Black Clover, tome 1

Asta et Yuno sont les meilleurs amis et ont le même âge. Cette année est l'année de leurs quinze ans. Une année particulière pour eux, mêmes s'ils sont des enfants orphelins miséreux. Yuno connaît déjà sa magie et est capable de la maîtriser, mais ce n'est pas le cas d'Asta. L'ami du magicien est incapable de produire la moindre étincelle de magie.

Or, son plus grand rêve est de devenir le nouvel Empereur-Mage. Un Empereur-Mage est une personne dominant sa magie et capable d'aller combattre les monstres et êtres démoniaques apparaissant pour tout détruire et prendre le pas sur le monde. A chaque printemps, une cérémonie a lieu pour remettre un grimoire aux adolescents. Asta souhaite désespérément que sa magie se fera connaître grâce à son grimoire, en entendant il s'entraîne physiquement.

Yûki Tabata est une icône dans son pays. L'auteur a commencé comme assistant. Aujourd'hui, il domine avec sa série Black cover dans plusieurs pays. Sa femme, connue pour sa pâtisserie hors pair, ne cesse de l'encourager pour repousser les limites qu'il rencontre (et pour notre plus grand bonheur). Tabata a travaillé son coup de crayon avec le grand Iwashiro Sensei, avec qui il continue de collaborer...
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3,5/5. le personnage d'Asta est un peu trop excessif et deux des rares filles de l'histoire sont à moitié nues mais à part ça, j'ai été très enthousiasmée par ce début de saga. Yuno et Asta sont pleins de détermination (surtout Asta !), décidés à quitter leur orphelinat pour une vie meilleure. Beaucoup de magie, de mystères et de personnages hauts en couleur rendent l'intrigue prenante et je vais enchaîner directement avec le tome 2 voir ce que ça donne !

C'est un titre classique mais plein de fraicheur dans la droite ligne des shonens d'aventure / fantasy comme Fly que j'ai tant aimé quand j'étais petite. le mangaka a un joli coup de crayon et une mise en page dynamique qui rend le titre vite addictif. du côté de l'histoire, si le début est assez pêchu, la suite perd un peu en rythme dès lors qu'on commence à rallonger le récit avec des missions.
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Comme mentionné dans le résumé de ce premier volume, nous nous trouvons au royaume de Clover en compagnie d'Asta et de Yuno. Deux jeunes possédant le même rêve, mais également un passé commun. le souci ? Asta ne sait absolument pas utiliser la magie alors que dans cet univers elle est omniprésente. Cela ne le découragera pas pour autant et il se battra afin de pouvoir entrer dans une compagnie de Chevaliers-Mages et, qui sait, devenir un jour le futur Empereur-Mage !

L'histoire peut sembler assez banale pour un shônen, après tout un héros possédant un rêve on en connait tous. Rien que les grands noms de manga connus de tous en possèdent pourtant j'ai eu plus de facilité à m'accrocher à Asta qu'à un certain ninja vivant à Konoha. Les codes du nekketsu sont maîtrisés à la perfection par Yûki Tabata et pourtant, certains passages peuvent encore nous surprendre. Si je me fie aux dires de certaines personnes « Black Clover » serait un mélange entre « Naruto », « Fairy Tail » et « Seven Deadly Sins » et, bien que l'on retrouve des éléments pouvant être présents dans ces derniers cela n'empêche pas « Black Clover » d'avoir son propre univers, ses propres codes à découvrir et ce sans ressembler aux mangas cités auparavant. Une bonne chose en soi.

Les dessins, de leurs côtés, permettent une immersion rapide et facile dans le royaume de Clover tout en nous permettant de reconnaître en un clin d'oeil les personnages. Tous sont différents physiquement et possèdent des traits caractéristiques tel qu'Asta et son bandeau ou Yuno et son collier. Les personnages plus adultes ont une carrure les différenciant aisément des adolescents et des enfants évitant ainsi des quiproquos pouvant être parfois présents. Pareil pour les sexes des personnages, la question se pose peu – hormis pour ceux dont on ne sait rien ou pas grand-chose – et il est impossible de confondre un garçon et une fille. Tout du moins pour le moment. Les scènes d'actions étaient réellement agréables à voir, les sorts pouvant être impressionnants. Pour ce qui est de l'univers médiéval-fantasy, on le devine aisément dans les décors ou les styles vestimentaires qui n'ont strictement rien à voir avec les nôtres. D'ailleurs, j'apprécie énormément la couverture bien qu'elle ne montre que les deux personnages les plus présents du volume ♥.

Caractériellement, les personnages étaient également variés. Asta est une vraie pile électrique, assez fonceur et ne se laissant pas tant marcher sur les pieds que cela. A ses côtés, se trouve Yuno un garçon bien plus calme et s'avérant être l'opposé d'Asta dans la plupart des cas, bien qu'il n'hésite pas à rabattra son caquet à d'autres personnages à l'aide de la magie, en n'y prêtant pas attention ou en répliquant. Les autres personnages présents dans ce volume ne sont pas en reste et je dois avouer que j'adore les membres de la compagnie du Taureau Noir. Sérieux, c'est impossible de s'embêter avec eux !

Le manga en lui-même se plie certes facilement, mais reste également rigide. Il tient également bien en main et l'encre reste sur les pages, ne finissant pas du tout sur les doigts. le papier n'est pas trop fin, évitant ainsi de voir ce qu'il se passe sur la page précédente ou suivante. Kazé a réellement fait du bon travail dans l'édition de ce manga !

Finalement, ce premier tome envoyé par les éditions Kazé et Anita a été une très agréable surprise. La magie de Black Clover a prit avec moi et je serais ravie de découvrir la suite des péripéties d'Asta afin d'atteindre son rêve. le simple fait qu'il n'ait aucune vraie magie le rend plus proche de nous, humains lisant le manga et découvrant ce monde, étant donné que nous-mêmes nous n'en possédons pas. Il nous est ainsi plus facile de comprendre les difficultés du jeune homme face à des êtres utilisant la magie comme si de rien était. Je me demande ce que nous réserve le tome 2, principalement en voyant la fin de ce premier volume et je serai ravie de continuer cette série.

Je remercie une dernière fois en ces lignes les éditions Kazé et Anita pour m'avoir proposé de vous parler de ce manga Shônen en me l'envoyant car ce fût un vrai délice à lire et relire ♥. La magie s'est belle et bien exercée au fil des pages et j'espère que le royaume de Clover vous attirera également les matous. Après tout, peut-être que vous aussi vous pourriez recevoir un grimoire ou entrer dans une compagnie de Chevaliers-Mages !
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Black Clover est un manga qui compte déjà plus d'une trentaine de tomes parus en France. Ce premier volume introduit deux adolescents, Yuno et Asta, l'un particulièrement doué pour la magie, l'autre dont la compétence est inversement proportionnelle à l'ambition. À la fois amis et rivaux, ils entendent bien devenir un jour empereur-mage au détriment de l'autre.

Je ne suis pas fan de shonen, et encore moins de fantasy, mais j'avais tellement entendu parler de celui-ci que, lorsque j'ai eu l'occasion de me le procurer dans le cadre d'une opération promotionnelle, je me suis laissé tenter. Et, comme je le redoutais, il n'y a là-dedans rien pour me plaire.

…

Sauf que je ne peux pas prétendre que je n'ai pas aimé. Bon, je n'ai pas adoré, c'est sûr, mais je n'ai pas pour autant passé un mauvais moment. C'est… divertissant. Assez divertissant pour presque me faire perdre de vue qu'il s'agit du seul point positif que j'ai à mentionner.

Parce qu'au-delà, c'est très classique. On a deux protagonistes rivaux, l'un talentueux et l'autre qui n'a rien pour lui si ce n'est sa détermination et son exubérance, entourés par quelques personnages secondaires hauts en couleur, mais encore trop peu exploités.

Je n'ai réussi à m'attacher à aucun d'eux. Yuno est très cliché, et Asta… Je n'aurais jamais cru écrire ça un jour, mais disons qu'il ferait passer Kilari (du manga éponyme) pour une fille calme et posée.

Il en va de même pour le scénario, sans surprise. On sent venir les rebondissements à l'avance, et pour l'instant, il n'y a pas grand-chose de croustillant à se mettre sous la dent. Logique, puisqu'il s'agit d'une introduction à une histoire qui, au regard du nombre de tomes, s'annonce assez longue.

Eeeet… Je ne pense pas la continuer. Même si j'ai inexplicablement apprécié ma prise de contact avec l'univers, il n'en demeure pas moins trop peu à mon goût pour que j'aie envie de me lancer à l'assaut d'une série de cette envergure. Tôt ou tard (et je penche pour tôt), la lassitude me gagnerait.

En revanche, si vous êtes amateurs de shonen dans toute leur splendeur, n'hésitez pas. Je gage que cette oeuvre vous plaira !
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Oh tiens, un manga d'une trentaine de tomes avec de la magie, ça doit être pas si mal... Malheur à moi !!

Je n'avais pas fini le chapitre 1 que déjà je savais que ce serait l'unique tome des 32. Pourquoi des mangakas se contentent de copier sans aucun stress les grands titres qui sont passés bien avant eux ? Pourquoi ?
Il ne faut pas 20 pages pour comprendre qu'Asta est purement et simplement un copié collé du personnage de Naruto. Et ne parlons pas du reste, on retrouve sans problème Sasuke, Sakura et bref, rien n'est créé ici. Il n'y a même pas de recherche pour s'en cacher, c'est tellement gros que c'en est risible. Nous avons donc Asta : jeune orphelin abandonné devant une église encore nourrisson, sans aucun talent pour la magie qui est le moteur même de son monde, qui a un rival depuis le plus jeune âge qui le surpasse en tout et est même le meilleur espoir du village, qui est un paria de la paroisse, moqué par les villageois et qui s'exprime en crises de nerfs comme un petit bonhomme autoritaire. Cherchez les différences plutôt que les similitudes hein, ça ira plus vite.

C'est franchement dommage et pour moi c'est un grand non catégorique. Je ne cautionne pas ce réchauffage des recettes des autres, ici on ne peut plus parler d'inspiration mais uniquement de copiage d'écolier.

C'est un élève qui m'a conseillé ce manga, parmi ses préférés. C'est vrai que le scénario repose sur de bonnes idées, mais le graphisme est trop agressif à mon goût!
Tout repose sur l'opposition entre les deux protagonistes: Yuno le surdoué en magie qui est "la plus grande fierté de notre paroisse", et son ami d'enfance Asta, "l'autre excité", une "espèce de raté" qui n'a aucun pouvoir. Cependant Asta compense cette lacune par une grande force physique et une détermination à toute épreuve. Tous deux sont complémentaires ("C'est parce qu'il a toujours tenu bon sans rien lâcher que je suis là aujourd'hui"). Mais ils vont se trouver séparés, recrutés dans des compagnies différentes: la prestigieuse "Aube d'or" pour Yuno et le "Taureau noir" pour Asta.

Celui-ci est en réalité le véritable héros de l'histoire. C'est lui que l'on va suivre à partir de ce moment-là (en même temps, quel intérêt d'observer un garçon à qui tout réussit). Sans magie, Asta va devoir développer d'autres capacités (un peu comme dans "My Hero Academia") afin d'espérer devenir Empereur-Mage. Grâce à "ses qualités athlétiques, son explosivité et son acuité visuelle", il brise les attaques dirigées contre lui à l'aide de l'épée donnée par le grimoire d'anti-magie. Cette épée a la faculté de repousser les sorts: "Son tranchant peut rompre la magie tandis que le plat de sa lame permet de la renvoyer". L'idée est la même avec le personnage de Noelle: issue de sang royal, elle détient une magie puissante... mais n'arrive pas à la contrôler ("Tu es le déshonneur de notre famille").

L'autre thématique pertinente tourne autour des discriminations sociales. Yuno veut "leur montrer à tous que c'est pas parce qu'on est pauvres et orphelins qu'on ne peut pas avoir un grand destin". Dans sa première mission, Asta et ses compagnons viennent en aide à des parias du bas peuple vivant dans les "terres délaissées" car "tous les êtres humains sont semblables" quel que soit leur degré de magie.
Il est cependant dommage que le personnage soit constamment représenté en hyperactif passant son temps à hurler: c'est fatigant et cela le décrédibilise, même s'il n'est pas dénué d'humour.
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Black Clover est un manga prometteur qui pose les bases d'un monde régi par la magie. Chacun veut devenir le futur empereur-mage en droite lignée du légendaire empereur-mage qui sauva l'humanité des griffes d'un être démoniaque.
Yuno et Asta, deux orphelins abandonnés le même jour sur les marches d'une église et aujourd'hui âgés de 15 ans vont se présenter au test de recrutement qui leur permettra d'intégrer une des 9 compagnies de chevaliers-mages. le seul bémol est que si Yuno semble le candidat parfait mur, calme et possédant depuis toujours une magie puissante, Asta, lui ne possède aucun pouvoir malgré une détermination et une ténacité hors normes... Cet anti-héros est drôle et attachant et nous donne envie de poursuivre l'aventure dans le prochain tome...
Merci à Babelio et aux éditions KAZE pour cette sympathique découverte.

Autant l'annoncer par avance, la lecture de ce manga n'a pas été d'une grande réussite. On se retrouve en présence de deux personnages principaux, Yuno, un grand sérieux et Asta, un petit rigolo, qui évoluent dans un univers où la magie tient une place prépondérante. L'objectif de chacun est d'intégrer une des grandes compagnies chargées de protéger le royaume et le but ultime est carrément de devenir Empereur-Mage.

Asta et Yuno ont beau être rivaux, on sent bien que tous les deux s'apprécient et leur opposition n'en est d'ailleurs pas vraiment une.

Ces deux personnages sont intéressants et j'aurai aimé les suivre ensemble un peu plus longtemps. Mais avec la cérémonie de remise du grimoire, on se focalise essentiellement sur Asta, qui, malgré de grosses carences en termes de magie, réussit à rejoindre une des guildes, même s'il s'agit de la plus controversée d'entre elles.

Et à partir de là, je n'ai plus trouvé grand intérêt à ce manga. On se retrouve dans du shonen très classique, avec la présentation des membres du groupe, la découverte des petits nouveaux et, surtout, des jeunes femmes très dévêtues, visiblement pour le seul plaisir d'être nues.

Si vous avez déjà lu Naruto, One Piece ou Fairy Tail, vous avez déjà tout compris de ce qui allait se dérouler.

Si ce n'est pas forcément désagréable à lire, l'ouvrage manque d'originalité et d'un univers vraiment propre, et je n'ai pas du tout accroché au scénario mis en place.
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Quasiment tous les habitants sont dotés de pouvoirs magiques, et sont choisis par un grimoire qui les suivra toute leur vie, dès de leur 15 ans.

Un manga très proche de Naruto de KISHIMOTO, sur pas mal d'aspects notamment au niveau des personnages. L'auteur ne prend ainsi pas de risque, et se contente de "copier" ce qui a déjà fonctionné.

Black Clover est agréable à lire et on se laisse prendre au jeu des dessins.

Yûki Tabata possède avec un trait dynamique et agréable, ce qui donne au portrait, dessinés avec minutie, de beaux traits.

Je remercie Babelio pour cette découverte.
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