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« Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie »
Un très bon polar avec des personnages haut en couleur et atypiques. Pas de policier mélancolique et désabusé, mais des particuliers -très particuliers- passionnés d'histoires : toutes sortes d'histoires (même rangées dans des boîtes à chaussures...) et de l'Histoire. Ils ont des manies originales (la reconstitution du silex m'interroge quand même) et possèdent aussi une passion pour un amphibien.
Le présumé coupable est également bien pensé par l'auteur, un présumé imbécile de première catégorie (mais présumé seulement), ce qui donne des dialogues réjouissants.
Cerise sur le gâteau, j'ai découvert un poème De Nerval, El Desdichado. J'adore quand un auteur lie son histoire avec le texte d'un autre, le met en exergue et l'utilise lors du récit.
Donc : des meurtres, des ciseaux, un accordéon et un idiot… Fred Vargas est excellente et nous donne à lire une histoire riche avec des personnages truculents sur un scénario enlevé.
« Quant à moi »... je me suis régalée !
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Roman très agréable à lire. Bon divertissement. Il y a des passages amusants grâce aux protagonistes un peu fantasques, et s'il y a des meurtres et de la violence cela se fait heureusement sans débordements d'hémoglobine. Un livre sympathique à découvrir pour se reposer de lectures plus ardues.
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J'adore les polars à la sauce Vargas. Dans une intrigue plutôt classique (par exemple des femmes victimes d'un tueur en série), elle ajoute un élément sorti de son imagination tortueuse (et si le meurtrier aimait la poésie) qui apporte toute l'originalité à ses romans et un petit côté farfelu qui ne me déplait pas. Et bien sûr, je suis complétement fan de ses personnages clés. On retrouve dans "Sans feu, ni lieu" les trois historiens de "Debout les morts" Lucien, Mathias et Marc, surnommés "les Évangélistes" par Louis Kehlweiler, lui-même accompagné de son fidèle crapaud "Bufo".

Tout accuse Clément Vauquer, un jeune accordéoniste un peu simplet, de l'assassinat de deux femmes à Paris. Seule, Marhe, une ancienne prostituée qui avait pris soin de lui lorsqu'il était petit, croit encore à son innocence. Elle fait donc appel à son ami Louis qui rameute toute la troupe décrite précédemment pour tenter de dissimuler le présumé coupable aux yeux de la police et mener l'enquête.

La galerie de portraits que l'auteure nous dépeint est un bel hommage à la différence et à l'amitié. Cette union de personnages tous aussi loufoques qu'attachants prêtent souvent à sourire. Les Anglais ont Agatha Christie, nous on a Fred Vargas qui a su se créer son univers "made in France" avec des dialogues savoureux presque dignes d'un Audiard. Un parfait exemple :
"Le gratin c'est un plat collectif. Et quand on est tout seul on ne peut pas espérer manger collectif." Soyons chauvins : 17/20 !
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"Le tueur fait une seconde victime à Paris".
C'est ainsi que débute la troisième aventure des Evangélistes (Marc, Lucien pour Luc et Mathias pour Mathieu) et la deuxième menée en collaboration avec Louis Kehlweiler dit l'Allemand, ancien policier ou espion au passé flou aujourd'hui traducteur de Bismarck.

Si tout désigne Clément Vauquer comme l'assassin de deux femmes, Marthe, ancienne prostituée, n'y croit pas un seul instant car "ce gosse-là, c'est Clément, et Clément, c'est [son] garçon".
Et son garçon, il ne peut pas avoir commis de telles atrocités car comme elle le dit à son amie Gisèle : "Il a rien fait. C'est tous les autres qui en veulent après lui."
Aussi Marthe vient trouver Louis pour qu'il l'aide, et ce dernier va alors se tourner vers la baraque pourrie et ses habitants pour abriter le petit protégé et dénouer le vrai du faux.

Fred Vargas a l'art et la manière de plonger le lecteur dans une intrigue qui de premier abord apparaît comme simple ou résolue d'avance.
Or, il n'en est jamais rien et ce livre en est une parfaite illustration.
Sans grande conviction, hormis Marthe, tous les personnages vont essayer de prouver l'innocence de Clément avant de s'en convaincre eux-mêmes, ce qui est, il faut bien le reconnaître, une tournure d'esprit particulière.
Mais c'est ainsi dans l'univers de Fred Vargas, il y a beaucoup de personnages bancals, paumés dans la vie ou donnant l'impression de marcher en permanence sur un fil hors du temps.
Et à chaque fois la recette prend, le lecteur s'attache fortement aux personnages et suit avec avidité leur parcours.

J'ai beaucoup apprécié dans ce livre les personnages, c'est sans nul doute l'un de ses points forts, l'intrigue et sa résolution étant presque secondaires.
Ils ont tous une personnalité différente les uns des autres, rien n'est jamais gagné d'avance et puis ils finissent par s'entendre et par aller ensemble dans la même direction.
J'ai ainsi découvert Louis, personnage attachant cultivant une part de mystère et accompagné de son crapaud Buffon. C'est le moteur de l'histoire, le lien entre tous les personnages.
J'ai également pris beaucoup de plaisir à retrouver "les évangélistes", un groupe de trois garçons aussi complémentaires que différents dans leur caractère ou leur spécialité en histoire et finalement très craquants.
Ils se sont d'ailleurs répartis les étages de la maison en fonction de leur spécialité : préhistoire, Moyen-âge et première guerre mondiale.
Cette fois-ci l'auteur a choisi de s'intéresser plus longuement à Marc, j'ai été à la fois satisfaite mais un peu déçue que les deux autres évangélistes soient plus en retrait.
Même s'il s'illustre comme le héros de l'histoire, il repart bredouille car "tu ne peux pas à la fois avoir fait acte d'intelligence et de bravoure et te ramasser la fille en plus."
L'une des qualités de Fred Vargas est la recherche et le travail sur la psychologie de ses personnages. Ce sont des êtres complexes à la recherche de choses simples, cela me touche et m'attache aux personnages.
Elle ne laisse personne de côté, elle travaille tout autant Lucien, Marc, que Marthe ou un personnage secondaire.

L'autre atout de ce livre, c'est le style d'écriture de Fred Vargas.
Je reconnais que son style peut dérouter au premier abord, mais c'est une écriture fluide et recherchée, qui se lit facilement.
Dans ce livre, elle choisit de donner un style très particulier au personnage de Clément, qui ne cesse d'utiliser des tournures ou des expressions compliquées dans ses phrases, ce qui finit par donner un discours quelque peu distendu.
Les premières fois j'ai été un peu gênée et j'ai dû relire certaines phrases, et puis à la fin j'ai fini par m'y habituer, à tel point que je me serai presque mise à parler comme lui.

Quant à l'intrigue, elle met un peu de temps à se mettre en place mais une fois qu'elle est lancée le lecteur se prend au jeu.
Il n'y a pas de révélation fracassante, tout est question de déduction et de recherche dans le passé de Clément.
Même le lecteur a certaines clés qui lui permettent de se faire un avis sur le coupable. Cela n'en retire pas moins son charme à l'histoire.
Une chose est sûre, je ne lirai plus les poèmes dans le métropolitain du même oeil !

En conclusion, lire cette nouvelle enquête de Louis Kehlweiler dit l'Allemand et des Evangélistes, c'est comme "aller boire un café au café", c'est lire pour le plaisir de se faire plaisir.
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Ouvrage duquel le héros récurrent de Fred Vargas, le commissaire Adamsbrerg, est absent. Il connaît pourtant Louis Khelweiler et son animal fétiche, Bufo le crapaud, puisqu'ils ont eu à résoudre ensemble une affaire de déjection canine (voir Un peu plus loin sur la droite, pour les inconditionnels de Vargas). Mais cette fois l'homme au batracien-in-the-pocket se dépatouille tout seul avec ce grand benêt que lui amène son amie Marthe, l'ancienne prostituée au grand coeur, reconvertie en bouquiniste sur les bords de seine. C'est original, mais le trottoir ne se quitte pas comme ça.

Elle est convaincue que le jeune Clément qu'elle a élevé en partie, puisque laissé à la dérive par des parents indignes, ne peut être celui que tout accuse dans l'affaire qui défraye la chronique du moment : les meurtres en série et au hasard de jeunes femmes seules. C'est tout un poème ce hasard d'ailleurs. Mais les flics peu versés à la poésie restent insensibles à la rime qui pourrait les conduire au meurtrier. Aussi, Louis Khelweiler, l'ancien retiré du ministère de l'intérieur, devra donc se débrouiller dans la clandestinité puisque retiré des affaires officielles. Il mobilisera non sans peine ses colocataires du gourbi qu'ils occupent en bonne indépendance les uns des autres, des défroqués de l'institution comme lui et autres universitaires en mal d'université. Une belle brochette d'originaux qui ne manquent pas d'esprit.

Un bon moment de détente que cet ouvrage. Il nous fait mener notre enquête et cache bien son coupable jusqu'au dernier chapitre comme il se doit. le genre d'ouvrage dans lequel on se sent en famille dans l'univers de Fred Vargas tellement on les connaît ces êtres singuliers à la gouaille nébuleuse et la formule argotique. Ils se complaisent en marge de la société à laquelle les nécessités domestiques les rappellent à contre coeur. Il faut dire aussi qu'ils ont des fidélités. La vieille Marthe en fait partie. Alors même s'ils n'y croient pas à son coupable désigné mais innocent, parce que c'est elle ils fouilleront Paris. En avouant quand même du bout des lèvres que comme ils disent, les "situations merdiques" ça les stimulent.
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❤️ 📜𝕸𝖔𝖓 𝖗𝖊𝖘𝖘𝖊𝖓𝖙𝖎📜 ❤️

Ah! Madame Fred Vargas , notre archéologue , autrice policière adorée !
Vous nous donnez encore à nous délecter à la lecture d' un livre superbe.
L'intrigue, la trame de l'histoire, le style employé , la poésie et le langage approprié, l' humour que vous donnez
à certains de vos personnages toujours aussi attachants, même si ils ont tous une mouche
dans le casque. Tout cela faisant ,qu'une fois votre ouvrage commencé, c'est de votre faute si nous lecteurs avons de l'insomnie
car nous le lisons d'une seule traite.
Ou alors échafaudons dans notre insomnie , qui pourrait être le coupable ?

On retrouve ici avec plaisir nos évangélistes Marc celui qui fait du ménage a domicile
,Lucien l'historien, Mathias le courageux robuste , le vieux Vandoosler (le parrain)et l'ex flic, Louis Kehlweiler.
que l'on appelle "l'allemand " le chef de tous .
Ensemble, ils vont aider leur vieille amie Marthe à protéger son fils adoptif Clément et
se relayer pour le garder .Pourquoi ???
Parce que Clément est un peu fêlé et il est embrigadé dans une affaire de meurtre§
Voila pour le petit résumé c'est simple ,fluide ,le récit est un plaisir.
On ne voit pas le temps passer , chaque chapitre court , annonce l'autre avec
envie de savoir le flux de l'histoire

Avec Fred Vargas tout est dans le langage des uns et des autres ,c'est intelligent
et délicatement décalé, comme toujours. Comme chaque policier qu'elle écrit , c'est toujours un régal,
chaque personnage a sa propre mouche au casque et l'entretien avec le plus grand soin .
Louis, son crapaud et ses traductions de livres est génial.
Et les autres, Marc, Luc, Mathias, Vandoosler le vieux, tous favorisants les événements dramatiques.
Dans le cas du personnage de Clément, jeune imbécile un peu trouble suspecté , vous verrez il est attendrissant
et Marthe "mère poule " je ne vais pas plus loin vous verrez l'intrigue se dessiner après chaque chapitre
Il faut faire attention aux petits détails qui semblent anodins mais qui en disent long sur la
conclusion de l'enquête, Vargas adore cela .
Moi en premier je me dis "le meurtrier c'est lui....!! Hélas je me trompe toujours .
Et quand j'ai fini le livre je retourne là ou il faut faire attention
Ici par exemple .... Ha Ha Ha vous croyez que je vais vous le dire ?
bernique , et boule gommes les amis Babeliens !!!
vous le saurez au prochain épisode HIHIHIHI!!
adios amigos
Fabiolino
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Petit a : Si vous aimez, avant de lire « Sans feu, ni lieu », signé VARGAS, offrez-vous un café au café !
Petit b : Dites-vous bien que, dans ce roman, si Clément Vauquer a été choisi pour son imbécilité, c'est parce qu'effectivement il n'y a pas plus idiot que lui-même et que, personnellement, il est par ailleurs le premier à le crier à tout le monde.
Petit c : Vous ai-je déjà expliquer qui était Clément Vauquer ? Oui ? Alors, passez présentement au petit d.
Petit d : si vous voulez vous faire plaisir, n'attendez plus, lisez par devers vous ce Fred VARGAS.

« Sans feu, ni lieu » est, une fois de plus un polar déjanté dans lequel ‘Les Évangélistes', Marc, Luc et Matthieu se joignent à ‘l'Allemand', Louis-Ludwig Kehweiler, cet ancien flic de l'Intérieur qui ne sait ni se défaire de son crapaud Bufo, ni de son habitude de suivre la piste qu'aucun vrai flic n'accepterait de suivre. Cette fois, c'est Marthe, la vieille pute à la retraite qui convoquent ces intelligences décalées pour mettre sous leur protection ‘sa poupée', un jeune idiot à qui elle a, il y a bien longtemps, appris à lire et qui depuis a cumulé toutes les fautes nécessaires pour être désigné par la police et les journaux comme le tueur en série de ces filles tuées à Paris, selon un curieux schéma fourni par un poème sorti de la Plume de Gérard de Nerval.
Une fois de plus, une situation assez classique pour un polar offrant des meurtres en série de femmes, un coupable tout désigné, des flics qui se trompent, un héros et son équipe qui, bien sûr, finiront par confondre le coupable et faire entendre raison à la police.
Alors, quel intérêt ? Tout simplement la plume de VARGAS ! Sa capacité à installer un phrasé unique qui, bien que non conventionnel, voire incorrect, reste plaisant et juste assez décalé pour ciseler des personnages attachants, des gens simples mais droits dont le lecteur prendra inconditionnellement le parti.
Un vrai moment de détente, un regard sucré-salé sur le monde des petits gens, d'un historien-femme de ménage et de ses confrères évangélistes, d'un enquêteur citoyen traducteur de Bismarck et rangeur de chaussures et d'une vieille reine du trottoir devenue bouquiniste sur les quais de la Seine… Que du bonheur !
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Plus je lis Fred Vargas plus je l'apprécie. J'ai passé un bon moment de lecture avec "Sans feu ni lieu" et c'est sans doute en raison de l'excellente interprétation de Philippe Allard dans la version Audiolib. Il met le ton qu'il faut et cela rend cette histoire touchante. C'est à signaler car il donne une voix à Clément Vauquer, personnage central de ce polar, simplet notoire et "idiot du village" qui se trouve dans une situation difficile puisqu'il est recherché pour meurtres alors qu'il est innocent. Heureusement, Clément a l'heureuse idée de retrouver la vieille Marthe, ex-prostituée rangée des affaires, qui le considère comme son môme. Elle est la seule à le défendre et elle réussit à convaincre Louis Kehlweiler, son ami ex-flic, à mener l'enquête entre Paris et Nevers. Louis est accompagné de son crapaud Bufo mais aussi de personnages attachants comme Marc Vandoosler, jeune historien du moyen-âge, pour retrouver le tueur en série qui a une mouche dans le casque, et c'est peu dire.

Ce que j'aime chez Fred Vargas c'est qu'elle nous donne tous les éléments pour trouver le coupable, contrairement aux enquêtes d'Agatha Christie par exemple. Je me suis donc fait mon opinion et je ne me suis pas trompée. le fait d'avoir découvert le meurtrier avant la fin ne m'a pas gênée, d'une part parce que je n'en n'étais pas certaine et d'autre part parce que j'ai savouré la démonstration pour arriver jusqu'au coupable.


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Troisième volume de la série des Evangélistes, « Sans feu ni lieu » est un des meilleurs romans policiers de Fred Vargas (surtout après les semi-déception "Quand sort la recluse"). C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé Saint Marc (Marc Vandoosler, le médiéviste), Saint Luc (Lucien Devernois, le spécialiste de la Seconde Guerre Mondiale) et Saint Matthieu (Mathias Delamarre, le maître de la préhistoire), ainsi que l'ainé Armand Vandoosler. Dans leur « baraque pourrie » ils vont épauler Louis Kehlweiler, l'inspecteur à la retraite, dans une enquête pour innocenter Clément Vauquer, le petit protégé de la Grande Marthe, lequel avait disparu depuis près de 20 ans et resurgit alors que tout l'accuse de 2 meurtres dans la capitale.

L'enquête est menée tambour battant par un ancien flic qui ne s'encombre pas trop du règlement. Entre Paris et Nevers, entre passé et présent, Louis dit l'Allemand ne va pas se ménager, trainant avec lui Bufo le crapaud, pour rendre service à celle qui fut une amie. Car comment croire que Clément, l'homme à l'esprit simple qui retourne le cerveau de tous, n'est pour rien dans ces meurtres de jeunes femmes qui commencent à essaimer dans Paris ?

Fred Vargas dresse une bande de personnages étonnants, hors normes, tous attachants. de Clément (qui m'a fait penser à la Brute de Guy des Cars), esprit simple qui ne se pose pas de question mais qui n'est pas si bête qu'on voudrait le faire paraître, à la Grande Marthe, ancienne prostituée au coeur tendre, en passant par les trois historiens et l'inspecteur au grand coeur, chacun a l'intelligence du coeur et des caractéristiques bien amusantes.

L'intrigue est bien menée. Même si j'ai rapidement deviné qui était l'assassin, je me suis laissé emporter par le mouvement, ne lâchant pas le livre jusqu'à la dernière page.

Un polar efficace, bien agréable et distrayant.
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J'ai beaucoup aimé le personnage de Clément Vauquer, le protégé de Marthe, ancienne prostituée et son parler pour le moins atypique.
Fred Vargas est très douée pour créer une psychologie crédible pour tous ses personnages déjantés.
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