Lorsque l’on ne sait pas écrire correctement, on dit que c’est la faute du stylo.
Le bonheur qui nous arrive, on le croit éternel et puis on s’aperçoit un jour qu’il n’est rien d’autre que le silence passager du malheur.
La politique est supposée être le deuxième plus vieux métier du monde.
Les discours ne servent à rien. Les Arabes raffolent des discours, et nous voyons où ils les ont menés.
Un homme a surtout le choix. Laisse faire la vie. Elle sait mieux que nous ce qui est juste ou non.
La foule est une masse d’individus réunis par les circonstances. Le peuple est une entité permanente, façonnée par l’Histoire. Contrairement à la foule, le peuple sait ce qu’il veut. Mais il ne sait pas comment y parvenir. C’est pourquoi il a besoin de chefs. Il se donne aveuglément à eux, tant qu’ils se donnent à lui. Mais, lorsqu’ils se prennent non pour des guides, mais pour des maîtres, lorsqu’ils trahissent ses aspirations, par cupidité ou par ambition personnelle, alors il les renverse. Il brûle ce qu’il a eu tort d’adorer. Un peuple ne se donne pas des chefs pour qu’ils s’enrichissent ou se couvrent de gloire, encore moins pour qu’ils le conduisent au désastre. Il s’en donne pour qu’ils le fassent accéder à de meilleures conditions de vie. Ceux-là, croyez-moi, il ne les abandonne jamais.
Les événements ne sont pas compliqués, ce sont les hommes qui les compliquent.
Nous sommes nés réfugiés, nous mourrons réfugiés. Maktoub.
La Nakba, la catastrophe. Tel était le nom que les Palestiniens avaient donné à cette tragédie poussant à l’exil forcé près de sept cent cinquante mille d’entre eux.
L’ingrat mord la main qui l’a nourri !