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4,05

sur 8023 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Un pauvre type, évidemment enfant battu (ben voyons!), cherche à se venger d'une injustice en inoculant la peste à ses ennemis. Mais en fait, s'ils claquent effectivement, c'est parce qu'ils sont assassinés à son insu par son demi-frère et sa demie-soeur qui veulent l'envoyer en taule pour s'approprier son magot, etc.

Bref du roman de gare de dernière catégorie (celle qui est chiante, donc inexcusable), mais si prétentieux que son côté pseudo-intello doit flatter l'ego quotidiennement meutri des Madames-Pipi qui s'enorgueillissent de lire une soi-disant "chercheuse au CNRS". . . qui n'a apparemment jamais rien trouvé de sa vie puisque les bases de données sont muettes la concernant. Ce qui lui laisse le temps de "polarder", pour le malheur de la série noire.

Lecture indigeste aussi côté syntaxe, vocabulaire, et mouvement, ou plutôt péristaltisme paresseux: une écriture hideuse - impossible de parler de "style" avec la Vargas - dans le genre infra-américain, le rythme en moins.

Une histoire grotesque, horriblement écrite, intellectuellement indigente, psychologiquement invraisemblable, avec un rebondissement débile à la fin. Hit the road, sack, and don't you come back NO MORE.
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Je ne connaissait pas du tout cet auteur, alors j'ai tenté un de ces livres au hasard de celle que l'on appelle la reine du roman policier français.

Autant le dire tout de suite, grosse déception. le style d'écriture est juste imbuvable. Les phrases qui s'étalent sur plus de cinq lignes sont légions. La lecture est poussive, on a à l'impression de lire un pavé de 1000 pages. Sauf qu'il ne se passe vraiment rien.

C'est triste mais je n'ai pas accroché a cet auteur, qui en matière de policier et de thriller est bien loin d'un Franck Thilliez, Harlan Coben ou autres grand noms.

Un roman à oublier, ce qui ne seras pas trop dur...
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Vargas est un autre auteur que je n'arrive pas à apprécier. A part "l'homme à l'envers" que j'ai bien aimé, les autres (ceux qui vont mourir te saluent, et celui-ci) que j'ai tenté de lire d'elle m'ont ennuyé au plus haut point, je les ai tous lâchés en cours de route. C'est comme ça, certains auteurs nous happent, d'autres pas...
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Malgré des personnages originaux je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire pourtant j'avais bien aimé "quand sort la recluse" et "sans feu ni lieu" C'est dommage que les romans de Fred Vargas ne soient pas tous du même acabit.
Cette histoire de crime sur fond de pandémie de peste me semble grotesque et improbable de nos jours.
Il y a également beaucoup trop de détails qui n'ont aucune importance et qui nous font perdre le fil de l'histoire.
Je ne suis pas pressée de lire les nouvelles aventures du commissaire Adamsberg.
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Pars vite et revient tard nous emmène en compagnie d'un crieur qui scande sur le marché les nouvelles que les gens déposent dans une urne avec une pièce, jusqu'au jour où quelqu'un met des textes étranges en latin. En parallèle on suit la mystérieuse affaire des "4" gravés sur les portes de certains immeubles. Des taggueurs ou l'oeuvre d'un désaxé ? Aux flics de le découvrir.

C'est mon premier Fred Vargas et je dois dire que j'ai détesté. Je n'ai même pas réussi à finir le roman, j'ai fini par le survoler jusqu'à la fin, avec la fameuse lettre, pour avoir une idée de ce qui se passe.

Même pas 350 pages mais que d'ennui. Des descriptions à n'en plus finir, des longueurs, des personnages ultra détaillés dont on sait absolument tout, ce qui laisse très peu de place à l'enquête. Un commissaire qui n'est pas physionomiste ? Et allez, on se le tape à chaque fois qu'il rencontre un personnage. Par page, on doit avoir une seule phrase intéressante au maximum. On a davantage l'impression d'être dans une cour d'école que dans un polar.

Les cinquante premières pages sont réservées à la découverte du personnage du crieur, quand un simple "le crieur dont le métier consistait à ..." aurait suffit pour le présenter. Je pense sincèrement que si on avait enlevé 200 pages, le roman aurait été bien. J'ai eu l'impression que le livre avait été écrit deux siècles plus tôt.

Du reste, j'avais déjà lu Pandemia de Thilliez donc le coup de la peste et des rats m'a laissée de marbre.

Bref une très grosse déception et une auteure que je ne continuerai pas à lire (ou alors dans longtemps), j'avoue ne pas comprendre l'engouement des lecteurs & les prix qui lui ont été décernés.
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Ca ne vaut rien du tout.
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La volonté de faire du style se voit trop, il en est parfois laborieux. La volonté de faire de l'esprit plombe la narration de finasseries et de futilités. L'intrigue se veut singulière mais elle n'a pas de substance, arrivé au dénouement je n'y ai simplement pas cru.
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Alors là, je suis déçue. A mon avis j'ai tiré le mauvais numéro car il n'est pas possible que les autres soient pareils : c'est mou, c'est lent ; à la page 134, il ne s'est toujours rien passé et le pire est qu'àprès ça ne s'accélère pas plus. J'ai mollement eu envie de savoir qui était l'auteur des faits reprochés. Je me suis même demandée si je n'allais pas le refermer avant de l'avoir fini. Plus que poussif. Je n'aime pas du tout.
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Une histoire totalement alambiquée, et si je peux reprendre une formule connue, un scénario abracadabrabrantesque. J'ai bien cru refermer ce livre avant l'apparition du fameux héros de Fred Vargas ; le commissaire Adamsberg, tant les premiers chapitres m'ont semblé lunaires. En effet, le seul fait d'imaginer un marin Breton venu du Guilvinec, reprendre sur une pseudo place Edgar-Quinet de Paris la fonction de « crieur » de son grand-père m'est apparue complètement surréaliste.
Mais, on atteint l'absurde avec cette peur médiévale de la peste qui surgie dans le scénario et qui entraîne le lecteur dans une histoire totalement foldingue, avec son cortège de meurtres que doit élucider ce brave commissaire Adamsberg et son équipe.
J'ai quand même poursuivie la lecture de « pars vite et reviens tard », pour voir jusqu'où Fred Vargas voulait entraîner ses lecteurs, mais oh ! La ! La ! que ce fut long, tant cette histoire est compliquée.
J'avais déjà lu « l'armée furieuse de la même auteure, et mon sentiment d'alors avait déjà été quelque peu mitigé. Cette fois, mon opinion est faite, ce « pars vite et reviens tard », sera le dernier roman de Fred Vargas présent dans ma bibliothèque.
J'ai lu les critiques de ce livre, et fort heureusement pour Fred Vargas, une seule personne, partage mon opinion.
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Mon 2e Fred Vargas (mon premier était « Debout les morts »)… Toujours pas emballée, avec la même impression que pour le 1er : des dialogues forcés, des personnages qui semblent correspondre à une fiche de présentation (caractère 1, caractère 2, caractère 3… ; c'était encore pire dans « Debout les morts », où l'auteur avait attribué des noms d'apôtres aux personnages et les faisait entrer dans le rôle à coups de marteau… personnages qui font d'ailleurs une apparition dans ce volume). En soi, l'intrigue n'est pas mal et les références historiques sur la peste sont intéressantes et bien documentées. Mais tout semble superposé, rien n'est fluide, le roman paraît surjoué (surjoué mais pas drôle ; or, tant qu'à jouer avec les clichés, autant verser dans le parodique...)., la candeur des uns et la bizarrerie des autres sont exagérés, peu crédibles... Dommage!
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