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Cap sur l'Islande , la température extérieure est de 10° (on est en été ...).
Aurora , analyste financière en Ecosse, est fortement incitée à partir pour l'Islande par sa mère qui se fait du souci pour sa fille ainée Isafold, laquelle n'a pas donné signe de vie depuis deux semaines.
Nous , malheureusement, on se doute de ce qui lui est arrivé... Mais pas le "pourquoi ", ni "par qui "...
Et donc, Aurora débarque en Islande dont elle est originaire de par son père, décédé. Elle toquera à toutes les portes (ex petit-ami, voisins, boulot et même un ex-oncle par alliance qui est flic). On apprend qu'Isafold était battue par son petit-ami, que moult fois, Aurora la petite soeur a débarqué d'Ecosse pour essayer de le lui faire quitter, mais sans résultat, jusqu'à cette disparition.


J'ai beaucoup aimé ce roman policier, noir , qui vient “du nooord”.
J'ai aimé que, comme nous, Aurora découvre ou redécouvre, plus ou moins, ce pays, qu'elle nous fasse part de ses réflexions le concernant. ( A ce propos, Lilja Sigurdardottir ne fait pas de cadeau à l'Islande et n'est pas une vitrine pour l'office de tourisme de son pays ! Mais ça a le mérite d'être franc et les bons côtés, du coup, nous convainquent d'autant plus).
J'ai aimé, malgré un défaut de taille : le fait qu'Aurora s'embarque dans une "histoire d'amour" et une quête professionnelle , alors qu'on pourrait la croire bien occupée avec cette histoire de disparition ; curieusement, ici, j'ai réussi à passer outre ce détail.
Et puis c'est bien qu'à travers cela, on sente qu'elle n'était pas si liée à sa soeur, qu'il y avait comme un ras le bol dans leurs relations, car Isafold était assez "spéciale".
J'ai trouvé ça jubilatoire quand on comprend qui et pourquoi, c'est cet aspect-là qui a donné tout mon engouement à cette histoire.
J'ai adoré cette voisine qui fait un transfert de maternité, entre son fils disparu et un jeune migrant qu'elle héberge illégalement. J'ai détesté que cet homme qui lui fait tellement de bien n'ait pas sa place dans le pays, même si je comprends qu'on ne puisse pas accueillir toute la misére du monde, j'ai adoré ce que l'histoire lui réserve.
J'ai adoré les pieds de nez à la justice trop laxiste.
Et puis, il y a Daniel, ce flic “pas vraiment oncle”, sa voisine pas vraiment une voisinE, et Aurora qui n'est pas la plus sympathique des héroines et que je reverrais bien dans un nouvel épisode, tant son métier pourrait faire partie d'une intrigue.
Et puis, il y a l'Islande dont les possibilités policières (littéraires !) sont infinies.
Je vous laisse juges... : " Daniel et Helena leur avaient expliqué qu'une grande partie des gens qui disparaissaient en Islande n'étaient jamais retrouvés. le territoire était trop grand, pas assez peuplé. Majoritairement impraticable. "
On est d'accord, hein ? ça sent la suite, la série, le tome 2 !
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Cédant à la pression de sa mère, Aurora, enquêtrice financière, revient en Islande où vit sa soeur aînée Ísafold qui n'a plus donné de nouvelles depuis deux semaines.
Les deux soeurs ne s'entendent guère et la cadette a fini par se lasser de protéger la plus grande qui ne peut se résoudre à quitter Björn, un compagnon qui la frappe.
En enquêtant, Aurora se convainc peu à peu que le silence d'Ísafold est réellement suspect, jusqu'à ce que cette dernière publie sur son compte Facebook une photo d'elle sur une plage italienne...

Il y a du Donna Leon chez Lilja Sigurdardottir. Toutes les deux savent créer une ambiance, vénitienne pour l'une, islandaise pour l'autre, et camper des personnages aux multiples facettes. Comme le commissaire Brunetti, Aurora peut laisser son attention se détourner de l'enquête par des questions plus privées. Enfin, si au dénouement le lecteur comprend qui est le coupable, il sait aussi que la justice ne passera pas...
L'intrigue est finalement assez simple, mais l'autrice brouille les pistes en multipliant les points de vue, et en détournant l'attention par des histoires annexes. le dénouement laisse la porte ouverte à l'imagination du lecteur, ou à une suite (?)
Les personnages ont de la profondeur. Paradoxalement, c'est peut-être la complexité d'Aurora, le personnage centrale, qui est la moins explorée ; on reste sur beaucoup de questions concernant sa personnalité quand on referme le livre...
L'écriture est très rythmée, bien qu'il y ait peu d'action : chapitres courts ; changements de points de vue ; actions et états d'âme. Tout s'enchaine dans une lecture presque addictive. C'est écrit simplement (merci au traducteur), sans excès de fioritures ou d'effets de style. La lecture est facile et agréable.
Pas un coup de coeur, mais un bon roman noir islandais.
Lien : http://michelgiraud.fr/2023/..
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Aurora doit quitter Edimbourg pour partir en Islande à la recherche de sa soeur Isafold avec qui elle a plus ou moins rompu les liens. Une fois sur place, sa soeur reste introuvable et Aurora progresse peu dans son enquête.

La citation : C'était tellement islandais, de toujours vivre dans la précipitation, de toujours tout faire à la dernière minute.

Pourquoi j'ai aimé ?
En ouvrant un thriller islandais, je m'attendais à quelque chose d'assez précis : peu d'action, un rythme lent et un livre surtout d'atmosphère…..et j'ai été surprise sur toute la ligne.

D'abord Lilja Sigurdardottir choisit comme saison l'été : la nuit ne tombe jamais et même s'il fait bien plus froid que dans beaucoup d'autres pays en juillet, les lieux ne sont pas couverts de neige ou de glace.

Aurora mène une double enquête : celle à titre privée sur sa soeur et celle en tant qu'enquêtrice financière sur un directeur d'hôtel qui fraude le fisc et les banques et l'action est beaucoup plus rythmé qu'habituellement.

S'il y a assez peu de doute sur le présumé coupable, tout n'est pas bien qui finit bien à la fin.
Enfin à travers son personnage de jeune femme britannique, Lija Sigurdardottir se moque de certains traits des islandais ou choses qui semblent lui déplaire avec humour.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Installée en Islande et en couple avec un type qui la maltraite, Isafold n'a plus donné signe de vie à sa mère depuis quinze jours. Très inquiète, elle demande à son autre fille, Aurora, enquêtrice financière privée à Edimbourg (Ecosse) d'aller sur place mener l'enquête.
A contrecoeur, Aurora se rend donc à Reykjavik et, aidée d'un oncle policier qui tombe sous son charme, elle sonde l'entourage de sa soeur, repérant d'inquiétants personnages. Au fil des jours, l'angoisse grandit.
Bien qu'il ne ménage guère de suspense, ce roman noir de belle facture nous immerge dans cette société islandaise peu solidaire car trop occupée à lutter contre la fraude fiscale et l'immigration.
Les personnages sont intéressants et l'analyse de l'auteur sur ses compatriotes ne manque pas de sel.
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Lilja Sigurdardottir est une rockeuse. Pour de vrai!
Choriste de Fun Lovin'Crime Writers, j'ai eu la chance de la croiser à Quais du polar dont elle est une habituée.
Tout ça pour dire que Froid comme l'enfer est un rock crime writing au rythme endiablé qui se démarque clairement des polars islandais tradi que vous connaissez tous désormais.
Alors oui ça dépote, genre Hellfest littéraire.
Aurora vit en Ecosse . Britannique par sa mère, elle se sent plus proche de tempérament de son défunt père islandais.
Elle exerce l'étrange métier d'enquêtrice financière privée et gagne bien sa vie comme cela.
Damned ,sa grande soeur Isafold a disparu de Reykjavik. Battue par son ignoble compagnon, Isafold appelle fréquemment Aurora à la rescousse (qui, du coup, en a un peu marre)
Et c'est parti: notre Aurora (qui ressemble beaucoup à l'auteure, je trouve) va mener l'enquête tambour battant.
Nous sommes prés du solstice d'été (ça nous change de l'obscurité poisseuse qui ambiance souvent le genre) et il fait jour quasiment tout le temps.
A partir de là 3 gros fils narratifs vont nous tresser une intrique assez classique mais à aux sonorités black métal.
Les protagonistes sont atypiques ( mention spéciale pour la sympathique queer Lady Gùgùlù), un policier n'arrive pas à tondre un petit carré de pelouse tandis q'un type chelou passe ses journées à se raser de la tête au pied.
Petits et gros trafics s'entrecroisent et au final c'est somptueusement immoral.
Lilja se moque gentiment de ses compatriotes, de la nourriture et du climat islandais et c'est souvent très drôle .
La belle et libidineuse Aurora aura le dernier mot bien sur avec un final tendu mais très réussi.
Tout ça me donne envie d'écouter le dernier Gojira (fantastique!) et de commander la trilogie Reykjavik noir écrite avant ce Froid comme l'enfer.

Merci Masse Critique et Métailé Noir !!!!!
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Aurora et sa jeune soeur Isafold sont de père islandais et de mère anglaise .
Aurora reçoit un coup de fil de sa mère très inquiète de ne plus avoir de nouvelles d'Isafold , même si celle-ci avait décidé de vivre en Islande pour vivre son histoire d'amour avec Bjorn , son viking ' , elle gardait toujours des contacts avec sa mère .
Au début , Aurora se dit que sa soeur s'est encore disputée avec son compagnon , compagnon qui se révélera alcoolique et violent , ce n'est pas la première fois qu'ils se quittent avant de se réconcilier au grand dam d'Aurora . Arrivée en Islande , elle va rapidement se rendre compte de la gravité de la situation .
Nouvelle venue dans le monde des polars nordiques Lilja Sigurdardóttir livre un portait sans concessions de la société moderne islandaise .
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Un polar islandais un peu différent.
Aurora est une trentenaire qui a la nationalité islandaise par son père et britannique par sa mère. Elle exerce le métier d'enquêtrice financière. Sa soeur Isafold vit en Islande et a épousé un type très violent qui la frappe. Aurora a tenté à plusieurs reprises de l'aider mais en vain. A la demande de sa mère, elle repart en Islande chercher sa soeur disparue. L'héroïne n'aime pas l'Islande et cela se sent dans les descriptions. L'intrigue est classique. Pas mal, sans plus pour moi du moins.
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Tout d'abord un grand merci à Babelio et Métailié pour l'envoi de ce livre !
Aussitôt reçu, aussitôt lu !

Aurora vit en Angleterre, Ísafold en Islande.Deux soeurs que tout oppose, deux soeurs aux caractères bien différents, deux soeurs que le temps a finit par éloigner mais lorsque Ísafold disparaît, Aurora, à la demande de sa mère va malgré tout retourner dans ce pays pour lesquels elle a une certaine aversion. Même si les relations avec sa soeur ne sont que pas top, elle va tout faire pour retrouver cette dernière !
En même temps elle va faire ce qu'elle sait faire de mieux.. Mener une enquête oui mais financière !

Alors alerte immédiate c'est un gros coup de coeur que ce livre !

J'ai adoré suivre Aurora, découvrir la vie d'Ísafold,.
Nous sommes trimballés de suspect en suspect... Entre le mari violent, le voisin très particulier, la voisine très sympathique mais qui abrite un homme mystérieux ! Et ce n'est pas tout...
Aucun ennui, au contraire, ce roman ce dévore et on en redemande !
J'espère retrouver Aurora, cette femme mystérieuse qui nous laisse toujours autant de questions à la fin...

Petit détail : la couverture 😍

Encore un grand merci pour l'envoi de cette pépite !
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Ce livre parle d'abord pour moi (et je dis bien « pour moi ») d'un fait dont on parle peu : les enfants dont les parents viennent de deux pays, deux cultures différentes sans que l'on puisse pourtant dire que ses enfants sont métisses. C'est vrai : la mère est anglaise, le père islandais, et pourtant, que de différences. Vraiment ? J'arrive ensuite au second point, le fait que les parents aient fait des distinctions entre leurs deux filles, et rien n'est plus ravageur pour un enfant, même si les parents sont pleins de bonne volonté, même si les dégâts causés ne sont pas toujours visibles. L'une est la fille de son père, enfant islandaise, donc, l'autre est celle de sa mère, anglaise donc. Leur morphologie serait, d'après leurs parents toujours, très différentes. Or, quand on voit Aurora dans le regard des autres, ce qui les frappe d'abord est sa grande ressemblance avec sa soeur. Pourquoi n'ont-elles rien vu ? Surtout, l'une vit en Angleterre, l'autre en Islande. Je ne dis pas qu'elles y ont construit leur vie, parce que c'est beaucoup plus compliqué que cela. Aurora est enquêtrice financière, elle retrouve l'argent caché et adore cela, comme elle adore multiplier les coups d'un soir. Isafold, ce sont plutôt les coups de son conjoint qu'elle subit, et pourtant, elle finit toujours par revenir avec lui, tant elle est sous son emprise, tant personne ne reste suffisamment longtemps à ses côtés pour l'aider, pour tenir à distance toutes celles et ceux qui la culpabilisent de pousser à bout le « gentil » Bjorn. Aider une femme sous emprise est un travail de longue haleine et là, cela fait six mois qu'Aurora et Isafold ont coupé les ponts, deux semaines d'Isafold n'a pas donné de nouvelles à sa mère. Aurora enquête donc, en Islande – en dilettante. Oui, elle a d'autres préoccupations, d'autres centres d'intérêt, et la disparition de sa soeur la met plutôt en rogne. Inquiète ? Il faudra vraiment qu'elle soit mise face à la douloureuse réalité pour éprouver enfin quelque chose.
Non, Aurora n'est pas sympathique, mais qui l'est dans cette enquête ? La voisine du gentil oncle Daniel ? Elle, en tout cas, n'en a que faire de la norme. Sinon, j'ai eu l'impression que cette oeuvre offrait un concentré de personnages détonants. Prenez l'oncle Daniel, par exemple, ou plutôt l'ex-oncle Daniel : il a très envie de nouer une relation avec Aurora alors que ce n'est pas vraiment le moment – Aurora est occupée avec un autre homme de toute façon. Et ce voisin, qui n'a pu terminer ses études, qui ne voit plus ses enfants, qui passe son temps à se raser compulsivement et à espionner sa voisine – il est plus inquiétant que sympathique. Olga est trop occupée à préserver le réfugié sans papier qu'elle héberge, et qui a une large part d'ombres, pour s'occuper de la jeune femme qui vit dans le même immeuble, pour même se préoccuper de ce qui peut lui arriver. Sans doute Olga a trop souffert pour avoir encore la force de prendre soin de plus d'une personne : la rencontre avec Omar, ou quel que soit son vrai prénom, lui permet de se reconstruire, de surmonter ses douleurs, de s'ouvrir à d'autres choses. Elle est trop occupée à cacher son secret pour chercher à découvrir celui des autres.
Glauque ? Oui. Chacun ses problèmes, ses névroses, ses centres d'intérêt, chacun dans son coin, porte bien fermée, ou au contraire entrebâillée pour regarder un peu ce qui se passe ailleurs, un peu, mais pas trop. Les réseaux sociaux semblent palier la distance et l'éloignement, si ce n'est qu'il est facile de poster uniquement l'image que l'on souhaite donner de soi, l'image et c'est tout.
Commettre un crime en Islande, où tant de personnes disparaissent, semble vraiment très facile. Retrouver des personnes disparues, nettement moins, en dépit des efforts déployés, trop tard.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Le champ de lave
Isafold une jeune femme vivant à Reykjavik avec son compagnon Björn n'a pas donné de nouvelles depuis plus de deux semaines : inquiétude, car Isafold avait l'habitude de téléphoner régulièrement… Sa mère demande à son autre fille, Aurora, de se rendre en Islande et d'y retrouver Isafold. Aurora et Isafold sont soeurs mais elles sont très différentes. Nées d'un père islandais et d'une mère anglaise, partagées entre deux cultures, elles n'ont pas choisi la même vie. Isafold, l'aînée, est partie vivre en Islande tandis qu'Aurora s'est installée en Ecosse où elle est « détective financière », enquêtant sur des malversations et autres détournements de fonds. Les deux soeurs sont plus ou moins fâchées depuis qu'Aurora a cessé de répondre aux appels à l'aide d'Isafold, qui, bien que maltraitée par son compagnon, exhortée de le quitter, retournait toujours auprès de lui. C'est donc à contrecoeur qu'Aurora prend l'avion pour Reykjavik… mais après quelques jours sur place elle doit bien se rendre à l'évidence : Isafold a disparu. Aidé par Daniel un ex-oncle par alliance, policier en vacances, elle va mener son enquête auprès des proches de sa soeur : amis, voisins, collègues… Tous apporteront leur pièce au puzzle de la vie d'Isafold qu'Aurora s'efforcera de reconstituer.
Je ne suis pas une grande lectrice de polars nordiques (souvent jugés un peu lents, manquant d'action), mais je n'ai pas boudé mon plaisir en lisant celui-ci. Ici, pas d'ennui, l'intrigue est très bien construite. le point fort réside dans les personnages et dans la description de la société islandaise, l'auteure ayant choisi d'en pointer les contradictions et certaines dérives, notamment sur le plan économique. J'ai bien aimé le contraste entre les deux soeurs : Isafold qui a adopté le pays de son père mais qui n'y a fait que de mauvais choix (et qu'on a envie, tour à tour, de plaindre ou de secouer) et Aurora, la plus forte des deux, qui elle s'est éloignée de ses racines islandaises mais qui, au cours de son séjour va peu à peu les redécouvrir. J'avoue que ce livre m'a (encore) donné envie de visiter l'Islande (j'y songe depuis quelques années, comme la Norvège, mais M Evergreen préfère les destinations plus ensoleillées…) je suis surtout attirée par les paysages volcaniques et les étendues semi-désertiques. Car en Islande, l'activité volcanique est omniprésente : à seulement quelques kilomètres de la capitale, Reykjavik, des champs de lave issus d'éruptions plus ou moins récentes s'offrent aux randonneurs… mais ce sont aussi des lieux propices à ceux qui voudraient y cacher un corps, au fond d'une crevasse par exemple… (voir aussi un autre polar islandais que j'ai beaucoup aimé Les filles qui mentent).
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