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3,88

sur 18349 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ne m'a pas plu du tout. On dirait les délires d'un gamin de 12 ans, qui utilise des termes dépréciatifs : pédérastes, nègres. Je ne comprends pas qu'il ait été publié ... sans doute parce qu'il était l'ami de Jean Rostand, issu d'une famille riche et qu'il a flatté Jean-Sol Partre .... c'est triste de voir que la cooptation, mène encore le monde. J'essaierai un autre Vian, voir s'il est immature à ce point. Ça ne me fait même pas rire, ça m'ennuie quand je lis des bêtises pareilles. Et je perds mon temps, enfin au moins je pourrai dire, avec une moue de dégoût : j'ai lu l'écume des jours ... j'ajouterai sans doute un bruit de chasse d'eau, ce qui plaira à Jean-Sol Partre et Boris Vain ...
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Lu pour l'école il y a fort longtemps, je me souviens mal de ce que le livre racontait.
Par contre, je sais qu'il m'a marqué par l'absence de base solide avec le réel, c'est un genre d'écriture, mais un que je n'apprécie pas.

On se fait entraîner dans l'esprit de l'auteur, voyant le monde à travers le filtre de son regard, complètement perdu sans savoir où l'on va. D'ailleurs, je ne suis pas sur que lui même le savait. Les métaphores et autres comparaisons s'enchaînent, ne sachant même plus à quoi elles se réfèrent. Et pour finir, la morale est rude, brute, sans enjolivure qui cacherait le désespoir de l'intrigue.

Mauvais souvenir.
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Je ne suis pas du tout rentrée dans l'ambiance de ce livre, malgré son statut de chef-d'oeuvre.
Trop loufoque pour moi, sans doute, mais aussi un peu long à mon goût. Les thèmes du roman sont présentés très tôt et toute la suite semble se dérouler de façon prévisible, sans surprise majeure. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages ni à ressentir de véritable émotion.
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Mon avis va dénoter avec tous les autres qui sont unanimes, mais je n'ai vraiment pas accroché. Mon premier Boris Vian et sûrement mon dernier. le surréalisme ne me touche pas, je n'ai pas vibré avec les personnages, l'histoire ne m'a pas touché .. Je pense que c'est justement lié à ce côté surréaliste qui m'a empêché de vraiment croire à l'histoire.
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Je me sens un peu comme un ovni quand je dis "Je n'ai pas aimé L'Ecume des jours". Je sais que ma première et seule lecture que j'ai faite de ce roman a été en 3ème au collège. Et je n'ai rien compris ... Mais j'étais une élève sage, qui faisait le travail qu'on lui demandait. Je l'ai lu jusqu'au bout, alors que je ne comprenais rien. Je me suis donc forcée et je m'en suis dégoûtée.
Je sais que la vision qu'on peut avoir sur un livre, un film, une musique.... peut changer selon notre âge. J'ai conscience que je devrais relire ce roman, le redécouvrir et essayer de l'apprécier. Sans doute qu'aujourd'hui je comprendrais tous les jeux de mots, les sous-entendus, le caractère un peu décalé de l'oeuvre. Or, j'ai "peur" (pas une vraie peur, mais je ne trouve pas le terme exact) de garder cette vision de mes 14 ans et continuer à ne pas apprécier ce roman. A voir, je vous redonnerai des nouvelles...
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« L'écume des jours », de Boris Vian : quel joli titre qui donne envie de s'y plonger, mais quel résultat décevant. Car autant le dire de suite, j'ai détesté ce roman tant loué par la critique. Sous forme d'un récit poétique, le livre nous raconte une histoire bercée par le jazz au cours de laquelle Colin, un jeune homme quelconque, lutte contre la maladie de sa femme Chloé. le couple est entouré par d'autres personnages comme Chick, ami de Colin qui voue une admiration sans borne pour Jean-Sol Partre, manière humoristique qu'a Boris Vian de parodier la philosophie de Jean-Paul Sartre, ou encore Nicolas, le cuisinier. le tout s'articule dans un conte absurde dans lequel règne une atmosphère surréaliste en dehors des codes habituels.
Dès les premières pages, je savais que la lecture allait être longue, et ce fut le cas. Cette découverte a été un véritable supplice à tous points de vue. Et pourtant, je pensais apprécier Vian, aimant certaines de ses chansons comme la très réussie « Complainte du Progrès ». de même qu'habituellement j'adore les univers absurdes ou oniriques comme savent les créer Quentin Dupieux ou Buñuel au cinéma et même Paul Éluard et Fred dans la littérature. Mais avec « L'écume des jours », ça n'est pas du tout passé et je ne vois vraiment pas comment on peut trouver une once de plaisir en luttant contre les page. En effet, les dialogues sont insipides, traitant de sujets dépourvus d'intérêts avec une abominable répétition du verbe de parole « dit » après chaque réplique. Je suppose qu'on associera ça à un procédé stylistique qui m'est seulement apparu comme une usante manie. Chaque description est un concentré de termes ampoulés d'une effarante complexité qui ne font rien pour faciliter la représentation mentale de ce que le narrateur nous raconte. Et pour cause, on n'y comprend rien. Les personnages, dont la plupart possède des noms à coucher dehors, manquent de développement et sont tout sauf attachants. Toutes les choses qui auraient mérité un développement plus abouti sont d'une épouvantable fadeur. Malgré tout, certains passages sont plutôt bons, avec quelques rares bonnes touches d'humour et un jeu avec la langue française intéressant (notamment avec la phrase récurrente « Nicolas, dit Colin » ou d'autres inversions syllabiques dans le genre). J'ai apprécié l'intervention de certains personnages comme le professeur Mangemanche, le passage chez l'antiquaire, lorsqu'Alise, la compagne de Chick, devient folle à cause de l'obsession qui ronge maladivement son conjoint ou le dénouement qui finit par émouvoir, mais l'insuffisance du reste du roman ne permet pas d'en profiter pleinement et c'est dommage. Les thèmes abordés sont parfois justement amenés comme la passion trop forte, le monde du travail, les abus du clergé et l'argent. Pourtant, je ne sais décrire la joie éprouvée quand j'ai refermé le livre, sûrement le meilleur moment de ma lecture.
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Une lecture que j'ai détesté, et terminée en diagonale? Je n'ai pas du tout accroché à l'univers, car il faut se lever de bonne heure pour comprendre les petits détails, le méli-mélo incessant de cette histoire, les personnages plus détestables les uns que les autres...tout m 'a insupporté.
J'ai recommencé à lire des gros classiques/incontournables l'année dernière et j'ai commencé avec celui-là et l'attrape-coeur de Salinger: très mauvaise idée car ça m'a refroidie de suite. Par curiosité, j'ai essayé de regarder le film en version accélérée (c'est encore "pire", plus timbré que le roman). Il en faut pour tous les goûts, mais là, je ne pouvais vraiment pas. Si certains y trouvent une certaine poésie, moi je n'ai vu que les incohérences et les bizarreries qui y sont sans que ce soit sensé nous gêner, nous lecteur: résultat, ce livre est sans dessus dessous, tout comme l'appartement qui rétrécis, la fleur qui pousse dans la poitrine du seul personnage que j'ai un tout petit peu apprécié (sérieux?) et le fait d'avoir trouvé Jean Saul Partre au lieu de Sartre m'agaçait à chaque page, car oui, on nous bassine quasiment à chaque page avec lui...arhh, ce livre ne m'a pas laissée indifférente, certes, mais ce n'ai pas vraiment ce que j'ai envie de ressentir en lisant : me demander ce que l'auteur a mangé (pour ne pas dire autre chose)....
Bref, je vais m'arrêter là, cette lecture me laisse un très mauvais souvenir, un goût amer et ne fera très certainement pas partie de MES classiques/incontournables...
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J'en avais tellement entendu parler en bien, que je me suis enfin décidée à le lire.

Pour ma part, j'ai été déçue par cet ouvrage et j'ai eu eu du mal à pénétrer dans l'univers de Boris Vian.

Le monde trop farfelu, magique et poétique de ce roman ne m'a pas emporté avec lui et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.


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j'avais déjà lu ce livre il y a 15 ans et je n'avais pas du tout aimé sans trop savoir pourquoi
15 ans après, donc, je l'ai relu et je confirme: ce livre est inintéressant, soporifique et je n'adhère pas du tout.
ce livre est dépassé à cause de ses multiples références au surréalisme: monde farfelu (mais beaucoup moins accrocheur qu'un "Alice au pays des merveilles), jeux de mots à répétition, jeux de style, jeux de langage...bref, à la fin, cela devient lourd
l'histoire nous sert du vu et revu (contrairement à ce qui est écrit dans la préface)
bref, on s'ennuie ferme...je déconseille ce livre, considéré comme un chef d'oeuvre, mais là aussi, on se demande bien pourquoi...
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Je sais que je vais me faire des ennemis, mais je n'ai vraiment pas accroché.

Désolée pour les fans de Vian, mais il arrive parfois que des «best-sellers» ne plaisent pas à tout le monde.

Je dois avoir lu ou entendu trop de critiques positives au sujet de ce livre.

Je sais qu'il est toujours de bon ton d'aimer ce que certains intellos portent au pinacle.

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