui signe en guise d'introduction un joli préambule sur l'arrivée et le développement de la littérature fantastique en France.
Le point commun de ces nouvelles est que toutes sont de grande qualité, ce qui est, à mon humble avis, plutôt rare. Elles sont écrites par des auteurs connus et reconnus dans le registre du fantastique (et pas que celui-là d'ailleurs) comme Edgar Allan Poe, Guy de Maupassand, Georges Sand, Alphonse Daudet, H. P. Lovecraft… Si toutes ces nouvelles flirtent plus ou moins avec le fantastique, certaines jouent avec l'épouvante (Le marchand de sable, qui ouvre le recueil, par exemple), d'autres jouent la carte du cynisme (celle de Poe est un délice du genre), de l'humour (La choucroute), du romantisme (celle de Théophile Gautier, bien sûr). Ma préférée est sans conteste celle d'Auguste de Villiers de L'Isle-Adam, qui nous conte l'amour par-delà la mort du comte d'Athol pour sa femme, la belle est sublime Véra.
Bref, treize nouvelles, treize belles histoires, bien amenées, bien menées et bien écrites… un régal !
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Treize nouvelles dans ce recueil, des auteurs européens et américains, du 19 ème et du 20 ème siècle. Ma préférence va naturellement aux auteurs du 19 ème siècle, dont je connaissais d'ailleurs ces écrits (La cafetière Th. Gautier, le portrait ovaleE. A. Poe, L'homme à la cervelle d'or A. Daudet, La chevelureG. de Maupassant...), question de sensibilité de lectrice... Mais j'ai aimé dans l'ensemble ces textes et suis satisfaite d'avoir découvert de nouveaux textes et d'autres auteurs. Cette anthologie a bien remplie sa fonction.
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« La dimension fantastique » est pour moi l'occasion de découvrir des auteurs classiques dont les noms sont intemporels. J'ai quelquefois honte de mon ignorance en littérature. J'ai donc opté pour faire un voyage au travers le temps pour visiter ces textes anciens.

Ce recueil se compose de 13 nouvelles, d'une introduction par Barbara Sadoul et d'exercices littéraires – puisqu'il s'agit d'un livre pédagogique.

Sommaire :
→ L'homme et le sable (Der Sandmann – 1816) – Ernst Theodore Amadeus Hoffman
→ La cafetière (1831) – Théophile Gautier
le portrait ovale (1842) – Edgar Allan Poe
→ le monstre vert (1852) – Gérard de Nerval
→ La montre du doyen (1860) – Erckmann-Chatrian
→ L'homme à la cervelle d'or (1866) – Alphonse Daudet
→ L'orgue du Titan (1873) – George Sand
→ Véra (1874) – Auguste Villiers de l'Isle-Adam
→ La chevelure (1884) – Guy de Maupassant
→ Je suis ailleurs (1926) – Howard Philips Lovecraft
→ La choucroute (1947) – Jean Ray
le meneur de loups (1947) – Claude Seignolle
→ Escamotage (1953) – Richard Matheson

Ce qui est marrant, c'est que j'ai fait le jeu du saute-mouton, à savoir que la première nouvelle signée Ernst Theodore Amadeus Hoffman, je ne l'ai pas aimé, trop longue, mais qui démarrait plutôt bien avec un conte revisité sur le marchand de sable. La seconde, je l'ai adorée. Théophile Gautier m'a émerveillé, il m'a littéralement transporté dans cette chambre hantée – énorme coup de coeur. La troisième, je ne l'ai pas aimé. La quatrième, j'ai beaucoup aimé, un récit de malédiction. La cinquième ne m'a pas emballé. La sixième – celle d'Alphonse Daudet – m'a énormément plu. J'ai adoré ce conte fantastique d'un homme qui naît avec le cerveau en or.
George Sand nous propose une excursion dans les pentes des volcans d'Auvergne. À défaut d'une histoire passionnante, j'ai beaucoup aimé ces descriptions de paysages. Les textes de Auguste Villiers de l'Isle-Adam et de Guy de Maupassant ne m'ont pas laissé le moindre souvenir de lecture. Quant à Howard Phillips Lovecraft, je suis toujours réfractaire à son écriture pourtant très chirurgicale. Les auteurs très populaires et moi, ne sommes visiblement pas amis.
J'ai pris plaisir à retrouver Jean Ray, même si son histoire n'est pas la meilleure qu'il a écrite. Par contre, quelle belle surprise que le récit de Claude Seignolle. Une belle histoire magnifique et surtout qui est très bien écrite. J'ai beaucoup aimé cette mélodie de mots. Pour terminer, Richard Matheson m'avait habitué à bien mieux que ça. Je me suis endormi sur la dernière nouvelle.

J'avoue que de voir tous ces noms célèbres et classiques, m'ont quelque peu freiné à le lire. Si j'avais eu d'autres romans dans ma PAL – qui s'est miraculeusement réduite –, je l'aurais laissé encore quelque temps prendre la poussière. Un je-ne-sais-quoi de psychologique m'a bloqué. Pourtant, une fois la lecture commencée, j'ai été charmé par la découverte de ces grands noms. Je retiens surtout deux textes qui m'ont époustouflé, deux coups de coeur : « La cafetière » de Théophile Gautier et « L'homme à la cervelle d'or » d'Alphonse Daudet. Qui sait, ces deux rencontres pourraient ouvrir une voie vers de nouvelles lectures.
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Dans ce recueil, on regroupe treize nouvelles majeures du fantastique, rendant hommage à ce genre fabuleux et propices à l'imaginaire. du début du XIXeme siècle à la moitié du XXeme siècle, on y suit l'évolution des thèmes et la différence des écritures.
Et le recueil s'ouvre par une très célèbre et incontournable nouvelle : l'Homme au Sable de Hoffman, à ne pas passer pour débuter le fantastique. Un jeune homme, ayant été traumatisé enfant par le mythe du marchand au sable (où l'Homme au Sable), croit le revoir adulte... puis il s'entiche d'une étrange femme... Ici, le marchand de sable n'est pas très rassurant et est plutôt démoniaque, vous ne voulais pas qu'il vienne vous voir la nuit... Avec une magnifique écriture poétique, on relate le parcours du protagoniste avec la question tourmentant le fantastique du XIXeme siècle : est-il fou ou pas ? A lire absolument.
La cafetière de Gauthier est aussi un classique : est si une cafetière était une femme en fait ? On nage dans un beau flou jusqu'à qu'on découvre la vérité, au final tragique.
Le portrait ovale de Poe est ma préférée et pour cause : je l'avais déjà lu dans un autre livre et c'est cette nouvelle qui m'a fait découvrir les oeuvres de Poe et accrut mon intérêt pour le fantastique... Une toile cache une histoire horrible... Et bien, cette histoire est surprenante et terrible...
Le Monstre vert n'est pas vraiment du fantastique, plutôt du merveilleux... Et elle m'a paru un peu étrange, avec des morales...
La Montre du doyen de Erckmann-Chatrian où un assassin court dans la ville et frappe des musiciens... je n'ai pas vu le fantastique dans cette nouvelle mais de la terreur... elle ne m'a pas vraiment plus.
L'homme a la cervelle d'or de Daudet est excellente : l'histoire d'un homme... ayant une cervelle d'or ! Très jolie, elle nous heurte aussi face à des ambitions de gains et d'avidité avec une fin cynique et triste...
L'Orgue de Titan de madame Sang est gentil aussi et original, variant le thème des Titans... Mais c'est plus du merveilleux que le fantastique?
Vèra d'Isle-Adam, une nouvelle macabre et romantique sur le deuil amoureux... J'ai beaucoup aimé la mélancolie planant sur la nouvelle ainsi que la fin... énigmatique.
La Chevelure de Maupassant, où comment un homme tombe amoureux... d'une chevelure ! Comme toujours, la talentueuse écriture De Maupassant nous emporte aux confins de la folie, ce sujet qui l'a tourmenté et qu'il éprouvait à la fin de sa vie.
Je suis d'ailleurs du magistral Lovecraft. J'avais fait une critique sur cette nouvelle dans le recueil éponyme mais c'est une bonne nouvelle, avec une chute qu'on ne voit pas venir et un petit hommage au Masque de la Mort Rouge...
La choucroute de Jean Ray. Et si une choucroute vous emporte dans un curieux voyage ? Oui, oui, un sujet délirant pareil que relève parfaitement monsieur Ray qui, contre toute attente, se révèle envoûtante...
Le Meneur de Loups de Claude Seignolle est une nouvelle époustouflante. Pendant la guerre franco-prussienne, un étranger s'invite dans une maison... avec ses loups. Tendu, avec une fin inattendue.
Escamotage de Richard Matheson est angoissante et nous invite à réfléchir sur notre peur de perte d'identité.
En tout cas, c'est un recueil très "chouette" à découvrir. Et que chacun y trouve son gout !
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Lu à l'occasion d'un défi lancé sur le groupe "Mauvais genre" j'avoue ne pas avoir adhéré à toutes les nouvelles. Je m'étais dit que j'allais revenir aux bases du fantastique. Cela m'a rappelé l'école où je ne brillait pas par la compréhension des textes en français. j'ai quand même découvert des auteurs que je connaissais de nom mais dont je n'avais jamais lu les écrits.
Ce tome contient 13 nouvelles:
- L'HOMME DE SABLE : conte fantastique assez pessimiste où tout n'est que folie. Dur de savoir ce qui est vrai ou faux. J'ai pas vraiment compris le sens et ça ne m'a pas plu.
- LA CAFETIÈRE : ce fut une petite nouvelle sympa avec des objets qui s'animent, de la musique et des personnages qui dansent. Rêve ou réalité?
- LE PORTRAIT OVALE : Nouvelle très courte où l'on découvre comment un peintre enlève la vie à son épouse follement amoureuse de lui pour la rendre immortelle. Peut être est ce lié à la peur des nouvelles technologies de l'époque comme l'appareil photo.
- LE MONSTRE VERT : je n'ai pas vraiment aimé
-LA MONTRE DU DOYEN : une histoire qui se laisse lire mais où je n'ai pas vraiment trouvé de dimension fantastique
-L'HOMME A LA CERVELLE D'OR : histoire triste d'un homme qui, pour assouvir la cupidité de ses proches, va sacrifier le don qui lui a été fait. Je l'ai trouvé bien écrite et cela pousse à la réflexion sur la société et l'Homme
-L'ORGUE DU TITAN : le côté fantastique est représenté dans l'évocation des titans mais je n'ai pas adhéré à l'histoire
- VERA : J'ai beaucoup aimé le côté poétique du conteur qui nous montre que les morts restent vivants au travers d'objets que nous gardons et les empêchent de passer totalement de l'autre côté
- LA CHEVELURE : histoire bizarre mais bien écrite sur un homme qui tombe amoureux d'une chevelure. Je n'ai pas trop saisi le but de l'histoire
-JE SUIS D'AILLEURS : j'ai beaucoup aimé cette atmosphère sombre où le protagoniste recouvre la mémoire t découvre ce qu'il est.
-LA CHOUCROUTE : .... bof
- LE MENEUR DE LOUPS : un homme et ses loups viennent chercher à manger chez des paysans terrifiés et pour les remercier, il offre un don unique à la petite dernière, don qui disparaîtra à la mort du meneur. J'ai bien aimé l'histoire te le style
-ESCAMOTAGE : ma préférée. On suit la disparition progressive de la vie d'un écrivain et on ressent bien ses émotions et les tensions qui l'animent, la peur de ne plus exister pour personne.
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Mon premier contact avec « La dimension fantastique » remonte à la lointaine époque du collège (en un temps où la couverture était bien plus jolie, au passage). Évidemment, les années ont passé, et quand m'est venue l'envie de le relire, impossible de mettre la main dessus. Direction un certain site marchand au nom de farouche guerrière... « Oh, chouette, il y en a trois autres ! » Et hop, la tétralogie dans le panier, lue dans la foulée. Mais il y a cinq ans, j'étais loin d'avoir la même assiduité dans mes critiques qu'aujourd'hui. Il était donc temps, en cette période d'Halloween, de se replonger une fois de plus dans ces classiques de la littérature fantastique.

Treize histoires variées, où l'on flirte avec le surnaturel sans avoir l'assurance que c'en est toujours vraiment. Point de magie tapageuse ici, peu de monstres, beaucoup de suggestion : parfois, la magie est tout simplement celle d'un décor ou d'une ambiance (La montre du doyen, L'orgue du titan) et bien malin qui pourra dire si enchantement il y a ou pas ! Dans d'autres récits, le surnaturel est indéniablement présent (La Cafetière, Je suis d'ailleurs, Escamotage).
Les nouvelles étant classées par ordre chronologique, on ressent d'autant plus cette progression d'un fantastique sobre, dépouillé, ancré dans le malaise ou l'inhabituel, vers quelque chose de plus assumé et tangible. La suggestion laisse place à la description, le lecteur ne doute plus. Ainsi parcourt-on un siècle et demi d'histoire de la littérature fantastique, ballotté entre revenants, tableaux maudits, inquiétants personnages et curieux voyages.

Globalement, toutes les nouvelles du recueil sont très bonnes, le reste ne sera qu'une affaire de préférence personnelle. Ainsi ai-je toujours un petit faible pour La montre du doyen et L'orgue du titan, la première pour son ambiance, la seconde ses jolis décors. Aucune n'est véritablement « mauvaise » ni même « moins bonne », les textes étant simplement « différents » !

C'est sans doute la raison qui a fait de « La dimension fantastique » un classique dans l'étude du genre. Aussi, et surtout avec son petit prix, est-ce une excellente pioche pour quiconque voudrait retourner aux origines du genre.
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C'est un plaisir de ce plonger dans ce livre de recueil de nouvelles fantastiques qui regroupe des histoires de vampires, de monstres ou de fantômes ou de faits surnaturels. Cela fait découvrir des auteurs que je n'ai pas encore lu.
Amatrice du genre, je ne peux qu'apprécier et ce n'est pas fini, il y a d'autres tomes à lire !
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Cette anthologie est bien conçue mais m'a fait mieux comprendre pourquoi le genre fantastique ne m'a jamais vraiment intéressé : de nouvelle en nouvelle, on repère les mêmes recettes pour créer une atmosphère fantastique, avec des phrases comme « Soudain je vis un spectacle extraordinaire qui devait me marquer à jamais ». Les auteurs les appliquent avec plus ou moins d'élégance, mais je me suis un peu lassé de ces schémas assez répétitifs. D'ailleurs plusieurs nouvelles choisissent un cadre allemand, comme s'il était impossible de s'affranchir de la tutelle d'Hoffmann, dont « L'Homme au sable » est très logiquement au début du recueil et fait sentir son influence sur presque tous les textes suivants.

Néanmoins, les nouvelles du XXe siècle se libèrent un peu de ce carcan. Je n'avais jamais lu Lovecraft, et connaissais très peu son univers, et l'ai trouvé intrigant, malgré un style un peu lourd. Claude Seignolle a une grande force de suggestion et la nouvelle de Matheson est très habile.
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Un recueil de nouvelles que j'ai trouvé globalement bon mais inégal. le classement chronologique permet cependant de saisir un peu l'évolution des sujets et des styles, des contes pour effrayer les enfants du XIXè s aux bizarreries métaphysiques des temps modernes..
J'ai trouvé la construction - en lettres de différents personnages - de la nouvelle E.T.A Hoffman astucieuse, celle de Théophile Gautier, qui installait une ambiance intéressante au début, ne m'a guère parlé (des objets qui s'animent..). Celle d'Edgar Allan Poe est, bien que traduite, écrite un cran au-dessus est assez troublante, sur un sujet proche du Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde. Celle de Gérard de Nerval semble avoir été écrite à partir d'une expression "au diable Vauvert". Elle m'a laissé assez indifférent mais fait bien partie des errances et des "récits parisiens" de l'auteur. Celle de Daudet est bien dans son style ("normal" me direz-vous..) , une fable à morale pas mal écrite. Avec Georges Sand, l'écriture est d'une haute qualité, comme en général chez elle. J'ai moyennement apprécié cette histoire qui n'est peut-être finalement qu'une d'hallucination éthylique, mais intéressant à lire sur place, dans ce décor des Roches auvergnates.. Celle qui est à mon avis la mieux écrite - remarquablement - est celle de Villiers de l'Isle-Adam. Je n'avais jamais lu cet auteur et ai trouvé admirable son style. La Chevelure de Maupassant, quoiqu'écrite correctement, ne m'a guère inspiré. On retrouve bien le style impressionnant, effrayant de H.P. Lovecraft dans "je suis d'ailleurs", au dénouement probable mais qui m'a quand même eu. La choucroute et le meneur de loups, plus récentes (milieu XXième) sont des sortes de pastilles de mélange d'absurde et d'effrayant. Moyennement appréciées. Par contre Escamotage de Richard Matheson est pas mal du tout et a du influencer Stephen King s'il l'a lue dans sa prime jeunesse.
Bref, intéressant, voire très plaisant pour 3 ou 4 nouvelles..
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LA DIMENSION FANTASTIQUE T1
13 Nouvelles D'Hoffmann à Claude Seignolle
Anthologie présentée par Barbara Sadoul

J'adore les recueils de nouvelles je suis hyper contente d'avoir pu lire et découvrir ou redécouvrir des auteurs incroyables avec ce recueil !
Nouvelles présentées par ordre chronologique

Avec L'HOMME AU SABLE (1816) de Hoffman j'ai découvert le mythe du marchand de sable, c'était fort fort curieux, et finalement la seconde partie de la nouvelle change « complètement » de fil et on est limite face à deux histoires bizarres (en une).

LA CAFETIÈRE (1831) Théophile Gautier, une nouvelle assez poétique, surtout la fin

LE PORTRAIT OVALE (1842) Edgar Allan Poe, une relecture

LE MONSTRE VERT (1849) Gérard de Nerval : J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, c'était amusant et curieux, un peu comme un drôle de conte.

LA MONTRE DU DOYEN(1859) Erckmann-Chatrian : Beaucoup d'actions pour pas grand chose au final.

L'HOMME À LA CERVELLE D'OR (première version 1860) Alphonse Daudet: J'ai bien aimé le concept mais pas vraiment l'histoire, ça aurait pu ressembler aux Fleurs pour Algernon mais à l'envers.

L'ORGUE DU TITAN (1873)George Sand, pas accroché à cette nouvelle

VÉRA (1874)Villiers de L'Isle-Adam, c'était poétique mais pas spécialement aimé.

LA CHEVELURE (1884) Guy Maupassant, un seul mot : dégoutant ! (mais ça, ça me concerne haha)

JE SUIS D'AILLEURS(1926) H.P Lovecraft : Incroyable cette nouvelle j'ai adoré l'écriture, le thème, la fin. Comme un petit petit air à Frankenstein de Mary Shelley
« Je ne peux pas donner l'ombre d'une idée de ce à quoi ressemblait cette chose, car elle était une combinaison horrible de tout ce qui est douteux, inquiétant, importun, anormal et détestable sur cette terre. (…)

LA CHOUCROUTE (1947) Jean Ray, fort curieux mais pas dans le bon sens.

LE MENEUR DE LOUPS(1947) Claude Seignolle : Pas accroché.

ESCAMOTAGE(1953) Richard Matheson : Ça commence en douceur puis les réflexions qui émanent des événements sont clairement angoissantes

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