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The Clan MacDougall tome 1 sur 1
EAN : 9781503935679
462 pages
AmazonCrossing (06/09/2016)
3.38/5   25 notes
Résumé :
Angleterre, 1343

Orpheline de mère, Aishlinn est élevée par son père et ses frères, des êtres durs et cruels. Sa vie change à jamais la nuit où, confrontée à la terrible violence d’un homme, elle croit commettre l’irréparable et se voit contrainte de fuir son pays. Seule, à cheval, elle prend la route de l’Écosse.

Son destin prend de nouveau une tournure inattendue lorsque, à bout de force, elle est secourue par une bande de guerriers H... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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En tout cas, l'Ecosse aime accueillir de belles jeunes filles en détresse ; c'est ce qui va se passer avec Aishlinn, après avoir poignardé à plusieurs reprises son tortionnaire, le comte d’Angleterre. Avec l'aide d'une personne du château, elle part à cheval se cacher dans les Highlands. C'est sur la route, plus précisément dans la foret qu'elle tombe sur un groupe d'hommes. D'abord, la peur. Sont-ils envoyés par les soldats du comte pour la retrouver ??? Non, tout simplement des Highlanders qui sont à la recherche de voleurs de bétail. Ensuite, vient la surprise. Que fait-elle ici, toute seule, dans la foret et blessée ?

Ces grands colosses vont la ramener au château du clan MacDougall pour que l'on puisse lui prodiguer tous les soins nécessaires. C'est également sur ces terres écossaises qu' Aishlinn découvre la gentillesse, la bonté, le respect d'autrui, l'amour mais aussi un énorme secret qui la concerne directement. En effet, à la mort de sa mère, Aishlinn est élevée par son beau-père, un homme sévère, sans coeur, qui ne voulait pas d'elle enfant, et pour la punir, l'éduque comme un garçon, tout en la bassinant de ne pas être assez belle pour attirer les regards. A la mort de celui-ci, ses demi-frères prennent la relève en lui coupant les cheveux, pour la vendre contre du bétail au comte d'Angleterre, qui préfère violer les femmes que de les aimer. Et quand, hélas, arrive son tour, Aishlinn n'a pas d'autres choix pour préserver sa vertu que de le poignarder.
Depuis cet épisode, on va dire que cette fille se méfie beaucoup des hommes, ce qui est normal après tout. Et tout le long du roman, elle est enfermée dans sa coquille, n'ose pas trop parler, se fait discrète sous l'oeil attentif du futur chef du clan, Ducan, que j''ai trouvé très respectueux et adorable envers elle. J'ai adoré son côté jaloux une fois qu' Aishlinn, si fragile au départ, commence à prendre de l'assurance, à se révéler, toujours sans prendre conscience de sa beauté. Une beauté qui attire les vautours, d'ailleurs. Je crois même que c'est la meilleure partie de l'histoire. Et même, si pour moi, ce n'est pas le meilleur roman sur les highlanders, on retrouve quand même une certaine évasion dans les plaines écossaises, les châteaux etc... Mais si vous recherchez de l'action en plus de la romance, ici, ce n'est pas la peine, l'auteure est passée outre et a totalement misé sur la romance entre l'héroïne et l'écossais, tout en mettant en avant la place et les conditions de la femme dans une Angleterre médiévale où justement celle-ci n'avait pas le droit d'apprendre à lire ou d'écrire. . Tandis qu'en Ecosse, sa place était cultivée et aussi importante que celle d'un homme, à quelques exceptions près. Du coup, Aishlinn sera complètement déstabilisée par tous ces changements et de ses propres lacunes mais, va énormément s'épanouir au sein du château, parmi tous ces highlanders qui veilleront sur elle. Et nous irons de surprise en surprise avec Aishlinn, la fille de Laiden.

En bref, l'histoire est mignonne dans la première partie du livre et devient intéressante dans l'autre moitié surtout quand la jalousie s'y mêle, mais, manque de profondeur dans l'ensemble. Je recommande pour les grandes romantiques.
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Si vous recherchez un roman qui mêle romance et aventure, où des jeunes femmes en détresse se font sauver par de beaux guerriers en Kilt, il se pourrait que La Fille de Laiden soit fait pour vous. Malheureusement, personnellement je m'attendais à autre chose.

La Fille de Laiden est ce qu'on pourrait appeler un livre détente ou une lecture divertissante. L'histoire d'Aishlinn, une jeune demoiselle de 19 ans qui fuit pour sauver sa vie, m'a captivée dès le premier chapitre. Aishlinn est ce que l'on pourrait appeler une jeune femme en détresse. Tous les éléments que nous dévoile Suzan Tisdale sur le personnage d'Aishlinn aident à s'attacher à elle. La vie de la jeune femme est évidemment digne d'un bon roman d'aventure. La mère d'Aishlinn, Laiden, une Highlander est décédée alors qu'elle était très jeune. S'en suit alors une vie dictée par les hommes autour d'elle : élevée par un père qui ne l'aimait pas, abandonnée et maltraitée ses frères, réduite à servir dans la demeure d'un comte. Comte qui évidemment est un homme abjecte qui tente de profiter de la jeune fille. Alors Aishlinn commet une erreur et doit faire face à son destin : fuir ou mourir.
Autant dire que nous prenons très rapidement pitié car le destin semble s'acharner sur elle. Aishlinn a été vendue par sa propre famille, maltraitée par les hommes de son entourage, puis battue par un monstre ; la violence semble faire partie quotidien. La jeune femme a donc perdue toute confiance en elle et en l'espoir de se sortir de son quotidien. Pourtant Aishlinn est un personnage assez surprenant, car derrière sa faiblesse apparente elle est capable de montrer une force de volonté admirable. Et c'est cette force qui va la sauver et l'amener sur la terre de ses origines.
De l'Angleterre, l'histoire de la fille de Laiden va nous conduire au coeur de l'Écosse. Et c'est durant sa fuite dans les Highlands (l'Écosse), Aishlinn va faire une rencontre déterminante pour son avenir : des Highlanders. Des guerriers forts, aux grands coeurs qui vont se porter volontaire pour aider la jeune femme. Ces hommes forts et protecteurs vont adopter la cause d'Aishlinn et s'attacher à elle, surtout un en particulier, le valeureux Duncan. Car rappelons-le, le roman mêle aventures et romance au coeur des Highlands.

Suzan Tisdale nous offre une belle histoire, une romance historique fictive se déroulant au XIVème siècle. L'écriture est fluide, agréable, j'ai été sincèrement ravie de découvrir les paysages écossais à travers la plume de Suzan Tisdale. Aussi, j'ai trouvé que l'intrigue était plutôt bien composée, au début j'ai aimé alterner entre action et moments plus calmes où le lecteur se pose des questions et où plusieurs éléments dévoilant la révélation finale sont présents. Alors où est le problème? Sincèrement, je me suis ennuyée.

La première partie était très intéressante à suivre. La fuite d'Aishlinn, l'action, le suspens et la peur de la jeune femme constituent un cocktail idéal pour nous accrocher. Aishlinn est attachante, maladroite et son parcours est assez incroyable. J'ai espéré que cette force qu'avait réussie a acquérir Aishlinn soit au rendez-vous dans la seconde partie. Ce fut un drame. Car dès que l'histoire s'est concentrée sur la romance, Aishlinn a fondue comme de la guimauve. J'avais apprécié son côté fragile et peu sur d'elle dans la première partie, au fil des pages j'avais envie de lui en coller une, car Aishlinn ne fait que ça "douter". Je ne suis pas jolie, je ne suis pas assez bien, comment peut-il s'intéresser à moi, etc... en veux-tu. Et sur plus de 200 pages c'est long. Évidemment, pour surenchérir j'ai trouvé la révélation finale trop prévisible.

Cette seconde partie m'a fait redescendre de mon nuage car j'avais espoir que l'aventure prime sur la romance, ce qui évidemment n'est pas arrivé. La romance entre Aishlinn et Duncan nous fait tourner en rond tout le long de la seconde partie, juste pour le plaisir de confirmer sans cesse leurs doutes.
Encore une chose que je déteste : les stéréotypes. Et La fille de Laiden en compte beaucoup (trop). Les clichés accumulés tout au long du roman m'ont fait grincer des dents plus d'une fois. La description des highlanders : ils se baladent en Kilt, torses nus, ils ont des cuisses et des bras aussi gros que des troncs d'arbres (sérieux?) par exemple. Ce n'est pas la première fois que je tombe sur ce genre de description et sincèrement je n'en peux plus. Pour en rajouter un peu à la liste, même si j'ai aimé le style d'écriture, le vocabulaire employé m'a paru trop familier (moderne) à certains moments. Pour un roman qui est censé se passer en 1343, ça ne passe pas. de plus, le terme "jeune fille" revient trop souvent, tellement que ça en devient gênant.

Ce livre est mon premier roman de cette auteure et je constate que Suzan Tisdale ne s'est pas arrêtée à cette aventure. En un sans, j'ai beaucoup apprécié les personnages secondaires et je serais assez curieuse de découvrir les tomes suivants, néanmoins si les suites se présentent de la même manière je ne suis pas certaine de vouloir en lire plus. Je pense que ce genre de livre n'est pas vraiment fait pour moi, même pour une "lecture détente".

Bilan : Je n'ai pas été emportée par ce premier tome. Si la première partie me paraissait prometteuse, la seconde partie plus axée sur la romance m'a ennuyée.
Note : 10/20
Lien : http://wp.me/p5d1xg-zZ
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J'aime beaucoup l'Ecosse, alors quoi de mieux qu'une romance historique se déroulant en Ecosse. Je dois dire que mon avis est partagé sur ce roman.

D'un côté j'ai passé un excellent moment en compagnie d'Aishlinn et Duncan. le sauvetage de cette jeune fille, son adoption par le clan MacDougall ainsi que la romance sont des moments que j'ai beaucoup aimés. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à me détacher de ces personnages après ma lecture et du coup du mal à entrer dans ma lecture suivante.

Mais de l'autre je dois dire que l'auteur insiste trop sur le fait qu'Aishlinn et Duncan sont amoureux, que Duncan est beau et courageux ainsi qu'Aishlinn est belle mais qu'elle ne le sait pas. Sur ce dernier point, j'ai trouvé le changement d'avis concernant l'estime qu'Aishlinn a d'elle-même est bien trop brutal. J'ai eu l'impression de passer en deux secondes de « Je suis laide, quelconque, personne ne pourra m'aimer » à « je suis belle, je peux plaire à Duncan ».

Je sais que ce roman est une romance mais j'aurai aimé que l'environnement ainsi que les actions des guerriers soient bien plus présents. J'ai aussi regretté que la place accordée à Laiden ne soit pas plus conséquente même si j'avoue que je n'avais pas établis le lien entre Aishlinn et le clan MacDougall.

Concernant les personnages, Aishlinn est une jeune femme maltraitée par sa famille donc je peux comprendre qu'elle est du mal à croire que quelqu'un la trouve belle mais le fait qu'elle reste sur cette pensée m'a profondément agacée. Par contre, j'ai beaucoup aimé sa force de caractère.

Duncan me fait penser à Jamie dans Outlander, valeureux guerrier, coureur de jupon qui n'est pas tombé amoureux mais qui cache un coeur tendre. J'ai eu du mal avec certaines de ces réactions vis-à-vis des femmes, mais le roman se passe au 14ème siècle donc même si ça n'excuse pas tout, ses comportements sont plus compréhensibles par rapport à cette époque.

En bref, c'est un roman avec lequel j'ai passé un bon moment, je me suis attachée aux personnages malgré les défauts criants de l'histoire.
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Je suis faible. Quand on me vend de l'Écosse, je saute dessus. Surtout quand c'est les Highlands (il ferait pas pas si froid, et il y aurait de meilleurs trucs à manger, je me serais exilée direct net). Pour ceux qui n'y sont jamais allée, je tiens à dire que ce soit la ville ou la campagne, tout est beau, y a pas à tortiller.
C'est en partie pour ça que j'avais adhéré à Outlander. le problème ici, c'est qu'il faudrait voir à ne pas nous coller du Jaimie/Claire à toutes les sauces. D'ailleurs, j'ai trouvé que la sauce ne prenait pas.
Comme dans Outlander, une demoiselle un poil en détresse va trouver refuge auprès de beaux highlanders. Mais là, c'est encore plus facile. Malgré son accent de Sassenach, tout le monde va immédiatement lui faire confiance et la traiter comme une princesse, et personne ne va essayer de se l'envoyer dans un couloir, par exemple.
Là encore, on va jouer sur l'opposition gentil highlander / méchant anglais. Et bizarrement, je commence à trouver un peu pénible (malgré mon amour pour l'Écosse et son histoire) ce manque flagrant de nuances : les habitants des Highlands sont tous d'adorables (même si parfois bourrus) gentlement en kilt quand les anglais sont d'horribles mécréants qui pillent, violent et massacrent. Et si historiquement, il peut y avoir une part de vérité, il faudrait quand même à un moment être capable de la restituer. On a situé ça dans l'Écosse du XIVè mais ça aurait pu être deux siècles plus tard, ou au moment de la France des dragons sous Louis XIV, des croisades du Moyen-Âge, de la guerre de Sécession ou à peu près n'importe quel période / lieu de conflits. Romance ou pas, j'aime quand on me vend de l'historique avoir un contexte, des repères (et même, en fofolle que je suis apprendre 2-3 trucs au passage).
Mais ce ne serait que ça, j'aurais pu passer outre. le problème suivant, c'est l'intrigue. Au départ, ça s'annonce bien : y a du secret de famille en perspective, sur un fond politique intéressant, la rencontre entre des individus qui ne devraient pas se tomber dans les bras tout de suite. On a envie de découvrir peu à peu les liens, les raisons, le "comment". Puis, on se rend compte que tout est cousu de fil blanc. Dès la rencontre d'Aishlinn avec les highlanders, on va supposer ce qui arrivera par la suite (et je ne parle pas que de la partie romantique de l'histoire), et on ne tombera jamais bien loin de la réalité au final.
Concernant les deux personnages principaux, je les ai trouvé aussi bêtassou l'un que l'autre. La naïveté d'Aishlinn s'explique facilement, mais son manque d'évolution puis son changement radical d'attitude sont plutôt incohérents à mon sens, et ses réactions tout comme celles de Duncan sont parfois... Comment dire ? Stupides ? Incompréhensibles ? Hors de propos ? Fais ton choix, lecteur !
Mais surtout, surtout, surtout, l'auteure m'a énervée. Personnellement, j'aime quand l'auteur est subtil. Quand il me fait deviner les choses par un mot bien placé. Quand il part du principe que son lecteur est attentif, et un minimum intelligent. Là, ce n'est pas le cas.
Exemple : si tu vois quelqu'un bailler, tu peux supposer que la personne est fatiguée tout seul comme un grand. Éventuellement, tu peux faire le lien avec les évènements précédents. Là, un perso baille, et on a un paragraphe qui nous dit combien il est fatigué parce que quand même il a mangé trop de choucroute à midi, et la digestion, c'est pas facile, et une petite sieste serait pas de refus.
Bah voilà. C'est ça TOUT LE LIVRE. Pénible.
Bref, déception.
Lecture très mitigée de laquelle je n'ai pas envie de parler plus longtemps, je ne la recommande pas particulièrement, vous l'aurez compris, même si l'intrigue n'est pas désagréable bien qu'assez classique.
Lien : http://delaplumeauclic.blogs..
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Aishlinn est une Lowander, élevée dans les coutumes anglaises,avec pour défunte mère une Écossaise des Highlands. Cette jeune fille, orpheline, c'est vu élevée par un père et 3 frères, qui lui ont toujours dit qu'elle était qu'une paysanne laide, sans importance. Son père lui a appris le travail de la ferme, à se battre comme un homme, mais lui faisant perdre toute confiance en elle, la brisant profondément.

Un jour, pour fuir, elle se voit contrainte d'agir, un choix se fait à elle :

La prison, la mort ou les Highlands.

Qui est Aishlinn ?

Jeune orpheline de 19 ans, qui n'en parait tout au plus 15. Aishlinn, a été vendue, par ses frères, pour travailler pour le comte, en échange de moutons. Échappant à la violence familiale, pour se retrouver dans les mains, d'un monstre. Fragile, sans aucune confiance en elle, elle va puiser au fond d'elle pour tenter de survivre.

Duncan, est orphelin de parents depuis l'âge de 8 ans, il va sa famille décimée par un Anglais, et c'est toujours promis de les venger, ils n'ont été que trois jeunes garçons à survivre au massacre. Recueilli, par l'oncle d'un des survivants, ils sont désormais une famille recomposée, non liée par le sang, mais avec un lien encore plus fort.

La fille de Laiden, est un roman que j'ai dévoré et le mot est faible. Un Highlander, tout en douceur, qui grimpe en intensité, tout au long de notre lecture.

Cette histoire est simple, alors oui pas de grands combats entre highlanders, pas de Laird puissant et caractériel ( Duncan n'est pas Laird ) mais le combat que mène Aishlinn intérieurement, les personnages secondaires, principaux, font que l'on ne peut que s'attacher à cette histoire.

Nous rencontrons Aishlinn, puis Duncan, petit William ( Quand vous comprendrez les raisons du surnom pour ce géant, vous serez morte de rire) Isobel, Richard le noir et pleins d 'autres. Tous avec leurs caractères propres, tendres, des fois tellement gauches, attendrissants, que l'on a qu'une envie de prendre dans ses bras certains grands nounours. L'auteure dans son style, très détaillée, tant dans les paysages, que dans les émotions, qu'éprouvent les personnages de l'histoire, nous arrivons très facilement à nous plonger dans le déroulement de cette romance.

Suzan Tisdale, à privilégié, le côté psychologique de son héroïne, comment, avec tout son vécu, ses drames, elle arrive à se reconstruire, et devenir, la femme qu'elle devait être. Mettant ainsi, en pratique, tout ce qu'elle a appris par son "père" et s'imposer avec charisme. D'ailleurs, la fin montre vraiment le changement, qui s'est opéré en elle.

L'histoire de Duncan et Aishlinn, est très belle, entre un homme qui veut conquérir sa belle, attendre qu'elle soit prête psychologiquement et qui doit se battre avec des potentiels prétendants, une jeune femme, qui prend les intentions, comme de la fraternité, et qui doit apprendre à avoir confiance dans les mots.

Une romance, où se mêle tendresse, émotion, rire, une double intrigue simple mais tellement efficace, et qui nous laisse pantois face à certaines révélations. Il faut laisser s'opérer la magie des Highlands. Maintenant, j'attends avec impatience le tome 2, 3 et le 4 qui mettra un point final à cette rencontre
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Ces pensées et désirs lui étaient auparavant totalement étrangers. Jusqu’à ces derniers jours, il s’était toujours imaginé être un esprit libre. Il n’avait jamais voulu être assujetti aux responsabilités qu’une femme et des enfants impliquaient. Il avait toujours apprécié de pouvoir aller et venir comme bon lui semblait, et il ne comptait plus la quantité de femmes avec lesquelles il avait partagé son lit. Mais aucune n’avait retenu son attention plus de quelques heures. Et aucune ne lui avait jamais fait désirer quoi que ce soit de plus que d’assouvir ses besoins physiques.
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Peut-être que son nez n’était pas aussi gros que ses frères l’avaient prétendu. Ce n’était qu’un nez, un nez on ne peut plus simple.
Mes lèvres… peut-être que mes lèvres ne sont pas trop fines, ni trop bombées, mais elles n’en restent pas moins des lèvres banales. Et mes joues… elles auraient sans doute meilleure mine si je les pinçais pour les faire rosir un peu et masquer les taches verdâtres qui les recouvrent actuellement.
Peut-être ne suis-je pas si hideuse, pensa-t-elle. Une chose est sûre, je n’ai pas la beauté de Bree. Alors quelconque, oui, mais sans doute pas si hideuse que mes frères me le disaient.
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oh ! s'exclama Duncan en esquissant un sourire en coin, et voici Petit William.
Aishlinn se demande comment un homme si monumental pouvait être qualifié de petit. Elle se tourna pour chuchotter à l'oreille de Duncan :
S'il est petit, je détesterais croiser Grand William.
Duncan glousse avant de répéter aux autres ce qu'elle venait de lui dire, et il rirent tous à gorge déployée. Aishlinn rougit de gêne face au vacarme qu'elle avait déclenché.
Daniel McAllister intervint :
- on l'appelle Petit William, jeune fille, parce qu'il a un petiiit.....
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Elle lutta de tout son être pour chasser leurs visages et leurs voix de son esprit, et s’efforça à la place de se concentrer sur la liberté et l’avenir. Elle rêvait éveillée d’une chaumière en bord de mer. Peut-être épouserait-elle un homme respectable qui ne la battrait pas ni ne l’insulterait. Peut-être que Dieu la doterait de beaucoup d’enfants. Elle planterait des potagers et apprendrait à tisser. Sa maison serait remplie d’amour et de joie. Mais elle avait plus de chances de décrocher la lune que d’avoir un jour un mari et des enfants à elle.
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Ses yeux étaient d’un vert si prononcé… Ils contenaient beaucoup de douleur et de peur, trop à son goût. Mais quelque chose d’autre reposait juste sous la surface, quelque chose qui ne demandait qu’à être libéré. De la passion, du désir, oui ; mais pas dans un sens romantique ou physique. Non, il s’agissait de quelque chose de plus profond et précieux que ça. Au fond, elle voulait être plus que ce que les gens exigeaient d’elle, et c’était ce qu’il voulait lui offrir : la liberté d’être celle qu’elle était vraiment.
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