Sans feu ni lieu

Pas d adamsberg pour cet opus mais du lourd quand même, peut être même plus déjanté que notre commissaire de choc.
L allemand o7 le fils du Rhin comme il,préfère est 7n personnage a part entière. Complètement différent d adamsberg, il n en demeure pas moins un obsessionnel des faits divers vivant avec un crapaud fainéant. Bref, un être étrange.
Fan de la série adamsberg, j étais heureuse ici, de retrouver certains personnages, vandlooser le vieu et les 3 evangelistes avec des places importantes dans l enquete. Ces hommes sont complètement perchés!!!!
Ça part dans tous les sens, c est plus actif, c es différent et en même temps tellement Vargas.
J ai adore cette lecture de folie, complètement à l'Ouest.
Je ne suis pas'sure d'avoir une mouche dans le casque, mais eux très certainement.

Des meurtres en série, voici une intrigue classique ... mais tous les personnages sont ici fantasques et pour beaucoup d'entre eux un peu loufoques ! Un policier classique très agréable à lire.

Encore un très bon Vargas, avec comme à chaque fois, la bonne dose d'humour, de suspens, et de réflexion. Ce roman est très bien écrit, les héros sont toujours "un rien barrés" et l'intrigue finement résolues.
Je regretterai cependant que le final soit quelque peu précipité et que le dénouement soit un rien trop simpliste.

Encore un titre qui m'attendait sur mon étagère, mon dernier Vargas non lu. Et qu'est-ce que c'était bien !

Le tueur aux ciseaux sévit dans Paris. Il tue des jeunes femmes, de manière horrible. Et évidemment, le suspect est rondement identifié, un crétin qui se cache à peine et laisse ses empreintes. Les flics ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, normal. Mais tous les flics ne sont pas stupides, heureusement. Il y en a même qui ont du génie. Oui, je pense à Adamsberg. Sauf qu'ici, l'enquête est menée par Louis Kehlweiler; Vous vous souvenez de lui ? L'Allemand qui se balade avec son crapaud dans sa poche. Encore un intuitif celui-là. Heureusement pour le suspect, Clément Vauquer (seule Marthe croit en lui, mais ça ne compte pas, elle lui a appris à lire, elle n'est pas objective, forcément), qui se retrouve caché chez les Evangélistes le temps de l'enquête. Ceux-là non plus, on ne peut pas les oublier : Marc, Lucien et Mathias qui habitent la vieille baraque avec le parrain de Marc. Des amis d'Adamsberg, évidemment.

Tout ce petit monde se démène, chacun à sa façon, pour innocenter le simplet. Qui a sa propre logique.

Bon, que Louis se débrouille avec tout ça, ses doutes, son affection pour Marthe.

Que dire de plus ? Que cette lecture fut un régal, comme pour les autres romans de Fred Vargas, que si un jour je suis victime d'une terrible machinerie, je prierai pour qu'un Kehlweiler ou un Adamsberg vole à mon secours, et qu'enfin, j'attends le nouveau volet des aventures de mes flics préférés avec la plus grande des impatiences.

Louis Kehlweiler et les évangélistes essaie d'innocenter, sans être vraiment convaincu, Clément un accordéoniste demeuré, à la demande de Marthe, une ancienne prostituée. Clément est suspecté d'un double meurtre et tout semble l'accuser. Encore un beau roman policier de Fred Vargas et une enquête qui suit les chemins de traverse.

Dans la foulée de "Un peu plus loin sur la droite" j'ai choisi cet autre volume avec les mêmes personnages.
On retrouve donc Louis-Ludwig Kehlweiler et Marc mais aussi les autres évangélistes de "Debout les morts".
C'est la vieille Marthe qui va les réveiller en cherchant à protéger et cacher un jeune homme recherché par la police. Clément est un homme simple qui a été un petit garçon à l'enfance dure mais que Marthe avait pris sous son aile et éduqué comme son propre fils.
Il est suspecté d'avoir commis des crimes sur les lieux desquels il a été repéré avec certitude. Il n'arrive pas à s'exprimer très clairement ce qui complique l'enquête pour Louis et Marc.
J'ai trouvé l'histoire extrêmement bien ficelée (comme toujours^^) et le personnage de Clément très attachant. J'ai adoré ce que sa façon de parler unique a insufflé comme fantaisie aux dialogues !!!
Une merveille d'humanité !
Lien : http://toutzazimuth.eklablog..

Encore un pur moment de bonheur passé avec Fred Vargas.
Ce livre a été écrit avant l'apparition du commissaire Adamsberg, mais on sent déjà sa présence avec tous ces personnages hors du temps, ces dialogues déjantés et cette atmosphère si particulière qui me plait tant. Comme dans chaque roman de Fred Vargas, l'histoire nous emberlificote et nous balade, mais l'épilogue est toujours logique, cohérente et plausible.
Les habitants de la cabane pourrie sont absolument géniaux et Louis Kehlweiler nous enchante. Et que dire de Buffo...
Bon, je ne suis pas sûr d'être très objectif, étant un inconditionnel de Fred Vargas et de son oeuvre, mais quand même, c'est un très bon bouquin.

Second volet de la saga des Evangélistes, je commence bien entendu avec celui-ci ma découverte du trio d'enquêteurs lunaires.

J'ai aimé l'humour de l'auteure, toujours fin.

J'ai aimé les personnages différents et bien campés qui font tout pour aider le pauvre Clément à se sortir d'une situation difficile.

Un rompol sympathique qui m'a fait passer un bon moment.

L'image que je retiendrai :

Celle du taudis dans lequel habitent les Evangélistes.
Lien : http://alexmotamots.fr/sans-..

Mais pourquoi ai-je boudé longtemps Fred Vargas ? A cause du mot polar ? Quelle erreur ! Voici encore un de ses romans où je me suis régalé. L'histoire est classique avec un tueur en série. Clément, simple d'esprit, sera le coupable idéal. Quand il se voit dans le journal, il se réfugie chez une ancienne prostituée qui lui a appris à lire qui le fera se mettre à l'abri chez une bande de marginaux. Des dialogues succulents. J'ai ri plusieurs fois et l'intrigue est bien menée jusqu'au bout.

Un policier en retraite attachant, un groupe de jeunes , les Évangélistes, attachant
Des femmes violees et tuees
Marthe une ancienne prostituee qui croie en l'innocence de Clément ,le principal suspect, un gamin qu'elle a élevé comme son fils
Voici les ingrédients d'un bon polar à la mode Vargas
Il ne reste qu'à déguster