Quand j'étais petite, ma maman écoutait Sheila et ce fût donc pour moi, une des premières artistes que j'ai aimé. Quelques années plus tard, au collège, nous nous sommes servis de sa célèbre chanson "L'école est finie" pour faire un petit film. Je l'ai également vu évoluer sur "Danse avec les stars", d'où le titre de son autobiographie.
J'ai commencé cette autobiographie quelques jours seulement avant d'apprendre la mort de son fils Ludovic.
J'ai aimé lire ce livre, qui nous en révèle un peu plus sur la grande notoriété dans laquelle Annie Chancel a basculé, si jeune ! Sur toutes les belles rencontres qu'elle a pût faire.
Une vie hors norme, mais avec, comme pour tout un chacun, son lot de jours gris et de jours ensoleillés.
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Sans honte, je l'avoue, Sheila, j'en suis fan depuis que je suis petit. Un idole que maman écoutait au salon en faisant tourner les 45 tours. Souvent malmenée et regardée avec méfiance, cette artiste n'a plus rien à prouver à son public (sans doute l'un des plus fidèles dans le paysage de la variété). Malgré les déboires (divorce avec Ringo, dispute avec son manager Carrère, mort de son fils), elle a su garder le cap. Sur le plan professionnel, elle s'est adaptée aux époques, étant l'une des premières à chanter du disco. Je l'ai dit, avec elle, je manque d'objectivité. Pour cette raison, je mets cinq étoiles au livre que j'ai décidé de présenter aux lecteurs de Babelio.
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On peut ne pas aimer Sheila, ses chansons, sa personnalité mais on peut reconnaître à cette femme une certaine force de caractère. Celle d’avoir su gérer une célébrité écrasante dès le plus jeune âge, celle d’avoir su passer de l’image «de petite fille modèle « à « reine du disco », celle d’avoir affronté des traversées du désert en n’étant plus « à la mode », et surtout celle d’avoir affronter la rumeur.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Les bimbos et autres belles plantes vertes et sulfureuses qui se pavanent en arborant leur bonnet triple C, déforment leur bouche juvénile en rebord de pot de chambre et ne pensent qu'à ce qu'elles pourraient ajouter ou enlever à leur silhouette. Elles me rendent triste.
Savoir, c'est grandir un peu ; se taire, c'est gommer ce que nous sommes pour s'inventer une histoire qui ne nous appartient pas.
A force d'y croire, les choses avancent, s'arrangent, et une douce lumière vient se poser sur les situations les plus noires.
L'Amour avec un grand A, c'est être capable, pour le bien de ceux que l'on aime, de n'être plus la bouée de secours à laquelle s'accrocher parce qu'on a décidé qu'il y a de la mer.
Eric Romand et Sheila - On n'est pas couché 30 septembre 2017 #ONPC