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EAN : 9782221254233
192 pages
Robert Laffont (07/10/2021)
3.46/5   138 notes
Résumé :
« J’ai l’impression d’avoir un soleil dans le ventre, mais il ne peut sortir. »

Le petit Didier Morville grandit dans la cité Allende à Saint-Denis auprès d’un père autoritaire et mutique. Livré à lui-même, l’enfant observe le monde qui se transforme sous ses yeux et qui l’entoure. Avec les gamins de la cité, il joue, trompe l’ennui, dissimule ses escapades à son père. Sur une bicyclette volée ou dans les cages d’un terrain de foot, il fuit le triste ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (45) Voir plus Ajouter une critique
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JoeyStarr-Didier a grandi à Saint-Denis : d'abord dans un vieil immeuble où il passe le plus clair de son temps posté à la fenêtre, ensuite dans un HLM au sein d'un quartier en pleine construction : « il y a plus de couleurs, plus de vue dégagée, plus d'action ». Ce nouveau quartier aux modifications incessantes le fascine et devient bientôt son nouveau terrain de jeu, avec certaines limites tout de même car Monsieur – son père – veille avec sévérité, l'absence de la figure maternelle lui ayant laissé toute la place. Didier se fait des copains auxquels il peut s'identifier, ce sont ceux du fond de la classe. Il commence le foot en secret, traîne en rentrant de l'école, commet ses premiers vols et sniffe de la colle à rustine. Dans cette banlieue hors de laquelle il semble difficile de se projeter, le petit Didier est à la fois résigné et rêveur.
Je suis toujours curieuse de découvrir de nouvelles oeuvres autobiographiques car c'est un genre que j'affectionne particulièrement et pourtant je dois reconnaître que je ne me serais sans doute pas dirigée vers le Petit Didier s'il n'avait pas été mis directement entre mes mains. Tout d'abord, il faut savoir que c'est un petit roman d'à peine 150 pages dans la version poche. de fait, il se lit vite et je n'ai pas eu l'impression de perdre mon temps. J'ai même plutôt apprécié ma lecture et ce, pour deux raisons principales : j'ai aimé découvrir les anecdotes racontées et j'ai trouvé dans la narration une certaine tendresse. Cependant, on aurait pu s'attendre à une oeuvre avec un style un peu plus marqué et surtout avec une fin beaucoup plus travaillée. Certes, on pressent qu'il pourrait y avoir une suite mais quand bien même…

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Je l'admets bien volontiers, je suis assez friand de récit mettant en scène des personnalités qui, d'une manière ou d'une autre, m'ont marqué, intrigué, attiré.
Joey Starr échappe d'autant moins à cette règle que le personnage, malgré ou à cause de son ambivalence, me fascine maintenant depuis de nombreuses années.
J'ai souvenir du choc des premiers morceaux de Suprême NTM avec Kool Shen, des paroles engagées de "Blanc et Noir", du côté sulfureux de ce groupe de rap qui attisait la curiosité de l'adolescent que j'étais.
Je sais aussi toute la répulsion que le personnage m'a inspiré lors de ces nombreuses provocations, ou à l'occasion de ses démêlés avec la Justice, en particulier pour des faits de violence.
Sans être ni un fan absolu de l'homme public, ni un pourfendeur bien-pensant ou moraliste de ce qu'il est ou a été, j'étais donc curieux de connaître le personnage derrière le vernis de la célébrité.

Passée cette longue introduction, venons-en à ce récit. Celui d'une enfance marquée par l'installation à St Denis, par l'absence d'une mère, et la présence si particulière d'un père, qui fait que père et fils sont comme deux étrangers partageant un même habitat.

Bien sûr, ce n'est pas de la "grande littérature". Bien sûr, je ne suis pas dupe de l'exercice. Joey Starr parle de Didier Morville, et nous ne sommes pas dans une enquête journalistique. Mais j'ai le sentiment, à la lecture du récit, qu'il y a une certaine sincérité dans les propos, et de la lucidité aussi, et pas toujours bienveillante. Et j'ai aussi apprécié un ton qui se veut sans prétention, mais où l'on retrouve une "patte", un style qui colle bien au personnage.

Et l'ouvrage s'achevant à l'entrée en pension, j'avoue espérer une suite, où l'homme dévoilera ses fêlures avec la même simplicité.
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Au moment où Joey Starr est indirectement sur nos écrans à travers le biopic réussi sur ses années de jeunesse au sein de NTM , il revient également sur sa jeunesse et plus particulièrement son enfance, dans un récit émouvant et étonnant, le Petit didier qu'on peut trouver actuellement en librairie, édité chez Robert Laffont.

Alors que le père de JeyStarr est présent dans le film Supremes et qu'on devine à travers deux trois scènes à quel point il a pu être un père blessant et particulièrement mal aimant pour son enfant qu'il a élevé seul , le petit didier permet de mieux comprendre le comportent de cet homme violent et ambigu.

Didier Morville se livre sans complaisance aucune mais assez frontalement de son enfance entre une mère qu'il croit morte, des raclées et humiliations dont la fréquence en fonction de l'humeur de Jean Morville, un antillais beau gosse qui aimait la musique et semblait aussi chaleureux à l'extérieur que glacial entre ses quatre murs.

Le plus étonnant dans cette chronique d'une enfance au début des années 80 c'est de voir que Didier Morville est de son propre aveu "un enfant sage" qui ne se rebelle jamais vraiment contre l'autorité abusive de son paternel.

"Je n'affronte pas mon père, je ne le ferai jamais. A aucun moment je ne me dresse contre lui" "Jamais je n'ai eu envie de lui sauter à la gorge directement", "Déjà parce que quelque chose en moi m'en empêche. Ensuite parce que j'aime ce type, je n'ai que lui."

Didier Morville n'est pas encore Joey Starr, il n'a pas encore vraiment rencontré le hip-hop et le graff et livre son récit le plus intime avec cette plongée à bord de sa psyché enfantine, dans un huis-clos irrespirable en compagnie d'un père égoïste et sans chaleur humaine...

Une lecture attachante et touchante qui permet de mieux comprendre qui est Joey Starr..
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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"Le petit Didier", roman autobiographique de Didier Morville alias Joeystarr, où celui-ci raconte son enfance à travers un récit des plus intimes, plongé dans une cité de Seine-Saint-Denis, dans un huis-clos tendu en compagnie d'un père décrit comme égoïste, violent et froid.

Qui ne connaît pas Joeystarr ? Chanteur du groupe de rap NTM, acteur, badboy, écrivain.. encore plus étonnant, Didier prend la plume pour nous confier son enfance, une enfance complètement déstabilisée et chaotique, vivant seul au rez-de-chaussée d'un immeuble tout juste sorti de terre. Avec un père sans âme, sans voix, sans affection, sans coeur et beaucoup trop autoritaire.

Un récit court, qui se lit en quelques heures, Joeystarr dévoile une partie de son identité façonnée par un père DJ, un père qui ne permet pas à son gamin d'exister. Comme si son gosse le dérangeait même si ce père le garde à l'oeil et lui interdit strictement tout.

Didier se retrouve souvent seul, livré à lui-même. Didier est un gamin qui s'ennuie. Didier ne bouge pas, ne bronche pas, accepte le sort. Et pour conclure le tout, le récit s'arrête lorsque son père s'en débarrasse dans une vieille pension.

Récit en toute pudeur, où Joeystarr n'est pas encore Joeystarr, il ne connait pas encore le hip-hop et le rap. C'est bien entendu pas de la grande littérature, mais à travers ses lignes, on sent beaucoup de sincérité, de sensibilité, de douleur, de bienveillance et sans aucune prétention. Toujours étonnant et intéressant de découvrir le passé qui sommeille encore dans un homme que tout le monde connait comme un badboy.

Un roman autobiographique inattendu, où Joeystarr apparaît sous une autre image de ce que l'on connaît de lui grâce ou à cause des médias..
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Didier Morville alias Joey Starr se dévoile dans cette mini autobiographie. Pas de Suprême NTM, rien à voir avec sa carrière professionnelle. Il a vraiment décidé de ne centrer ce bout de lui-même que sur son enfance.

Entre son arrivée à Saint-Denis au milieu de la cité en cours de construction, son premier voyage en Martinique à la rencontre de sa famille et sa relation avec son père, Didier se présente comme un enfant plutôt timide mais qui a soif de découvertes. Didier est le fils d'un antillais. Son père a une haute estime de lui et se charge de l'« éducation » seul à la maison. Sa mère est, selon les propos de son père, morte. Ce qui est faux. Une éducation du père dans l'ignorance. Pas un regard dans leurs échanges, les dialogues sont une denrée rare. Didier est un élève avec des difficultés scolaires, forcément. Mais il est fort pour raconter des histoires en français, pleines de fautes certes mais il a de l'imagination. Un peu timoré mais une aisance pour faire des spectacles.

Tant le personnage est haut en couleur, la période racontée étant peut-être un peu trop courte, cette petite autobiographie m'a laissé un peu sur ma faim.
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critiques presse (2)
Culturebox
15 octobre 2021
A 53 ans, le rappeur et acteur JoeyStarr livre son récit le plus intime avec "Le Petit Didier", plongée à bord de sa psyché enfantine, dans un huis-clos irrespirable en compagnie d'un père décrit en monstre d'égoïsme et de froideur.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LeParisienPresse
08 octobre 2021
Un roman autobiographique très émouvant et sans tabou sur son enfance cabossée en Seine-Saint-Denis où il vivait seul avec un père violent.
Lire la critique sur le site : LeParisienPresse
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Car il m'arrive de rester dîner, même si je redîne chez moi ensuite. A table, David raconte sa journée, et tout le monde s'en fout, mais c'est sympa. Moi, je regarde surtout madame Abecassis : elle est grande, et je la trouve très belle. Classe. Il me semble qu'elle et lui sont mal assortis. Je l'appelle Madame, même si plusieurs fois elle me propose de l'appeler par son prénom. J'aurais l'impression de casser une tasse en porcelaine. Peut-être que j'aurais même l'impression de tout gâcher. Madame Abecassis, c'est la garantie inconsciente que quelque chose de cet ordre existe et est possible, et que je peux en être. Une maman à la maison, beaucoup de douceur et de délicatesse. J'oublie dans la tour bleue les daronnes qui traînent leurs savates dans notre cage d'escalier.
Chez les Abecassis, c'est comme une zone tampon : je n'ai pas le sentiment d'être dans la cité, ni chez moi. Ce que j'emmagasine là-bas n'a pas de prix.
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Dans Le HLM, il y a plus de couleurs, que de vue dégagée, plus d'action. Dans le HLM, c'est bien plus vivant, ça se construit sans cesse, ça démolit l'ancien, ça bouge, il se passe plein de trucs, le temps file plus vite, ce n'est pas le même rythme. Tu sors, c'est sonore, il y a du monde, il y a de la vie, tu participes, tu es plus grand, tu vois plus de gens, tu existes. La cité, c'est un nouveau monde.

C'est sans doute pour cela que je m'inscris presque instantanément dans la connerie avec les gosses au fond de la classe. On doit faire clan. Le club des gamins jamais comme il faut. Il y a ceux qui sont devant, qui ont les codes. Et derrière, il y a nous. Ne pas avoir les codes crée mécaniquement une sorte de solidarité.

Et je rentre trois heures plus tard. Il ne remarque rien de ce que je fais, c'est vertigineux. Il s'en fout. Mes devoirs ne seront pas vérifiés non plus. C'est à se demander pourquoi je déploie tant d'énergie à inventer des histoires. Plus tard, quand je snifferai de la colle dans les toilettes de l'appartement, ce sera pareil. Dans ce vase clos, dans cette espace rétréci, dans ce tête-à-tête, je vis avec une personne qui m'ignore complètement.

Tout ce que j'ai vécu, tout ce que je vis dans ce huis clos muet et hostile aurait pu ne me donner qu'une envie : partir. Et puis finalement : non. Non, je n'ai pas envie d'être catapulté ailleurs. Non, je n'ai pas envie d'être expulsé de la cité. Non, je n'ai pas envie de quitter ces murs, ces murs dedans, ces murs dehors, cet horizon bouché qui me fait aussi comme un cadre, et parfois même comme un nid douillet, malgré sa froideur. Je comprends que je suis puni. Mais pas seulement. Mon père, lui, veut la paix. Il veut vivre sa vraie vie, et ne plus être le second rôle de sa vie. Sa vraie vie, c'est sans moi. C'est Jean et pas Papa. Je comprends.

Finalement, je suis spectateur de tout ce qui m'arrive. Spectateur de ma vie. Parfois, on subit. Et il y a plusieurs façons de subir. J'ai l'impression d'avoir un soleil dans le ventre, mais il ne peut sortir. J'ai un besoin puissant d'exister, mais bridé. Ou négliger. Avec mon père, j'attends que ça passe. Dedans, dehors. J'apprends à compartimenter. Je m'interroge. Mon père m'a voulu au point de ne pouvoir me partager ; et en même temps, il ne me parle pas, il ne semble pas m'aimer. Moi aussi je suis pris dans une double tendance, dans une ambiguïté. Je n'aspire qu'à être dehors, à avoir la paix. Quand je pense à l'intérieur de l'appartement : j'aime y être. Je suis bien, seul, rideaux tirés. Et le monde m'ouvre ses bras. J'ai l'impression d'être le jeu de vents contraires, vents qui soufflent dedans et dehors. Vents qui me plaquent et me poussent. Action et répulsion.

Je suis un enfant qui arrive quand même à s'adapter. Je n'arrive pourtant de rien. Je réussis toujours à me trouver un vélo, un copain, à m'émerveiller. En bricolant, je me suis fait un monde. Un monde dans lequel, finalement, ça va.
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Finalement, je suis spectateur de tout ce qui m’arrive. Spectateur de ma vie. Parfois, on subit. Et il y a plusieurs façons de subir. J’ai l’impression d’avoir un soleil dans le ventre, mais il ne peut sortir.
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Au registre des blagues, une autre me semble avoir duré une bonne dizaine d'années. Dans l'immeuble de Yazid habite un asiatique qui s'appelle Lao. Notre tour consistait à aller dans la cabine téléphonique, a mettre une pièce, et à faire le numéro de ce Monsieur. On ne s'en lasse jamais.
"Allô Lao, on est en bas!'
Et on raccroche.
Chaque fois que l'on a rien à faire, il y en a un pour dire "Allez venez, on appelle Lao"
Et c'est reparti.
"Allô Lao ?... On est en bas.
Bande d'enculés!"
C'était bien résumé.
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Je n'affronte pas mon père, je ne le ferai jamais. A aucun moment je ne me dresse contre lui" "Jamais je n'ai eu envie de lui sauter à la gorge directement", "Déjà parce que quelque chose en moi m'en empêche. Ensuite parce que j'aime ce type, je n'ai que lui."
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