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EAN : 9782742421251
120 pages
Gallimard (10/05/2007)
4.33/5   3 notes
Résumé :

Elle fut le décor de sa vie, elle est au cœur de son œuvre : " O ma Lisbonne, mon foyer ! " s'écrie Fernando Pessoa dans le " Livro do Desassossego ", le " Livre de l'intranquillité ". Fervents lecteurs du grand écrivain portugais, le photographe Aldo Soares et la comédienne Laurence Sarah Dubas ont mis leurs pas dans les siens. De façades lumineuses en petites échoppes, de silhouettes mystérieuses en prof... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Si vous voulez vous faire un cadeau — après-tout, les non-anniversaires ça sert à ça —, voilà le livre que vous devez vous offrir : Desassossego Lisbonne & Pessoa, où « desassossego » est la traduction du mot « intranquillité » en portugais, qu'on retrouve dans le titre d'un livre posthume de Fernando Pessoa. Vous y trouverez donc des citations de Pessoa, de magnifiques photos de Lisbonne prises par Aldo Soares, une préface pleine de tendresse et de saudade écrite par Misia et des textes de Laurence Sarah Dubas qui vous émerveilleront par leur sensibilité et leur regard et dont je vous offre cet extrait afin de vous donner le goût de ce livre remarquable sur Lisbonne et sur Fernando Pessoa : « le bleu des azulejos se sauve des façades, se mire dans les pavés et les dalles, tel un ruban, se déroule le long des trottoirs, se répand au tout venant, se contemple dans les miroirs, gagne le bleu du ciel, le bleu de l'océan. le bleu se fait impératif. Incontournable. » Un extrait qui plaira sûrement à Armando. Et pas qu'à lui!
Lien : http://lalitoutsimplement.co..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Le bleu des azulejos se sauve des façades, se mire dans les pavés et les dalles, tel un ruban, se déroule le long des trottoirs, se répand au tout venant, se contemple dans les miroirs, gagne le bleu du ciel, le bleu de l’océan. Le bleu se fait impératif. Incontournable.
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J'aime à dire. Mieux encore, j'aime à enfiler les mots. Les mots sont pour moi des corps palpables, des sirènes visibles, des sensualités incarnées.
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Si je tenais le monde entier dans ma main, je l'échangerais, j'en suis sûr, contre un billet pour la rue des Douradores
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